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Sport

Football : le LS lanterne rouge de Super League

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Fabio Celestini jouera-t-il sa tête ce jeudi à la Pontaise lors de la venue de Lucerne ?

La question est posée après la défaite 2-1 des Vaudois à Bâle qui les relègue à la dernière place du classement au soir de la 29e journée de Super League.

L'équipe rachetée cet hiver par Ineos pour basculer dans une autre dimension est, en effet, la nouvelle "lanterne rouge" alors qu'il reste sept matches à disputer. Victorieux 1-0 à Lucerne, le FC Sion a abandonné la dixième place grâce à sa meilleure différence de buts par rapport aux Lausannois. Fort heureusement, les deux clubs romands n'accusent qu'un point de retard sur les Grasshoppers, Thoune et Lugano.

Au Parc Saint-Jacques, où il s'était imposé 2-1 en septembre dernier pour "lancer" véritablement une saison que l'on pouvait croire sans histoire, Lausanne a cédé dans le temps additionnel. Réduits à dix après l'expulsion de Nicolas Gétaz, les Vaudois ont cédé sur une tête d'Albian Ajeti qui en a prolongé une autre de Michael Lang. L'issue est cruelle pour les Lausannois qui étaient parvenus, à la 63e minute grâce à Francesco Margiotta, à répondre à l'ouverture du score de la 11e minute de Kevin Bua.

Si Lausanne cherche encore et toujours à la fois son jeu et sa confiance, le FC Sion est en passe d'enclencher cette série espérée depuis longtemps par son président. Une semaine après son succès 2-0 à Lausanne, la formation de Maurizio Jacobacci s'est imposée 1-0 à Lucerne. Même si le but de Cunha est particulièrement heureux avec une immense bourde du gardien Jonas Olmin qui a cherché à le dribbler, le succès des Valaisans ne souffre aucune discussion. Toujours emmené par Xavier Kouassi et Carlitos, le FC Sion était tout simplement la meilleure équipe sur le terrain.

Le compte à rebours a débuté pour les Young Boys. Victorieux 1-0 du FC Zurich au Stade de Suisse devant 26'702 spectateurs grâce à une réussite de Sekou Sanogo à la 70e minute, les Bernois ne sont plus qu'à trois victoires du Graal. C'est-à-dire de ce titre derrière lequel ils courent depuis 1986. Trois matches à gagner pour rompre enfin le maléfice qui les poursuit depuis trente-deux ans.

(ATS)

CREDIT PHOTO : KEYSTONE/PETER KLAUNZER

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Football

Mesut Özil tire sa révérence à 34 ans

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Mesut Ozil sous les couleurs de Fenerbahce en octobre 2021. (© KEYSTONE/EPA/ERDEM SAHIN)

Il a conquis l'Allemagne grâce à son "pied léger", avant de claquer la porte de la Mannschaft sur fond d'accusations de racisme: le meneur de jeu allemand Mesut Özil se retire à 34 ans.

"Ces derniers mois et dernières semaines, après avoir souffert de plusieurs blessures, il est devenu de plus en plus clair qu'il était temps pour moi de quitter ce grand monde du football", a expliqué le champion du monde 2014 dans un long message publié sur Twitter.

L'ancien joueur du Werder Brême, du Real Madrid et d'Arsenal, au cours de sa carrière achevée avec le club turc de Basaksehir, a déchaîné les passions, sur les terrains et en dehors.

Il s'était engagé en juillet dernier avec Basaksehir pour une saison, après un passage délicat à Fenerbahçe où il était entré en conflit avec sa direction.

Özil avait déjà fini au placard à Arsenal, son précédent club.

Une photo avec Angela Merkel

L'histoire avait pourtant bien commencé: "C'est le nouveau numéro dix de l'Allemagne", claironnait le magazine Stern en juin 2010 au sujet du gamin de la Ruhr.

Né de parents turcs, le meneur de jeu et son équipier germano-tunisien Sami Khedira font des merveilles au Mondial sud-africain, dont l'Allemagne termine troisième, et ne tarde pas à être érigé en symbole d'une Allemagne multiculturelle.

Une photo synthétise la belle histoire: torse nu et tout sourire, Özil serre la main de l'ex-chancelière Angela Merkel.

Après le Mondial, Özil signe au Real Madrid, tremplin vers le triomphe allemand de 2014 au Brésil, où il sera paradoxalement moins séduisant qu'en Afrique du Sud.

Ses longs cheveux ont disparu au profit d'une coupe plus sage, l'Allemand prête son image à Adidas.

Mais sa carrière connaît un tournant en mai 2018: Özil et son équipier de la Mannschaft Ilkay Gündogan, lui aussi d'origine turque, posent à Londres en compagnie du président turc Recep Tayyip Erdogan, en pleine campagne pour sa réélection.

Le cliché fait polémique, alors que Berlin accuse Ankara de dérive répressive. Le chef d'État turc répond en traçant un parallèle entre l'Allemagne contemporaine et le nazisme.

Peu après, l'Allemagne, championne du monde, est éliminée dès la phase de poules du Mondial russe, une humiliation.

"J'ai deux coeurs"

Özil devient le bouc émissaire de l'extrême droite. Certains médias allemands l'accablent aussi.

Lâché par le président de la Fédération allemande de football, Özil finit par claquer la porte de la Mannschaft en juillet, pour "aussi longtemps que je (ressentirai) du racisme et du manque de respect à mon égard".

"Erdogan est le président actuel de la Turquie et je dois montrer du respect à cette personne, quelle qu'elle soit", plaidait-il.

Un an plus tard, Özil choisit M. Erdogan comme témoin de mariage lorsqu'il s'unit à une ancienne miss Turquie, Amine Gülse.

Et quitte à dire le fond de sa pensée, il s'indigne du traitement réservé par la Chine à la minorité musulmane ouïghoure. En réaction, la télévision d'État CCTV déprogramme un match d'Arsenal contre Manchester City.

Les Gunners prennent alors leurs distances avec Özil, soucieux "de ne pas s'impliquer dans la politique".

Sur une voie de garage à Londres, le milieu de terrain avait choisi à 32 ans de vivre sa première expérience en Turquie en rejoignant Fenerbahçe en janvier 2021, avant de rejoindre Basaksehir l'été dernier.

"J'ai certes grandi en Allemagne, mais mon histoire familiale a ses racines solidement plantées en Turquie. J'ai deux coeurs, un allemand et un turc", assurait le joueur en 2018.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hockey

Premiers matches de la Suisse à Viège, Porrentruy et Lausanne

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Patrick Fischer et ses joueurs seront réunis en Valais et à Lausanne pour les premiers camps d'entraînement en vue du Championnat du monde. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'équipe de Suisse effectuera la première partie de sa préparation en vue du Championnat du monde à Riga en Valais et à Lausanne entre le 11 et le 22 avril. Elle affrontera la Slovaquie et la France.

Dès le 11 avril, la première sélection sera réunie à Viège en camp d'entraînement. Elle disputera deux matches contre la Slovaquie (14 avril/19h45/Viège) et le lendemain à Porrentruy (17h00).

La semaine suivante, les joueurs seront réunis à Lausanne. Le premier duel contre la France aura lieu à Viège (21 avril/19h45) et le deuxième à Lausanne le samedi 22 avril (17h00).

Suite à ces quatre matches de préparation en Suisse, l'équipe de Suisse disputera deux matches amicaux contre la Lettonie les 28 et 29 avril à Riga. Les Czech Hockey Games se tiendront ensuite du jeudi 4 au dimanche 7 mai à Göteborg (SWE, Breakout Game) et Brno (CZE). Dans le cadre de ce quatrième tournoi de l'Euro Hockey Tour, la Suisse sera une nouvelle fois opposée aux nations de premier ordre que sont la Suède, la Finlande et la Tchéquie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

La cinquième campagne de Yann Sommer

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Yann Sommer motivé comme jamais avec la Suisse (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Au soir du funeste 6 décembre dernier, il avait laissé planer le doute quant à son avenir en équipe de Suisse. Yann Sommer disputera bien sa 5e campagne dans le rôle du no 1 de l'équipe de Suisse.

"J'en veux encore", lâche Yann Sommer trois mois et demi après le naufrage de Doha contre le Portugal, cette défaite 6-1 dans un huitième de finale qu'il n'aurait pas dû, affirme Murat Yakin avec le recul nécessaire, jouer en raison de son état grippal. "Je veux contribuer à la qualification pour l'Euro 2024", poursuit celui qui a succédé à Diego Benaglio au lendemain de la Coupe du monde 2014 et qui honorera samedi dans le huis clos de Novi Sad face à la Biélorussie sa 81e sélection.

Une autre galaxie

De l'eau a coulé sous les ponts entre Doha et Novi Sad. Le 18 janvier dernier, Yann Sommer est entré dans une autre galaxie avec sa signature au Bayern Munich. Après huit ans et demi à Mönchengladbach, le Bâlois découvre à 34 ans l'ivresse de porter les couleurs d'un club armé pour remporter la Ligue des Champions. Les dirigeants bavarois ont très vite estimé qu'il était le seul en mesure de remplacer Manuel Neuer, sur le flanc en raison d'une fracture de la jambe contractée lors de ses vacances à la neige.

Entre le 20 janvier, date de sa première sous ses nouvelles couleurs, et le 19 mars, Yann Sommer a disputé 13 rencontres avec le Bayern Munich. "Tout est démultiplié, glisse Yann Sommer. Les stades, le devoir d'exigence auquel vous êtes confronté lorsque l'on joue pour le Bayern, la pression, bien sûr, et le regard que l'on porte sur vous." Le Bâlois sait qu'une bourde commise dans un grand match peut vous coller à la peau à jamais. Il sait, ainsi, que son dribble manqué dans sa surface lors du huitième de finale retour de la Ligue des Champions contre le PSG aurait pu lui coûter très cher. Il ne fut sauvé qu'au prix d'un réflexe extraordinaire de Matthijs De Ligt sur la ligne. Les 700 kilos de chocolat suisse qu'il a offert à son coéquipier néerlandais pour ce sauvetage sur la frappe de Vitinha ne sont rien face aux conséquences liées à un but concédé de la sorte dans une telle rencontre.

"On dirait que Yann joue depuis cinq ans avec nous"

Ses parades devant Kylian Mbappé au match aller et face à Sergio Ramos au retour lui ont toutefois permis de signer deux clean sheets lors de ce huitième de finale. Et de conforter ses dirigeants dans la justesse de leur choix. "On dirait que Yann joue depuis cinq ans avec nous", souligne ainsi le directeur sportif Hasan Salihamidzic.

Les deux rencontres de l'équipe de Suisse contre la Biélorussie et Israël tombent avant un mois d'avril qui sera celui de la vérité pour le Bayern et Yann Sommer: le "Klassiker" contre Dortmund le 1er avril suivi par les quarts de finale de la Ligue des Champions contre Manchester City et de Coupe d'Allemagne contre le SC Fribourg. "L'idée de zapper les deux matches de l'équipe de Suisse ne m'est pas venue une seule seconde, dit-il. Changer d'air me fait du bien, retrouver mes coéquipiers en sélection aussi."

"Nous sommes les favoris de ce groupe. A nous de faire le nécessaire pour justifier ce statut, poursuit Yann Sommer. La clé sera de préparer tous les matches avec la même minutie." Le natif de Morges ne veut pas croire que cette campagne sera la dernière de sa carrière internationale. "Il y aura bien un moment où je remarquerai que mon temps est compté, lâche-t-il. Mais aujourd'hui, je suis aussi motivé que jamais."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Genève piégé par Lugano, Berne égalise face à Bienne

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Luca Fazzini a inscrit le but gagnant en prolongation (© KEYSTONE/TI-PRESS/Pablo Gianinazzi)

Que de suspense dans les quarts de finale des play-off de National League. Genève s'est incliné 2-1 ap à Lugano et Bienne a perdu 3-2 à Berne, ce qui fait 2-2 dans les deux séries.

Qui aurait pu imaginer que ce Lugano-là, qualifié par les poils pour les pré-play-off, allait donner autant de mal à Genève, leader du championnat?

Car oui, les Tessinois ont trouvé le moyen d'ennuyer les Aigles. Solides défensivement, les hommes de Luca Gianinazzi y vont au courage face aux Genevois. Attention, ils ne sont pas dénués de talent non plus, mais il est vrai que ce qui ressort des Bianconeri c'est cette volonté de ne rien lâcher.

Les Grenat avaient pourtant trouvé la faille dès la 3e minute grâce à Linus Omark. Mais les Luganais ont répliqué à la 12e via Sam Guerra d'un tir extrêmement bien placé. Le défenseur tessinois n'a laissé aucune chance à Robert Mayer, par ailleurs excellent.

Genève a cherché le 2-1, notamment en power-play, mais sans parvenir à battre la vigilance de Koskinen. Il a donc une nouvelle fois fallu recourir aux prolongations. Ou plutôt à la prolongation puisque la décision est tombée bien plus tôt que samedi aux Vernets.

Ce n'est qu'après 69 secondes que Luca Fazzini a pu battre Robert Mayer et donner un coup sur les casques genevois. Lugano défend fièrement ses chances et Genève va devoir trouver un moyen de reprendre l'avantage vendredi à domicile lors du cinquième acte.

Simon Moser ce héros

Une série bernoise relancée? C'est le moins que l'on puisse dire. Alors que l'on avait la (fausse) impression que Bienne était supérieur à Berne, les hommes d'Antti Törmänen ont vu les joueurs de la capitale revenir à leur hauteur. Et même si les Ours ont eu un peu de chance, on pense ici au 2-1 de Kahun qui est en fait un autogoal de Schneeberger, il faut reconnaître que la troupe de Toni Söderholm a bien négocié ce quatrième acte.

Le grand bonhomme de la rencontre côté bernois s'appelle Simon Moser. Le vétéran a signé un doublé, son 21e en carrière, pour aider son équipe. On peut d'ailleurs mettre l'emphase sur le 3-1 absolument magnifique, lorsque Moser est parti de son propre camp pour aller battre Säteri.

Fabio Hofer a réduit l'écart à la 55e, mais le mal était fait. Autre souci pour les Biennois, la sortie sur blessure de Damien Brunner au cours du deuxième tiers après un contact sur le genou. Espérons que cela ne soit pas trop grave pour l'ailier seelandais.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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