International
14e étape: succès de Michael Matthews, Vingegaard se défend bien
Michael Matthews (BikeExchange) s'est imposé à Mende au terme de la 14e étape du Tour de France partie de St-Etienne. L'Australien de 31 ans remporte sa quatrième étape sur le Tour.
Il a devancé Alberto Bettiol dans la dernière difficulté, alors que la troisième place est allée à Thibaut Pinot.
Tout s'est logiquement décidé dans la dernière difficulté, la côte de la Croix-Neuve, une montée de 3 kilomètres à 10,4%. Parti en échappée, MIchael Matthews a vu Alberto Bettiol revenir dans cette montée Jalabert. L'Italien a un temps donné l'impression d'être plus fringant que l'Australien, mais ce dernier a magnifiquement dosé son effort. Revenu à hauteur de Bettiol, Matthews a placé une accélération somptueuse à laquelle le Transalpin n'a pu répondre.
La bataille pour le maillot jaune fut également très belle. Tadej Pogacar a tout tenté pour faire vaciller Jonas Vingegaard, mais le Danois n'a rien cédé à son dauphin. Une chose est sûre, le maillot blanc slovène et le maillot jaune sont dans une caste à part.
Le double tenant du titre n'a plus que deux possibilités s'il entend reprendre du temps à son rival. Ce sera mercredi et jeudi lors des deux étapes des Pyrénéées avec arrivée au sommet.
Dimanche, le peloton ira de Rodez à Carcassonne sur 202,5 km. Le profil semble taillé pour les baroudeurs avec deux ascensions de 3e catégorie et plusieurs bosses non répertoriées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La Berd estime que la Russie sera finalement en croissance en 2023
La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) estime que l'économie russe sera en croissance de 1,5% cette année.
Une précédente prévision anticipait une contraction d'ampleur équivalente, mais le pays s'est montré plus résilient qu'anticipé aux sanctions occidentales.
Les revenus de Moscou ont été soutenus, plus qu'anticipé, "par la hausse des prix du pétrole et par la capacité de la Russie à compenser l'impact du plafond (du prix du baril imposé par les Occidentaux, ndlr) en exportant vers de nouveaux marchés", en majorité en Chine et en Inde, a indiqué la Berd mercredi en marge d'un rapport de prévisions.
"Lors de nos dernières prévisions, nous nous attendions à ce que les sanctions - en particulier le plafonnement des prix du pétrole - soient plus efficaces pour limiter l'activité de la Russie", poursuit l'institution dans une déclaration transmise à l'AFP.
En outre, "l'activité est restée robuste - en particulier la consommation des ménages et les dépenses publiques liées au conflit en cours (en Ukraine, ndlr) - et les chiffres du PIB du deuxième trimestre ont été étonnamment élevés", selon la Berd, qui dit toutefois prévoir un ralentissement par la suite.
En revanche, pour l'Ukraine, l'institution n'a pas modifié ses attentes, projetant toujours une croissance de 1% cette année et de 3% l'an prochain.
"Cela reflète une croissance sur un an très négative comparé à janvier et février l'an dernier", avant l'invasion russe de l'Ukraine, note le rapport, qui anticipe toutefois un rebond à mesure que plus d'activités reprennent et avec un approvisionnement en énergie amélioré.
Dans l'ensemble, les économies des pays dans lesquels est présente la Berd devraient croître de 2,4%, anticipe l'institution, mieux que les 2,2% projetés au mois de mai, notamment grâce aux économies des pays d'Asie Centrale, qui bénéficient de la nouvelle donne créée par les sanctions imposées à la Russie, poursuit l'organisation dans son rapport publié mercredi.
Ces pays devraient voir leur PIB progresser de 5,7% cette année, portés notamment par la délocalisation d'entreprises russes sur leurs territoire ou l'augmentation d'importations en provenance de l'UE dont une partie est ensuite ré-exportée en Russie, selon la Berd.
La migration de travailleurs d'Asie centrale vers la Russie, notamment pour compenser l'exode d'une partie de la population en âge de travailler, soutient aussi la croissance de ces territoires car ceux-ci renvoient de l'argent vers leurs pays d'origine.
La croissance de la Turquie a également été revue à la hausse, à 3,5% cette année puis 3% en 2024, grâce à des mesures de relance pré-électorales.
La Berd, fondée en 1991 pour aider les pays de l'ex-bloc soviétique à passer à une économie de marché, a depuis étendu son périmètre pour inclure des pays du Moyen-Orient, d'Asie centrale et d'Afrique du Nord.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
A Hollywood, les scénaristes peuvent reprendre le travail
Les dirigeants de la Writers Guild of America (WGA), le puissant syndicat des scénaristes, ont approuvé mardi soir le récent accord salarial conclu avec les studios. Ils ont acté le retour au travail de leurs membres dès mercredi.
Le conseil d'administration du syndicat "a voté unanimement pour recommander l'accord" salarial, a-t-il fait savoir sur X, anciennement Twitter. "La grève prend fin à 00h01", heure de Los Angeles, ce mercredi.
Concrètement, l'accord peut théoriquement encore être rejeté par les 11'500 scénaristes représentés par la WGA aux Etats-Unis: il doit faire l'objet d'un vote, qui aura lieu "entre le 2 et le 9 octobre", a annoncé le syndicat.
Mais la plupart des spécialistes de l'industrie pensent que la ratification de cet accord, qui inclut des "gains significatifs" en matière de rémunérations ainsi que des protections pour encadrer l'usage de l'intelligence artificielle, devrait être une formalité. En attendant que le processus soit complété, les plumes de l'industrie vont donc pouvoir reprendre le travail dès mercredi.
De nombreuses séries et films américains bloqués aux premiers stades d'écriture vont ainsi pouvoir être remis en chantier. Les talk-shows de fin de soirée, animés par des présentateurs qui ont besoin de scripts, devraient aussi revenir à l'antenne dans le courant du mois prochain.
Acteurs toujours en grève
Mais même après l'ultime ratification des scénaristes, Hollywood sera encore loin d'un retour à la normale. Car les acteurs, représentés par le syndicat SAG-AFTRA, sont eux toujours en grève. Une résolution de ce conflit social, qui dure depuis la mi-juillet, pourrait prendre encore des semaines. Car certaines des revendications du SAG-AFTRA vont plus loin que celles de la WGA.
Les négociations s'annoncent donc ardues. D'autant que les studios savent que ce qu'ils lâchent aux acteurs servira de mètre étalon pour les professions techniques de l'industrie, dont les conventions collectives doivent être renouvelées l'année prochaine. Même après le retour des comédiens au travail, il faudra sûrement encore des mois pour réellement remettre tout le monde sur les plateaux et rattraper les retards accumulés par une myriade de productions hollywoodiennes.
Contenu de l'accord révélé
La WGA a également publié mardi soir le détail de l'accord passé avec les studios, dont le contenu exact n'avait pas filtré depuis sa conclusion dimanche. Le compromis montre que les studios ont cédé à la plupart des revendications portées par le syndicat et semble dessiner une victoire des scénaristes.
Il inclut notamment une prime lorsqu'une série ou un film rencontre un certain succès sur une plateforme de streaming, c'est-à-dire lorsque "20% ou plus des abonnés nationaux du service" visionnent la production "dans les 90 premiers jours de sa sortie". En matière d'intelligence artificielle, les scénaristes ont également obtenu des garanties pour ne pas se faire remplacer par des robots.
L'accord leur permet de retravailler des scripts initialement générés par une IA, tout en étant considéré comme l'unique auteur de ce travail, et donc sans être moins rémunéré. Une clause prévoit également que "l'exploitation du matériel des scénaristes pour former l'IA est interdite". Autrement dit, des robots ne pourront pas être nourris par des scripts de créateurs syndiqués pour améliorer leurs capacités narratives. Un point sur lequel les studios étaient longtemps restés silencieux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
La Suisse coule encore face à l'Espagne
L'équipe de Suisse dames s'est lourdement inclinée 5-0 contre l'Espagne, mardi en Ligue des nations à Cordoue. Le maintien en 1re division se complique.
Elles n'ont pas eu voix au chapitre. Comme lors du 8e de finale de la dernière Coupe du monde (5-1), les Suissesses ont pris l'eau face à l'Espagne, championne du monde en titre.
A l'occasion de leur deuxième match dans la nouvelle Ligue des nations, les protégées d'Inka Grings se sont encore inclinées. Elles ont cette fois plié à cinq reprises, sans même parvenir à trouver la solution devant les filets ibériques.
C'est Garcia qui a frappé la première, profitant d'une relance complètement manquée de la gardienne Herzog (15e). Puis la Roja a doublé la mise juste avant la mi-temps, au terme d'un splendide effort collectif ponctué par une volée de Bonmati (45e +1).
Cette dernière a inscrit un doublé dès la reprise, après que les Espagnoles se sont baladées dans la défense suisse (49e). Puis Herzog a une nouvelle fois relâché un tir lointain dans les pieds de Gabarro (57e).
L'oeuvre espagnole a été parachevée par Oroz, qui a expédié une frappe, imparable cette fois, depuis l'extérieur de la surface (87e).
L'objectif de se maintenir en première division de la compétition s'est ainsi encore compliqué, après la défaite initiale face à l'Italie. La prochaine rencontre des Suissesses aura lieu le 27 octobre prochain, à Göteborg face à la Suède.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Milik libére la Juventus
La Juventus Turin a pris difficilement le meilleur (1-0) sur Lecce, équipe surprise du début de saison, grâce à un but d'Arkadiusz Milik mardi lors de la 6e journée du Championnat d'Italie.
La Juve, humiliée à Sassuolo (4-2) samedi dernier, s'est replacée grâce à ce succès provisoirement à la 2e place avec 12 points, à deux longueurs du leader, l'Inter.
Mais les sifflets qui ont raccompagné aux vestiaires à la pause les joueurs de Massimiliano Allegri, puis les applaudissements timides au coup de sifflet final ont montré une nouvelle fois que cette Juve 2023-24 n'enthousiasmait pas ses tifosi.
Il a fallu attendre la 57e minute pour que Milik, préféré à Dusan Vlahovic, délivre la Juve en poussant du bout du pied une remise de la tête d'Adrien Rabiot.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 3 jours
Fitnesspark Malley ferme soudainement ses portes
-
GenèveIl y a 2 jours
Un scootériste meurt après une collision avec une voiture
-
Suisse RomandeIl y a 3 jours
Neuchâtel: la Fête des vendanges attire environ 300'000 personnes
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: fermeture prolongée de la piscine de Mon-Repos
-
VaudIl y a 2 jours
HEP Vaud: de nouveaux outils pour enseigner en plein air
-
CultureIl y a 3 jours
80'000 visiteurs à la Fête fédérale de musique populaire
-
InternationalIl y a 3 jours
Six arrestations, 3 assaillants tués après la mort d'un policier
-
GenèveIl y a 3 jours
3e édition des Cuves ouvertes des brasseurs indépendants