Rejoignez-nous

International

Djokovic récupère son trône

Publié

,

le

Djokovic a récupéré la 1re place du classement ATP (© KEYSTONE/EPA/JAMES ROSS)

Sacré à Melbourne pour la dixième fois dimanche, Novak Djokovic récupère la tête du classement ATP, publié lundi. La championne d'Australie Aryna Sabalenka grimpe elle au 2e rang du classement WTA.

Novak Djokovic, qui a gagné quatre places, a détrôné l'Espagnol Carlos Alcaraz, forfait pour l'Open d'Australie et désormais no 2 mondial. Grâce à son 22e titre du Grand Chelem, le Serbe de 35 ans est no 1 mondial pour la 374e semaine, depuis juillet 2011 et sa première accession au sommet du tennis mondial.

L'Espagnol Rafael Nadal, éliminé dès le 2e tour du Majeur australien, a pour sa part perdu quatre places et recule au 6e rang. La plus belle progression est à l'actif de l'Américain Tommy Paul, sorti en demi-finale, qui gagne 16 positions et intègre le top 20 pour la première fois à 25 ans, à la 19e place.

Lauréate samedi de son premier titre du Grand Chelem, Aryna Sabalenka est donc la nouvelle dauphine de la Polonaise Iga Swiatek, toujours en tête du classement WTA publié lundi. La Bélarusse progresse de trois rangs et retrouve la 2e place, atteinte pour la première fois en août 2021, au détriment d'Ons Jabeur.

Côté suisse, Belinda Bencic et Jil Teichmann ont gagné respectivement une et cinq places pour se retrouver en 9e et en 28e positions. Chez les hommes, Marc-Andrea Hüsler (ATP 53) demeure le seul Suisse classé dans le top 100, le no 2 Dominic Stricker occupant toujours le 118e rang.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

AstraZeneca: acquisition pour plus de 2 miliards de dollars

Publié

le

Astrazeneca avait déjà annoncé la semaine dernière le rachat de la société française de biotechnologies Amolyt Pharma, spécialisée dans les traitements contre les maladies rares, pour un montant allant jusqu'à un milliard de dollars (archives). (© KEYSTONE/DPA/GEORG WENDT)

Le géant pharmaceutique britannique AstraZeneca a annoncé mardi le rachat du laboratoire Fusion, spécialisé dans les produits radiopharmaceutiques contre le cancer, pour un montant pouvant aller jusqu'à 2,4 milliards de dollars (2,1 milliards de francs).

AstraZeneca a "passé un accord définitif pour acquérir Fusion Pharmaceuticals, une société biopharmaceutique qui met au point des radioconjugués de prochaine génération", explique le groupe dans un communiqué.

Les radioconjugués sont une nouvelle forme de traitement contre le cancer à base d'isotopes radiocatifs qui visent directement les cellules cancéreuses par l'intermédiaire de molécules comme les anticorps ou les peptides, explique AstraZeneca.

Cette approche réduit les dégâts sur les cellules saines comparé aux radiothérapies traditionnelles, précise le communiqué.

Il s'agit d'une "étape majeure" dans l'ambition d'AstraZeneca de "transformer le traitement du cancer et les résultats pour les patients en remplaçant les schémas thérapeutiques traditionnels comme la chimiothérapie et la radiothérapie par des traitements plus ciblés", a fait valoir le groupe dans un communiqué.

Le portefeuille de médicaments en développement de Fusion comprend le FPI-2265, "nouveau traitement potentiel" pour certaines formes de cancers de la prostate métastasés.

Fusion a un siège à Hamilton au Canada et un autre à Boston aux Etats-Unis. La société est cotée sur le Nasdaq à New York.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

L'ONU parle de possible crime de guerre avec les restrictions

Publié

le

Pour Volker Türk, les restrictions, combinées à l'approche israélienne de cette guerre, pourraient "équivaloir à l'utilisation de la famine comme arme de guerre, ce qui est un crime de guerre" (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'ONU rend responsable Israël de la famine imminente observée dans la bande de Gaza. Les restrictions imposées par l'Etat hébreu pourraient équivaloir à une utilisation de la nourriture comme arme de guerre, ce qui constituerait un crime de guerre, a-t-elle dit mardi.

"La situation de faim et de famine est le résultat des larges restrictions d'Israël sur l'entrée et la distribution d'aide humanitaire et de marchandises", estime le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk dans une déclaration publiée à Genève. Il met en cause aussi les déplacements massifs de population et les destructions d'infrastructures civiles.

Les restrictions, combinées à l'approche israélienne de cette guerre, pourraient "équivaloir à l'utilisation de la famine comme arme de guerre, ce qui est un crime de guerre", ajoute le Haut commissaire.

Lundi, des agences onusiennes avaient affirmé que plus de 1,1 million d'habitants sont confrontés à "une situation de faim catastrophique". Le rapport du Cadre de classification de la sécurité alimentaire (IPC) parle de famine imminente dans le nord du territoire et de menace de cette situation également dans le sud.

Le Haut commissaire appelle Israël à honorer ses obligations internationales en garantissant une assistance adaptée dans la bande de Gaza. Ceux qui peuvent pousser l'Etat hébreu à faciliter cette aide doivent le faire, selon lui.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Berne, Berlin et Rome signent un accord sur le gaz

Publié

le

Albert Rösti (à droite) et le vice-chancelier allemand Robert Habeck (à gauche) s'étaient rencontrés lors du Forum de Davos en janvier. Un accord sur le gaz a été signé mardi (archives). (© KEYSTONE/KEYSTONE POOL/LAURENT GILLIERON)

La Suisse, l'Allemagne et l'Italie pourront s'aider au moyen de livraisons de gaz en cas d'urgence. Le conseiller fédéral Albert Rösti a signé mardi un accord de solidarité avec ses homologues à Berlin.

Le Conseil fédéral avait donné au ministre de l'énergie suisse le feu vert pour un tel accord vendredi dernier. M. Rösti a rencontré pour ce faire le vice-chancelier allemand Robert Habeck et le ministre italien de l'environnement et de la sécurité énergétique Gilberto Pichetto Fratin.

Ainsi, la Suisse peut solliciter la solidarité des deux Etats pour l'approvisionnement des clients suisses protégés si l'état d'urgence est déclaré et une fois que toutes les mesures indigènes possibles ont été prises. En échange, la solidarité de la Suisse peut être sollicitée en cas d'urgence.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Le travail forcé rapporte 236 milliards de dollars par an

Publié

le

Le directeur général de l'Organisation internationale du travail (OIT) Gilbert Houngbo appelle la communauté internationale à s'unir face au travail forcé dans les différents pays (archives). (© KEYSTONE/PIERRE ALBOUY)

Les revenus illégaux liés au travail forcé dans le monde atteignent 236 milliards de dollars par an. En une dizaine d'années, ils ont augmenté de 64 milliards, soit plus d'un tiers, déplore l'Organisation internationale du travail (OIT) dans un rapport mardi à Genève.

Davantage de personnes sont victimes de ce problème et les gains de cette exploitation sont eux-mêmes plus importants. Il y a une dizaine d'années, le trafic rapportait aux criminels plus de 8200 dollars par victime. Désormais, ce chiffre se rapproche des 10'000 dollars.

Par région, l'Europe et l'Asie centrale arrivent devant. Elles rassemblement près de 85 milliards de revenus illégaux, devant l'Asie/Pacifique à 62 milliards, le continent américain à plus de 50 milliards, l'Afrique à 20 milliards et les Etats arabes à 18 milliards. Elles sont également premières sur le rapport des profits par victime, devant les Etats arabes.

L'exploitation sexuelle forcée constitue deux tiers du total des revenus illégaux, alors même qu'elle ne rassemble qu'un peu plus d'un tiers des victimes de travail forcé. Cette différence s'explique par la valeur du trafic sexuel pour les criminels. Chaque personne rapporte plus de 27'000 dollars, contre plus de 3500 seulement pour d'autres travailleurs forcés.

En 2021, 27,6 millions de personnes ont été victimes de ce problème à un jour donné. Elles "sont soumises à de multiples formes de coercition, la rétention délibérée et systématique des salaires étant l'une des plus courantes", affirme le directeur général de l'OIT Gilbert Houngbo.

"La communauté internationale doit s'unir d'urgence" face à cette situation, pour protéger les droits des travailleurs, ajoute-t-il. Et le rapport, qui porte sur le secteur privé, d'appeler à étendre le dispositif pour lutter contre le travail forcé et de poursuivre les responsables.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Verseau

Gardez un œil vigilant sur les entrées et dépenses financières en établissant un plan minutieux qui permette de réduire les risques de pertes.

Les Sujets à la Une

X