International
Une voiture fonce dans la foule à Stuttgart: un mort, huit blessés

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Une voiture a foncé dans la foule vendredi à Stuttgart, dans le sud-ouest de l'Allemagne, faisant un mort et sept blessés, selon la police locale qui indique qu'il "n'existe actuellement aucune preuve d'une attaque ou d'un acte délibéré".
"Sur la base de nos investigations actuelles, nos collègues sur place pensent qu'il s'agit d'un tragique accident", a déclaré la police sur son compte X.
"Une voiture a percuté un groupe de personnes" dans le quartier d'Olgaeck du centre-ville de Stuttgart, a précisé la même source, qui avait fait état dans un premier temps de "huit blessés, dont trois graves".
L'une des personnes grièvement blessées, une femme de 46 ans, est décédée à l'hôpital des suites de ses blessures.
Les services de sécurité allemands sont en état d'alerte maximale à la suite de plusieurs attaques meurtrières à la voiture bélier ces derniers mois, notamment dans les villes de Magdebourg (est) et Munich (sud).
Une porte-parole de la police a dit à l'AFP que le drame s'était produit "vers 17h50" et que le conducteur du véhicule, un gros 4x4 Mercedes noir, avait été arrêté, sans donner plus de détail.
La police a recommandé vendredi à la population d'éviter le centre de Stuttgart, avertissant d'importantes perturbations dans la circulation automobile.
Une poussette cassée était toujours visible sur les lieux de l'accident en début de soirée. Selon le quotidien Bild, des témoins ont indiqué qu'une femme qui poussait la poussette était au nombre des blessés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'aïeul de la future cheffe du MI6 était espion pour les Nazis
Le grand-père paternel de la future patronne du renseignement extérieur britannique, le MI6, tout juste nommée à ce poste, était un espion nazi déserteur de l'armée russe d'origine ukrainienne. C'est ce qu'affirme le tabloïd The Daily Mail.
Blaise Metreweli, 47 ans, a été nommée mi-juin pour devenir la première femme à diriger le Secret Intelligence Service. Peu de choses ont été divulguées de son passé ou de sa vie personnelle, alors qu'elle a effectué l'essentiel de sa carrière dans l'anonymat des services de renseignement.
Selon une enquête du Daily Mail publiée vendredi, qui a remonté la piste de ses origines à travers des documents archivés au Royaume-Uni et en Allemagne notamment, son grand-père s'appelait Constantine Dobrowolski et a été pendant la Deuxième Guerre mondiale un zélé espion nazi, opérant en Ukraine.
Engagé dans l'armée russe, il est envoyé au front d'où il rejoint le camp de l'Allemagne nazie. Surnommé "Le Boucher" ou "Agent n°30" par des commandants de la Wehrmacht, l'armée du IIIe Reich, il a notamment contribué "personnellement" à "l'extermination des Juifs", comme il l'affirmait lui-même dans des courriers échangés avec ses supérieurs, retrouvés par le journal.
Sur une liste du KGB
Son épouse a fui au Royaume-Uni durant la guerre avec son fils de deux mois - le futur père de Blaise Metreweli -, où elle s'est remariée en 1947, prenant le nom de son nouvel époux David Metreweli. Selon la BBC, Constantine Dobrowolski apparaît également sur une liste de personnes recherchées par le KGB dans les années 1960 comme agents de renseignement étrangers et "traitres à la mère patrie".
Contacté, le ministère britannique des Affaires étrangères, qui a la tutelle sur le MI6, a indiqué que cette dernière "n'a jamais connu ni rencontré son grand-père paternel". "L'ascendance de Blaise est marquée par les conflits et les divisions et, comme c'est le cas pour de nombreuses personnes d'origine est-européenne, elle n'est que partiellement connue", a-t-il ajouté.
"C'est précisément cet héritage complexe qui a contribué à son engagement pour prévenir les conflits et protéger la population britannique des menaces modernes émanant d'États hostiles", affirme encore le ministère.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Pakistan: 16 soldats tués dans un attentat-suicide
Au moins seize soldats ont été tués dans un attentat-suicide mené samedi par des talibans pakistanais dans le nord-ouest du pays, frontalier de l'Afghanistan. C'est ce qu'ont rapporté à l'AFP des responsables de l'administration locale et des services de sécurité.
"Un kamikaze a jeté son véhicule rempli d'explosifs sur un convoi de soldats" dans la province du Khyber Pakhtunkhwa, "16 soldats ont été tués", a rapporté un responsable de l'aministration locale sous le couvert de l'anonymat. Il avait précédemment fait état de 13 soldats tués et de quatre autres dans un état critique.
Il a également fait état de 19 civils blessés dans l'attaque. Un officier de la police locale a précisé à l'AFP, lui aussi sous le couvert de l'anonymat, que l'explosion avait fait "s'écrouler les toits de deux maisons, blessant six enfants".
Attaque revendiquée
Un groupe local lié aux talibans pakistanais a revendiqué l'attaque, assurant qu'elle avait été menée par sa brigade de kamikazes. Les violences se sont multipliées dans l'ouest du Pakistan, frontalier de l'Afghanistan, depuis le retour au pouvoir des talibans à Kaboul à l'été 2021.
Islamabad accuse son voisin de ne pas déloger les rebelles qui utilisent son sol pour attaquer le Pakistan, ce que l'Afghanistan dément. L'année 2024 a été la plus meurtrière en près d'une décennie au Pakistan, avec plus de 1.600 morts, pour près de la moitié des soldats et policiers, selon le Centre pour la recherche et les études sur la sécurité d'Islamabad.
Au total, depuis le 1er janvier, selon un décompte de l'AFP, près de 290 personnes, en majorité membres des forces de sécurité, ont été tuées dans des violences menées par des groupes armés en lutte contre l'Etat, au Baloutchistan comme dans la province voisine du Khyber-Pakhtunkhwa.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Australie: la tête du copain d'une star de téléréalité recherchée
La police australienne a lancé un appel à l'aide pour retrouver la tête d'un homme. Il est suspecté d'avoir été assassiné par sa compagne, une ancienne vedette de la série de la télé-réalité Beauty and the Geek Australia.
La police a déclaré avoir inculpé la célébrité, pour meurtre après que le corps démembré de son compagnon, 39 ans, a été retrouvé dans un appartement au sud de l'Australie la semaine dernière.
"La police et le personnel des services d'urgence ont été confrontés à la scène, car le corps de la victime avait été démembré", a déclaré la police de la région d'Australie-Méridionale dans un communiqué vendredi. "La tête de l'homme a été enlevée lors du démembrement et malgré des recherches approfondies, n'a pas encore été retrouvée".
Les restes de la victime ont été retrouvés dans leur maison de Port Lincoln, ville de l'extrême sud de l'Australie après que la police a été informée d'un incendie. La police estime que l'homme aurait été tué autour de minuit le 17 juin.
Détention
Les détectives ont dévoilé des images de surveillance montrant la vedette de téléréalité, 34 ans, afin de montrer les vêtements qu'elle portait en quittant son domicile. "Récupérer la tête de l'homme pour la rendre à sa famille afin qu'elle puisse reposer en paix, et organiser des funérailles, est un aspect très important pour nous", a déclaré le commissaire Darren Fielke lors d'une conférence de presse.
La personne soupçonnée est en détention et a comparu vendredi devant le tribunal d'Adélaïde par vidéo, selon les médias locaux, dont la chaîne publique ABC. Le tribunal a levé une ordonnance qui l'empêchait d'être identifiée et doit se présenter à nouveau devant le tribunal en décembre.
La trentenaire est apparue dans la série Beauty and Geek Australia diffusée dans les années 2010 qui mettait en compétition des candidats choisis soit pour leur apparence ou leur intelligence et devaient effectuer une série de défis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Iran: funérailles nationales pour les hauts gradés tués par Israël
Les funérailles nationales d'une soixantaine de hauts gradés et de scientifiques du nucléaire tués par Israël pendant la guerre ont débuté samedi au cinquième jour d'un cessez-le-feu. Celui-ci est davantage fragilisé par de nouvelles menaces de Donald Trump.
"La cérémonie d'hommage aux martyrs a officiellement commencé", a déclaré une présentatrice de la télévision d'Etat à 08h00 (06h30 en Suisse), alors que des images montraient une foule rassemblée dans le centre de Téhéran autour des cortèges funéraires des "martyrs de la guerre imposée par le régime sioniste".
Les cercueils sont recouverts de drapeaux iraniens et portent des portraits des commandants tués en uniforme. Le cortège parti de la place Enghelab (Révolution) doit se rendre place Azadi (Liberté), distante de 11 kilomètres, sur fond de musique pop iranienne accompagnant l'éloge funèbre.
Le président iranien Massoud Pezeshkian participe aux cérémonies, selon des images de la télévision d'Etat, qui a également montré le général Esmaïl Qaani, responsable de la Force Qods, la branche des opérations extérieures des Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique.
Ali Shamkhani, blessé durant la guerre et un des conseillers du guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a lui été aperçu avec une canne. Dans la rue, des milliers d'Iraniens brandissent des drapeaux de la République islamique, le poing levé, et célèbrent des héros mythiques de la Perse antique.
"Boom boom Tel-Aviv", indique une banderole, en référence aux missiles iraniens tirés sur Israël durant le conflit en représailles à ses attaques contre l'Iran.
"Historique"
Israël a déclenché le 13 juin une guerre dans le but affiché d'empêcher l'Iran de se doter de la bombe atomique, une ambition que le pays dément. Samedi "sera un jour historique pour l'Iran islamique et l'histoire de la révolution", a assuré vendredi à la télévision nationale Mohsen Mahmoudi, un responsable religieux pour la province de Téhéran. Administrations et de nombreux commerces sont fermés samedi pour l'occasion.
L'Iran rend hommage à une soixantaine de militaires de haut rang et des Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique, ainsi que des scientifiques liés au programme nucléaire tués par les bombardements israéliens. Mohammad Bagheri, puissant général des forces armées iraniennes et tué au premier jour de la guerre, sera enterré avec sa femme et sa fille, selon Mohsen Mahmoudi.
M. Bagheri était le plus haut gradé des forces iraniennes, responsable à la fois de l'armée, du Corps des Gardiens de la Révolution et du programme balistique du pays. Il travaillait directement sous l'autorité du guide suprême, ultime décisionnaire et commandant en chef des forces armées.
Ali Khamenei, au pouvoir depuis 1989, a dans le passé présidé les funérailles nationales, notamment l'an dernier après la mort dans un accident d'hélicoptère du président Ebrahim Raïssi. Sa présence samedi n'a toutefois pas été confirmée.
"Une raclée"
Selon le ministère iranien de la Santé, au moins 627 personnes ont été tuées et près de 4900 blessées parmi la population civile durant les 12 jours de guerre. Les tirs iraniens de représailles vers Israël ont fait 28 morts, selon les autorités israéliennes.
Les Etats-Unis ont bombardé trois sites nucléaires en Iran dans la nuit du 21 au 22 juin, se joignant à l'offensive d'Israël. Vendredi, le président américain a affirmé que les Etats-Unis mèneraient "sans aucun doute" de nouvelles frappes en Iran si le pays enrichissait l'uranium à des niveaux lui permettant d'obtenir des armes nucléaires.
Il a aussi accusé l'ayatollah Ali Khamenei, de manquer de reconnaissance, affirmant lui avoir évité "une mort affreuse et ignominieuse". "Je savais exactement où il s'abritait, et je n'ai pas voulu laisser Israël ni les forces armées américaines, de loin les plus puissantes et les plus grandes du monde, mettre fin à sa vie", a martelé Donald Trump dans un message extraordinairement virulent sur son réseau Truth social, se vantant d'avoir infligé "une raclée" à l'Iran.
L'Iran, de son côté, a toujours nié vouloir se doter d'une bombe atomique et revendique le droit de mener un programme nucléaire civil. Téhéran a aussi démenti qu'il allait reprendre les négociations avec les Etats-Unis sur son programme nucléaire, comme l'a soutenu cette semaine Donald Trump."Si le président Trump souhaite réellement conclure un accord, il devrait mettre de côté son ton irrespectueux et inacceptable à l'égard du guide suprême iranien", a écrit sur X le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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