International
Les démocrates jubilent de garder le Sénat, Trump éructe
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Les démocrates se réjouissaient dimanche d'avoir gardé le contrôle du Sénat des Etats-Unis. Ce verdict a ouvert l'heure des comptes chez leurs rivaux républicains.
"C'est un tel motif de réjouissance", a lancé, tout sourire, Nancy Pelosi la cheffe des démocrates à la Chambre des représentants, dont le parti vient d'arracher le siège qui lui manquait pour conserver la chambre haute du Congrès.
"Qui aurait cru il y a deux mois que cette vague rouge deviendrait une toute petite gouttelette, et encore...", a-t-elle ironisé sur CNN, en référence à la couleur du parti républicain.
Misant sur l'inflation et l'impopularité du président Joe Biden, les ténors de l'opposition avaient prédit avec beaucoup d'assurance une telle vague, voire un "tsunami", lors des élections de mi-mandat organisées mardi.
L'ancien président Donald Trump, omniprésent dans la campagne, comptait même surfer sur la déferlante républicaine pour annoncer une nouvelle candidature à la Maison Blanche.
"Fichu en l'air"
Il prévoit toujours une "grande annonce" ce mardi, mais son humeur a changé. Dimanche, il a imputé avec beaucoup d'agressivité la déroute à Mitch McConnell, le chef du groupe républicain au Sénat, qui fut un allié solide pendant son mandat, mais a pris ses distances depuis l'assaut sur le Capitole.
"Il a fichu en l'air les élections et tout le monde le méprise", a-t-il éructé sur son réseau Truth Social, en reprochant à Mitch McConnell de ne pas avoir investi suffisamment d'argent dans la campagne de Blake Masters, candidat qu'il soutenait dans l'Arizona.
La défaite de ce dernier, comme celle d'un autre de ses poulains dans le Nevada, permet aux démocrates de garder 50 sièges sur 100 au Sénat, et donc la main haute puisque la vice-présidente Kamala Harris dispose, en vertu de la Constitution, du pouvoir de départager les élus.
Mince espoir de conserver la Chambre
Cet épilogue éclaircit l'horizon pour le président Joe Biden. "Je me sens bien et j'attends avec impatience les deux prochaines années", a-t-il commenté depuis Phnom Penh, au Cambodge, où il a rencontré des dirigeants asiatiques avant de s'envoler pour un sommet du G20 à Bali.
Les démocrates se mettent même à rêver de conserver leur majorité à la Chambre des représentants. "Nous pensons toujours que nous avons une chance de gagner", a ainsi déclaré Nancy Pelosi, alors que les résultats dans une vingtaine de circonscriptions se font encore attendre.
Selon les chaînes CNN et ABC, les républicains possèdent actuellement 211 sièges sur les 218 nécessaires pour une majorité, et les démocrates de 204 à 206.
"J'en ai assez de perdre"
Chez les républicains, Donald Trump n'est pas le seul à vouloir régler ses comptes. "Le vieux parti est mort, il est temps de l'enterrer", a tweeté le sénateur Josh Hawley, figure de l'aile droite du parti, en appelant à "construire quelque chose de neuf".
La veille, d'autres proches de Donald Trump avaient semblé vouloir défier les chefs du parti au Congrès, dont les postes seront remis en jeu prochainement.
Chez les modérés, le gouverneur du Maryland Larry Hogan, présenté comme un rival possible de Donald Trump avant la présidentielle de 2024, impute pour sa part ce fiasco au milliardaire républicain.
"C'est la troisième élection de suite que Donald Trump nous fait perdre", a-t-il dit sur CNN dimanche. "J'en ai assez de perdre", a-t-il asséné, reprenant une petite musique qui gagne en force depuis quelques jours dans les médias conservateurs.
Trump reste populaire
Le magnat de l'immobilier, 76 ans, conserve toutefois une popularité indéniable dans une partie de l'électorat républicain et les sondages le donnent jusqu'ici toujours gagnant d'une primaire républicaine.
Le gouverneur de Floride Ron DeSantis, réélu triomphalement et nouvelle star de la droite dure, arrive peu après et pourrait s'imposer si les ennuis judiciaires de l'ancien président finissaient par le disqualifier.
Donald Trump est visé par plusieurs enquêtes pour son rôle dans l'attaque contre le siège du Congrès le 6 janvier 2021 ou sa gestion des archives de la Maison Blanche. Une déclaration de candidature mardi rendrait toutefois plus délicate une potentielle inculpation.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Guerre Iran-Israël: les derniers développements
Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a exclu mercredi toute reddition de son pays. De son côté, Donald Trump laisse planer la menace d'une intervention. Voici les derniers développements au sixième jour de guerre entre Israël et l'Iran.
L'Iran "ne se rendra jamais", Washington va "peut-être" frapper
La nation iranienne "ne se rendra jamais" sous la pression, a affirmé l'ayatollah Khamenei à la télévision, au lendemain de l'appel de Donald Trump à une "capitulation sans conditions".
M.Trump, remercié par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour son "soutien" à la "défense du ciel israélien", a encore entretenu le doute sur d'éventuelles frappes américaines: "Je vais peut-être le faire, peut-être pas", a-t-il lancé en ajoutant que Téhéran était entré en contact avec Washington pour négocier, mais que sa patience était "déjà à bout".
"Je n'ai pas encore pris de (décision) définitive", a-t-il répété peu après, ajoutant que la chute de l'actuel pouvoir iranien "pourrait arriver".
Ali Khamenei avait mis en garde Washington contre des "dégâts irréparables" si elle intervenait directement dans le conflit. Les Etats-Unis détiennent une puissante bombe antibunker à même de détruire les sites nucléaires iraniens profondément enfouis.
Sans citer les Etats-Unis, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a mis en garde contre "toute intervention militaire supplémentaire" qui aurait "des conséquences énormes" pour le monde.
Trump écarte une médiation russe
Donald Trump a indiqué avoir écarté une proposition de médiation de son homologue russe Vladimir Poutine, et lui avoir conseillé de s'occuper de "la médiation pour la Russie (et l'Ukraine, ndlr) d'abord".
M.Poutine a pour sa part assuré jeudi que ses "amis iraniens" n'avaient "pas demandé" d'assistance militaire à Moscou, et jugé que les frappes "consolident" le pouvoir à Téhéran. Ce dernier a réaffirmé agir en état de "légitime défense".
Frappes israéliennes, missiles iraniens
Le ministre israélien de la Défense Israël Katz a annoncé mercredi que l'armée de l'air avait détruit le "quartier général de la sécurité intérieure" à Téhéran, "principal organe de répression du dictateur iranien".
L'armée israélienne avait annoncé plus tôt des frappes contre des "cibles militaires" à Téhéran, avant d'affirmer avoir frappé dans la soirée l'ouest de l'Iran. De puissantes explosions ont été entendues mercredi par des journalistes de l'AFP à Téhéran et plusieurs panaches de fumée ont été vus dans plusieurs quartiers de la capitale.
Le Croissant-Rouge iranien a annoncé une attaque israélienne près de son bâtiment et un média d'Etat a fait état d'une frappe près du siège de la police à Téhéran.
Selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Israël a détruit mercredi deux bâtiments de production de centrifugeuses près de Téhéran.
En réponse, la République islamique a annoncé avoir tiré des missiles balistiques hypersoniques contre Israël.
Depuis le 13 juin, l'Iran "a tiré environ 400 missiles balistiques" sur Israël, dont vingt ont touché des zones civiles, et 1000 drones, selon des chiffres fournis par un responsable militaire israélien mercredi soir.
Jeudi, l'armée israélienne a annoncé mener de nouvelles frappes sur Téhéran et a appelé à évacuer les villages d'Arak et de Khondab situés près d'installations nucléaires, disant vouloir également viser celles-ci.
Evacuations et rapatriements
Les Etats-Unis préparent l'évacuation volontaire de leurs ressortissants d'Israël, selon leur ambassadeur à Jérusalem Mike Huckabee.
Plusieurs pays européens, dont l'Allemagne et l'Italie, ont rapatrié des centaines de leurs ressortissants. Le président français Emmanuel Macron a demandé au ministère des Affaires étrangères de "faciliter le départ" de Français qui veulent quitter les deux pays en guerre.
Pékin a déjà évacué près de 800 Chinois d'Iran et un millier d'autres sont en train de l'être. Son ministre des Affaires étrangères Wang Yi s'est déclaré "très préoccupé" par une guerre possiblement "incontrôlable".
L'ambassade de Russie à Tel-Aviv a annoncé le départ d'Israël des familles de diplomates.
Internet inaccessible en Iran
Téhéran a annoncé mercredi un durcissement des restrictions sur internet, affirmant qu'Israël avait détourné le réseau à des fins militaires.
Depuis le début de la guerre, de nombreux sites internet et applications sont partiellement voire totalement inaccessibles en Iran. Internet est "presque totalement" à l'arrêt dans ce pays, selon l'organisme de surveillance NetBlocks à Londres.
Des médias iraniens ont indiqué mercredi qu'Israël avait brièvement interrompu la diffusion des programmes de la télévision d'Etat, en y diffusant des images de manifestations de femmes et en appelant la population à descendre dans la rue. La télévision a dénoncé "des cyberattaques menées par l'ennemi sioniste".
224 morts en Iran, 24 en Israël
Les bombardements israéliens ont fait au moins 224 morts et plus d'un millier de blessés en Iran, selon un bilan officiel iranien.
Les salves de missiles et drones iraniens ont fait au moins 24 morts et 592 blessés, selon les autorités israéliennes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël appelle à évacuer deux villages iraniens avant des frappes
L'armée israélienne a appelé jeudi à évacuer les villages iraniens d'Arak et de Khondab situés près d'installation nucléaires, annonçant des frappes imminentes.
"Les Forces de défense israéliennes appellent urgemment les habitants, les travailleurs et toute personne présente dans les villages iraniens d'Arak et de Khondab (...) à évacuer immédiatement avant qu'elles ne frappent des infrastructures militaires", a-t-elle déclaré sur Telegram.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
A l'approche des côtes du Mexique, l'ouragan Erick se renforce
L'ouragan Erick dans le Pacifique s'est renforcé en catégorie 3 sur l'échelle de Saffir-Simpson, qui en compte 5, à l'approche des côtes du Mexique, a indiqué mercredi le Centre national des ouragans de Miami (NHC).
Devenu un ouragan majeur, Erick accompagné "de vents potentiellement destructeurs" pourrait provoquer "des inondations soudaines potentiellement mortelles dans certaines parties du sud du Mexique". Il se trouvait à 02h00 à quelque 90 kilomètres de Port Angel (sud), selon le NHC.
Erick devrait toucher terre dans la nuit de mercredi à jeudi, heure locale, à la jonction des Etats côtiers du Oaxaca et du Guerrero.
Le cyclone tropical se déplaçait vers le nord-ouest à une vitesse de 15 km/h avec des rafales de vent pouvant atteindre les 195 km/h, a ajouté le NHC.
Les autorités ont lancé des messages de prévention dans les stations balnéaires de Puerto Escondido et surtout d'Acapulco, durement touchée par l'ouragan Otis de catégorie 5 en octobre 2023.
Dans l'ex-capitale de la jet-set sur le Pacifique, perdue aux mains des narcotrafiquants, des habitants ont commencé à se rendre dans les centres d'accueil aménagés face à la menace de l'ouragan, a constaté l'AFP. Des petites embarcations de plaisance ont été retirées de l'eau pour éviter qu'elles ne coulent.
Les autorités ont par ailleurs demandé aux habitants de suspendre les activités non-essentielles à partir de 20h00 locales. Les supermarchés devaient fermer à 18h00.
La pluie a commencé à tomber en fin d'après-midi après une journée ensoleillée.
C'est cependant Puerto Escondido et ses 30'000 habitants dont des touristes étrangers, qui pourraient être le plus proches des murs de vents du cyclone.
Les restaurants étaient déjà fermés malgré la présence de touristes qui ne voulaient pas renoncer à leurs vacances, a constaté sur place un journaliste de l'AFP.
"On dit qu'il va frapper de ce côté-ci de la côte, on va prendre nos précautions pour ne rien regretter par la suite", a déclaré Adalberto Ruiz, un pêcheur de 55 ans qui mettait sa barque à l'abri.
Militaires déployés
La présidente mexicaine, Claudia Sheinbaum, a demandé mercredi à la population de rester attentive aux annonces des autorités.
"Qu'elle se protège chez elle, qu'elle ne sorte pas. Si vous êtes dans des zones basses, près des rivières, près des cours d'eau, il vaut mieux aller dans les refuges", a déclaré la cheffe de l'Etat au cours de sa conférence de presse matinale habituelle.
Les autorités ont également suspendu les cours dans les villes concernées et fermé les ports à la navigation.
Le gouvernement a déployé des centaines de militaires et des agents de la Commission fédérale d'électricité (CFE) dans le cadre de son plan d'urgence.
Les ouragans menacent de mai à octobre les côtes du Mexique, celles du Pacifique et celles du golfe.
En octobre 2023, le front de mer d'Acapulco, la capitale de la jet-set internationale sur le Pacifique dans les années 1960, a été détruit par Otis, qui s'est converti en quelques heures en ouragan de force maximale. Il a fait au moins 50 morts et 30 disparus, selon les autorités mexicaines.
En septembre 2024, Acapulco a été de nouveau frappée par un ouragan, John, de force 3, qui a causé la mort d'au moins 15 personnes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Poutine affirme que le réarmement de l'Otan n'est pas une "menace"
Vladimir Poutine a affirmé jeudi que le réarmement de l'Otan n'était pas une "menace" pour la Russie car son pays a, selon lui, les "capacités de défense" nécessaires pour y faire face, après plus de trois ans de conflit en Ukraine qui a militarisé l'Etat russe.
En parallèle, le président russe s'est félicité que son armée progresse "tous les jours" sur la ligne de front, face à une armée ukrainienne moins nombreuse et en difficulté.
L'Alliance atlantique, qui doit se réunir en sommet la semaine prochaine à La Haye (Pays-Bas), pousse ses membres à accroître leurs dépenses de sécurité, dans le contexte brûlant du conflit en Ukraine, déclenchée par l'assaut russe de 2022 contre son voisin.
Mais, selon M.Poutine, "nous ne considérons aucun réarmement de l'Otan comme une menace pour la Fédération de Russie, car nous sommes autosuffisants en matière de sécurité".
"Nous améliorons constamment nos forces armées et nos capacités de défense", a-t-il encore affirmé lors d'un échange avec des représentants d'agences de presse étrangères, dont l'AFP, à Saint-Pétersbourg.
Une augmentation des dépenses des pays membres de l'Otan à 5% de leur PIB créerait des défis "spécifiques" pour la Russie, a admis Vladimir Poutine, jugeant toutefois que cette hausse des dépenses n'avait "aucun sens" pour les membres de l'Alliance eux-mêmes.
"Nous contrerons toutes les menaces qui se dresseront. Cela ne fait aucun doute", a-t-il lancé.
Le chef de l'Etat russe présente l'offensive russe à grande échelle lancée en Ukraine en 2022 comme faisant partie d'un conflit plus large entre la Russie et l'Otan, qu'il considère comme une menace "existentielle" aux frontières de son pays.
Dans le cadre des discussions de paix sur l'Ukraine, il souhaite ainsi discuter --notamment avec le dirigeant américain Donald Trump-- de l'architecture sécuritaire sur le Vieux Continent.
Kiev, de son côté, cherche à obtenir des garanties de sécurité de l'Alliance atlantique dans la perspective de tout accord visant à mettre fin aux combats.
"Trouver une solution"
A ce stade, les pourparlers de paix entre les deux belligérants, engagés sous la pression de Donald Trump, sont bloqués, ceux-ci campant sur leurs positions, très éloignées.
La Russie a rejeté la trêve "inconditionnelle" voulue par l'Ukraine, qui a pour sa part qualifié d'"ultimatums" les exigences russes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé Vladimir Poutine à se rencontrer en personne pour trouver une issue au conflit, une option rejetée par le président russe, tout comme les demandes de Kiev pour un cessez-le-feu inconditionnel.
Jeudi, celui-ci a dit être ouvert à un tel sommet, mais uniquement dans le cadre de la "dernière étape" des négociations.
"Je suis même prêt à rencontrer (M.Zelensky), mais seulement si c'est la dernière étape" des pourparlers, a affirmé le président russe face aux représentants des agences de presse étrangères.
Il a toutefois de nouveau mis en doute la légitimité du dirigeant ukrainien, dont le mandat présidentiel a officiellement expiré en mai 2024.
Kiev n'a pas pu organiser d'élection présidentielle du fait de l'assaut russe et la mise en place de la loi martiale.
"Je suis prêt à rencontrer tout le monde, même Zelensky. Là n'est pas la question. Si l'Etat ukrainien fait confiance à une personne en particulier pour mener des négociations, mon Dieu, cela peut être Zelensky", a dit le chef de l'Etat russe lors de cette table ronde.
"Peu importe qui négocie, même si c'est le chef actuel du régime", a-t-il abondé.
Il a également estimé qu'il fallait "trouver une solution qui, non seulement mette fin au conflit actuel, mais qui crée également les conditions nécessaires pour éviter que de telles situations ne se reproduisent à long terme".
Deux rounds de pourparlers entre Russes et Ukrainiens ont eu lieu à Istanbul, mais n'ont débouché sur aucun progrès vers une trêve dans ce conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et de blessés.
Moscou, dont l'armée occupe toujours près de 20% du territoire ukrainien, demande notamment à Kiev le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l'annexion, la renonciation de l'Ukraine à intégrer l'Otan et la limitation de la taille de son armée.
Sur le terrain, les forces russes continuent de pilonner chaque jour les villes et villages d'Ukraine. Elles ont mené tôt mercredi une série d'attaques contre Kiev, faisant au moins 28 morts, selon les autorités ukrainiennes, l'un des pires bilans dans la capitale depuis 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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