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International

Un destroyer américain abat des drones en mer Rouge

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L'USS Carney a été envoyé en mer Rouge après l'attaque du Hamas en Israël (archives). (© KEYSTONE/AP U.S. Naval Forces Europe-Africa/RYAN U. KLEDZIK)

Un destroyer américain a abattu trois drones dimanche en portant assistance à des navires commerciaux en mer Rouge visés par des attaques depuis le Yémen. Quatre attaques ont été menées contre trois navires commerciaux distincts dans les eaux internationales.

"Le destroyer de classe Arleigh-Burke, USS Carney, a répondu aux appels de détresse des navires et leur a fourni de l'aide", abattant trois drones qui se dirigeaient vers le navire de guerre au cours de la journée, a indiqué le commandement militaire américain au Moyen-Orient (CENTCOM).

L'USS Carney a détecté un missile, tiré d'une zone du Yémen contrôlée par les rebelles Houthis soutenus par l'Iran, qui est tombé près du navire Unity Explorer, battant pavillon des Bahamas. Le cargo a signalé des dommages mineurs causés par un autre missile provenant d'une zone tenue par les rebelles.

Le Number 9, un vraquier battant pavillon panaméen, a déclaré avoir été endommagé par un missile provenant du Yémen, sans déplorer de victime. Le Sophie II, qui bat également pavillon panaméen, a lui indiqué avoir aussi été touché, sans subir de dégâts importants.

Menace des Houthis

Auparavant, les Houthis avaient annoncé dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux avoir mené une "opération contre deux navires israéliens dans le détroit de Bab el-Mandeb", une voie navigable stratégique reliant la mer Rouge au golfe d'Aden, ciblant le premier navire avec un "missile et le second avec un drone".

D'après le communiqué, les navires sont l'"Unity Explorer" et le "Number Nine". Il est précisé que l'attaque a eu lieu après qu'ils ont "rejeté les messages d'avertissement" des Houthis. Les rebelles ont affirmé qu'ils continueraient à cibler les navires israéliens "jusqu'à ce que l'agression israélienne contre nos frères de la bande de Gaza cesse".

Le CENTCOM estime que ces attaques représentent "une menace directe envers le commerce international et la sécurité maritime". "Nous avons également toutes les raisons de croire que ces attaques, bien que lancées par les Houthis au Yémen, sont entièrement financées par l'Iran".

"Les Etats-Unis vont envisager toutes les réponses appropriées en pleine coordination avec leurs alliés et partenaires internationaux", a précisé le CENTCOM.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Hong Kong: récompenses pour capturer de 19 militants pro-démocratie

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L'étau s'est considérablement resserré autour des adversaires du pouvoir à Hong Kong depuis l'imposition par Pékin d'une loi stricte sur la sécurité nationale en 2020 (archives). (© KEYSTONE/EPA/MIGUEL CANDELA)

Les autorités de Hong Kong ont annoncé vendredi offrir une récompense pour toute information permettant l'arrestation de 19 militants pro-démocratie basés à l'étranger. Ils sont accusés d'infraction à la loi de sécurité nationale imposée par Pékin en 2020.

La police du centre financier du sud de la Chine a précisé que ces 19 militants "avaient organisé, créé ou participé à une organisation subversive nommée le Parlement de Hong Kong", en référence à une ONG pro-démocratie établie au Canada.

L'étau s'est considérablement resserré autour des adversaires du pouvoir local depuis l'imposition par Pékin d'une loi stricte sur la sécurité nationale, après les manifestations pro-démocratie massives de 2019.

L'un des derniers partis politiques d'opposition encore actifs à Hong Kong, la Ligue des sociaux-démocrates (LSD), s'est officiellement dissous à la fin juin, face à ce que la formation a qualifié de "pression politique immense".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Washington fustige la décision de Paris de reconnaître la Palestine

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Les trois quarts des Etats membres de l'ONU reconnaissent l'Etat de Palestine, proclamé par la direction palestinienne en exil à la fin des années 1980 (archives). (© KEYSTONE/EPA/MICK TSIKAS)

Les Etats-Unis ont "fermement" rejeté jeudi le projet du président français Emmanuel Macron de reconnaître un Etat palestinien. Ils dénoncent une décision "imprudente" qui fait reculer la paix.

Elle "ne sert que la propagande du Hamas et fait reculer le processus de paix. C'est un camouflet pour les victimes du 7 octobre", a déclaré le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio sur le réseau social X.

Le président français a annoncé plus tôt jeudi que la France va reconnaître l'Etat de Palestine en septembre lors de l'assemblée générale de l'ONU, disant espérer créer une dynamique collective en ce sens. Israël a aussitôt décrié une "récompense de la terreur".

Ambiguïté américaine

La France doit coprésider avec l'Arabie saoudite une conférence internationale au niveau des chefs d'Etat et de gouvernement visant à relancer la solution dite "à deux Etats", palestinien et israélien.

Les Etats-Unis s'opposent de longue date, y compris sous la présidence de Joe Biden, à toute reconnaissance unilatérale d'un Etat palestinien, préférant une solution négociée.

Le gouvernement Trump entretient l'ambiguïté quant à savoir s'il soutient la solution à deux Etats, israélien et palestinien, un objectif soutenu depuis des années par la diplomatie américaine.

Washington, principal soutien à l'allié israélien, affiche ainsi sa divergence profonde avec nombre de capitales européennes, au moment où les négociations en vue d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza ont capoté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Affrontements Cambodge-Thaïlande: plus de 100'000 civils évacués

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Des affrontements frontaliers d'une intensité rare ont opposé jeudi la Thaïlande et le Cambodge. (© KEYSTONE/AP/Heng Sinith)

Plus de 100'000 civils ont été évacués par la Thaïlande le long de sa frontière avec le Cambodge, théâtre d'échanges de tirs et des frappes jeudi. Les affrontements ont fait au moins 14 morts, treize civils et un militaire, du côté thaïlandais.

Le ministère thaïlandais de l'intérieur a indiqué vendredi que 100'672 civils provenant de quatre provinces frontalières avaient été transférés dans quelque 300 centres d'accueil.

Dans la ville cambodgienne de Samraong, à 20 km de la frontière, des journalistes de l'AFP ont entendu des tirs d'artillerie lointains vendredi matin et ont vu certaines familles avec des enfants s'enfuir à toute vitesse.

"Je vis tout près de la frontière. Nous avons peur, car ils ont recommencé à tirer vers 06 heures du matin", a déclaré à l'AFP Pro Bak, 41 ans, en emmenant sa femme et ses enfants dans un temple bouddhiste pour s'y réfugier.

Les affrontements, d'une rare intensité, ont éclaté jeudi à la frontière entre les deux pays, longue d'environ 800 km, avec des échanges de tirs, d'obus et de roquettes. Les combats se concentrent autour de six endroits, a indiqué l'armée thaïlandaise. Bangkok a déployé jeudi six avions F-16 pour frapper "deux cibles militaires cambodgiennes au sol", a déclaré le porte-parole adjoint des forces armées.

Réunion du Conseil de sécurité

Le Cambodge n'a communiqué aucun bilan jusqu'à présent. La porte-parole du ministère khmer de la défense a refusé de répondre à une question sur d'éventuelles victimes lors d'une conférence de presse.

Selon les autorités thaïlandaises, huit civils ont été tués dans la province de Sisaket (nord-est), où une attaque à la roquette a touché une supérette près d'une station-service. Un enfant de huit ans a perdu la vie dans la province de Surin (nord-est) et des obus ont aussi touché un hôpital d'une trentaine de lits à Phanom Dong Rak, dans la province de Surin, près de la frontière, provoquant l'effondrement partiel du toit.

Une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU est programmée vendredi à 15h00 (21h00 en Suisse). Bangkok et Phnom Penh sont engagés dans un bras-de-fer depuis la mort d'un soldat khmer à la fin mai, lors d'un échange nocturne de tirs dans une zone contestée de leur frontière commune surnommée le "triangle d'émeraude".

Les deux royaumes d'Asie du Sud-Est se déchirent de longue date sur le tracé de leur frontière commune, définie durant l'Indochine française, mais des affrontements à ce niveau de violence n'avaient pas secoué la région depuis presque quinze ans.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Maison-Blanche vexée par un épisode de "South Park" moquant Trump

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La série télévisée satirique South Park en est à sa 27e saison (archives). (© KEYSTONE/AP COMEDY CENTRAL)

La Maison-Blanche s'en est prise jeudi aux créateurs de "South Park" après un épisode de la série télévisée moquant ouvertement le président américain Donald Trump. Une version du milliardaire générée par intelligence artificielle le montre rampant nu dans le désert.

Dans le premier épisode de la nouvelle saison, cette réplique du président supplie également Satan de coucher avec lui, mais le diable repousse ses avances, car son pénis est trop petit. Des plaisanteries que la Maison-Blanche n'a pas appréciées.

"Cette série n'est plus pertinente depuis plus de 20 ans et se maintient à grand-peine avec des idées sans inspiration dans une tentative désespérée d'attirer l'attention", a estimé une porte-parole, Taylor Rogers.

"Le président Trump a tenu plus de promesses en seulement six mois que n'importe quel autre président dans l'histoire de notre pays et aucune série de quatrième ordre ne peut compromettre la série de succès du président Trump", a-t-elle assuré.

27e saison

La série télévisée satirique en est à sa 27e saison et se porte à merveille. Ses créateurs Trey Parker et Matt Stone viennent de conclure un accord de 1,5 milliard de dollars avec Paramount, pour que le studio américain puisse diffuser la série sur sa plateforme de streaming pendant cinq ans, selon le Los Angeles Times.

L'acquisition des droits de "South Park" intervient à un moment délicat pour Paramount. Le régulateur américain des télécommunications, la FCC, a approuvé jeudi sa fusion avec la société de production Skydance, moyennant des changements de ligne éditoriale au sein de la chaîne CBS, une condition très atypique.

L'accord intervient au terme d'une séquence qui aura vu Paramount solder, début juillet, un contentieux judiciaire avec Donald Trump concernant une interview de Kamala Harris par CBS, puis annoncer la fin de l'émission "The Late Show with Stephen Colbert", dont l'animateur est très critique du président américain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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