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Un train déraille dans le Montana et fait des "blessés"

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Le train reliait Seattle à Chicago. (© KEYSTONE/AP/Kimberly Fossen)

Plusieurs personnes ont été blessées dans le déraillement d'un train samedi dans l'Etat américain du Montana, a annoncé la compagnie ferroviaire Amtrak. Les médias locaux ont fait état de plusieurs décès.

"Amtrak travaille avec les autorités locales pour transporter les passagers blessés et évacuer en toute sécurité tous les autres passagers", a déclaré l'opérateur ferroviaire dans un communiqué. Environ 147 passagers et 13 membres d'équipage étaient à bord du train.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La course contre le temps de Nadal et Djokovic

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Djokovic et Nadal sont en quête de repères à Rome (© KEYSTONE/AP/MICHEL EULER)

A moins de trois semaines de son probable ultime Roland-Garros, Rafael Nadal n'a plus que Rome pour retrouver ses repères. Novak Djokovic espère lui tourner la page de son décevant début d'année.

C'est peut-être la dernière fois que "Rafa" et "Djoko" sont les deux attractions d'un Masters 1000. C'est peut-être la première fois qu'une telle affiche avec deux joueurs qui ont remporté à eux deux 46 tournois du Grand Chelem, laisse quelques regrets aux organisateurs et spectateurs.

Signe supplémentaire que le tennis entre dans une nouvelle ère, les 87e Internationaux d'Italie sont d'abord l'édition d'un rendez-vous manqué. Attendu avec impatience depuis son sacre à l'Open d'Australie, son premier titre majeur, Jannik Sinner, nouvelle star du sport italien à 22 ans, a dû faire une croix sur le rendez-vous romain à cause de douleurs à la hanche droite.

Au forfait de l'Italien s'est ajouté celui du nouveau phénomène de la terre battue, Carlos Alcaraz, perturbé lui par son avant-bras droit.

Des progrès à consolider

Il faudra donc se contenter des vétérans Nadal et Djokovic. Et rien ne dit qu'ils resteront dans la capitale italienne jusqu'à la finale programmée le 19 mai. Nadal, bientôt 38 ans, est venu à Rome pour "consolider les progrès" montrés entre Barcelone, son tournoi de reprise après une pause forcée de trois mois, et Madrid où il a chuté en 8e de finale.

Le tournoi romain qu'il a remporté à dix reprises, la dernière en 2021, doit lui permettre de décider s'il se présentera ou non dans son jardin de Roland-Garros (26 mai-9 juin) où il ne jouera que s'il se sent "suffisamment prêt".

"Je ne suis certain de rien, je ne sais pas ce qui peut arriver", avait-il résumé après son élimination à Madrid, échaudé par les galères physiques qu'il enchaîne depuis deux ans. S'il débutera contre un joueur issu des qualifications, "Rafa" aura fort à faire dès le 2e tour avec le Polonais Hubert Hurkacz, 9e au classement ATP.

Djokovic dans une position inhabituelle

Djokovic se retrouve lui dans une position inhabituelle. Le Serbe est toujours no 1 mondial, mais il n'a pas encore remporté de titre à ce stade de la saison, ce qui ne lui est arrivé depuis son explosion au plus haut-niveau qu'une fois, en 2022.

Après avoir capitulé en demi-finale à Monte-Carlo face au Norvégien Casper Ruud, "Djoko", 36 ans, a fait l'impasse sur Madrid pour s'entraîner à Belgrade. A Rome, il disputera seulement son cinquième tournoi de la saison, mais son objectif est d'être performant à Roland-Garros, avant d'enchaîner sur Wimbledon, les JO 2024 et le retour sur dur aux Etats-Unis.

"Cette année a été un peu différente pour moi, je n'ai pas encore retrouvé mon meilleur niveau de tennis et j'espère que je le ferai à Roland-Garros" a analysé la semaine dernière le sextuple vainqueur du Masters 1000 romain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Nouveau record en avril, la planète toujours en surchauffe

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Tous les mois ont battu leur propre record mensuel de chaleur depuis juin l'an dernier (image prétexte). (© KEYSTONE/AP/HENG SINITH)

Le monde a encore connu des températures "remarquables" en avril, marqué par un nouveau record mensuel de chaleur sur terre comme à la surface des océans. C'est ce que montre le dernier bilan de l'observatoire européen Copenicus publié mercredi.

Le phénomène climatique naturel El Niño "a continué de s'affaiblir", laissant entrevoir un possible répit plus tard dans l'année, mais sans rien changer à la tendance de fond d'un réchauffement alimenté par la combustion massive du pétrole, du charbon et du gaz fossile.

Encore au-dessus de 1,5 degré

Depuis juin l'an dernier, tous les mois ont battu leur propre record mensuel de chaleur. Avril 2024 ne fait pas exception à la règle avec une température moyenne de 15,03°C, soit 1,58°C plus élevée qu'un mois d'avril normal dans le climat de l'ère pré-industrielle (1850-1900).

"Bien qu'inhabituelle, une telle série de records mensuels avait déjà été observée en 2015/2016", précise Copernicus. Sur les 12 derniers mois, la température du globe a été en moyenne 1,61°C plus élevée qu'à l'ère pré-industrielle, dépassant la limite de 1,5°C fixée par l'accord de Paris de 2015. Cette anomalie devrait toutefois être relevée en moyenne sur plusieurs décennies pour considérer que le climat a atteint ce seuil critique.

Néanmoins, ces chiffres montrent "à quel point les conditions de température globale que nous connaissons à l'heure actuelle sont remarquables", souligne Julien Nicolas, climatologue au service du changement climatique de Copernicus (C3S), lors d'un entretien avec l'AFP. Le mois dernier a d'ailleurs été le deuxième mois d'avril le plus chaud jamais enregistré en Europe, tout comme l'avait été mars et l'ensemble de la période hivernale.

Contrastes sur les intempéries

"Chaque degré supplémentaire de réchauffement du climat s'accompagne d'événements climatiques extrêmes, à la fois plus intenses et plus probables", rappelle Julien Nicolas, alors que les dernières semaines ont été marquées par des vagues de chaleur extrêmes en Asie, de l'Inde au Vietnam, tandis que le sud du Brésil subissait des inondations meurtrières.

Néanmoins, concernant les précipitations, Copernicus ne dégage pas de tendances claires pour avril: le mois a été plus humide que la normale dans une large partie de l'Europe, mais plus sec sur le sud du continent.

Même contraste hors Europe: dans une large partie de l'Amérique du Nord, en Asie centrale et de l'Est, dans le Golfe ou le sud du Brésil, des pluies extrêmes ont provoqué des inondations. Mais dans le nord du Mexique, autour de la mer Caspienne et dans une large partie de l'Australie, la sécheresse a dominé.

Océans: petite inflexion

La température de surface des océans a de nouveau battu un record mensuel en avril, à 21,04°C en moyenne hors zones proches des pôles, marquant un 13e record mensuel d'affilée. Cette surchauffe menace la vie marine, entraîne plus d'humidité dans l'atmosphère et menace la capacité des océans à assurer leur rôle crucial d'absorption des émissions des gaz à effet de serre d'origine humaine.

Toutefois, la température a marqué une petite inflexion par rapport à mars et son record absolu, tous mois confondus (21,07°C).

El Niño se calme

Le phénomène climatique naturel El Niño "a continué de s'affaiblir" en avril pour aller vers des "conditions neutres", estime Copernicus. Cette variation naturelle concerne la zone équatoriale de l'océan Pacifique et induit un réchauffement planétaire.

El Niño "a atteint son pic en début d'année", remarque Julien Nicolas, ce qui peut expliquer une légère inflexion des températures moyennes en avril par rapport à mars. "Les projections de modèles indiquent une possible transition vers des conditions La Niña dans la deuxième moitié de l'année mais les conditions sont assez incertaines encore", poursuit le climatologue.

La Niña est le pendant d'El Niño, qui produit des effets opposés. Mais la sortie d'El Niño ne changera rien à la tendance de fond du réchauffement. "Ce phénomène se superpose à des tendances de long terme qui perdurent et sont liées directement au réchauffement lié à l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et aux quantités de chaleur qui sont absorbées et stockées en particulier dans les océans", souligne M. Nicolas.

2024, vers de nouveaux records?

Ces tendances continueront "à pousser la température mondiale vers de nouveaux records", prédit Carlo Buontempo, directeur du C3S. Fin mars, l'ONU avait déjà averti qu'il y avait une "probabilité élevée" que 2024 affiche à son tour des températures inégalées, alors que 2023 vient conclure une décennie de chaleur record, poussant la planète "au bord du gouffre".

Pour Julien Nicolas, il est toutefois "encore un peu tôt" pour prédire si de nouveaux records seront battus, dans la mesure où 2023 a été exceptionnelle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Le Real Madrid, la force de l'habitude

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Carlo Ancelotti espère bien offrir une 15e Ligue des champions au Real Madrid (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

Le Real Madrid a l'histoire de son côté pour la demi-finale retour de Ligue des champions face au Bayern Munich mercredi (21h00).

Sacré champion d'Espagne ce week-end, il est invaincu depuis plus d'un an dans son stade Santiago Bernabéu.

Si avec ses 14 couronnes continentales, le Real Madrid est bien le Roi d'Europe, son stade Santiago Bernabéu, dans son écrin métallique enfin terminé, est sa forteresse. Une enceinte mythique, théâtre des "nuits magiques" qui ont forgé sa légende et des "remontadas" irrationnelles de 2022, sur le chemin vers son dernier sacre, contre le PSG, Chelsea et Manchester City.

Cette saison, tous, y compris City, tenant du titre, et le FC Barcelone, champion d'Espagne en titre, s'y sont cassé les dents, même après avoir mené au score, rejoignant la longue liste des victimes du géant madrilène.

Une statistique résume d'ailleurs l'ampleur du défi bavarois, qui garde toutefois toutes ses chances après son nul (2-2) à Munich à l'aller. Invaincu depuis avril 2023 sur sa pelouse, le club merengue s'est qualifié dans son stade 23 fois sur les 24 dernières confrontations à élimination directe de C1 (depuis 1991) après avoir fait match nul à l'aller.

"Casse-tête"

"90 minutes au Bernabéu, c'est très long, pour beaucoup de raisons. En fait, on s'attend à jouer plusieurs matchs en un", résumait l'entraîneur de Manchester City Pep Guardiola avant le quart de finale aller (3-3), au cours duquel le Real était revenu au score alors qu'il était mené 3-2 en seconde période.

"A chaque fois qu'on donne le Real Madrid pour mort, on trouve toujours le moyen de revenir", résumait l'attaquant brésilien Vinicius après la qualification du Real au bout de la nuit et de la séance de tirs au but à Manchester.

Toujours serein, à l'image de son entraîneur Carlo Ancelotti, même lorsque les choses ne tournent pas en sa faveur, le club madrilène est redevenu une redoutable machine à gagner, et surtout à ne pas perdre. Un véritable "casse-tête", contre qui "donner sa meilleure version ne suffit pas", estime le quotidien sportif Marca.

"Les +Blancos+ sont en train de développer une résistance à la défaite dans n'importe quelle circonstance qui les rend terriblement difficiles à affronter", ajoute le journal.

Leur parcours européen illustre bien cette insolente solidité: les hommes d'Ancelotti sont désormais à un match de Wembley et d'une improbable chance de triplé, après avoir jusqu'à présent remporté un seul de leurs cinq matches en phase éliminatoire, contre Leipzig à l'aller (1-0).

Un Bayern "dangereux"

Pour atteindre une nouvelle finale et s'offrir une quinzième Coupe au grandes oreilles, les Merengues devront cependant faire mieux qu'à Munich, a prévenu le technicien italien la semaine passée, saluant une équipe allemande "dangereuse et à son meilleur niveau", emmenée par ses deux internationaux Leroy Sané et Jamal Musiala et le buteur anglais Harry Kane.

Le retour de suspension de l'inoxydable latéral espagnol Dani Carvajal devrait aider un peu à contenir les percées balle au pied de Musiala, tandis que le travail défensif de Jude Bellingham sera clé pour permettre à Ferland Mendy de freiner les débordements de Sané, buteur à l'Allianz Arena.

Offensivement, le milieu anglais, devenu l'homme providentiel de la Maison Blanche à seulement 20 ans (22 buts, 10 passes décisives, souvent à des moments-clés), sera particulièrement scruté alors qu'il était diminué à l'aller et n'avait pas pu peser sur la rencontre.

Le Bayern de son côté n'a plus que la Ligue des champions pour sauver sa saison, après avoir cédé le titre de champion, pour la première fois depuis 2013, au Bayer Leverkusen. Thomas Tuchel, contraint par la direction munichoise à prendre la porte à la fin de la saison, espère pouvoir compter sur le retour du patron de sa défense, Matthijs de Ligt, pour éviter les erreurs défensives qui ont amené les deux buts madrilènes à l'Allianz Arena.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le décollage du vaisseau Starliner de Boeing repoussé au 17 mai

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Le décollage de Starliner a été annulé environ deux heures avant l'heure prévue de son lancement. (© KEYSTONE/AP/Terry Renna)

Le premier vol avec équipage du vaisseau Starliner de Boeing a été repoussé au 17 mai, a annoncé mardi la Nasa. Cette déclaration intervient au lendemain d'un report décidé juste avant le décollage en raison d'un problème technique.

Une tentative de décollage pourrait avoir lieu "pas avant 18h16, le vendredi 17 mai", le temps de faire une réparation, a écrit l'agence spatiale américaine dans un communiqué. Ce report frappe un programme marqué par une série de déboires, entre mauvaises surprises et reports successifs.

Lundi, le vaisseau Starliner de Boeing devait, enfin et pour la première fois, décoller avec des astronautes à bord, direction la Station spatiale internationale, et ainsi rejoindre le club très privé des vaisseaux spatiaux ayant transporté des humains.

Mais environ deux heures avant l'heure prévue de lancement, et alors que les deux astronautes américains étaient installés dans la capsule, le décollage a été annulé: une anomalie a été identifiée sur une valve de la fusée Atlas V qui doit propulser la capsule Starliner en orbite.

Dans la soirée, la date du vendredi 10 mai a été évoquée pour un décollage. Mais des analyses supplémentaires ont montré que la valve en question doit en fait être remplacée, un travail qui nécessite que la fusée soit ramenée dans son hangar.

Les deux astronautes, Butch Wilmore et Suni Williams, vont rester isolés en attendant, a précisé la Nasa. Boeing joue gros sur cette ultime mission test, qui doit lui permettre de démontrer que son vaisseau est sûr avant de commencer les missions régulières vers la Station spatiale (ISS) - avec quatre ans de retard sur SpaceX.

Pour la Nasa, qui a commandé ce véhicule il y a dix ans, l'enjeu aussi est grand: avoir un deuxième véhicule en plus de celui de SpaceX pour transporter les astronautes américains devra permettre de mieux répondre à "différents scénarios" d'urgence, par exemple en cas de problème sur l'un des vaisseaux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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