International
Bencic domine Keys en deux sets
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Belinda Bencic (WTA 21) a enchaîné un troisième succès sur la terre battue de Charleston. La St-Galloise s'est hissée en quart de finale en battant Madison Keys (WTA 24) 6-4 6-4 jeudi.
La championne olympique de simple disputera vendredi son deuxième quart de finale sur cette surface depuis la reprise du circuit après la longue pause provoquée par le Covid-19 en 2020. Elle avait joué le premier au printemps dernier à Madrid, où elle avait subi la loi de Paula Badosa.
Belinda Bencic pourrait d'ailleurs bien retrouver au tour suivant l'Espagnole, désormais 3e la hiérarchie mondiale. Paula Badosa, qui devait affronter l'Américaine Claire Liu (WTA 89) en 8e de finale, a remporté les trois duels livrés face à la St-Galloise. Dont un disputé l'an passé à Charleston, au 2e tour.
Un seul break concédé
Mais c'est en pleine confiance que Belinda Bencic abordera son quart de finale en Caroline du Sud. Elle s'est montrée particulièrement solide face à Madison Keys, qui avait conquis le titre en 2019 à Charleston. Même la longue interruption due à la pluie, à la fin du premier set, ne l'a pas trop perturbée.
Belinda Bencic a certes concédé le premier break enregistré dans la deuxième manche, se retrouvant menée 2-4. Mais sa réaction fut immédiate. La St-Galloise a ainsi remporté les quatre derniers jeux d'un match dans lequel elle n'aura perdu qu'une seule fois son service.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Une délégation du Hamas reçoit une proposition de cessez-le-feu
Une délégation du mouvement islamiste palestinien Hamas a reçu au Caire de la part des médiateurs une nouvelle proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza. C'est ce qu'a indiqué à l'AFP un responsable palestinien proche du dossier.
"La proposition est un accord-cadre pour lancer des négociations sur un cessez-le-feu permanent. Le Hamas tiendra des consultations internes au sein de sa direction" et avec les dirigeants d'autres groupes alliés sur la nouvelle proposition, a déclaré à l'AFP cette source.
Ce texte reprend les grandes lignes d'une précédente proposition américaine prévoyant une trêve de 60 jours et la libération, en deux étapes, des otages israéliens enlevés le 7 octobre 2023 lors de l'attaque sans précédent du Hamas en Israël, qui a déclenché la guerre à Gaza.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Un pompier tué dans des incendies en Espagne
Un pompier est mort dans le nord-ouest de l'Espagne à la suite d'un accident, a indiqué lundi le gouvernement de la région de Castille-et-Léon. Ce décès porte à 4 le nombre de morts dans les incendies qui ravagent l'Espagne depuis plus d'une semaine.
Le gouvernement local "déplore le décès" d'un pompier dans le "renversement" d'un véhicule transportant de l'eau, selon un message sur le réseau social X.
L'accident s'est produit lorsque le convoi auquel appartenait ce véhicule s'est éloigné de l'incendie pour prendre un chemin forestier très incliné. "Pour une raison inconnue, le véhicule s'est approché du talus et a basculé, tombant sur une pente de fort dénivelé", a ajouté le gouvernement local.
Plus de 70'000 hectares ont brûlé en Espagne ces derniers jours et plus de 157'000 depuis le début de l'année, selon le Système européen d'information sur les incendies de forêt (EFFIS), des chiffres en hausse constante. Devant l'ampleur de la dévastation causée par les incendies en Espagne, le Premier ministre Pedro Sánchez a annoncé dimanche "un pacte national face à l'urgence climatique".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Licenciements illégaux en Australie: Qantas sanctionnée
Un tribunal australien a condamné lundi la compagnie aérienne Qantas à verser 47,18 millions de francs d'amende en raison de licenciements jugés illégaux. 1800 membres de son personnel au sol avaient été limogés durant la pandémie de Covid.
Le juge de la Cour fédérale Michael Lee a déclaré que cette amende de 90 millions de dollars australiens avait vocation à constituer une "véritable dissuasion" pour les employeurs tentés d'enfreindre le droit du travail.
Sur ces 47,18 millions de francs, 26,42 millions iront au Syndicat des travailleurs des transports. Les 20,76 autres millions seront destinés à des paiements futurs aux anciens employés de Qantas.
Cette décision met un terme à une bataille judiciaire de plusieurs années entre les syndicats et la compagnie aérienne.
Qantas avait décidé de renvoyer ces travailleurs et de faire appel à la sous-traitance en août 2020, alors que le secteur du transport aérien faisait face aux fermetures généralisées de frontières et aux mesures de confinement face au Covid, pour lequel aucun vaccin n'avait encore été mis au point.
La Cour fédérale avait déjà jugé que Qantas avait agi illégalement, puis avait rejeté l'appel de l'entreprise.
La compagnie vieille de 104 ans, surnommée l'"Esprit de l'Australie", cherche à se refaire une réputation, après ces licenciements massifs, l'augmentation de ses prix, des critiques négatives quant à la qualité de ses services ou encore la vente de billets sur des vols pourtant annulés.
Sa directrice générale Vanessa Hudson, qui a pris ses fonctions en 2023, a promis une amélioration de la satisfaction de la clientèle.
Dans un communiqué, Qantas a annoncé qu'elle paierait les 47,18 millions de francs demandés par la Cour fédérale.
"La décision d'externalisation d'il y a cinq ans, en particulier à une époque pleine d'incertitudes, a provoqué de véritables difficultés chez nombre de nos anciens collègues et leurs familles", a décrit Mme Hudson dans ce communiqué. "Nous présentons nos excuses les plus sincères à chacun des 1820 employés de manutention", a-t-elle ajouté.
Après "cinq longues années, aujourd'hui est un jour de victoire, non seulement pour nos collègues mais aussi pour tous les travailleurs australiens", s'est réjouie Anne Guirguis, qui a nettoyé des avions de la compagnie pendant 27 ans avant d'être renvoyée.
"Nous pouvons refermer ce chapitre et passer maintenant à autre chose", a-t-elle déclaré à la presse à l'extérieur du tribunal.
Le secrétaire national du Syndicat des travailleurs des transports, Michael Kaine, a applaudi la décision, une "victoire définitive" pour les ex-travailleurs de la compagnie, dont "beaucoup ont découvert par un haut-parleur dans la salle de déjeuner qu'ils avaient perdu leur emploi", a affirmé M. Kaine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Présidentielle en Bolivie: deux candidats de droite au 2e tour
Deux candidats de droite s'affronteront au second tour de l'élection présidentielle en Bolivie. Ils ont dominé dimanche le premier tour, marquant la fin de deux décennies de gouvernements de gauche, selon un décompte rapide des autorités.
A la surprise générale, le sénateur de centre-droit Rodrigo Paz, fils de l'ancien président Jaime Paz Zamora (1998-1993), arrive en tête avec 32,5% des voix, selon les résultats communiqués par le Tribunal suprême électoral (TSE).
L'ancien président de droite Jorge "Tuto" Quiroga (2001-2002) le suit de près avec 26,8%, selon les mêmes estimations.
Favori recalé
Le millionnaire Samuel Doria Medina, favori dans tous les sondages jusqu'à il y a une semaine, est en revanche relégué à la troisième place avec 19,8% des voix.
Le scrutin s'est déroulé dans un contexte de grave crise économique marqué par une pénurie chronique de dollars et de carburant, tandis que l'inflation annuelle avoisine les 25%, un niveau inédit depuis 17 ans.
Tenu pour responsable de la débâcle, le président sortant Luis Arce, autrefois soutenu par l'ancien président Evo Morales (2006-2019), mais désormais en conflit avec lui, a renoncé à un second mandat.
Andronico Rodriguez, le président du Sénat également issu de la gauche, et le candidat du Mouvement vers le socialisme (MAS) au pouvoir depuis 2006, Eduardo del Castillo, n'ont pas réussi à convaincre.
"Je veux un changement. Je pense que la gauche nous a fait beaucoup de mal", a estimé Miriam Escobar, une retraité de 60 ans. "Il n'y a pas de travail, pas d'essence, pas de diesel, tout est très cher", a-t-elle déploré après avoir voté à La Paz.
Les candidats de droite ont promis de rompre avec le modèle étatiste instauré par Morales. Sous sa présidence, la pauvreté a reculé et le PIB triplé, mais la chute des revenus gaziers depuis 2017 a plongé le pays dans la crise.
"Besoin de stabilité"
"C'est la fin d'un cycle", a déclaré Jorge "Tuto" Quiroga, après avoir voté à La Paz. Cet ingénieur, qui avait assuré un intérim à la tête du pays pendant un an (2001-2002), promet "un changement radical" en cas de victoire.
Agustin Quispe, un mineur de 51 ans, a cependant qualifié "Tuto" Quiroga de "dinosaure" et affirmé son soutien à Rodrigo Paz, qui a axé sa campagne sur la lutte contre la corruption et la baisse des impôts.
"La Bolivie a besoin de stabilité, de gouvernabilité et d'un modèle économique tourné vers le peuple plutôt que vers l'Etat", a déclaré Rodrigo Paz après avoir voté à Tarija, dans le sud du pays.
Deuxième tour le 19 octobre
Les deux gagnants s'affronteront lors d'un second tour le 19 octobre, infligeant à la gauche son plus lourd revers depuis l'arrivée au pouvoir d'Evo Morales.
L'ancien chef d'Etat de 65 ans espérait briguer un quatrième mandat présidentiel, mais la justice, en les limitant à deux, l'a écarté de la course. Visé par un mandat d'arrêt dans une affaire de traite de mineure qu'il conteste, l'ancien syndicaliste des planteurs de coca vit retranché dans son fief du centre du pays.
En votant, chaussé de sandales, Evo Morales a dénoncé un scrutin "sans légitimité", affirmant que le vote nul, qu'il a encouragé durant la campagne, allait l'emporter, tandis que ses partisans formaient un cordon autour de lui, a constaté l'AFP. Aucune présence policière n'était visible aux alentours.
Malgré son éviction, le premier chef d'Etat bolivien d'origine indigène garde de solides appuis dans certains bastions ruraux et autochtones. Mais son conflit avec Arce a fracturé le MAS, et même ceux qui ont pendant longtemps bénéficié des politiques sociales ont exprimé leur désenchantement.
Pour Daniel Valverde, politologue à l'université Gabriel René Moreno, "le pire ennemi de la gauche a été la gauche elle-même". "La corruption, la mauvaise gestion, le manque de décisions et l'improvisation ont fini par fatiguer la population", juge-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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