International
Un soldat israélien tué à Jérusalem, deux Palestiniens à Jénine
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Un soldat israélien a été tué dans une attaque armée samedi soir à Jérusalem-Est. Un peu plus tôt, deux adolescents palestiniens avaient péri dans un raid israélien en Cisjordanie occupée. L'ONU s'alarme de la détérioration de la situation sécuritaire dans la région.
"Au cours de la nuit, un soldat israélien a succombé à de graves blessures infligées lors d'une attaque armée au poste de contrôle de Chouafat", barrage israélien situé près d'un camp de réfugiés palestiniens à Jérusalem-Est, a indiqué l'armée israélienne dans un bref communiqué.
Deux Israéliens, dont le militaire tué, ont été grièvement blessés par balles lors de cette attaque. Et une troisième personne, dont la nationalité n'a pas été précisée, a été touchée par des "éclats", selon la Magen David Adom (Mada), l'équivalent israélien de la Croix-Rouge.
Un porte-parole de la police a indiqué dans un communiqué qu'un "terroriste avait tiré sur deux Israéliens, les blessant grièvement". "Les forces de police sont actuellement à la recherche d'un suspect qui a fui" le lieu de l'attaque, a ajouté la police, précisant qu'un hélicoptère et des forces spéciales participent à la chasse à l'homme.
Secteur bouclé
Le secteur a été bouclé par la police. Des dizaines d'officiers ont été déployés autour du checkpoint et à l'intérieur du camp de réfugiés de Chouafat. Un journaliste de l'AFP a constaté que des mesures de sécurité avaient été renforcées à l'entrée et la sortie de Jérusalem.
Le premier ministre israélien Yaïr Lapid a dénoncé cette "grave attaque terroriste" qui survient pendant la période des fêtes juives. "Le terrorisme ne gagnera pas, nous sommes forts même en cette soirée difficile".
Plus tôt samedi, deux adolescents palestiniens ont été tués par balle lors d'un nouveau raid de l'armée israélienne à Jénine, bastion de factions armées palestiniennes dans le nord de la Cisjordanie, territoire occupé, comme Jérusalem-Est, depuis 1967 par l'armée israélienne.
Une centaine de morts
L'armée israélienne a affirmé avoir effectué un raid à Jénine pour arrêter un Palestinien de 25 ans, soupçonné d'être membre du Djihad islamique et d'avoir tiré sur des soldats.
Depuis le début en mars d'une vague d'attaques anti-israéliennes ayant fait 21 morts, l'armée israélienne a multiplié les opérations en Cisjordanie occupée, notamment dans les secteurs de Jénine et Naplouse. Ces raids, souvent émaillés de heurts avec la population locale, ont fait plus d'une centaine de morts du côté palestinien, soit le bilan le plus lourd en Cisjordanie depuis près de sept ans, selon l'ONU.
"Je suis alarmé par la détérioration de la situation sécuritaire, incluant la hausse des affrontements armés entre Palestiniens et les forces de sécurité palestinienne en Cisjordanie occupée" et à Jérusalem-Est, a commenté tard samedi soir l'émissaire de l'ONU pour le Proche-Orient, Tor Wennesland.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La RDC et le Rwanda signent un accord de paix à Washington
La République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda ont signé vendredi à Washington un accord de paix visant à mettre fin au conflit dans l'est de la RDC. Une guerre qui a fait des milliers de morts.
L'accord, élaboré ces dernières semaines, prévoit des dispositions sur "le respect de l'intégrité territoriale et l'arrêt des hostilités" dans la région congolaise après l'offensive menée par le groupe armé M23, soutenu militairement par le Rwanda selon des experts de l'ONU.
Les affrontements avec les forces gouvernementales ont déplacé des centaines de milliers de personnes et provoqué une vaste crise humanitaire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp / belga
Économie
Commerce: Pékin et Washington scellent la détente
La Chine et les Etats-Unis ont annoncé avoir scellé le cadre général visant à lisser leurs différends commerciaux, Pékin assurant vendredi que Washington est prêt à lever des restrictions à l'encontre de ses produits et vice versa.
Après des pourparlers à Genève en mai, Washington et Pékin étaient convenus de mettre sur pause leur guerre commerciale. Ils avaient accepté de réduire temporairement les droits de douane prohibitifs qu'ils imposaient sur leurs produits respectifs.
La Chine s'était également engagée à alléger certaines contremesures non douanières. Mais des responsables américains ont ensuite accusé Pékin de violer l'accord, et notamment de traîner des pieds pour délivrer des licences d'exportation de terres rares.
Les terres rares sont des métaux utilisés dans une large variété de produits tels que les smartphones, les turbines des éoliennes ou les véhicules électriques. Elles sont essentielles à l'économie mondiale moderne.
Mi-juin, Washington et Pékin s'étaient finalement accordés, lors de nouvelles discussions à Londres, pour remettre l'accord trouvé à Genève sur les rails.
C'est cet accord, portant notamment sur l'accélération des expéditions de terres rares vers les États-Unis, que Donald Trump s'est félicité jeudi d'avoir "signé".
Et Pékin a confirmé vendredi qu'un consensus avait été trouvé.
Les investisseurs se sont montrés rassurés par la nouvelle, d'autant que l'exécutif américain semble de surcroît disposé à reporter la date butoir à partir de laquelle il devait mettre en place des droits de douane punitifs à l'encontre de dizaines de partenaires commerciaux, dont l'Union européenne.
Vendredi matin, le ministre américain des Finances Scott Bessent a laissé entendre que Washington se donnait jusqu'à septembre pour conclure des accords avec ses principaux partenaires commerciaux.
"Je pense que nous pouvons boucler les discussions commerciales d'ici à la fête du travail", le 1er septembre aux Etats-Unis, a dit le secrétaire au Trésor sur Fox Business.
Wall Street a réagi avec optimisme, l'indice américain S&P 500 finissant même d'effacer l'intégralité des pertes causées depuis février par le tumulte autour des droits de douane, pour dépasser son plus haut historique en séance, de même que le Nasdaq.
"Même sens"
"La Chine espère que les Etats-Unis avanceront dans le même sens qu'elle", a indiqué dans un communiqué le ministère chinois du Commerce, en confirmant que Pékin et Washington avaient scellé leur accord.
"La Chine procédera en vertu de la loi à l'examen et à l'approbation des demandes d'exportations relatives aux articles soumis à contrôle qui satisfont aux exigences", a-t-on poursuivi de même source.
"Les États-Unis, en conséquence, vont lever une série de mesures restrictives à l'égard de la Chine", a complété le ministère chinois.
Aucune précision supplémentaire n'a été apportée dans l'immédiat.
La priorité absolue pour les États-Unis était de garantir leur accès aux terres rares. La Chine en est le premier producteur mondial.
Mais les flux chinois en direction des entreprises étrangères ont ralenti depuis début avril, lorsque Pékin a commencé à imposer aux producteurs nationaux l'obtention d'un permis pour pouvoir exporter sept types de terres rares.
La décision a été largement perçue comme une mesure de rétorsion face aux droits de douane américains sur les biens chinois.
Au nom de la défense de la production nationale, Donald Trump a imposé, depuis son retour à la Maison Blanche, des droits de douane sectoriels (acier, aluminium, automobile).
Mais il a aussi mis en place une surtaxe quasiment universelle de 10% et menacé d'aller plus loin à l'égard des pays qui exportent plus vers les Etats-Unis qu'ils n'achètent de produits américains.
Donald Trump a suspendu ces droits de douane punitifs jusqu'au 9 juillet, le temps de mener des négociations commerciales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Allemagne: vers une augmentation du salaire minimum
Le gouvernement allemand va augmenter le salaire minimum légal dans le pays en 2026 et 2027, suivant les recommandations d'une commission indépendante, toutefois moins ambitieuses qu'attendu par les sociaux-démocrates.
Actuellement à 12,82 euros par heure, le salaire minimum doit être porté à 13,90 euros en 2026, puis à 14,60 euros en 2027, soit une augmentation cumulée de 13,9%, ont recommandé les rapporteurs de cette commission lors d'une conférence de presse.
La décision a été prise "à l'unanimité" par les représentants des employeurs et des salariés, a déclaré la présidente de l'organe, Christiane Schönefeld.
Cette augmentation sera appliquée dès le 1er janvier 2026, a indiqué dans la foulée la ministre social-démocrate (SPD) du travail Bärbel Bas dans un communiqué.
La commission n'a cependant pas donné raison à son parti, qui revendiquait une augmentation du minimum légal à 15 euros dès 2026, un seuil qualifié d'"atteignable" dans le contrat de coalition négocié à l'origine entre sociaux-démocrates et conservateurs du chancelier Friedrich Merz.
Les conservateurs avaient cependant obtenu que le montant concret du salaire minimum continue à être fixé par cette commission indépendante.
Mme Schönefeld a salué "une décision consensuelle" malgré des "pressions politiques" et des "conditions très difficiles", "compte tenu de la stagnation de la conjoncture et des prévisions incertaines".
Après deux années consécutives de récession, plusieurs instituts économiques tablent sur un retour timide à la croissance en 2025.
L'évolution du PIB dépendra entre autre de celle de la consommation privée, qui peine à décoller, tandis que la tendance à l'épargne des ménages reste tenace.
Dès janvier prochain, quelque 6 millions d'employés toucheront environ 190 euros brut en plus par mois, puis 120 euros brut supplémentaires à partir de 2027.
Cette hausse représente sur deux ans une augmentation brute de 13,9% pour les employés au salaire minimum.
"Vous pouvez supposer que cet argent ira directement et intégralement dans la consommation, soutenant durablement la conjoncture", a assuré Steffen Kampeter, président de la fédération des associations patronales allemandes (BDA).
"Même si cela n'a pas abouti à 15 euros, il s'agit d'une amélioration financière considérable pour les travailleurs du secteur des bas salaires", a de son côté salué dans un communiqué le syndicat des services ver.di, représenté dans la commission du salaire minimum.
En 2022, l'ex-chancelier social-démocrate Olaf Scholz était passé outre cette commission, relevant le salaire minimum au-delà de ses préconisations.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Poutine: les mémorandums de Kiev et Moscou "diamétralement opposés"
Les mémorandums russe et ukrainien, qui présentent la vision de chaque partie concernant la marche à suivre pour obtenir la paix entre Moscou et Kiev, sont "diamétralement opposés", a relevé vendredi le président russe Vladimir Poutine.
"Il n'y a aucune surprise. (...) Il s'agit de deux mémorandums diamétralement opposés. Mais les négociations sont organisées et menées précisément dans le but de trouver des terrains d'entente", a-t-il dit lors d'une conférence de presse en marge d'un sommet régional à Minsk, au Bélarus.
Le président russe a précisé que les négociateurs des deux pays étaient "en contact permanent", notamment pour s'entendre sur un lieu et une date pour un troisième cycle de pourparlers directs, après ceux du 16 mai et 2 juin en Turquie.
Pas d'avancée majeure
Ces discussions, les premières directes entre Moscou et Kiev sur l'issue du conflit depuis le printemps 2022, n'ont pas abouti à des avancées majeures. Chaque partie avait présenté début juin à l'autre un mémorandum, sorte de plan idéal pour parvenir à un accord de paix après plus de trois ans de guerre.
L'Ukraine exige toujours que l'armée russe se retire des cinq régions qu'elle occupe partiellement ou totalement, tandis que la Russie veut que Kiev renonce à rejoindre l'Otan et lui reconnaisse le contrôle de ces territoires. Des conditions inacceptables pour Kiev.
Ainsi, ces dernières semaines, seuls des échanges de prisonniers et de corps de personnes tuées sur le front, principalement des soldats, ont eu lieu.
"Nous sommes prêts"
"Nous sommes convenus de poursuivre nos contacts après (...) la restitution des corps de nos militaires décédés", a indiqué face à la presse M. Poutine. "Une fois cette étape terminée, nous tiendrons une troisième série de négociations. (...) Nous y sommes prêts", a-t-il assuré. Istanbul pourrait à nouveau être le lieu choisi pour une telle rencontre.
Par ailleurs, le maître du Kremlin a reconnu dans un rare aveu que l'explosion des dépenses de défense, qui atteignent "6,3% du PIB" cette année, était responsable de l'inflation en Russie, qui reste toujours à près de 10%.
Ce niveau de dépenses militaires, "c'est beaucoup", a-t-il admis. "Nous avons payé cela par l'inflation, mais nous luttons actuellement contre la hausse des prix".
Enfin, le président russe a dit avoir "un profond respect" pour son homologue américain Donald Trump, qu'il a qualifié de "courageux", assurant "apprécier" que le locataire de la Maison Blanche "souhaite sincèrement trouver une solution" au conflit en Ukraine.
"Grâce au président Trump, les relations entre la Russie et les États-Unis commencent à s'équilibrer sur certains points. Tout n'est pas réglé dans le domaine des relations diplomatiques, mais les premiers pas ont été faits", s'est-il aussi félicité.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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