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Économie

Turquie: inflation record en décembre à 36,08% sur un an

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Dans un pays très dépendant des importations, l'inflation record met en difficulté de nombreuses personnes (archives). (© KEYSTONE/AP/Francisco Seco)

La hausse des prix à la consommation a atteint 36,08% sur un an en décembre en Turquie, un record depuis septembre 2002 dû à la dégringolade de la livre turque, selon les chiffres officiels publiés lundi.

Cette inflation, plus de sept fois supérieure à l'objectif initial du gouvernement, s'explique par la chute de la livre turque qui a perdu près de 45% face au dollar sur un an.

L'inflation, qui avait atteint 21,31% en glissement annuel en novembre, est devenue un sujet politiquement explosif en Turquie à dix-huit mois de la prochaine élection présidentielle prévue en juin 2023.

L'opposition a accusé ces derniers mois l'Office national des statistiques (Tüik) de sous-estimer sciemment - et largement - la hausse des prix.

Pour les Turcs, l'effondrement de la monnaie se traduit par une envolée des prix difficilement soutenable, le pays étant très dépendant des importations, notamment pour les matières premières et l'énergie.

Après plusieurs semaines de pertes historiques, la livre turque s'est fortement redressée mi-décembre à la suite des mesures d'urgence annoncées par le président turc Recep Tayyip Erdogan et à des ventes massives de réserves en dollars, mais la monnaie voit de nouveau sa valeur fondre depuis une semaine face au billet vert.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Sion: le stade de Tourbillon sera remplacé par un nouvel écrin

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Martin Zurwera (président de l'Association valaisanne de football), Christian Constantin (président du FC Sion), Philippe Varone (président de la Ville de Sion) et Stéphane Ganzer (conseiller d'Etat valaisan) ont fait le point sur l'avenir du football d'élite en Valais, vendredi matin. (© KEYSTONE/GABRIEL MONNET)

Le stade de Tourbillon ne sera pas rénové. Une décision a été prise en ce sens par la Ville de Sion, l'Etat du Valais et le club de Super League. Rien ne s'oppose donc à une nouvelle enceinte financée par Christian Constantin à hauteur de 450 millions de francs.

En janvier 2024, la Ville de Sion, le Département cantonal de la sécurité, des institutions et du sport, l’Association valaisanne de football et le FC Sion avaient signé une lettre d’intention visant à pérenniser le football professionnel et la relève en Valais.

Après 18 mois de travail, les quatre partenaires ont pris plusieurs décisions de principe communiquées vendredi en conférence de presse. La variante rénovation du Stade de Tourbillon est abandonnée. L’infrastructure restera en fonction jusqu’à la construction d’un nouveau stade.

Celui-ci sera porté par des privés, sans participation financière publique, selon Christian Constantin. Et les signataires confirment leur intention de développer à Sion une académie de football pour former la relève d’élite, masculine et féminine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Sion: le stade de Tourbillon sera remplacé par un nouvel écrin

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Martin Zurwerra (président de l'Association valaisanne de football), Christian Constantin (président du FC Sion), Philippe Varone (président de la Ville de Sion) et Stéphane Ganzer (conseiller d'Etat) ont tenu une conférence de presse pour faire le point sur le dossier Tourbillon, vendredi matin. (© KEYSTONE/GABRIEL MONNET)

Le stade de Tourbillon ne sera pas rénové. Une décision a été prise en ce sens par la Ville de Sion, l'Etat du Valais et le club de Super League. Rien ne s'oppose donc à une nouvelle enceinte financée par Christian Constantin à hauteur de 450 millions de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Droits de douane: la FH "reste optimiste"

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Hier, le monde horloger s'est réuni à Lausanne en marge de l'assemblée générale de la FH. Son président Yves Bugmann a souligné que la Suisse avait de bons arguments à faire valoir en vue des négociations avec les Etats-Unis au sujet des droits de douanes. (© FH)

Le président de la Fédération de l'industrie horlogère (FH) suisse "reste optimiste pour le marché américain" au sujet des droits de douane imposés à la Suisse. Le délai des 31% supplémentaires court jusqu'au 9 juillet 2025.

« Dans l’ensemble, je reste optimiste pour le marché américain ». Ce sont les mots du président de la Fédération de l’industrie horlogère suisse, en marge de l’assemblée générale qui s’est tenue hier à Lausanne en présence des acteurs de la branche. La faitière a dressé son bilan annuel,  un bilan « contrasté » selon son président Yves Bugmann.

Depuis quelques mois, c’est la politique commerciale du président américain Donald Trump qui préoccupe le secteur : les exportations ont bondi de 150% en avril, en anticipation des droits de douanes supplémentaires de 31% imposés à la Suisse. Un tarif qui reste en vigueur jusqu’au 9 juillet.

Dans ce contexte, quel est l’état d’esprit du président de la faîtière à quelques jours d’un accord avec les Etats-Unis ?

En marge de l’assemblée générale, la Secrétaire d’Etat et directrice du SECO a expliqué que les conversations avec les Etats-Unis « avaient bien avancé » après près d’une dizaine de visites à Washington. La faîtière se dit « optimiste » quant à l’issue des négociations avec les Etats-Unis.

"Une solution acceptable pour la Suisse"

C’est ce qu’espère la Fédération de l’industrie horlogère suisse. Alors, quelles sont les attentes de la faîtière horlogère suisse d’ici au 9 juillet ? Réponse de son président.

Si les États-Unis devaient maintenir ce tarif, la hausse devrait être absorbée tout au long de la chaîne de distribution : entre les marques, les distributeurs et les clients finaux selon le président de la FH.

Evolution conjoncturelle

Globalement, les exportations horlogères vers l’Europe restent « relativement stables », tandis que l’Asie reste dans le rouge, toujours tirée vers le bas par la Chine. Malgré les mesures du gouvernement et de la banque centrale, la confiance des consommateurs peine à revenir. Conséquence : les entreprises de sous-traitance sont pénalisées. Et même si l’emploi a pu être maintenu, la situation reste compliquée dans le secteur selon le président de la faîtière Yves Bugmann. On le retrouve.

Parmi les principales activités de la Fédération de l'industrie horlogère suisse, la faîtière a relevé la vaste opération qui a permis la neutralisation du réseau international de contrefaçon "Prestige Replica", acteur majeur dans la distribution de fausses montres suisses. Elle a souligné l'importance de la vigilance et de la coopération entre le secteur privé et les autorités publiques pour "lutter contre ce fléau".

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Économie

Les femmes continuent de gagner bien moins que les hommes

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Les hommes salariés engagés à 100% ont gagné 90'800 francs en 2024, contre 80'000 pour les femmes, soit un salaire raboté de 12% pour les secondes (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Une personne active travaillant à temps plein a perçu un salaire médian de 81'500 francs en 2024, affirme vendredi l'Office fédéral de la statistique (OFS). A taux d'occupation égal, les femmes continuent cependant d'être nettement moins rémunérées.

Les hommes salariés engagés à 100% ont ainsi gagné 90'800 francs en 2024, contre 80'000 pour les femmes, soit un salaire raboté de 12% pour les secondes, selon les indications fournies vendredi par l'OFS, qui se base sur l'enquête suisse sur la population active (ESPA).

L'écart est encore plus frappant pour les femmes indépendantes à temps plein, dont le salaire médian de 65'000 francs est inférieur de quelque 23% à celui des hommes (84'000 francs). Chez les dirigeants et cadres supérieurs, la rémunération atteint 139'000 francs pour les hommes et 120'000 francs chez les femmes, soit environ 14% de moins.

Par catégorie professionnelle, l'écart le plus important est constaté dans les métiers intellectuels et scientifiques, où le salaire médian d'une femme - de 96'000 francs - est inférieur de 18% à celui d'un confère, qui va toucher 117'000 francs.

Les différences se situent généralement entre 14 et 16%, selon les professions.

Seule exception à la règle, les salaires médians sont identiques (parfois légèrement inférieurs pour les femmes) pour les apprentis employés à temps plein, quel que soit leur genre.

Toutes les différences susmentionnées se vérifient également pour les personnes travaillant à temps partiel, les hommes touchant de manière systématique des salaires nettement plus élevés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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