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Coronavirus et Formule 1 - Sauver ce qui peut l'être

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EPA/Alejandro Garcia
En Formule 1, la recherche de solutions pour sauver la saison bat son plein. Dans une situation rendue difficile par la pandémie du coronavirus, des propositions inhabituelles sortent de terre.

Aujourd'hui, il y a plus de questions ouvertes que de Grand Prix au calendrier revisité de la saison 2020, peut-on interroger avec cynisme. Un fait est certain: rien n'est sûr en Formule 1 à l'heure actuelle.

Le coup d'envoi de la saison a été progressivement repoussé, une course après l'autre annulées. Huit épreuves sont concernées pour le moment. Actuellement, la saison devrait débuter mi-juin à Montréal même si au Canada, le Comité olympique national fut la première faîtière à décider de n'envoyer aucun athlète aux JO de Tokyo s'ils étaient maintenus en 2020.

Depuis lundi, silence à Hinwil

La première réaction à cette situation précaire sera la suppression de la pause prévue en août et avancée à mars et avril par nécessité. La coupure obligatoire durera trois au lieu de deux semaines. Sans surprise, Ferrari fut la première écrurie à décréter la fermeture de ses ateliers. Maranello, où se trouve la base logistique de la Scuderia, se situe en Italie du Nord, là où le coronavirus a connu sa plus grande propagation en Europe. A Hinwil, les ateliers du Team Alfa Romeo sont muets depuis lundi.

Il a également été décidé que la révolution dans les règlements techniques en raison des coûts est reportée d'une année soit en 2022. Ferrari fut la dernière écurie à se rallier à cette décision. "Ce n'est certainement pas le moment de se montrer égoïste et de se livrer à des jeux tactiques", a admis Mattia Binotto, le chef de l'équipe italienne.

Week-ends réduits à deux jours ?

L'argent est bien sûr le nerf de la guerre en Formule 1. A côté de l'aspect sportif, le financier oblige les dirigeants à recaser le maximum de Grand Prix dans le calendrier retravaillé. L'équation est simple: plus il y a de courses plus les rentrées d'argent sont élevées. Comme positions les plus importantes sur la colonne des crédits, on retrouve les organisateurs locaux avec les ventes des billets, l'argent du sponsoring et les droits de retransmission. Pour les plus petites écuries, ces rentrées sont vitales. Chez Alfa Romeo, elles représentent un tiers du budget.

L'incertitude qui règne actuellement rend l'élaboration d'un programme de secours aussi ardue qu'un travail d'Hercule. La flexibilité doit être la première qualité des responsables de la F1. La firme américaine Liberty Media, propriétaire du Championnat du monde, peut décider seul. Son directeur Chase Carey et son équipe peuvent ainsi actualiser le calendrier sans devoir en référer aux écuries. "Ca simplifie lorsqu'il faut trouver des nouvelles dates avec les organisateurs des courses", souligne Carey.

Une des solutions possibles, venues sur le tapis, est celle qui verrait les week-ends de course réduits de trois à deux jours pour alléger les charges à un niveau acceptable. Il pourrait même être envisagé de disputer deux Grand Prix sur le même circuit. On le voit dans le monde de la F1, on tente de sauver ce qui peut encore être sauvé.

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2 Commentaires

2 Comments

  1. Notification automatique: Coronavirus and Formula 1 – Save what can be saved | En24 News

  2. elianefournier68@gmail.com

    26 mars 2020 à 11:00

    Bien bon faire de tout pour se proteger mais le gouvernement du Valais ne prend pas l'initiative de fermer les chantier ainsi que les usines ex Novelis les employeurs vont tomber comme des mouches car les normes de securite n'es pas respecté

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Allemagne: un sexagénaire vacciné 217 fois contre le coronavirus

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Le sexagénaire allemand se porte bien malgré ses nombreuses vaccinations (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Des scientifiques allemands se sont penchés sur un homme de 62 ans qui s'est fait vacciner plus de 200 fois contre le coronavirus. Son système immunitaire fonctionne "tout à fait normalement", a indiqué l'Université Friedrich-Alexander d'Erlangen-Nuremberg.

Aucun effet négatif sur le système immunitaire n'a été constaté, rapportent les scientifiques dans la revue britannique The Lancet Infectious Diseases. Certaines cellules immunitaires et certains anticorps contre le SARS-CoV-2 sont même nettement plus fréquents que chez les personnes qui n'ont reçu que trois vaccins.

Jusqu'à présent, on ne savait pas exactement quels étaient les effets de ce que l'on appelle l'hypervaccination sur le système immunitaire. Certains scientifiques partent du principe que les cellules immunitaires deviennent moins efficaces en raison d'un effet d'accoutumance. Or, ce n'est pas le cas chez l'individu en question.

L'attention des scientifiques avait été attirée par des articles de presse sur ce résident de Magdebourg (D) qui, selon ses propres dires, s'était fait vacciner 217 fois en 29 mois contre le Covid-19; 134 de ces vaccinations ont été officiellement confirmées.

Aucun dommage

Le parquet de Magdebourg a ouvert une enquête contre l'homme pour fraude, écrivent les chercheurs dans l'étude. Il n'a toutefois pas été mis en accusation.

La fonction du système immunitaire contre d'autres agents pathogènes n'a pas non plus été modifiée, comme l'ont montré d'autres tests. Aucun dommage n'a été constaté malgré les nombreuses vaccinations.

Les auteurs de l'étude ont également souligné qu'il s'agissait d'un cas isolé. Il n'est donc pas possible d'en tirer des conclusions ou des recommandations pour la population générale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Maurer réaffirme qu'il y a eu "une hystérie autour du Covid"

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L'ancien conseiller fédéral Ueli Maurer se dit surpris du tollé suscité par ses propos tenus deux semaines plus tôt sur le Covid (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Deux semaines après avoir tenu des propos sur le coronavirus ayant suscité une vive réaction, Ueli Maurer assume. "Bien sûr qu'il y a eu une hystérie autour du Covid", réaffirme-t-il dimanche dans la presse.

Cette hystérie était même "d'ampleur mondiale", assure le Zurichois dans Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung. "On a dit que le Covid était mortel, et à partir de cette supposition, on a tendu un filet sanitaire comme on n'en avait jamais vu auparavant, assure-t-il. Quiconque osait poser une question critique était écarté ou traité de 'conspirateur'".

Ueli Maurer avait déjà tenu des propos similaires dans la presse dominicale deux semaines plus tôt, suscitant une vive réaction. "Concernant le Covid, je n'ai que répété ce que j'ai toujours dit, réagit-il. Que cela ait suscité pareil tollé m'a surpris". Les critiques provenaient surtout des médias, selon l'ancien ministre des finances, qui dénonce un "réflexe anti-Maurer".

"Pas un antivax"

L'ancien conseiller fédéral nuance toutefois ses déclarations sur les vaccins anti-Covid qui ont particulièrement choqué. Il avait affirmé que ces vaccins renfermaient "beaucoup d'air chaud". "Bien sûr, on a tout de suite affirmé que j'étais un antivax. Ce qui n'est pas vrai", dit-il.

L'utilité des vaccins n'est pas contestée, mais la Suisse est allée trop loin en disant à tout le monde de se vacciner, assure Ueli Maurer. "Je suis convaincu que, ces prochaines années, nous nous occuperons de façon croissante des dommages causés par le vaccin", ajoute-t-il.

"L'Etat pas responsable de tout"

L'ancien conseiller fédéral revient également sur les crédits Covid dont il était en charge durant la pandémie. Il lui avait été notamment reproché d'avoir laissé tomber les PME. "L'Etat ne peut pas être responsable de tout. Il ne peut pas non plus protéger chacun de la mort", se défend-il.

La responsabilité individuelle a, selon lui, été dissoute comme jamais auparavant, poussant la Confédération à dépenser sans compter. "L'Etat doit protéger, mais il ne peut distribuer que l'argent qu'il prend d'abord aux gens".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le "contact-tracing" n’a eu qu’une efficacité relative

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Le suivi des contacts mis en place pendant la pandémie de coronavirus n'a eu qu'une efficacité relative (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Environ 40% des personnes infectées par le coronavirus ont été identifiées par le biais du suivi des contacts, selon une étude genevoise. Ces résultats suggèrent que le "contact-tracing" à lui seul ne suffit pas à stopper la propagation du coronavirus.

De surcroît, la proportion de personnes infectées identifiées de cette manière a fluctué selon le variant en cause, le type de logement habité, et la richesse du quartier.

En cas d'épidémie, le suivi des contacts doit donc être complété par une multitude d'autres mesures qui tiennent compte des caractéristiques spécifiques de chaque maladie, ont indiqué mercredi l'Université et les Hôpitaux universitaires de Genève (UNIGE/HUG) dans un communiqué.

Pour évaluer l'efficacité du traçage des contacts, une équipe dirigée par Delphine Courvoisier a analysé les données de plus de 140'000 cas de coronavirus recensés dans le canton de Genève entre juin 2020 et mars 2022. Ces résultats sont publiés dans la revue Eurosurveillance.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Des chercheurs trouvent des traces de Covid long dans le sang

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Les chercheurs de l'université et de l'hôpital de Zurich ont analysé plus de 6500 protéines dans le sérum sanguin de 113 personnes infectées par le Covid-19 et de 39 personnes en bonne santé, indique l'étude publiée jeudi dans la revue "Science". (© KEYSTONE/DPA/MARCUS BRANDT)

Une équipe de chercheurs zurichois a identifié une spécificité dans les protéines sanguines des personnes atteintes de Covid long. Elle pourrait servir à mieux diagnostiquer le problème et peut-être aussi à le traiter de manière plus ciblée.

Les chercheurs de l'université et de l'hôpital de Zurich ont analysé plus de 6500 protéines dans le sérum sanguin de 113 personnes infectées par le Covid-19 et de 39 personnes en bonne santé, indique l'étude publiée jeudi dans la revue "Science". Chez les personnes infectées, dont 40 ont développé un Covid long, ils ont réexaminé le schéma sanguin après 6 et 12 mois.

Dans le sérum des personnes atteintes de Covid long, ils ont constaté une modification des protéines liées au système dit "du complément", qui fait partie du système immunitaire. Ce système, qui lutte contre les infections, ne revient pas comme il le devrait à l'état de repos après l'infection chez les cas de Covid long, a expliqué Onur Boyman, responsable de l'étude, à Keystone-ATS. Il provoque ainsi des dommages cellulaires.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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