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Fribourg Olympic remporte un match fou
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Fribourg Olympic a remporté sa septième Coupe de la Ligue dimanche à Clarens. Le champion de Suisse a dominé Massagno 84-73 après prolongation dans une finale de folie.
Quelle tension! Quel match entre les deux meilleures formations de LNA. Et quel caractère dans les rangs fribourgeois. Menés de neuf longueurs, les joueurs de Petar Aleksic ont puisé dans la mémoire de leurs victoires pour renverser la tendance sur le parquet de la dernière Euroligue. Irrésistibles à partir de la 38e, les Fribourgeois ont ensuite dominé de la tête et des épaules les cinq minutes d'overtime.
Mais pour avoir droit à cet heureux épilogue et à cette prolongation décisive, Olympic a dû rassembler ses esprits après un marcher très coûteux à la 38e. En trois actions, le score est passé de 65-56 à 65-63 grâce à Mitchell, puis Jurkovitz à 3 points, et enfin Jordan à la suite d'une énième interception. C'est ensuite Jurkovitz qui a ramené les deux équipes à égalité pour ouvrir les portes du temps supplémentaire.
Au cours d'une prolongation à sens unique, Fribourg a retrouvé ses valeurs et les préceptes défensifs vantés par son coach. Etouffés, les Tessinois ont eu le bras qui a tremblé alors qu'ils étaient tout près de leur premier trophée. Trop maladroits en fin de match, les joueurs de Robbi Gubitosa ont perdu leur basket au plus mauvais moment. Et Fribourg l'a parfaitement senti. Le coeur du champion a pulsé comme jamais au meilleur des moments.
Un début de match défensif
Avant cette fin complètement folle, la finale fut davantage le théâtre de beaux jeux défensifs que d'un festival offensif. Ceci eut pour conséquence un nombre important de tirs forcés et donc de tentatives galvaudées. Fribourg a d'ailleurs souvent été poussé à la limite des 24 secondes. Le mérite en revient bien évidemment aux hommes de l'entraîneur Robbi Gubitosa.
Mais côté fribourgeois, Natan Jurkovitz (19 points) et Davonta Jordan, auteur de 22 points mais aussi particulièrement tenace en défense avec ses six interceptions, ont montré qu'ils étaient davantage prêts à franchir le palier supplémentaire.
La pilule est amère pour Massagno, qui s'était incliné en finale face aux Lions de Genève l'an dernier et qui perd sa troisième finale sur les quatre dernières années. C'est la deuxième fois cette saison que Fribourg stoppe la route des Tessinois après les avoir éliminés en huitièmes de finale de la Coupe de Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
La soirée spéciale de Killian Mottet à Fribourg
Unique buteur d'Ajoie lors de la défaite 5-1 mercredi à Fribourg, Killian Mottet a vécu une soirée particulière. Celui qui est prêté au Jura par Fribourg avait les larmes aux yeux après le match.
En sautant sur un rare rebond offert par Reto Berra pour réduire le score à 2-1, Killian Mottet avait redonné espoir aux Ajoulots. Malheureusement pour la troupe de Greg Ireland, cette réussite fut la seule de la soirée. Et le mieux observé avant la pause internationale n'a pas franchement transpiré à Fribourg. Hormis quelques contres lors d'un tiers initial où Fribourg a parfois joué avec le feu, le HCA n'a rien montré de convaincant pour essuyer sa 19e défaite en 22 parties.
Alors forcément, dans un tel contexte, les sentiments de Killian Mottet étaient partagés. "Si on gagne 2-0 et que je ne marque pas, ça me va aussi", a reconnu le Fribourgeois. Mais l'ailier de 34 ans a marqué et a eu droit à une ovation du public fribourgeois. Il a fait un signe discret en direction de ses proches sans effusion. Mais au moment de l'interview, Mottet a lutté pour retenir ses larmes.
Premier but à Berra
"J'ai entendu les applaudissements et ça m'a beaucoup touché, raconte-t-il. C'est très rare. Ce sont des moments qui marquent. Certaines personnes m'aiment, d'autres pas, c'est comme ça, c'est la vie, c'est le hockey, mais quand tu reçois une ovation pareille par les supporters adverses, c'est vrai que ça te touche énormément et je les remercie du fond du coeur."
Parce que le lieu qui unit Mottet à Fribourg est fort. S'il a décidé d'aller en prêt à Ajoie, c'est parce que la situation à Fribourg ressemblait pour lui à une voie sans issue sur le plan sportif. "C'est très spécial, explique-t-il. On n'avait pas joué pendant dix jours et j'ai pu rentrer à Fribourg pour profiter de quelques jours de pause. Logiquement, beaucoup de gens m'ont parlé de ce match. Ce n'était pas facile de s'imaginer jouer là. Après, c'est quand même une petite fierté d'avoir pu marquer un goal à Berra. Je crois que c'est le premier de ma carrière."
Une adaptation pas évidente
Désormais meilleur buteur suisse du HCA avec ce cinquième goal de la saison, Mottet est revenu sur ces premiers mois au Jura: "C'est un gros changement. J'ai fait treize ans dans cette patinoire avec souvent les mêmes joueurs. J'arrive à Porrentruy dans un vestiaire où je connais personnellement peut-être deux ou trois joueurs, les autres je dois apprendre à les connaître. J'ai un enfant aussi maintenant, ce n'est pas facile de vivre sans lui et sans ma femme. C'est un rythme à prendre, je dois m'adapter au mieux. Et au fur et à mesure que la saison avance, j'essaie de monter en puissance et d'aider l'équipe. Il y a Killian Mottet le sportif, mais il y a aussi Killian Mottet l'humain."
Après ce match à Fribourg, Ajoie va au-devant d'un week-end lémanique avec un déplacement à Lausanne vendredi et la réception de Genève samedi. Que faut-il faire pour espérer avoir le sourire et quelques points en banque? "Il faut que l'on retrouve notre jeu défensif et que l'on prenne moins de pénalités, conclut l'attaquant. Offensivement, il faut aller devant le but pour marquer et nous devons impérativement jouer soixante minutes."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Granit Xhaka, l'ambition insatiable du patron de l'équipe de Suisse
Partout où il passe, il laisse une trace indélébile. A 33 ans, que ce soit en équipe de Suisse ou à Sunderland, Granit Xhaka s'est trouvé de nouveaux défis pour assouvir son insatiable ambition.
Il faut voir à quel point le Bâlois fait l'unanimité depuis son retour en Premier League anglaise, au sein d'un club promu qui ne cesse de surprendre. Son entraîneur Régis Le Bris n'a d'ailleurs pas tardé à lui confier le brassard. "Après 10 minutes sur le terrain j'ai su qu'il serait notre capitaine", avait déclaré le technicien français en préambule de la saison de Premier League.
Trois mois plus tard, les étonnants Black Cats flirtent avec le podium alors que la plupart des observateurs les voyaient plutôt lutter contre la relégation du début à la fin de l'exercice. Dernièrement, ils se sont imposés contre Chelsea à Stamford Bridge (2-1) et ont arraché un nul face au leader Arsenal (2-2), l'ancien club de Xhaka (2016-2023).
Encensé par Rooney
Enzo Le Fée, le milieu de terrain français qui a participé à la promotion de Sunderland dans l'élite, est sous le charme: "Granit est le meilleur capitaine que j'ai eu dans ma vie." Même les anciennes légendes s'inclinent. Pour l'ancien international anglais Wayne Rooney, le Suisse est tout simplement "la meilleure recrue de la saison de Premier League."
Son arrivée à l'embouchure du Wear en avait pourtant surpris plus d'un, alors que certaines rumeurs l'envoyaient en Italie voire même en Arabie saoudite, dans la ville futuriste de Neom. Mais il a été convaincu par le projet du Franco-Suisse Kyril Louis-Dreyfus (28 ans), fils des anciens propriétaires de l'Olympique de Marseille et qui dirige désormais le club du Stadium of Light.
A Sunderland, Granit Xhaka relève "le plus grand défi de sa carrière", comme il l'a expliqué au Blick. Poussé par la ferveur des fidèles supporters des Black Cats - "des vrais fans, pas des touristes" - le milieu de terrain n'a jamais semblé aussi en forme, alors qu'il est bien plus proche de la fin que du début de sa carrière. Un seul chiffre suffit à le prouver: aucun joueur n'a parcouru plus de kilomètres que lui sur les pelouses de l'élite anglaise cette saison, selon les statistiques de Sky Sports.
Jusqu'en 2030?
Dans le meilleur championnat du monde comme avec la Suisse, le Bâlois est en mission. Avec la sélection, il s'agit pour lui de disputer une quatrième Coupe du monde consécutive, peut-être la dernière de sa carrière, même s'il n'écarte pas totalement la possibilité d'être encore compétitif en 2030. Et lorsqu'on voit un Luka Modric encore indispensable à la Croatie et l'AC Milan à 40 ans et près de 200 sélections, on peut bien imaginer Xhaka (141 capes) rester le patron de l'équipe de Suisse encore quelques années...
Ces quelques années, l'ancien joueur du Bayer Leverkusen (2023-2025) veut les mettre à profit pour s'assurer que l'exigence qu'il incarne depuis 2011 perdure après sa retraite internationale. "C'est sans aucun doute le plus grand défi que j'ai eu à relever depuis mes débuts en équipe nationale", avait-il confié lors de la tournée américaine de juin.
Il sera un "grand coach"
S'il parvenait à atteindre les derniers objectifs de son immense carrière, Granit Xhaka cimenterait un peu plus son statut de plus grand joueur suisse de l'histoire. Avant de poursuivre sur le banc son histoire d'amour avec le ballon rond, lui qui a toujours été le relais de ses entraîneurs sur le pré.
Tout indique en effet qu'il suivra un jour les traces de Mikel Arteta et Xabi Alonso, ses mentors à Arsenal et Leverkusen, qui ont, comme lui, brillé par leur intelligence de jeu au milieu du terrain. Ce n'est pas pour rien que le premier nommé, disciple de Pep Guardiola et l'un des meilleurs techniciens de la planète football, a récemment déclaré que Granit Xhaka serait un jour un "grand coach".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
La France se qualifie pour la Coupe du monde
Sans surprise, la France sera du voyage en Amérique du Nord l'an prochain pour le Mondial. Les Tricolores ont écrasé l'Ukraine 4-0.
Au Parc des Princes, dix ans après les attentats meurtriers à Paris, la troupe de Didier Deschamps a fait le spectacle. Et bien évidemment, Kylian Mbappé s'est signalé en inscrivant un doublé. Il a également servi Ekitike pour le 4-0. L'autre but a été l'oeuvre d'Olise.
Forte de ce quatrième succès en cinq matches, la France passe à 13 points. L'Islande et l'Ukraine suivent avec 7 alors qu'il ne reste plus qu'un match à jouer pour chaque nation.
L'Italie s'est fait peur à Chisinau. Face à la Moldavie, les Transalpins ont dû attendre la 88e pour prendre les devants par Mancini. Espsoito a doublé la mise dans les arrêts de jeu pour un succès 2-0. Mais les Italiens accusent toujours trois points de retard sur la Norvège d'Erling Haaland. L'Italie-Norvège de dimancheà San Siro, dernier match de ces qualifications, sera explosif.
Déjà qualifiée, l'Angleterre a disposé de la Serbie 2-0. Tandis qu'à Dublin, le Portugal s'est incliné 2-0. Les Lusitaniens étaient menés sur ce score à la mi-temps. Mais pour ne rien arranger, Cristiano Ronaldo s'est fait expluser à la 61e pour un coup de coude.
Cette défaite ne devrait être qu'une péripétie, puisque la Seleçao, leader avec deux points d'avance sur la Hongrie, affronte l'Arménie dimanche lors du dernier match.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Carlos Alcaraz assuré de terminer 2025 comme no 1 mondial
L'Espagnol Carlos Alcaraz est assuré de terminer l'année à la première place du classement ATP. Ceci après sa victoire face à l'Italien Lorenzo Musetti 6-4 6-1 lors du Masters ATP jeudi à Turin.
Alcaraz, 22 ans, finira pour la deuxième fois de sa carrière, après 2022, la saison sur le trône de no 1 mondial. Il a remporté cette année huit titres, dont Roland-Garros et l'US Open, pour porter son palmarès à 24 titres, dont six en Grand Chelem.
L'Espagnol a coiffé sur le poteau son grand rival italien Jannik Sinner, le seul à pouvoir soutenir la comparaison avec lui cette saison, qu'il a délogé de la première place mondiale en septembre après 65 semaines de règne, avant un bref retour d'une semaine à la première place mondiale de l'Italien début novembre.
Les deux joueurs sont actuellement séparés par 1050 points au classement ATP (11'050 pour Alcaraz, 10'000 pour Sinner).
Avec trois victoires en autant de matches de la phase de poules, soit 600 points, l'Espagnol a porté son total provisoire à 11'650 points. Même s'il devait réaliser un sans-faute et remporter le titre comme en 2024, Sinner empocherait 1500 points, ce qui porterait son total à 11'500 points, inférieur à celui d'Alcaraz.
En terminant à la première place du groupe Jimmy Connors, Alcaraz affrontera en demi-finales samedi le deuxième du groupe Björn Borg, actuellement l'Allemand Alexander Zverev (3e mondial).
L'année 2025 a été marquée par le duel entre Alcaraz et Sinner qui se sont partagés les quatre titres du Grand Chelem et qui ont surclassé la concurrence.
Zverev, troisième mondial, a deux fois moins de points (4960 pts) au classement ATP que chacun d'eux.
L'Espagnol affiche avant sa demi-finale un impressionnant bilan de 70 victoires, pour huit défaites, et s'est imposé sur toutes les surfaces du circuit ATP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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