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Football: la Suisse tient tête à l'Allemagne
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La Suisse a mis en pratique ses idées dimanche à Bâle. Auteure d'une prestation très intéressante, l'équipe nationale a obtenu un très bon match nul 1-1 pour son deuxième match de Ligue des Nations.
Cela permet de faire oublier les quelques errements qui avaient conduit à la défaite 2-1 en Ukraine jeudi. Les changements de rythme avaient fait défaut à Lviv. Contre l'Allemagne, c'est après l'un d'eux, une transition plutôt rapide et directe, que Silvan Widmer a trouvé la faille pour son retour en équipe de Suisse. La dernière apparition du Bâlois remontait au mois de juin 2017, lors d'une victoire 1-0 sur le Bélarus à Neuchâtel.
La petite blessure de Kevin Mbabu (un coup au genou reçu jeudi) lui a permis de s'offrir une titularisation sur le couloir droit. Mais c'est avant tout grâce une belle passe d'un très bon Breel Embolo (le plus souvent juste techniquement, c'est à souligner) que Silvan Widmer a pu inscrire son premier but international.
Bien sûr, celui-ci n'est venu que répondre à l'ouverture du score d'Ikay Gündogan au terme du premier quart-d'heure, lorsque le milieu de Manchester City a repris de l'entrée de la surface un ballon mal renvoyé par la défense suisse. Mais il permet au résultat de refléter assez bien l'équilibre des niveaux. La Suisse de Vladimir Petkovic a tout à fait répondu à l'Allemagne de Joachim Löw.
Être proactif comme mantra
La Suisse a osé, et cela ne pourra surtout pas lui être reproché. Petkovic l'avait promis, le style de son équipe ne varie pas fondamentalement en fonction de l'adversaire. Être proactif est la règle, qu'importe qu'il y ait l'Ukraine ou l'Allemagne en face, et cela suggère toujours un argument de choix pour témoigner de la progression de l'équipe de Suisse. Elle n'a pas joué comme un petit dimanche, et c'est le signe d'une équipe qui veut grandir et progresser.
Comme jeudi, elle a pressé très haut et relancé très court. Pour réduire les espaces et pour s'en créer. Petkovic a bien préparé son équipe, c'est une évidence. Mais la Suisse reste la Suisse, notamment avec ses forces en présence. En ce rassemblement de septembre, elles sont amputées de bien des éléments qui pourraient rendre cette équipe encore plus juste dans la réalisation.
Car entre la théorie et la pratique, entre les intentions et les résultats, il y a parfois un écart très difficile à combler. Surtout quand il s'agit d'effectuer l'avant-dernière ou la dernière passe qui changerait beaucoup de choses, à commencer par le score au tableau d'affichage.
Dimanche, la Suisse n'a marqué qu'un but et on ne peut pas l'imputer qu'au manque de réussite de Haris Seferovic, quand bien même l'attaquant de Benfica a bien mangé la feuille (sa volée complètement ratée de la 28e ou son poteau de la 42e). D'autant que Renato Steffen ou Ruben Vargas ont aussi eu de jolies opportunités.
A confirmer en octobre
Et puis, la perversité du football veut aussi qu'il y ait un adversaire. Quand celui-ci s'appelle l'Allemagne, toute délestée de membres importants (à commencer par ceux du Bayern Munich, de Neuer à Gnabry, en passant par Kimmich et Goretzka) qu'elle soit, rien n'est évident. Leroy Sané et Timo Werner n'ont pas signé au Bayern et à Chelsea durant l'été pour rien.
Entre la finesse technique de l'un et les appels en profondeur de l'autre, il fallait s'attendre à concéder des occasions, même s'il a parfois manqué de la netteté dans les interventions défensives. Cela aurait permis de moins subir durant les temps faibles. Il y aurait même pu y avoir plus de buts pour la Mannschaft (le raté de Draxler à la demi-heure lui est difficilement pardonnable) que ce n'aurait pas été volé.
Mais s'il y a quelque chose d'admirable à trouver dans l'équipe de Suisse, c'est bien la conviction et la fidélité qu'elle a pour ses idées. Même durant les périodes de domination de l'équipe de Löw, elle a chaque fois tenté de s'en sortir avec ses principes de jeu. Ils n'ont peut-être pas suffi cette fois pour battre l'Allemagne, mais ils sont le signe d'une équipe qui n'a pas cherché à se remettre en question après sa défaite inaugurale dans cette Ligue des Nations. On le sait, celle-ci est sujette aux surprises et même si l'Espagne a pris de l'avance au classement (victoire 4-0 contre l'Ukraine dimanche) et que la Suisse est dernière de sa poule, il faut croire que la relégation en Ligue B n'est pas un inévitable destin.
Mais il s'agira de le confirmer le mois prochain, avec un double déplacement en Espagne et en Allemagne. Les retours espérés des Shaqiri, Mehmedi, Freuler ou Zakaria ne sauraient être de trop. Histoire de hausser la somme des qualités individuelles. Le collectif, lui, commence à être huilé.
Football
Xhaka: "Ce sera parfait mardi quand nous serons qualifiés"
Après la belle victoire contre la Suède samedi à Genève (4-1), Granit Xhaka et la Suisse veulent finir le travail au Kosovo. Même si la qualification pour le Mondial est déjà quasiment acquise.
"Nous avons réalisé un parcours presque parfait pour le moment dans ces qualifications. Ce sera parfait mardi quand nous serons qualifiés", a déclaré le capitaine bâlois lors de son passage en zone mixte.
Avec quatre victoires et un match nul, la Suisse aurait difficilement pu faire mieux depuis le mois de septembre. Mais l'étonnante campagne réussie par le Kosovo, qui a gagné samedi en Slovénie (2-0) et pointe toujours à trois longueurs, empêche pour l'instant les Helvètes de fêter leur qualification.
"Nous sommes proches, mais nous devons rester prudents. Le Kosovo est un adversaire redoutable, qui a battu toutes les équipes du groupe sauf nous", a mis en garde Xhaka.
Eviter une "remontada"
Le no 10, qui a marqué le 2-1 samedi sur penalty, sait bien que seule une défaite par six buts d'écart mardi à Pristina forcerait la Suisse à disputer les barrages. Comme son sélectionneur Murat Yakin, il a toutefois rappelé que tout était possible dans le football.
"Nous avons vu suffisamment de retournement de situation du genre, et nous ne voulons pas nous y ajouter. Nous avons beaucoup de respect pour le Kosovo, mais si nous perdons 6-0, nous ne pourrons nous en prendre qu'à nous-mêmes", a-t-il dit.
L'homme aux 142 sélections a quand même évoqué la désormais très probable participation de la Suisse à une sixième Coupe du monde consécutive depuis 2006: "Ce serait historique, et nous allons faire sorte d'écrire cette histoire. Ce pourrait être la dernière Coupe du monde pour beaucoup d'entre nous. Nous sommes toujours aussi excités à l'idée d'y participer et nous voulons aussi motiver les jeunes joueurs qui pourraient y aller pour la première fois."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Masters ATP: une finale entre Alcaraz et Sinner
Le no 1 mondial Carlos Alcaraz s'est qualifié pour la finale du Masters ATP à Turin. Il affrontera dimanche Jannik Sinner, son grand rival italien et dauphin au classement.
Alcaraz a dominé le Canadien Félix Auger-Aliassime (ATP 8) en deux sets, 6-2 6-4. Pour la première fois de sa carrière, "Carlitos", qui avait été éliminé dès la phase de poules l'an dernier, peut prétendre au titre suprême de "maître".
Il a écoeuré Auger-Aliassime sans réponses face à la puissance et la précision des coups droits de l'Espagnol qui s'est imposé en une heure et 24 minutes de jeu. Mais pour décrocher son neuvième titre de l'année, le 25e de sa carrière à 22 ans, l'Espagnol va devoir faire tomber une montagne.
Il affrontera Sinner pour la sixième fois cette saison, à chaque fois en finale. L'Espagnol mène par quatre victoires à un au bilan de leurs confrontations en 2025. Mais l'Italien a impressionné depuis le début de la semaine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
National League: Ajoie s'offre Genève-Servette
Ajoie a remporté sa quatrième victoire de la saison en National League en battant Genève-Servette 2-0. De son côté, Fribourg-Gottéron s’est incliné 4-2 à Ambri.
Ajoie a fait plaisir à ses supporters. En plus d’avoir annoncé la prolongation de Jerry Turkulainen, le HCA a battu Genève-Servette. Les Jurassiens ont profité d’une pénalité de cinq minutes contre Jan Rutta pour ouvrir le score grâce à Jonathan Hazen (3e).
Dominateurs, les Aigles ont ensuite poussé pour égaliser. Mais Antoine Keller, qui vivait sa première titularisation sous le maillot d’Ajoie, a tenu bon pour s’offrir un blanchissage. Turkulainen a tué le match dans la cage vide (60e).
Fribourg manque la confirmation
Fribourg a manqué l’occasion de confirmer sa belle victoire acquise la veille contre Davos. Les Dragons se sont inclinés 4-2 sur la glace d’Ambri. Les Léventins ont rapidement pris les devants grâce à une réussite de Dominic Zwerger (2e).
Jacob De la Rose (30e) puis Lucas Wallmark (36e) pensaient avoir retourné le match, mais un tir au but transformé par Michael Joly (48e) a remis les compteurs à zéro. Manix Landry a offert la victoire aux siens à la 55e et Miles Müller a scellé le score dans la cage vide (60e).
Bienne sèchement battu
Bienne a concédé une quatrième défaite consécutive en s’inclinant 6-0 à Lugano. Un doublé de Luca Fazzini (7e et 23e) et un triplé de Mike Sgarbossa (28e, 36e et 60e) ont permis aux bianconeri de poursuivre sur leur bonne lancée. Les Tessinois ont remporté huit de leurs dix derniers matches.
Le derby bernois a souri au CP Berne. Les Ours se sont imposés 4-3 après prolongation à Langnau, au terme d’une rencontre à rebondissements. Finalement, Rapperswil-Jona a mis fin à sa série de sept défaites consécutives. Après avoir été menés 2-0, les Saint-Gallois ont battu Kloten 3-2 après prolongation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Suisse - Suède: Michel Aebischer titulaire
Le sélectionneur de l'équipe de Suisse Murat Yakin a choisi l’homme qui remplacera Remo Freuler pour défier la Suède samedi à Genève (20h45). Il s’agit du Fribourgeois Michel Aebischer.
Le milieu de terrain de Pise, absent lors du dernier rassemblement, a été préféré à Djibril Sow, Simon Sohn et Johan Manzambi. Il épaulera le capitaine Granit Xhaka dans l’entrejeu de l’équipe de Suisse.
L'entraîneur bâlois n’a réservé aucune autre surprise. Le Bernois Fabian Rieder fait, comme prévu, son retour en soutien du trio d’attaque Dan Ndoye - Breel Embolo - Ruben Vargas.
Derrière, les quatre hommes titularisés lors des quatre premiers matches de qualification pour le Mondial 2026 sont bien là. De gauche à droite, Ricardo Rodriguez, Manuel Akanji, Nico Elvedi et Silvan Widmer évolueront devant le gardien Gregor Kobel.
Dans le camp suédois, le nouveau sélectionneur Graham Potter a fait le choix de laisser son attaquant star Alexander Isak, qui revient de blessure, sur le banc des remplaçants. Déjà privée de Viktor Gyökeres, la Suède jouera donc avec un duo d'avants-centres inédit: Mattias Svanberg (Wolfbsurg) et Benjamin Nygren (Celtic Glasgow).
La composition suisse: Kobel; Widmer, Elvedi, Akanji, Rodriguez; Aebischer, Xhaka, Rieder; Ndoye, Embolo, Vargas.
La composition suédoise: Johansson; Holm, Lagerbielke, Hien, Svensson; Bernhardsson, Karlström, Ayari, Elanga; Nygren, Svanberg.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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