International
Audi étudie une entrée en Formule 1
Le constructeur automobile allemand Audi, filiale de Volksawgen, évalue des options pour entrer en Formule 1, selon une source proche du dossier.
La presse évoquait mercredi des coopérations avec McLaren, Red Bull ou Williams. Mais une éventuelle décision ne devrait pas intervenir avant 2022.
Lors d'une réunion à Stuttgart, le conseil de surveillance s'est penché sur différentes options pour réaliser une entrée en Formule 1, dont d'"éventuelles transactions" avec McLaren, a rapporté l'agence Bloomberg. "Nous sommes constamment à la recherche de diverses idées de coopération dans le cadre de nos réflexions stratégiques", a simplement commenté une porte-parole d'Audi.
McLaren démentit
Lundi, McLaren avait démenti un rachat par Audi, expliquant que "la stratégie technologique de McLaren avait toujours impliqué des discussions et une collaboration permanentes." Mais le constructeur allemand aurait bien soumis une offre informelle de rachat, jugée trop faible par l'entreprise britannique selon Bloomberg.
Bloomberg évoque aussi l'option de "partenariats alternatifs" avec les écuries Red Bull ou Williams. Le quotidien Handelsblatt affirme pour sa part qu'Audi a déjà commencé l'étude des données financières de McLaren.
Afficher ses ambitions vertes
Engagé comme l'ensemble du groupe Volkswagen dans un vaste virage électrique, Audi espère profiter d'une entrée en Formule 1 pour afficher ses technologies et ses ambitions "vertes", explique la presse allemande. "Une condition est que la série se base à partir de 2026 sur des technologies hybrides et des carburants synthétiques", souligne Handelsblatt.
Le quotidien rappelle que le patron d'Audi, Markus Duesmann, est un grand fan de courses automobiles. Il était, avant de rejoindre le groupe Volkswagen, responsable du développement des moteurs au sein de l'écurie BMW en F1.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump annonce un projet d'IA, "Stargate", aux Etats-Unis
Le président américain Donald Trump a annoncé mardi un nouveau projet d'intelligence artificielle (IA), baptisé "Stargate". Il table sur des investissements d'"au moins 500 milliards de dollars" aux Etats-Unis.
Il était entouré à la Maison-Blanche de Larry Ellison, patron d'Oracle, de Sam Altman, patron d'OpenAI, et de Masayoshi Son, patron de la holding japonaise SoftBank.
Cette "nouvelle entreprise américaine, qui investira au moins 500 milliards de dollars dans les infrastructures d'IA aux Etats-Unis, [...] agira très, très rapidement pour créer plus de 100'000 emplois américains", a indiqué le milliardaire républicain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Devant Trump, une évêque l'exhorte à la "miséricorde"
L'évêque épiscopalienne de Washington Mariann Budde a exhorté mardi Donald Trump à faire preuve de "miséricorde" pour ceux qui sont "effrayés" à l'aube de son second mandat, notamment les migrants en situation irrégulière, ou les jeunes de la communauté LGBT+.
"Au nom de notre Dieu, je vous demande d'avoir de la miséricorde", a-t-elle déclaré en conclusion de son prêche devant un Donald Trump impassible.
Le nouveau président américain assistait à un service religieux à la cathédrale nationale de Washington dans le cadre des festivités autour de son investiture la veille.
"Il y a des enfants gays, lesbiennes, transgenres de familles démocrates, républicaines ou indépendantes, dont certains craignent pour leurs vies", a ajouté l'évêque de l'Eglise épiscopalienne - la confession anglicane aux Etats-Unis.
"Et les gens qui cueillent nos récoltes, qui nettoient nos bureaux, qui peinent dans les élevages de volaille et les abattoirs, qui font la plonge après que nous dînons dans les restaurants, et qui travaillent la nuit dans les hôpitaux", a-t-elle listé.
"Ils ne sont peut-être pas des citoyens, ou n'ont peut-être pas les bons papiers, mais la grande majorité des immigrants ne sont pas des criminels", a plaidé l'évêque devant Donald Trump, accompagné de sa famille et de son vice-président, J.D. Vance.
Le républicain a placé au coeur de sa campagne victorieuse la question de la lutte contre l'immigration clandestine. Il a promis lors de son discours d'investiture lundi que son administration allait rapidement "commencer le processus de renvoi de millions et de millions de criminels étrangers d'où ils viennent".
Il a également promis pendant sa campagne de mettre fin au "délire transgenre" et a signé un décret exécutif affirmant que les Etats-Unis ne reconnaîtraient plus que "deux sexes, masculin et féminin", définis à la naissance.
A son retour de la cathédrale, Donald Trump a déclaré à la presse que le service religieux aurait pu être "bien meilleur".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La France, première destination mondiale mais très concurrencée
La France qui a accueilli 100 millions de visiteurs étrangers en 2024, garde sa position de première destination mondiale, mais reste concurrencée par l'Espagne qui, "avec moins de visiteurs, génère plus de recettes".
Alors que le tourisme mondial a retrouvé en 2024 son niveau pré-Covid-19 avec 1,4 milliard de touristes ayant effectué un voyage à l'étranger, selon l'ONU Tourisme, la France et l'Espagne ont annoncé successivement des records de fréquentation.
La France a accueilli 2 millions de visiteurs de plus par rapport à 2023. Elle a récolté des recettes de 71 milliards d'euros.
"Si la France fait encore figure de leader mondial dans ce secteur, nous sommes très fortement concurrencés, notamment par l'Espagne qui, avec moins de visiteurs parvient à générer plus de recettes", déclare la ministre française du tourisme Nathalie Delattre dans une interview mardi au quotidien Le Figaro.
Avec 94 millions de visiteurs étrangers, l'Espagne a engrangé 126 milliards d'euros de recette.
"Cela vient en partie du fait que les visiteurs restent plus longtemps. Plus que le nombre de touristes, c'est la dépense générée qui est importante. Nous devons donc travailler dans le but d'augmenter le panier moyen par visiteur et faire rester nos visiteurs plus longtemps", estime la ministre française.
"Nous sommes de plus en plus concurrencés par les pays du sud" de l'Europe, comme l'Italie, l'Espagne ou la Grèce, avait déclaré mi-avril Dominique Marcel, président de l'Alliance France Tourisme, groupe de réflexion qui réunit notamment des entreprises comme Accor, SNCF Connect ou encore la Compagnie des Alpes.
Selon lui, il "faut capitaliser au mieux sur l'effet JO" et des investissements et une mobilisation de tous les acteurs sont nécessaires.
Pour parvenir à capter la clientèle plus longtemps, la ministre en poste depuis fin décembre annonce une "double priorité: faire de la France la première destination de tourisme durable d'ici 2030 et améliorer l'offre hôtelière".
"Il faut construire de nouveaux hôtels, en particulier haut de gamme", précise-t-elle. "Il y a 31 palaces en France, et 18 candidats à la distinction cette année. C'est une bonne nouvelle. Mais nous devons travailler sur toutes les gammes et dans l'ensemble, nous avons un parc vieillissant d'hôtels et de restaurants", ajoute-t-elle.
Bonnes perspectives
En 2024, "pour l'ensemble de la clientèle internationale, les nuitées sont en hausse de 7,3%, portées par l'hébergement locatif (+16,4%)", selon un communiqué du ministère du tourisme.
Les Américains, "avec des nuitées en hausse de 5%, deviennent une clientèle incontournable" avec un fort pouvoir d'achat, est-il précisé.
Les recettes internationales ont progressé au total de 12% sur un an, tirées par les clientèles belges, anglaises, allemandes, suisses et américaines. La clientèle asiatique revient en France mais le nombre de visiteurs chinois reste inférieur de 60% à celui d'avant pandémie. Les visiteurs japonais sont eux, 30% moins nombreux qu'en 2019.
Les vacances de fin d'année ont connu "un important rebond touristique porté par les stations de ski et la hausse de la fréquentation internationale" grâce notamment à un bon enneigement.
Le taux d'occupation des stations de ski s'est élevé sur la période à 85% tous hébergements marchands confondus, en hausse de 3 points par rapport à 2023.
La fréquentation internationale est en hausse de 10% par rapport à l'année passée alors que la clientèle française affiche une progression de 2%.
"Les perspectives du premier trimestre 2025 sont très bonnes avec une fréquentation en hausse", ajoute le communiqué.
Les arrivées aériennes internationales sont en hausse de 10% sur le trimestre par rapport à 2024, avec une progression de 15% des visiteurs américains, des 7% des visiteurs brésiliens et indiens et de 16% des Chinois.
Le taux d'occupation des hôtels dans la capitale est en hausse de 7 points en janvier 2025 et de 4 points en février.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Le Canada "ripostera" si les USA imposent des droits de douane
Le Canada "ripostera" fermement et rapidement si les Etats-Unis imposent des droits de douane de 25% le 1er février, comme l'a annoncé Donald Trump lundi après son investiture, a indiqué mardi le Premier ministre Justin Trudeau.
"Tout est sur la table et je soutiens le principe de droits de douane équivalents au dollar près", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse, précisant que cela "aura un coût pour les Canadiens".
"Nous sommes prêts à faire face à tous les scénarios" et "nous protégerons nos intérêts nationaux", a indiqué le Premier ministre, qui a présenté sa démission début janvier, mais dont le remplaçant ne sera connu que le 9 mars prochain. Il a toutefois précisé qu'il espérait toujours convaincre l'administration Trump de ne pas imposer de droits de douane.
"C'est un moment crucial pour le Canada et les Canadiens", a-t-il estimé.
Selon des économistes, l'imposition de droits de douane déclencherait une profonde récession dans le pays, dont 75% des biens et services exportés partent vers les Etats-Unis.
Des centaines de milliers d'emplois canadiens sont en jeu, et, selon un scénario pessimiste de la banque Scotia, une hausse américaine des droits de douane suivie d'une riposte du Canada sur les importations américaines pourrait faire chuter le PIB canadien de plus de 5%, augmenter le chômage considérablement et faire grimper l'inflation à plus de 4,1%.
"Nous envisageons [des droits de douane] de l'ordre de 25% sur le Mexique et le Canada, parce qu'ils laissent un grand nombre de personnes (...) entrer, et beaucoup de fentanyl (un opioïde responsable d'une immense crise sanitaire aux Etats-Unis) aussi", a déclaré depuis la Maison Blanche le président américain Donald Trump, quelques heures après son investiture lundi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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