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Jeux olympiques - Tokyo 2020

Titmus détrône également Ledecky sur 200 m

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Ariarne Titmus a cueilli mercredi sa 2e médaille d'or dans ces JO (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

Déjà en or lundi sur 400 m libre, l'Australienne Ariarne Titmus a également détrôné Katie Ledecky sur 200 m libre mercredi aux JO de Tokyo. L'Américaine a même échoué hors du podium (5e).

Partie lentement, encore troisième à l'attaque de la dernière longueur, Ariarne Titmus (20 ans) a placé une accélération fulgurante pour établir un nouveau record olympique (1'53''50). Celui-ci était détenu par Katie Ledecky depuis les JO de Rio 2016.

Derrière, la Hongkongaise Siobhan Bernadette Haughey a amélioré son meilleur temps de près d'une seconde pour conquérir l'argent en 1'53''92, nouveau record d'Asie. La Canadienne Penny Olaksiak a quant à elle cueilli le bronze en 1'54''70.

Ledecky se reprend sur 1500 m

Ariarne Titmus avait déjà battu Katie Ledecky sur 400 m lors des Mondiaux 2019 de Gwangju et détenait avant les Jeux les deux meilleures marques de l'année sur 200 comme sur 400 m. Elle partira jeudi à l'assaut du 800 m, distance sur laquelle Katie Ledecky apparaît toutefois encore bien supérieure.

A 32 ans, Federica Pellegrini a quant à elle fini 7e (1'55''91) et ne boucle donc pas son parcours olympique hors norme sur une ultime médaille. Mais la "Divine" est néanmoins devenue la première nageuse à disputer une cinquième finale olympique sur la même distance après 2004 (argent), 2008 (or), 2012 (5e) et 2016 (4e).

Décevante, Katie Ledecky a nagé en 1'55''21. Venue à Tokyo en quête de cinq nouvelles médailles d'or (200 m, 400 m, 800 m, 1500 m et 4x200 m), l'Américaine a ainsi perdu les deux premiers volets de son pari. Elle s'est bien reprise un peu plus tard en s'imposant aisément sur 1500 m pour s'offrir un sixième titre olympique.

Milak impressionne

Kristof Milak a quant à lui écrasé la finale du 200 m papillon pour décrocher à 21 ans son premier titre olympique en battant le record olympique de Michael Phelps. Champion du monde en titre et recordman du monde, le Hongrois a nagé en 1'51''25 pour devancer le Japonais Tomoru Honda (1'53''73) et l'Italien Federico Burdisso (1'54''45).

La "dame de fer" Katinka Hosszu a subi un cuisant échec sur 200 m 4 nages, échouant au 7e rang en 2'12''38, à plus de trois secondes du podium. L'or est revenu à la Japonaise Yui Ohashi (2'08''52), déjà sacrée sur 400 m 4 nages à Tokyo. Les Américaine Alex Walsh (2'08''65) et Kate Douglass (2'09''04) complètent le podium.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Jeux olympiques - Tokyo 2020

Mort de Jacques Rogge

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Jacques Rogge, président du CIO de 2001 a 2013, lors du vernissage du Festival Sotchi en 2014. (© KEYSTONE/ALINE STAUB)

Jacques Rogge, ancien président du Comité international olympique (CIO), est mort à 79 ans. Le dirigeant belge aura été le 8e président de l'instance olympique, de 2001 à 2013.

Jacques Rogge laisse derrière lui son épouse, Anne, un fils, une fille et deux petits-enfants, annonce dimanche le CIO, basé à Lausanne.

Le CIO relève que le comte Jacques Rogge aura été un passionné de sport "depuis toujours" et un athlète accompli. Il a représenté la Belgique en équipe nationale de rugby.

Chirugien orthopédique de formation et spécialisé en médecine du sport, M. Rogge a aussi été champion du monde de voile et a participé à trois Jeux olympiques.

Après son mandat de président du CIO, il a été nommé envoyé spécial auprès du secrétaire général des Nations unies pour les jeunes réfugiés et le sport.

Son successeur à la tête du CIO, Thomas Bach, a déclaré, cité dans le communiqué: "Jacques était avant tout un passionné de sport qui aimait être au contact des athlètes, une passion qu'il a transmise à tous ceux qui l'ont connu. Sa joie était communicative."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Jeux olympiques - Tokyo 2020

La Serbie décroche le dernier titre décerné à Tokyo

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La joie des Serbes, vainqueurs du 339e et dernier titre attribué à Tokyo (© KEYSTONE/EPA/PATRICK B. KRAEMER)

La Serbie a décroché le dernier titre des 339 titres attribués aux JO de Tokyo en s'adjugeant le tournoi messieurs de waterpolo.

Les Serbes ont dominé en finale la Grèce (13-10), qui devra donc encore patienter avant de s'offrir un premier sacre olympique dans un sport collectif.

Champions du monde à trois reprises (2005, 2009, 2015), les Serbes conservent ainsi le titre obtenu en 2016 aux Jeux de Rio. Il s'agit de leur cinquième podium olympique consécutif en waterpolo masculin après l'argent de 2004 - obtenu sous la même bannière que le Monténégro - et les médailles de bronze conquises en 2008 et en 2012.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Jeux olympiques - Tokyo 2020

Ralph Stöckli tire un bilan "très, très positif"

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Le Chef de Mission Ralph Stöckli tire un bilan "très, très positif" (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Avec une moisson de 13 médailles, la satisfaction est forcément de mise du côté de Swiss Olympic au terme des JO de Tokyo.

"C'est un bilan très, très positif. Mais nous devons rester humbles", tempère le Chef de Mission Ralph Stöckli.

"Nous avons remporté beaucoup plus de médailles qu'attendu. Mais ça n'est pas la norme", poursuit l'ancien curleur, dont l'objectif initial était de décrocher au moins autant de podiums qu'en 2016 à Rio (7). "Qui aurait osé imaginer 13 médailles? C'est si difficile d'être au sommet de sa forme le jour J", rappelle-t-il.

Exploits dans les sports universels

Ralph Stöckli ne boude néanmoins pas son plaisir après que la Suisse a réalisé sa récolte la plus prolifique depuis les Jeux d'Helsinki en 1952 (14). Il se dit ainsi particulièrement impressionné par les performances réalisées en athlétisme et en natation, les deux sports universels par excellence du programme olympique.

"C'est historique, c'est inimaginable d'avoir placé deux femmes en finale du 100 m en athlétisme (réd: Ajla Del Ponte 5e et Mujinga Kambundji 6e). Et nous étions aussi proches d'obtenir une médaille sur 4x100 m", où la Tessinoise et la Bernoise ont terminé au 4e rang en compagnie de Riccarda Dietsche et de Salomé Kora, lâche-t-il.

"C'est également impressionnant d'avoir pu obtenir deux médailles en natation", où le Genevois Jérémy Desplanches (200 m 4 nages) et le Tessinois Noè Ponti (100 m papillon) se sont parés de bronze. "C'est un sport dans lequel les grandes nations investissent énormément d'argent", souligne le St-Gallois.

Une nouvelle génération

Ralph Stöckli se réjouit également du "girl power" affiché par la délégation suisse, les femmes ayant conquis 10 des 13 médailles helvétiques dans ces joutes. "Les conditions d'entraînement se sont beaucoup améliorées pour les femmes, notamment grâce à l'armée. Et les femmes peuvent aussi beaucoup mieux s'épanouir dans le sport depuis une vingtaine d'années", relève-t-il.

Tout n'est évidemment pas encore parfait. "Nous devons travailler sur les détails. La préparation peut encore s'améliorer, et nous pouvons aussi mieux faire en ce qui concerne la professionnalisation dans certains sports. Il y a également moyen de faire mieux dans la synergie entre les fédérations nationales, et nous devons investir dans les innovations", estime-t-il.

N'empêche que l'avenir s'annonce prometteur. "C'est impossible de dire dès maintenant quel sera le potentiel de médailles en 2024 à Paris", note-t-il. "Mais je constate que tous nos médaillés ont décroché leur premier podium olympique dans ces Jeux. Une nouvelle génération a donc émergé, et j'ai bon espoir que tous soient encore de la partie dans trois ans", a conclu Ralph Stöckli.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Elena Quirici portera le drapeau suisse

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Un honneur pour Elena Quirici (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Elena Quirici portera ce dimanche le drapeau suisse lors de la cérémonie de clôture des Jeux de Tokyo. Avec ce choix, Swiss Olympic a tenu à récompenser les qualités de battante de l'Argovienne.

Samedi, Elena Quirici a échoué d'un souffle dans la course aux demi-finales pour se classer cinquième. On rappellera que le karaté figurait pour la première et... la dernière fois au programme olympique. "L'esprit combatif qu'Elena a montré sur son chemin vers les Jeux Olympiques et sa performance pleine de courage lors du tournoi olympique m'ont fasciné. Elle est donc un modèle pour de nombreuses athlètes féminines de notre pays et mérite le rôle de porte-drapeau", explique Ralph Stöckli, le Chef de Mission de Swiiss Olympic.

Elena Quirici succède à Nino Schurter qui avait porté le drapeau suisse lors de la cérémonie de clôture des Jeux de Rio alors qu'il venait de remporter l'or en VTT. A Tokyo, l'épéiste Max Heinzer et la sprinteuse Mujinga Kambundji avaient porté ensemble le drapeau suisse lors de la cérémonie d'ouverture.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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