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Sport

Hockey sur glace : comme une impression de déjà-vu...

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Le scénario se répète pour Lausanne. Ecrasés mardi à domicile par Langnau, les Rouges et Blancs ont dû croire à un mauvais rêve après avoir regagné les vestiaires : ils s'étaient inclinés sur un score identique lorsqu'ils avaient accueilli les Tigers le 9 mars.

Un but, puis plus rien. Le Lausanne Hockey Club a vécu un véritable calvaire mardi soir lors de l’acte 5 des quarts de finale des playoffs l’opposant à Langnau. Défaite cinglante des Lions sur le score de 5 à 1 à Malley 2.0.

Ce sont pourtant eux qui ont ouvert la marque, comme lors du premier affrontement entre les deux équipes dans cette série. Un goal de Jeffrey a précédé une véritable débâcle collective. Joël Genazzi, défenseur lausannois :

Joël GenazziDéfenseur du LHC

Lausanne manque donc une première occasion de se qualifier pour les demi-finales des playoff. Le sixième acte se disputera jeudi soir à la patinoire de l’Ilfis à Langnau.

Genève-Servette s’est pour sa part incliné à la PostFinance Arena pour la première fois en trois rencontres dans l’antre du CP Berne, non sans avoir une nouvelle fois durement bataillé. Revers concédé 4-3 en prolongations par les joueurs de Chris McSorley, ils sont désormais menés 3 à 2.

Enfin Bienne est la deuxième équipe à obtenir son ticket pour le dernier carré des playoff après Zoug. Une victoire 2 buts à 1 contre Ambri-Piotta a en effet permis aux Seelandais de remporter leur série 4 à 1.

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Hockey

Cette Finalissima est un "rêve de gamin"

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Qui remportera ce dernier duel de Lions? ©KEYSTONE/Valentin Flauraud

C’est le jour-J pour le Lausanne Hockey Club. Les Lausannois vont tenter d’aller décrocher leur premier sacre en National League ce soir à Zurich.

C’est un réel duel de félins qui s’annonce à la Swiss Life Arena. Les Lions du Léman ont rendez-vous avec les Lions de la Limmat pour une Finalissima. Un septième match dans la série finale entre le LHC et les ZSC Lions.

Les Lausannois ont fait hier matin leur dernier entraînement à la Vaudoise Aréna avant de prendre la route pour Zurich. Le tout dans une ambiance studieuse mais plutôt bon enfant, sur la glace et hors de la glace avec les journalistes. Les sourires étaient présents sur les visages. "On a une atmosphère géniale dans l'équipe, ça a été un truc incroyable toute la saison, décrit Makai Holdener, attaquant du LHC. Et il ne faut pas oublier que le hockey, ça reste un jeu, donc on essaie toujours de s'amuser quand on peut. Trouver les petits moments pour se détendre et puis juste profiter du fait qu'on a la chance de faire un jeu comme travail."

La pression de toute une ville et de tout un canton en revanche ne semble pas pouvoir pénétrer les murs de la patinoire. Alors, comment se sentent les joueurs à J-1 d’un match aussi important? Le sentiment de Makai Holdener, attaquant du LHC.

Jouer une Finalissima, ça n’arrive pas tous les jours. Avant cette saison, dans l’élite (LNA et National League) le championnat ne s’est joué lors d’un Acte VII que huit fois. La dernière, c’était il y a un an entre Genève-Servette et le HC Bienne. Que représente un tel match pour les joueurs?

Avec ce septième match, ces playoffs édition 23/24 ont pris une tournure plutôt inattendue. En effet, les Zurichois ont survolé le championnat, terminant en tête avec 109 points. Surtout, ils étaient invaincus en quarts et en demi-finales. Après leur qualification, les Lausannois avaient annoncé qu’ils allaient enfin leur présenter de l’adversité. C’est ce qu’ils ont fait en contraignant les ZSC Lions à jouer cette série jusqu’au bout. Même avant le dénouement final, c’est un premier accomplissement pour Makai Holdener.

Apprendre vite

Les Lions découvrent en quelque sorte ces matchs et les émotions qui vont avec. Dans l’effectif, peu de joueurs ont déjà joué des finales ou remporté des titres. Mais ils ont prouvé que le travail, notamment mental, effectué tout au long de la saison paie. "On n’est pas arrivé ici par accident", disait Makai Holdener avant l’Acte VI.

Ils ont aussi su apprendre vite pendant ces playoffs. Si Zurich n’a dû jouer que huit matchs pour arriver en finale, Lausanne a déjà eu droit à un Acte VII il y a quelques semaines. C’était en quarts de finale face à Davos. Et selon Geoff Ward, entraîneur du LHC, cette expérience pourrait leur être utile pour la Finalissima de ce soir.

Dans cette finale entre le LHC et les ZSC Lions, on a vu plusieurs scénarios. Des scores serrés, d’autres moins. Des phases où Lausanne s’est déconcentré, des moments où Zurich a dominé, d’autres où se sont les Vaudois qui ont eu l’ascendant. Des arrêts impressionnants, des combinaisons découlant sur des buts superbes.

Lors du dernier match, les Lausannois ont éteint leurs adversaires en menant 5-0 après 39 minutes de jeu. Même si les Zurichois sont revenus à 5-3, la performance était plus que bonne. Qu’est-ce que les joueurs vont prendre avec eux de ce match pour ce soir? On retrouve Makai Holdener.

"On verra bien", même les statistiques le disent finalement. Sur les huit finales qui se sont jouées en sept matchs, la moitié a été remportée par l’équipe qui jouait à domicile et l’autre moitié par l’équipe qui jouait à l’extérieur.

Pour cette neuvième Finalissima, on aura une réponse à partir de 20h. Le match se jouera donc à la Swiss Life Arena. Pour les supporters qui ne pourront pas faire le déplacement, le match sera diffusé sur le Vidéotron de la Vaudoise Aréna. L’entrée est gratuite et ne nécessite pas de réservation.

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Football

Le Bayern rêve de revoir Wembley

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Harry Kane rêve de retrouver Wembley avec le Bayern en finale de C1 (© KEYSTONE/AP/Christian Bruna)

Après quatre années d'absence, le Bayern Munich retrouve mardi (21h00) le dernier carré de la Ligue des champions avec une demi-finale "20 étoiles" contre le Real Madrid.

Le "Rekordmeister" entretient son rêve de revoir Wembley en finale, comme lors du triomphe de 2013.

En entrant mardi soir sur la pelouse de l'Allianz Arena (où se déroulera la finale 2025), ce sont deux des plus beaux palmarès du football européen qui vont s'affronter, avec des étoiles plein les yeux et sur les maillots: 14 pour le Real Madrid, détenteur du record, et 6 pour le Bayern, troisième club le plus titré en C1.

En prenant en compte l'édition 2024, le Bayern et le Real auront joué 29 des 69 finales (11 pour les Allemands et 17 pour les Espagnols pour l'instant). Et les deux clubs se sont affrontés à 26 reprises, quasiment toujours en phase à élimination directe, mais bizarrement jamais en finale sur terrain neutre.

Du 50/50?

"On a à coup sûr notre chance. Je ne veux pas sortir la traditionnelle phrase +C'est du 50/50+, mais c'est du 50/50", a malicieusement glissé le directeur sportif du Bayern, Max Eberl, après la victoire samedi des Munichois contre Francfort dans un match de championnat sans enjeu.

Car l'Europe reste l'unique opportunité de décrocher un trophée cette saison pour le Bayern, dépossédé du titre national pour la première fois depuis 2013 par le Bayer Leverkusen de Granit Xhaka, alors que la Coupe d'Allemagne n'est plus d'actualité depuis l'automne (sorti au 2e tour par Sarrebruck, pensionnaire de D3).

Kane face à Bellingham

Face au Real, quasiment assuré de décrocher le titre en Liga et déterminé à aller décrocher une 15e couronne européenne, Tuchel se méfie d'un adversaire capable d'accélérer en une fraction de seconde. "Si on regarde leurs buts et que l'on met sur pause 10 secondes avant, on ne les voit pas toujours venir", a prévenu le coach des Bavarois Thomas Tuchel.

Les Madrilènes ont éliminé de cette manière Manchester City, tenant du titre, en quarts de finale, et constituent un dernier et immense obstacle pour les Munichois vers Wembley. Ils y ont conquis leur cinquième étoile en 2013 dans une finale 100% allemande contre le Borussia Dortmund, dont un remake est toujours possible au moment d'aborder le dernier carré (le BVB affronte le PSG).

Arrivé en Bavière pour débloquer son palmarès, Harry Kane (déjà 42 buts cette saison, dont 7 en C1) rêve de le faire dans son jardin londonien le 1er juin. Mais il devra d'abord se défaire de son coéquipier en sélection anglaise, Jude Bellingham, qui poursuit le même but pour sa première saison madrilène.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hockey

Finale: Un acte VII pour connaître le successeur du GSHC

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La pression sera sur les épaules de Marc Crawford et des Zurich Lions mardi soir (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le hockey romand fêtera-t-il un deuxième titre consécutif de champion de Suisse, douze mois après le sacre historique de Genève-Servette?

La réponse tombera ce soir, ou dans la nuit de mardi à mercredi, au terme du 7e et dernier acte de la finale des play-off opposant les Zurich Lions au Lausanne Hockey Club.

Impressionnant samedi à domicile dans le match no 6, le LHC a remis la pression sur les épaules des Zurichois, grands favoris à la succession de Genève-Servette et vainqueurs de leurs deux premières séries en quatre matches. Les hommes de Geoff Ward, dos au mur à 2-3 dans la série, ont gagné 5-3 après avoir mené 5-0 à la 39e minute.

L'équipe receveuse a jusqu'ici toujours imposé sa loi dans cette finale, et le "Z" est même invaincu sur sa glace depuis le début des séries. Mais son entraîneur Marc Crawford doit composer avec des vents contraires: Yannick Weber, patron de sa défense, et Rudolfs Balcers, habituel ailier de la première triplette offensive, sont blessés et incertains pour ce match décisif.

Un match pas comme les autres

Un match no 7 n'est par ailleurs pas une rencontre comme les autres. Les Zurich Lions en avaient fait l'amère expérience lors de leur dernière apparition en finale, en 2022: ils s'étaient inclinés 3-1 sur la glace de Zoug, alors qu'ils avaient ouvert la marque après 62 secondes de jeu seulement.

La frustration des Zurichois, qui avaient remporté les trois premiers matches de la série, fut alors sans pareil. Surtout pour Denis Malgin et Sven Andrighetto, qui n'étaient pas de la partie lors du dernier sacre en 2018 et avaient débarqué à Zurich avec la ferme intention de triompher en championnat.

La saison passée, Zurich avait échoué nettement en demi-finale des play-off (4-0 pour Bienne). Le "Z" semble cette fois-ci mûr pour un 10e titre de champion. Mais le LHC, qui a déjà déjoué les pronostics en se hissant pour la première fois de son histoire en finale et en y faisant douter l'ogre zurichois, a les moyens de créer l'exploit.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Geoff Ward sait trouver les mots justes

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Geoff Ward a écrit une lettre quasi magique en 2011 avant le match 7 de la finale de NHL (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

En 2011, Geoff Ward a remporté la Coupe Stanley avec Boston face à Vancouver lors du 7e match. Alors assistant de Claude Julien, le coach du LHC avait écrit une lettre qui avait motivé les joueurs.

Ah, les septièmes matches, ceux qui peuvent échapper à toute logique. Surtout lors d'une finale. Mardi soir à Zurich, le duel des Lions de National League connaîtra son épilogue. Pour les coaches, il va falloir trouver les mots justes, appuyer sur les bons boutons afin que les joueurs entrent sur la glace avec une énergie positive, de celles qui permettent de renverser des montagnes.

Lors de la finale de la Coupe Stanley 2011, Boston a vaincu Vancouver en sept matches. Et avant le dernier acte au Canada, Geoff Ward, alors assistant, avait lu une lettre à la demande de l'entraîneur Claude Julien.

"En fait, c'était une lettre adressée à mes enfants", se souvient l'entraîneur du LHC, rencontré après l'entraînement de lundi. "Le jour du match lors de la sieste, je n'arrivais pas à trouver le sommeil. Alors j'ai décidé de refléter ce qu'il fallait faire pour gagner et j'en ai fait une lettre pour mes enfants. Je me suis dit qu'ils pourraient peut-être comprendre ma situation et en tirer quelque chose plus tard."

Claude Julien prend connaissance de cette lettre et en imagine rapidement la portée. "Claude m'a demandé de la lire avant le match VII, raconte Ward. Les gars m'avaient demandé si j'avais une copie de cette lettre, mais je n'en avais pas. J'ai perdu cette lettre. Cela fait partie de l'histoire maintenant."

Un impact minime selon lui

Quand on lui dit que cette lettre doit avoir sa place au Hall of Fame de la NHL à Toronto, Geoff Ward éclate de rire: "Mais non! Les gars étaient prêts quoi qu'il arrive. Je ne crois pas que cette lettre a changé grand-chose dans ce match. Nos joueurs avaient été suffisamment testés durant ces séries, ils savaient quoi faire. Beaucoup de gens parlent de cette lettre, et si cela a pu aider un seul joueur, alors ça valait la peine. Honnêtement, je ne me rends pas compte de l'impact que cela a eu."

On avance l'hypothèse d'un aspect simple de la vie. "Peut-être, répond Ward. C'est vrai que c'est une expérience de vie normale à laquelle les autres peuvent s'identifier. Cela faisait quatre ans que l'on préparait ça et que l'on espérait se retrouver à cette place. C'était un bon exercice pour moi, afin de conserver mon esprit là où il devait être. Je l'ai envoyée à mes enfants, donc peut-être qu'eux ont conservé une trace de cette lettre que j'avais écrite sur mon téléphone."

Jouer de manière libérée

Depuis son arrivée à Lausanne fin 2022, Geoff Ward fait l'unanimité au sein du vestiaire. Tous louent ses multiples qualités. Et lorsqu'un coach a tout son vestiaire avec lui, il se peut qu'une équipe réalise l'exploit. Est-ce qu'il pense que les joueurs sont capables de traverser un mur pour lui mardi soir?

"C'est une bonne question, répond-il. Le plus important pour les joueurs va être de vivre le moment et de profiter au maximum en jouant libérés. Si l'on commence à trop réfléchir dans certaines situations, c'est le meilleur moyen de se mettre en danger. Il faut avoir confiance et se rappeler de contrôler ce que l'on peut."

Confiance et humilité

L'Ontarien ne se fait pas plus important qu'il ne l'est en la circonstance. Ses mots suintent autant la confiance que l'humilité. "En tant que coach, on tente de les motiver autant qu'on peut en les plaçant dans un environnement favorable, précise-t-il. Je pense qu'ils sont préparés à traverser un mur et qu'ils l'ont démontré sur la dernière année et demie et encore davantage cette saison. Mais je crois que c'est plutôt comment ils se sentent entre eux que comment ils se sentent par rapport au staff."

Et lorsque tout le monde met l'emphase sur l'importance de cette rencontre, le coach du LHC cherche plutôt à faire en sorte que rien ne vienne perturber la routine. "On va faire en sorte que ce match soit le plus normal possible dans sa préparation, conclut-il. De cette façon, ils seront plus à l'aise pour jouer leur match. Il y aura bien entendu du bruit et Zurich sera plein d'énergie, mais ce sera à nous de nous mettre à un tel niveau d'énergie."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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