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International

Fernando Alonso pilotera une Aston Martin

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Fernando Alonso: son avenir s'écrira avec Aston Martin. (© KEYSTONE/AP/Anna Szilagyi)

Double champion du monde de Formule 1 en 2005 et 2006, Fernando Alonso change d'air. L'Espagnol va quitter l'écurie Alpine pour courir en 2023 chez Aston Martin.

Alonso a fêté vendredi ses 41 ans. Il a terminé huitième dimanche du Grand Prix de Hongrie, devant son coéquipier français Esteban Ocon, et occupe actuellement la 10e place du Championnat du monde après 13 courses sur 22 avec 41 points.

L'Espagnol succèdera dans l'écurie anglaise, possédée par le milliardaire canadien Lawrence Stroll, à l'Allemand Sebastian Vettel, quadruple champion du monde, qui a annoncé jeudi sa retraite de la F1 à la fin de la saison 2022.

"Toute l'équipe Aston Martin est très enthousiaste à l'idée d'accueillir l'incroyable expérience de Fernando, sa brillante pointe de vitesse et son expertise de la course", écrit l'équipe anglaise dans un communiqué posté sur internet et sur les réseaux sociaux.

"Le recrutement d'un talent spécial comme celui de Fernando est une déclaration d'intention forte de la part d'une organisation engagée à développer une écurie victorieuse en Formule 1", ajoute le texte.

Cette équipe "est clairement en train de mettre l'énergie et l'engagement qu'il faut pour gagner, c'est donc l'une des écuries les plus excitantes en Formule 1 aujourd'hui", écrit Alonso. "Je connais Lawrence et Lance (son fils, l'autre pilote de l'écurie) depuis longtemps et il est évident qu'ils ont l'ambition et la passion nécessaire pour réussir en Formule 1", ajoute le champion espagnol.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Drake entretient le conflit avec Lamar en attaquant Universal

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Les deux artistes du rap, Lamar (à gauche) et Drake (à droite), sont des rivaux depuis des années. Ils ont sorti en 2024 plusieurs morceaux au vitriol pour se critiquer. (© KEYSTONE/AP/Chris Pizzello)

Le rappeur canadien Drake entretient son conflit en justice avec l'Américain Kendrick Lamar en attaquant mercredi en diffamation leur label commun Universal Music Group (UMG), sur fond d'accusations de pédophilie.

Les deux stars du hip-hop sont des rivaux depuis des années et ont sorti en 2024 plusieurs morceaux au vitriol pour se critiquer et s'attaquer, une pratique classique de ce genre culturel et musical.

Le Canadien Aubrey Drake Graham, 38 ans, avait déjà accusé fin novembre UMG d'avoir gonflé sur les plateformes les écoutes du Californien de 37 ans Kendrick Lamar et de l'avoir diffamé, dans deux procédures à New York et au Texas. Il ne s'agissait pas de plaintes en bonne et due forme, mais de premières étapes procédurales avant une éventuelle action en justice.

Cette fois, dans une plainte au civil devant le parquet fédéral de Manhattan, Drake accuse Universal d'avoir "approuvé, publié et lancé une campagne pour faire du +buzz+ viral à partir d'un morceau de rap".

Cette campagne présumée de dénigrement "visait à faire croire à de fausses allégations selon lesquelles Drake serait un criminel pédophile et a laissé entendre que le public devrait y répondre" en boycottant le Canadien, selon cette plainte consultée par l'AFP.

Dans le morceau "Not like us", Kendrick Lamar, auréolé d'un prestigieux prix Pulitzer, accuse Drake d'avoir des relations avec des jeunes filles mineures et le traite de "pédophile".

Le Canadien répond que leur maison de disques commune a fait le choix du "profit de l'entreprise sur la sécurité et le bien-être de ses artistes".

Il dénonce le fait d'avoir été la cible de "menaces physiques" -- des coups de feu avaient blessé en mai un vigile de sa propriété à Toronto -- et d'être "bombardé par du harcèlement en ligne".

"Not like us", qui a dépassé les 900 millions d'écoutes sur Spotify, est devenu l'un des morceaux les plus populaires de l'artiste et a reçu plusieurs nominations aux prochains Grammy Awards, dont celle de la meilleure chanson de l'année.

Kendrick Lamar a aussi été choisi pour donner le concert de la mi-temps du Super Bowl, la finale du championnat de football américain, début février à la Nouvelle-Orléans, un immense privilège pour un artiste aux Etats-Unis.

Universal Music Group a promis dans un communiqué de "protéger (ses) collaborateurs et (sa) réputation" et a démenti "tout acte de diffamation" passé et présent.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Pizza à l'ananas: un restaurant anglais relance les hostilités

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L'ananas sur la pizza fait débat entre les puristes et les amateurs du fruit exotique. (© KEYSTONE/TI-PRESS/PABLO GIANINAZZI)

Un restaurant britannique a relancé les hostilités contre la pizza à l'ananas, mise à son menu certes, mais avec un supplément exorbitant de 100 livres sterling (112 francs) pour les "monstres" qui en veulent.

Un plat chez Lupa Pizza à Norwich, dans l'est de l'Angleterre, coûte en règle générale dix fois moins cher mais l'un des propriétaires du restaurant Francis Woolf a expliqué au journal local, Norwich Evening News qu'il "détestait par dessus tout l'ananas sur une pizza".

Cette sorte de hawaïenne avec sa garniture de morceaux d'ananas figure donc sur la carte Deliveroo du restaurant, mais avec cette légende: "Ouais, pour 100 livres sterling, tu peux l'avoir. Commande aussi le champagne. Vas-y, espèce de monstre!".

L'art du pizzaïolo napolitain a fait son entrée au patrimoine immatériel de l'Humanité de l'Unesco en 2017, une inscription symbolique mais qui a récompensé les efforts des thuriféraires de ce met italien pour qui l'ajout d'ananas constitue une hérésie.

La querelle en Grande-Bretagne en reste pour l'instant au stade des mots, mais le restaurant en rajoute sur Facebook en déclarant qu'il "espére un afflux de militants pro et anti-ananas qui viendront voter avec leurs pieds et leur portefeuille ! Quelques heurts dans la rue. Tout ça à la télévision".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris: 860'000 visiteurs

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Le secrétaire d'État américain Antony Blinken a visité la cathédrale Notre-Dame de Paris le 9 janvier 2025. (© KEYSTONE/AP/Ludovic Marin)

Notre-Dame de Paris a accueilli "860'000 personnes depuis la réouverture" au grand public le 16 décembre, soit après les cérémonies d'inauguration de la première semaine.

La cathédrale a depuis accueilli "29'000 personnes par jour, et cela peut monter à 35'000 les jeudi de nocturne", a dit Sybille Bellamy-Brown, la responsable de la gestion des publics de la cathédrale parisienne mercredi lors d'une conférence de presse, en rappelant à titre d'exemple que le Louvre accueillait quotidiennement 30'000 visiteurs.

La fréquentation était estimée autour de 23'500 personnes par jour avant l'incendie qui a ravagé Notre-Dame en avril 2019.

"L'engouement ne se dément pas"

La cathédrale a rouvert le weekend des 7 et 8 décembre en présence de nombreuses personnalités, et a accueilli ensuite une semaine de "neuvaine" à l'accès réduit. Depuis la pleine réouverture au grand public le 16 décembre, l'engouement ne se dément pas, les vacances d'hiver (Noël) s'ajoutant à l'attrait de la nouveauté, ce qui a créé de longues files en fin d'année.

Mais "depuis deux semaines, on ne fait pas la queue", a assuré la responsable, en rappelant que l'entrée pouvait se faire avec ou sans réservation et que d'ailleurs seul "un tiers" des entrées se faisaient avec.

"Tout le monde a la possibilité de rentrer librement dans la cathédrale", a-t-elle rappelé, en martelant que l'entrée était gratuite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Russie a planifié des "actes de terreur", selon Varsovie

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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'exprime lors d'une conférence de presse conjointe avec le président polonais Andrzej Duda, après leur rencontre au palais du Belvédère à Varsovie mercredi. (© KEYSTONE/EPA/ALBERT ZAWADA)

Le Premier ministre polonais Donald Tusk a affirmé mercredi que la Russie avait planifié des "actes de terreur" dans les transports aériens à travers le monde, l'accusant d'organiser des sabotages et des détournements d'avions en Pologne et au-delà.

M. Tusk a fait ces déclarations en présence du président de l'Ukraine voisine, Volodymyr Zelensky, en déplacement à Varsovie pour une série d'entretiens, quelques jours avant l'investiture de Donald Trump.

La Pologne, membre de l'UE et de l'Otan, est l'un des principaux alliés de Kiev face à l'armée russe depuis le début de l'invasion du territoire ukrainien, en février 2022.

"Sans entrer dans le détail, je peux confirmer le bien-fondé des craintes selon lesquelles la Russie a planifié des actes de terreur dans les airs, non seulement contre la Pologne, mais aussi contre des compagnies aériennes du monde entier", a dit M. Tusk au cours d'un point de presse commun avec son invité ukrainien.

Selon lui, "les actes de sabotage, les différentes versions de la guerre que la Russie a déclarée à l'ensemble du monde civilisé, et pas seulement à l'Ukraine, rendent nécessaires une action commune".

En novembre, la Lituanie a procédé à des arrestations dans le cadre d'une enquête criminelle sur la présence d'engins incendiaires à bord d'avions à destination de pays occidentaux.

Selon les médias polonais et lituaniens, ces engins, notamment des masseurs électriques imprégnés d'une substance inflammable, ont été envoyés de Lituanie au Royaume-Uni en juillet et pourraient être à l'origine de l'incendie d'un camion à l'extérieur de Varsovie.

Un conseiller à la sécurité à la présidence lituanienne avait assuré à l'époque que Moscou avait été à l'origine de ces incidents.

En octobre, la police antiterroriste britannique avait quant à elle annoncé qu'elle enquêtait sur la manière dont un colis avait pris feu dans un dépôt au début de l'année, après qu'un cas similaire en Allemagne avait été imputé à la Russie.

"Sortir de l'impasse"

M. Tusk, dont le pays assume la présidence tournante de l'Union européenne, a promis de tout faire pour "sortir de l'impasse" des "derniers mois" dans le processus d'intégration à l'UE de l'Ukraine.

"Nous travaillerons avec l'Ukraine et nos partenaires européens, sans conditions préalables, pour accélérer autant que possible le processus d'adhésion", a-t-il souligné.

"Plus tôt l'Ukraine sera dans l'UE, plus tôt l'Ukraine deviendra membre de l'Otan, plus nous agirons ensemble, plus tôt l'ensemble de l'Europe obtiendra la certitude géopolitique dont elle a besoin", a se son côté martelé M. Zelensky.

"La Russie ne passera pas là où il y a notre intégration, notre force commune", a-t-il ajouté, appelant par ailleurs ses alliés occidentaux à dépenser 250 milliards de dollars d'actifs russes gelés afin d'acheter des armes pour son pays.

Le président ukrainien a multiplié les rencontres avec les soutiens de Kiev avant le retour la semaine prochaine à la Maison Blanche de Donald Trump, qui a promis de rapidement mettre fin aux combats, sitôt qu'il aura pris ses fonctions. Ce qui fait redouter à l'Ukraine qu'elle ne soit contrainte de faire des concessions territoriales majeures en échange de la paix.

Le chef de l'Etat ukrainien a rencontré à Varsovie son homologue polonais Andrzej Duda qui a réitéré son opinion selon laquelle "aucune discussion concernant l'Ukraine, la fin de la guerre, l'indépendance et la souveraineté de l'Ukraine ne peut avoir lieu sans la participation de l'Ukraine".

"Problème à régler"

MM. Tusk et Zelensky ont en outre parlé du règlement d'un différend vieux de plusieurs décennies concernant les massacres de Polonais pendant la Deuxième Guerre mondiale à Volyn, une ville aujourd'hui dans l'ouest de l'Ukraine.

Avec en ligne de mire l'élection présidentielle de mai, l'alliance pro-UE qui gouverne la Pologne subit la pression des nationalistes pour obtenir l'exhumation des victimes de ces tueries.

"Il y a un problème assez évident à régler, à savoir le besoin des familles polonaises d'enterrer dignement leurs proches qui ont été victimes du massacre de Volyn", a estimé M. Tusk.

"Le fait que nous nous comprenions sur cette question, que nous commençions à en parler normalement et que nous ayons pris certaines mesures, oui, cela mérite d'être qualifié de percée", s'est-il félicité.

Aucune des deux parties n'a précisé quelles actions concrètes avaient été entreprises.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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