International
Trump en procès pour diffamation en avril face à une journaliste
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L'ex-président américain Donald Trump devrait comparaître en avril dans un procès en diffamation intenté par une journaliste qui l'accuse de l'avoir violée. La plaignante s'était tue pendant 20 ans avant de raconter son histoire dans un livre, à la faveur de #MeToo.
Une double affaire judiciaire de viol et de diffamation présumés oppose depuis 2019, devant la justice fédérale civile de Manhattan, à New York, E. Jean Carroll, 78 ans, à Donald Trump, 76 ans, lesquels ont produit en octobre leurs dépositions sous serment devant un juge new-yorkais.
Selon un document judiciaire rendu public mardi, le juge a signé une ordonnance fixant au 10 avril 2023 un procès en diffamation contre l'ancien président américain, comme le réclamait Mme Carroll.
Dans cette procédure en diffamation, l'auteure et ancienne chroniqueuse du magazine Elle avait attaqué Donald Trump au civil en novembre 2019. Elle l'accusait de l'avoir diffamée pour avoir qualifié de "mensonge complet", en juin 2019, ses allégations de viol dans une cabine d'essayage d'un grand magasin new-yorkais en 1995 ou 1996.
"Pas son genre de femme"
Le président républicain alors en exercice (2017-2021) avait répondu n'avoir jamais rencontré Mme Carroll et qu'elle n'était "pas son genre de femme". Ses avocats ont de plus toujours affirmé qu'il était protégé en 2019 par son immunité de chef d'Etat. Quant aux accusations de viol, Mme Carroll n'avait pas pu déposer plainte en 2019, puisque les faits allégués étaient prescrits.
Or, le 24 novembre, est entrée en vigueur une nouvelle loi de l'Etat de New York ("Adult Survivors Act") permettant, pendant un an, aux victimes d'agressions sexuelles de relancer leur action en justice pour réclamer un procès au civil. Les avocats de Mme Carroll ont donc déposé jeudi une nouvelle plainte à New York pour "diffamation" mais aussi "voie de fait" et "agression" et demandé un procès au civil en 2023 afin d'obtenir des dommages et intérêts.
Dans l'introduction de cette plainte qui relate tous les faits allégués, Donald Trump est accusé "il y a environ 27 ans [...] dans le grand magasin de luxe Bergdorf Goodman sur la cinquième Avenue à New York [de] s'être saisi d'E. Jean Carroll, de l'avoir plaquée et coincée contre la paroi d'une cabine d'essayage avec son épaule et de l'avoir violée".
L'avocate de Donald Trump a estimé jeudi que la démarche de Mme Carroll "constitue malheureusement un détournement de l'objectif de la loi" de New York. En octobre, M. Trump avait qualifié les accusations de viol de "canular et de mensonge".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Au moins 14 morts à Kiev dans des frappes russes
Des frappes aériennes russes qui ont ciblé Kiev dans la nuit de lundi à mardi ont fait au moins 14 morts, dont un Américain, ont annoncé les autorités ukrainiennes. Il s'agit d'une des attaques au bilan le plus lourd depuis le début de la guerre en Ukraine.
Au total, "27 sites dans différents districts de la capitale ont été la cible de tirs ennemis cette nuit. Parmi eux se trouvent des immeubles résidentiels, des établissements éducatifs et des infrastructures critiques", a déclaré le ministre de l'Intérieur ukrainien, Igor Klymenko.
"Le bilan des morts a été porté à 14. Quarante-quatre personnes ont été blessées à Kiev. Six autres ont été blessées à Odessa", a-t-il précisé sur Telegram. Le chef de l'administration militaire de la capitale ukrainienne, Timour Tkatchenko avait fait état plus tôt d'au 14 morts à Kiev, précisant que des recherches étaient en cours pour retrouver des victimes potentielles dans les décombres.
"Dans le district de Solomianski, un citoyen américain de 62 ans est décédé dans une maison située en face de l'endroit où les médecins portaient assistance aux blessés", a précisé le maire de la capitale ukrainienne Vitali Klitschko mardi sur Telegram.
"Attaque combinée"
Le maire de Kiev avait averti au début de la nuit que des drones ennemis se dirigeaient vers la ville "depuis trois directions", demandant aux habitants de ne pas quitter leurs abris.
Le chef de l'administration militaire de la ville de Kiev, Timour Tkatchenko, a de son côté indiqué qu'une "attaque combinée" de "missiles et des drones" russes avaient provoqué "des incendies dans plusieurs zones" de la capitale.
La ville portuaire d'Odessa a aussi subi des attaques. "Treize personnes ont été hospitalisées. Des gens pourraient être piégés sous les décombres", a déclaré le gouverneur de la ville du sud de l'Ukraine Oleg Kiper.
Les autorités russes ont de leur côté annoncé des restrictions temporaires de vol sur les quatre aéroports de Moscou.
Le chef de cabinet du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Andriï Iermak, a dénoncé sur Telegram de nouvelles frappes russes sur "des immeubles résidentiels à Kiev. La Russie poursuit sa guerre contre les civils."
Les récents pourparlers de paix entre Moscou et Kiev sont bloqués, alors que les deux camps campent sur leurs positions, très éloignées. Moscou a rejeté la trêve "inconditionnelle" voulue par Kiev et les Européens, tandis que l'Ukraine a qualifié d'"ultimatums" les demandes russes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Oklahoma City à un succès du titre
Le Thunder est à un succès du titre en NBA. Oklahoma City a dominé les Indiana Pacers 120-109 à domicile lundi pour mener 3-2 dans cette finale des play-off.
OKC, qui a pu craindre un temps un nouveau retour miraculeux des Pacers, a donc pris pour la première fois l'avantage dans cette série. Le Thunder bénéficiera d'une première occasion de conclure jeudi à Indianapolis lors du match 6.
Lieutenant du MVP Shai Gilgeous-Alexander (31 points, 10 passes), Jalen Williams a été exceptionnel avec 40 points, 6 rebonds et 4 passes décisives. "Mes coéquipiers me donnent une grande confiance en moi, me demandent de rester moi-même", a-t-il expliqué au micro du diffuseur.
"On a l'opportunité de se servir de nos expériences passées. Ce soir, c'était honnêtement exactement comme le match 1 (avec un retour victorieux des Pacers). On apprend au fil de cette finale, c'est ce qui rend notre équipe si bonne. On a été capables collectivement d'obtenir des stops défensifs pour l'emporter."
Les Pacers, largement dominés en première période (59-45 à la pause, après avoir accusé jusqu'à 18 longueurs de retard), sont en effet revenus à deux points en début de quatrième quart dans le sillage de Pascal Siakam (28 points, 6 rebonds, 5 assists, 3 interceptions) et de l'étonnant T.J. McConnell (18 points).
Leur héros habituel Tyrese Haliburton, touché au mollet droit en début de partie, a en revanche raté son match (4 points, tous sur la ligne des lancers-francs, 0/6 au tir). Et, contrairement à ce qui s'était passé dans un acte I remporté par Indiana en Oklahoma, le Thunder a cette fois-ci tenu bon dans le "money time".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Départ anticipé de Trump, appel à la désescalade au Moyen-Orient
Le président américain Donald Trump a quitté prématurément le sommet du G7 au Canada. Il a assuré sans autre explication que son départ n'avait "rien à voir" avec des efforts en vue d'un cessez-le-feu au Moyen-Orient.
Le départ anticipé de Donald Trump renforce l'incertitude autour de l'affrontement militaire entre Israël et l'Iran, sujet principal des discussions entre les dirigeants des pays du "groupe des 7" (Allemagne, Royaume-Uni, Canada, Etats-Unis, France, Italie et Japon) qui vont se poursuivre mardi sans le président américain.
Selon des médias américains, Donald Trump va se rendre dans la "Situation Room", la salle de crise de la Maison Blanche où les présidents américains réunissent leur Conseil de sécurité nationale dans les moments de crise géopolitique ou lorsqu'ils ordonnent des opérations militaires importantes.
"Source d'instabilité"
Peu avant le départ lundi M. Trump du Canada, les dirigeants du G7 avaient publié une déclaration commune appelant à la "désescalade" et affirmant le droit d'Israël à "se défendre". Selon eux, "l'Iran est la principale source d'instabilité et de terrorisme dans la région" et "nous avons toujours été clairs sur le fait que l'Iran ne pourra jamais disposer d'une arme nucléaire".
Signe des divisions qui traversent ce G7, Donald Trump s'en est pris à son homologue français Emmanuel Macron, lui reprochant d'avoir présenté de façon "erronée" que son départ du Canada visait à oeuvrer en faveur d'un cessez-le-feu entre Israël et l'Iran.
"Faux! Il n'a aucune idée de la raison pour laquelle je suis maintenant en route pour Washington, mais cela n'a certainement rien à voir avec un cessez-le-feu. C'est beaucoup plus gros que ça", a lâché Donald Trump sur son réseau Truth Social. "Volontairement ou pas, Emmanuel ne comprend jamais rien", a-t-il asséné.
Auparavant, le président français avait affirmé en marge du sommet qu'une "offre (...) d'une rencontre et d'échange" avait été faite aux Iraniens par les Américains, ajoutant: "Si les Etats-Unis peuvent obtenir un cessez-le-feu, c'est une très bonne chose."
Signaux confus
Pour la cinquième nuit consécutive, Israël et l'Iran ont échangé tirs de missiles et menaces guerrières. Téhéran annonçant des frappes "sans interruption jusqu'à l'aube" après une nouvelle vague d'attaques israéliennes.
Donald Trump a multiplié les signaux contradictoires. Il avait assuré dans la journée qu'un "accord" allait être trouvé concernant le conflit entre l'Iran et Israël. Avant de lancer sur Truth Social ce message alarmiste: "Tout le monde devrait évacuer Téhéran immédiatement."
Alors que les spéculations enflent sur une participation américaine active à l'offensive aérienne sans précédent d'Israël, la Maison Blanche a redit que les forces américaines restaient "dans une posture défensive" au Moyen-Orient.
Le site Axios affirme par ailleurs que l'exécutif américain n'a pas abandonné la voie diplomatique, et discute avec l'Iran d'une possible rencontre entre l'émissaire spécial pour le Moyen-Orient Steve Witkoff et le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi.
Pas de rencontre avec Zelensky
Le départ de M. Trump a par ailleurs annulé de fait la rencontre bilatérale prévue ce mardi avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Il pourrait aussi modifier les plans du Premier ministre britannique Keir Starmer: il avait prévu d'annoncer mardi avec ses partenaires du G7 de nouvelles sanctions économiques contre Moscou pour "brider la machine de guerre" de Vladimir Poutine, selon un communiqué publié lundi soir par le gouvernement britannique.
Donald Trump avait exprimé dès lundi son scepticisme face à toute nouvelle mesure contre Moscou: "Les sanctions, ce n'est pas si simple", avait-il lancé, qualifiant aussi d'"erreur" la décision d'expulser la Russie de ce qui était alors le G8, après l'annexion de la Crimée par Moscou en 2014.
Alors que des bombardements russes ont fait au moins 14 morts dans la nuit de lundi à mardi à Kiev, la présidence ukrainienne a regretté mardi l'absence de "réaction adéquate du monde civilisé".
Tensions commerciales
L'objectif de nombreux dirigeants présents était de désamorcer l'offensive commerciale de Donald Trump. Le président américain a imposé des droits de douane de 10% minimum sur la plupart des produits importés aux Etats-Unis et menace d'augmenter encore le niveau des taxes.
Donald Trump et Keir Starmer ont confirmé les grandes lignes de leur entente commerciale trouvée en mai. De leur côté, les Canadiens ont indiqué qu'Ottawa et Washington avaient promis d'aboutir à un accord dans les 30 jours. Et la présidente de l'exécutif européen Ursula von der Leyen a indiqué sur X, après une rencontre avec Donald Trump, que les équipes américaines et européennes allaient "accélérer le travail en vue d'un accord (commercial) juste et bon".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Israël annonce avoir tué le plus haut gradé de l'armée iranienne
L'armée israélienne a annoncé mardi avoir tué un important commandant militaire iranien, Ali Shadmani, dans une frappe nocturne. Elle l'a présenté comme la personnalité la plus proche du guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei.
À la suite d'une "soudaine opportunité au cours de la nuit, l'armée de l'air israélienne a frappé un centre de commandement au coeur de Téhéran et a éliminé Ali Shadmani (...) le commandant militaire le plus haut gradé et la figure la plus proche du guide suprême iranien Ali Khamenei", a affirmé l'armée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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