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Une défaite de plus pour Atlanta, une de trop pour Detroit

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Clint Capela (15) au dunk devant Santi Aldama. (© KEYSTONE/EPA/ERIK S. LESSER)

Les prouesses de Trae Young et de Clint Capela ne suffisent pas ! Atlanta perd bien plus souvent qu’à son tour cette saison avec son bilan de 17 revers contre 12 victoires.

Au lendemain de leur défaite à Miami, les Hawks se sont inclinés 125-119 sur leur parquet face à un Memphis métamorphosé depuis le retour au jeu de Ja Morant après une suspension de 25 matches. Les Grizzlies ont, ainsi, signé un troisième succès en trois rencontres grâce notamment aux 30 points et aux 11 assists de leur enfant terrible.

Trae Young n’a pas été en reste. Le meneur a aligné un septième match de rang à au moins 30 points et 10 passes décisives pour égaler la série d’Oscar Robertson établie il y a... 59 ans. Auteur de 30 points et de 13 assists, Trae Young a été l’un des deux joueurs d’Atlanta à présenter un différentiel positif avec Clint Capela. Le pivot genevois a livré une fois de plus la marchandise avec ses 20 points et ses 12 rebonds. Son 8 sur 11 au tir et son 4 sur 4 au lancer franc lui ont permis d’atteindre pour la première fois de la saison le seuil de 20 points.

A Brooklyn, Detroit a concédé sa 26e défaite de rang pour égaler la pire série de l’histoire de la NBA qui avait été établie par Cleveland en 2010/2011 et par Philadelphia en 2013/2014. Un partiel des Nets de 15-0 en seconde période a ruiné le fragile espoir des Pistons de briser cette spirale infernale. Désigné entraîneur de l’année avec Phoenix en 2022, le coach Monty Williams avance la jeunesse de son effectif pour tenter d’expliquer l’inexplicable.

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'Arabie saoudite dénonce l'échec de la communauté internationale à Gaza

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Le département d'Etat américain a indiqué qu'Anthony Blinken fera le déplacement lundi à Ryad (archives). (© KEYSTONE/AP/Leah Millis)

L'Arabie saoudite a dénoncé dimanche l'échec de la communauté internationale face à la guerre à Gaza. Elle a aussi plaidé pour la création d'un Etat palestinien, lors d'une réunion spéciale du Forum économique mondial (WEF) à Ryad.

"La situation à Gaza est manifestement une catastrophe à tous points de vue, humanitaire, mais aussi un échec total du système politique existant à faire face à la crise", a affirmé le chef de la diplomatie saoudienne, le Prince Fayçal ben Farhane aux dirigeants et hauts responsables participant à ce sommet de deux jours dans la capitale saoudienne.

Parmi les invités, figurent le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et de haut diplomates impliqués dans les efforts visant à mettre fin à la guerre entre Israël et le Hamas palestinien, comme le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken attendu lundi à Ryad.

Alors qu'Israël se prépare à lancer une opération terrestre à Rafah, une ville du sud de la bande de Gaza où s'entassent 1,5 millions de Palestiniens, M. Abbas, a exhorté depuis Ryad les Etats-Unis à intervenir pour empêcher une offensive, qui serait selon lui "le plus grand désastre de l'histoire du peuple palestinien".

"Nouvelle dynamique"

Plus tôt dans la journée, le ministre saoudien des Finances, Mohammed al-Jadaan, avait mis en garde contre les retombées économiques de la guerre à Gaza dans la région, plaidant pour "une désescalade".

Les efforts diplomatiques en vue d'une trêve dans les combats, associée à la libération d'otages se sont intensifiés dimanche, le Hamas annonçant qu'il donnera lundi au Caire sa réponse à une proposition israélienne.

Samedi, le président du WEF, Borge Brende, avait fait état d'"une sorte de nouvelle dynamique dans les discussions autour des otages, et (...) d'une sortie possible de l'impasse dans laquelle nous nous trouvons à Gaza".

Israël n'est pas représenté au sommet, mais l'évènement sera "une occasion d'avoir des discussions structurées" avec "des acteurs clés", avait-il souligné lors d'une conférence de presse.

Blinken sur place

Le département d'Etat américain a indiqué que M. Blinken fera le déplacement lundi à Ryad pour discuter notamment "des efforts en cours visant à parvenir à un cessez-le-feu à Gaza qui permette la libération des otages".

Dans ce contexte, le prince Fayçal ben Farhane a affirmé que la reconstruction du territoire palestinien dévasté devra s'accompagner d'une solution politique durable au conflit.

"L'idée selon laquelle nous pouvons parler de demi-mesures et s'interroger où iront les 2,5 millions d'habitants de Gaza sans se demander comment faire en sorte que cela ne se reproduise pas est manifestement ridicule", a-t-il déclaré.

Projets saoudiens

Depuis des mois, l'Arabie saoudite travaille avec d'autres pays pour tenter de mettre fin au conflit qui menace d'embraser la région, et de faire dérailler son ambitieux programme de réformes Vision 2030.

La monarchie du Golfe, premier exportateur de pétrole au monde et poids lourd du monde arabe, mène également des discussions sur un éventuel accord de normalisation avec Israël, accompagné d'un renforcement de son partenariat de sécurité avec Washington.

En septembre, le prince héritier et dirigeant de facto du royaume, Mohammed ben Salmane, s'était montré optimiste sur la possibilité d'un tel accord lors d'une interview à Fox News, mais la guerre à Gaza a compliqué la situation, estiment les analystes.

En parallèle, le royaume conservateur cherche à attirer investisseurs et touristes pour diversifier une économie encore très dépendante des hydrocarbures. L'accueil d'événements internationaux comme la réunion du WEF lui permet de mettre en avant les progrès réalisés tant au niveau économique que social.

Des questions subsistent toutefois quant à la faisabilité de son ambitieux programme de réformes "Vision 2030" et ses mégas projets comme la mégapole futuriste NEOM.

En décembre, le ministre des Finances avait reconnu que le calendrier de certains projets majeurs serait repoussé au-delà de 2030, sans préciser lesquels.

Ryad prévoit des déficits budgétaires jusqu'en 2026, et son économie a pratiquement stagné l'année dernière après des coupes dans la production de pétrole. Mais son PIB non pétrolier a connu une croissance "très saine", à 4,4%, a affirmé dimanche M. al-Jadaan.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Alcaraz en 8es de finale haut la main

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Alcaraz a maîtrisé son sujet dimanche à Madrid (© KEYSTONE/EPA/JUANJO MARTIN)

Carlos Alcaraz a rallié haut la main les 8es de finale du Masters 1000 de Madrid aux dépens du Brésilien Thiago Seyboth Wild (ATP 63), battu 6-3 6-3 en 75' dimanche.

Le no 3 mondial fait son retour de blessure dans un tournoi dont il est le double tenant du titre.

Alcaraz, dont la participation était encore incertaine en début de semaine à un mois de Roland-Garros, avait rassuré deux jours plus tôt en bouclant vite fait, bien fait son match de reprise face à Alexander Shevchenko (6-2 6-1 en 68'). Sans ressentir de douleur au bras droit, s'était-il réjoui.

Dimanche, bras droit toujours protégé par un manchon, son coup d'accélérateur mis à 3-3 lui a permis de faire la différence dans le premier set. Il s'est ensuite échappé rapidement 5-0 dans la seconde manche. Seule turbulence, quand une série d'approximations lui a coûté un break alors qu'il servait pour le gain de la partie, à 5-1.

Pour une place en quarts de finale, le jeune Espagnol (20 ans) affrontera dans une réédition de la finale 2023 Jan-Lennard Struff (ATP 24), fraîchement titré à Munich. S'il venait à triompher sur la terre battue madrilène le 5 mai, il deviendrait le premier à remporter trois fois d'affilée le Masters 1000 de Madrid.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ukraine: l'armée russe remporte des "succès tactiques", selon Kiev

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Le chef du renseignement militaire ukrainien Kyrylo Boudanov a prédit que la situation allait empirer autour de la mi-mai et de début juin, qui sera une "période difficile" pour l'Ukraine (archives). (© KEYSTONE/AP/Andriy Andriyenko)

Le commandant en chef de l'armée ukrainienne, Oleksandre Syrsky, a reconnu dimanche que la situation sur le front s'était "détériorée". Les troupes russes, supérieures en armes et en soldats, ont remporté des "succès tactiques" dans plusieurs zones.

L'armée ukrainienne est à la défensive depuis l'échec de sa grande contre-offensive l'été dernier et fait face à une reprise d'initiative russe après la chute de la ville forteresse d'Avdiïvka, dans l'est, en février.

Peinant à mobiliser de nouveaux soldats et confrontée au tarissement de l'aide occidentale, l'Ukraine a dû reculer récemment dans plusieurs secteurs, comme l'illustre la revendication dimanche par Moscou de la prise d'un nouveau village.

La Russie "attaque activement tout le long de la ligne de front, elle remporte des succès tactiques dans certains secteurs", a déclaré le général Syrsky sur Facebook.

Dans plusieurs secteurs

Selon lui, l'armée russe "a concentré ses efforts dans plusieurs secteurs, créant ainsi un avantage significatif en termes de forces et de moyens", afin de "tenter de prendre l'initiative stratégique et de percer la ligne de front".

Il a rapporté de "violents combats" au cours de la semaine écoulée, évoquant une situation "dynamique" avec certaines positions capturées par l'un puis l'autre camp plusieurs fois au cours d'une seule journée.

Selon lui, les troupes ukrainiennes parviennent cependant à "améliorer leur position tactique" dans certaines zones.

"Combats acharnés"

Parmi les zones où les combats sont les plus intenses se trouve le secteur de Koupiansk, dans le nord-est du pays, où les Russes ont "connu des succès partiels, mais ont été stoppés", a affirmé le général Syrsky.

Dans le secteur de Kramatorsk (est), les troupes russes sont à l'offensive pour prendre la ville de Tchassiv Iar, mais la "situation la plus compliquée" se concentre dans la zone de Pokrovsk et de Kourakhové, où "des combats acharnés se poursuivent", a-t-il dit.

Il a admis que les troupes ukrainiennes s'étaient retirées des localités de Berdytchi, Semenivka, et Novomykhaïlivka, et a également évoqué une "situation tendue" dans le sud du pays.

La Russie a revendiqué dimanche la prise d'un nouveau village sur le front Est, celui de Novobakhmoutivka, situé au nord-ouest de la ville d'Avdiïvka.

Ce village est situé à proximité de celui d'Otcheretyné, rapidement investi cette semaine par les forces russes qui en contrôlent actuellement la majeure partie selon des observateurs, ce qui a suscité des critiques.

Bombardements incessants

Des bombardements incessants visaient la zone d'Otcheretyné, une localité située sur les hauteurs, et des panaches de fumée grise s'élevaient dans le ciel, a constaté une équipe de l'AFP dans la matinée.

Dans le village de Vozdvyjenka, à 8 km au nord-ouest, trois civils terminaient de charger un petit camion de meubles et d'autres affaires.

"Nous allons loin d'ici. Nous avons pris un peu de nos affaires ici et d'un autre village", dit à l'AFP l'un des hommes, pressé de partir. "Je n'ai pas le temps de parler parce qu'il y a des bombardements", ajoute-t-il, avant de rapidement quitter le village en camion.

"Les Russes avancent"

Des militaires ukrainiens rencontrés au bord d'une route boisée dans la zone ont indiqué à l'AFP qu'ils étaient venus pour creuser des lignes de défense non loin d'Otcheretyné.

"Mais la situation a changé. On nous a dit de ne pas prendre les pelles, de rester ici et d'attendre les ordres. Les Russes attaquent et avancent", a dit l'un d'eux, sous couvert d'anonymat.

Mi-avril, le commandant en chef ukrainien avait déjà évoqué une situation qui s'était "considérablement détériorée" avec une "intensification significative" de l'offensive russe depuis mars, aboutissant à de premiers "succès tactiques".

Dans ce contexte, le chef du renseignement militaire ukrainien Kyrylo Boudanov a prédit lundi que la situation allait empirer autour de la mi-mai et de début juin, qui sera une "période difficile" pour l'Ukraine.

Aide "rapide"

Les autorités ukrainiennes espèrent cependant combler le déficit d'armes et de munitions grâce à l'enveloppe de quelque 61 milliards de dollars d'aide approuvée par le Congrès américain après des mois de blocage en raison de querelles politiques à Washington.

Le président américain Joe Biden a promis cette semaine à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky que cette aide arriverait "rapidement". Le Kremlin a, lui, minimisé l'impact qu'elle aurait.

Pour regarnir les rangs de l'armée, Volodymyr Zelensky a aussi promulgué en avril une loi controversée sur la mobilisation militaire, destinée à faciliter l'enrôlement de nouvelles recrues.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Arme nucléaire: Macron sous le feu des critiques

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Emmanuel Macron plaide en faveur d'une défense européenne "crédible". (© KEYSTONE/EPA/LUDOVIC MARIN / POOL)

En proposant d'inclure les armes nucléaires dans le débat sur une Europe de la défense en construction, le président français Emmanuel Macron a déclenché une pluie de critiques parmi les oppositions. Elles lui reprochent de "brader" la souveraineté nationale.

Dans le sillage de son discours sur l'Europe de La Sorbonne, le chef de l'Etat rencontrait vendredi à Strasbourg une douzaine de jeunes, un entretien organisé par les journaux régionaux du groupe Ebra (Est-Bourgogne-Rhône-Alpes) qui l'ont publié samedi soir.

"La France est-elle donc prête à européaniser sa capacité de dissuasion nucléaire ?", lui demande un de ses interlocuteurs, Linus.

Emmanuel Macron reprend l'argumentaire développé jeudi dans son discours, celui en faveur d'une défense européenne "crédible". Il évoque ensuite le déploiement de boucliers antimissiles -"mais il faut être sûr qu'ils bloquent tous les missiles" -, les armes à longue portée, puis l'arme nucléaire.

"La doctrine française est qu'on peut l'utiliser quand nos intérêts vitaux sont menacés. J'ai déjà dit qu'il y a une dimension européenne dans ces intérêts vitaux", a-t-il poursuivi.

"Je suis pour ouvrir ce débat qui doit donc inclure la défense antimissile, les tirs d'armes de longue portée, l'arme nucléaire pour ceux qui l'ont ou qui disposent sur leur sol de l'arme nucléaire américaine. Mettons tout sur la table et regardons ce qui nous protège véritablement de manière crédible", a-t-il encore déclaré.

"Gravité exceptionnelle"

François-Xavier Bellamy, tête de liste Les Républicains (LR) aux élections européennes du 9 juin a dénoncé une déclaration d'une "gravité exceptionnelle parce que là nous touchons au nerf même de la souveraineté française"

"Un chef de l'État français ne devrait pas dire ça", s'est-il emporté au "Grand Rendez-Vous Europe1/CNews/Les Echos".

Depuis le Brexit et la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, la France est le seul de ses Etats membres à disposer de la dissuasion nucléaire. Le dialogue sur les questions de sécurité se poursuit cependant avec Londres, notamment au sein de la Communauté politique européenne (CPE), un forum nouvellement créé à l'initiative du président français.

"Nous ne croyons pas au parapluie"

Dans son intervention à la Sorbonne, M. Macron avait déjà abordé cette question de l'arme nucléaire française.

"La dissuasion nucléaire est en effet au coeur de la stratégie de défense française. Elle est donc par essence un élément incontournable de la défense du continent européen", avait-il dit, reprenant des aspects d'un discours-clé sur la dissuasion prononcé en février 2020.

Comme la droite, La France insoumise (LFI) a estimé dimanche, dans un communiqué de son groupe parlementaire, que M. Macron "vient de porter un nouveau coup à la crédibilité de la dissuasion nucléaire française".

"La doctrine nucléaire française, c'est que nous ne croyons pas au parapluie. On ne va pas déclencher un feu nucléaire pour un autre pays", a déclaré la cheffe du groupe Mathilde Panot sur RTL/Le Figaro/M6.

Le président du MoDem François Bayrou, allié d'Emmanuel Macron, a répondu que les intérêts vitaux de la France et de l'Europe pouvaient parfois se confondre.

"Imaginez une menace mortelle contre l'Allemagne. Vous croyez que nous serions à l'abri? Vous croyez que nos intérêts vitaux ne seraient pas engagés par une menace de cet ordre?", s'est-il interrogé sur LCI.

"Un danger national"

A l'extrême droite, l'eurodéputé RN Thierry Mariani a affirmé sur X que "Macron est en train de devenir un danger national". "Après l'arme nucléaire, suivra le siège permanent de la France au conseil de sécurité de l'ONU qui sera lui aussi bradé à l'Union Européenne", s'est-il insurgé.

Aux antipodes, la tête de liste des Ecologistes aux européennes Marie Toussaint, favorable à un "saut fédéral européen", a considéré sur France 3 que cela signifiait le "partage de cette force qu'est l'arme française, donc le nucléaire aussi".

La construction d'une Europe de la défense est depuis très longtemps un objectif de la France, mais elle s'est souvent heurtée aux réticences de ses partenaires qui jugeaient plus sûr le parapluie de l'Otan.

L'invasion de l'Ukraine par la Russie, en février 2022, et le possible retour à la Maison-Blanche de Donald Trump ont cependant relancé la pertinence du débat sur une autonomie européenne en matière de défense.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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