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International

Olympic manque sa qualification pour la Ligue des champions

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Petar Aleksic et Olympic ne disputeront pas la Ligue des champions (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Fribourg Olympic ne disputera pas la Ligue des champions 2021/22. Les hommes du coach Petar Aleksic se sont inclinés 77-64 face à Cluj-Napoca en finale du tournoi de qualification de Peristeri.

Tombeur de Split mercredi, le triple champion de Suisse en titre n'est pas parvenu à signer un deuxième exploit consécutif sur le parquet grec. Olympic, qui a compté jusqu'à 7 points d'avance dans le premier quart (21-14, 9e), a tenu le choc jusqu'à la 22e minute avant de concéder un partiel de 13-2 qui allait s'avérer fatal.

Les Fribourgeois n'ont alors pas inscrit le moindre point pendant 6'01'', après que Boris Mbala leur avait permis de prendre une dernière fois l'avantage (43-41 après 21'07''). Menés 48-58 après 30' de jeu, ils ont recollé à 6 points à 3'21'' du "buzzer" (61-67) avant de lâcher définitivement prise.

Cette défaite marque donc, sauf revirement de dernière minute, la fin de l'aventure européenne pour Olympic cette saison. Les Fribourgeois auraient pu être reversés en Europe Cup, mais la participation à l'édition 2020/21 de cette compétition avait trop pesé sur leurs finances.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Accusations de "génocide" à Gaza: Israël rejette le rapport d'AI

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"Attaqué sur sept fronts", Israël assure se défendre "en agissant en pleine conformité avec le droit international" (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/ATEF SAFADI)

Le ministère israélien des Affaires étrangères a rejeté jeudi comme "fabriqué de toute pièces" un rapport de l'organisation de défense des droits humains Amnesty International. Celui-ci l'accuse de "commettre un génocide" contre les Palestiniens dans la bande de Gaza.

"L'organisation déplorable et fanatique Amnesty International a une fois de plus produit un rapport fabriqué de toutes pièces, entièrement faux et basé sur des mensonges", a écrit un porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères dans un communiqué.

"Le massacre génocidaire du 7 octobre 2023 a été perpétré par l'organisation terroriste Hamas contre des citoyens israéliens. Depuis lors, les citoyens israéliens sont soumis à des attaques quotidiennes sur sept fronts différents. Israël se défend contre ces attaques en agissant en pleine conformité avec le droit international", poursuit le texte.

Les Palestiniens, "des sous-humains"

Amnesty International a publié jeudi un rapport accusant Israël de "commettre un génocide" contre les Palestiniens dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre le 7 octobre 2023, appelant la communauté internationale à ne pas en être "complice".

"Mois après mois, Israël a traité les Palestiniens de Gaza comme un groupe de sous-humains, indigne du respect des droits humains et de la dignité, démontrant son intention de les détruire physiquement", a affirmé la secrétaire générale de l'organisation, Agnès Callamard.

Ce rapport de 300 pages met en avant "suffisamment d'éléments pour conclure qu'Israël a commis et continue de commettre un génocide contre les Palestiniens de la bande de Gaza" depuis l'attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023 dans le sud d'Israël, qui a déclenché la guerre en cours, indique Amnesty International.

Dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien, l'attaque du Hamas a entraîné la mort de 1208 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles israéliennes incluant les otages tués ou morts en captivité.

Depuis le début de la guerre déclenchée en représailles par Israël, 44'532 personnes ont été tuées à Gaza, en majorité des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Stromae réapparaît avec un film live et une chanson qui cartonne

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Le film a été conçu comme une immersion dans la tournée mondiale qui a suivi le troisième album de Stromae, "Multitude", triple disque de platine (archives). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Sa dernière tournée s'était brusquement arrêtée en mai 2023 car il était épuisé: Stromae réapparaît sur les écrans vendredi dans "Multitude, le film", plongée live pour "remercier" ses fans, et cartonne avec une nouvelle chanson.

Avis aux indiscrets: circulez, il n'y a rien à voir côté coulisses, si ce n'est quelques parenthèses furtives. Ici, Stromae s'échauffe à la corde à sauter. Là, des réglages scéniques servent d'intermèdes entre les morceaux.

Le film a été conçu comme une immersion dans la tournée mondiale qui a suivi "Multitude", triple disque de platine et troisième album du chanteur belge de 39 ans, l'un des artistes francophones les plus écoutés dans le monde.

Fans déçus

Cette tournée devait s'étirer jusqu'en décembre 2023, mais a été stoppée huit mois plus tôt. Il avait notamment annulé trois concerts prévus en Suisse, à Genève et Bâle. Un écho au précédent de 2015: essoré par une tournée géante dans la foulée de son deuxième album "Racine carrée" (2013), Stromae avait une première fois jeté l'éponge, souffrant d'une grave dépression.

"Ça représente quand même 750'000 spectateurs qui n'ont pas pu voir le show, qui ont été déçus, mais qui ont complètement accepté les annulations", souligne l'un des réalisateurs, Luc Van Haver. L'idée a alors émergé de proposer un contenu "digne de cette bienveillance pour les remercier", ainsi que toute l'équipe autour du projet, explique le réalisateur, par ailleurs frère de l'artiste.

Se concentrer sur le show est apparu comme "une évidence" grâce aux nombreuses images déjà tournées, "plutôt que de sortir un docu sur les coulisses ou sur la vie de Paul" Van Haver, le vrai nom de Stromae, ajoute-t-il.

"Beaucoup d'énergie"

Tel un "patchwork", le film assemble des morceaux de concerts dans une vingtaine de lieux différents mais réussit à créer une unité. Avec peu d'images du public, les caméras sont braquées plein phare sur Stromae qui chante: "tant que j'suis en vie, j'suis invaincu".

"Il donne toujours beaucoup d'énergie sur scène mais, parfois, l'interprétation change un peu, donc ça nous a laissé une liberté énorme de pouvoir choisir vraiment les moments qu'on voulait et je pense que ça rajoute à l'émotion et à la force du film", estime le second réalisateur, Cyprien Delire.

Top mondial

Questionné sur la forme actuelle de son frère, Luc Van Haver répond que "Paul va mieux" et qu'il est "hyper heureux" de cette sortie. Quid de la suite ? "Paul n'a jamais arrêté de faire de la musique", même si "un album n'est pas à l'ordre du jour", glisse-t-il.

Sa créativité a débouché sur une nouvelle composition originale, "Ma meilleure ennemie", sortie le 23 novembre. Le titre, en duo avec la chanteuse française Pomme, apparaît sur la bande originale de la série "Arcane" (Netflix). Il s'agit de la chanson interprétée en français la plus écoutée en 24 heures sur Spotify, selon le géant du streaming.

Le film sera diffusé vendredi soir sur TMC et TF1+ en France, avant d'être disponible sur YouTube à partir du 14 décembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le bitcoin franchit la barre des 100'000 dollars

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Le bitcoin, qui oscillait autour de 69'000 dollars le 5 novembre, jour de l'élection présidentielle aux Etats-Unis, a gonflé de plus de 46% depuis (archives). (© KEYSTONE/AP/Mark Humphrey)

Le bitcoin a franchi jeudi la barre des 100'000 dollars, un mois après l'élection à la présidence des Etats-Unis de Donald Trump, fervent promoteur des cryptomonnaies. Il était propulsé par l'annonce de la probable nomination de Paul Atkins à la tête de la SEC.

L"effet Trump" n'en finit pas de doper le bitcoin: vers 06h40 jeudi, la plus importante des cryptomonnaies en termes de capitalisation valait ainsi 102'458 dollars, soit une hausse de 3,63%, après avoir culminé un peu plus tôt à 103'800,44 dollars.

Un tel niveau, loin d'être imaginé il y a 16 ans lors de la création de la monnaie, pourrait crédibiliser un peu plus le controversé secteur des actifs numériques, lequel voit voir pour l'heure comme une aubaine le retour du milliardaire républicain à la Maison Blanche, surtout avec Elon Musk à ses côtés.

Car après avoir qualifié les cryptomonnaies d'escroquerie durant son premier mandat, Donald Trump a changé son fusil d'épaule pendant sa campagne, le secteur ayant aussi participé à financer cette dernière. Le président élu jure désormais qu'il fera des Etats-Unis "la capitale mondiale du bitcoin et des cryptomonnaies". Conséquence: le bitcoin, qui oscillait autour de 69'000 dollars le 5 novembre, jour de l'élection, a gonflé de plus de 46% depuis.

Son cours s'est même envolé de plus de 8% dans la nuit de mercredi à jeudi: à l'origine de cet accès de fièvre, le président élu a annoncé qu'il prévoyait de nommer l'avocat républicain Paul Atkins à la tête de l'Autorité de régulation des marchés financiers (SEC). "Cette nomination stratégique a électrisé la communauté des cryptos, confortant l'optimisme quant à un paysage réglementaire plus accommodant" et plus généralement "une approche indulgente à l'égard du marché en plein essor des actifs numériques", observe Stephen Innes, de SPI Asset Management.

Expérimentation salvadorienne mitigée

L'an dernier, M. Atkins avait critiqué publiquement les responsables de la SEC, estimant qu'ils auraient dû se montrer "plus accommodants" avec les entreprises des "cryptos" et accusant leur approche de détourner les entrepreneurs du marché américain. "Paul reconnaît que les actifs numériques sont cruciaux pour rendre l'Amérique encore plus grande qu'elle l'a jamais été", a commenté Donald Trump sur sa plateforme Truth Social.

Paul Atkins succédera à Gary Gensler, dont l'approche répressive à l'encontre des devises numériques hérissait le secteur et dont la démission anticipée en novembre avait déjà fait bondir le cours du bitcoin. Alors que la frénésie des spéculateurs a repris après la trêve de Thanksgiving, la perspective d'une régulation assouplie nourrit "l'espoir de voir les cryptomonnaies s'intégrer plus profondément dans la vie économique", note Samer Hasn, de XS.com.

L'envolée a aussi été alimentée par l'éventualité de la création par Donald Trump d'un ministère chargé des cryptomonnaies, relevait récemment Kathleen Brooks, experte pour le courtier XTB. "Pourrait-il être le président qui permettra aux cryptomonnaies de se généraliser, les Américains pourront-ils les utiliser pour payer leurs impôts ? Il y a davantage de chances que cela se produise", a-t-elle ajouté.

Le Salvador a été en 2021 le premier pays à adopter le bitcoin comme monnaie légale, sans convaincre la population. Donald Trump pourrait aussi créer une réserve stratégique de bitcoins aux Etats-Unis, principalement grâce aux jetons saisis par la justice, ce qui légitimerait davantage la devise auprès d'autres pays.

Quête de respectabilité

De nombreuses cryptomonnaies et sociétés du secteur ont vu leur cours exploser après l'élection américaine, à l'instar du fournisseur de services Bitcoin MicroStrategy et de la plateforme d'échanges Coinbase. Le dogecoin, crypto créée initialement pour plaisanter, et dont Elon Musk s'est entiché à partir de 2019, a aussi surfé sur la vague.

M. Musk a d'ailleurs été nommé par Donald Trump à la tête d'une "commission à l'efficacité gouvernementale", dont l'acronyme en anglais est "Doge". Le bitcoin est né en 2008 d'un rêve libertarien: échapper au contrôle des institutions financières en s'appuyant sur une technologie ("blockchain") qui permet d'enregistrer de manière décentralisée et infalsifiable les transactions grâce à un réseau d'ordinateurs dans le monde entier.

Le bitcoin, comme les autres cryptomonnaies, sera au fil des années impliqué dans plusieurs scandales financiers, devise privilégiée des pirates informatiques ou pour monnayer des activités illicites. Le bitcoin est aujourd'hui en quête de respectabilité: outre l'expérience du Salvador, suivi par la Centrafrique, certains commerçants l'acceptent comme moyen de paiement, comme l'a fait Elon Musk pour ses voitures Tesla, avant de faire volte-face.

Aux Etats-Unis, deux nouveaux produits de placement (ETF), l'un suivant la performance du bitcoin, l'autre celle de l'éther, la deuxième principale cryptomonnaie, ont attiré des dizaines de milliards cette année, contribuant à l'envolée du cours.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Un 5e succès de suite pour Atlanta

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Clint Capela (15) et les Hawks ont cueilli face aux Bucks leur 5e victoire d'affilée (© KEYSTONE/AP/Aaron Gash)

Les Hawks ont signé une performance de choix mercredi pour cueillir leur cinquième victoire de suite en NBA.

Clint Capela et ses coéquipiers sont allés s'imposer 119-104 sur le parquet de Milwaukee, qui restait pour sa part sur sept victoires d'affilée.

Clint Capela est resté discret sur le plan offensif face aux Bucks, avec 8 points à 4/10 au tir. Mais, comme deux jours plus tôt face à La Nouvelle-Orléans, l'intérieur genevois a maîtrisé les airs. Il a ainsi capté 17 rebonds, égalant justement son meilleur total de la saison réalisé face aux Pelicans.

Qualifié pour les quarts de finale de la NBA Cup où il devra affronter les New York Knicks mercredi prochain, Atlanta a d'ailleurs survolé les débats sous les panneaux: 55 rebonds à 40, et 64 points marqués dans la raquette contre 34 pour les Bucks de Giannis Antetokounmpo (31 points, 11 rebonds).

Les Hawks, qui menaient de 11 points à la mi-temps, ont forcé la décision en signant au retour des vestiaires un partiel de 9-0 qui leur a donné 20 longueurs d'avance (79-59). Ils ont ensuite parfaitement géré leur affaire, leur marge excédant toujours les 7 unités.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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