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Lara Gut-Behrami testée positive au Covid-19

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Lara Gut-Behrami souffre de symptômes légers. (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Lara Gut et deux membres de l'encadrement de l'équipe de Suisse ont été contrôlés positifs au Covid-19 lors de tests.

Les trois personnes ont ressenti des symptomes grippaux légers. Elles ont quitté Val d'Isère. Les résultats des tests PCR, réalisés en Suisse, ont été positifs. Tous les autres membres de l'équipe de Suisse ont été testés négativement.

Lara Gut-Behrami se trouve en isolement et manquera ainsi les courses de Val d'Isère ce week-end et de Courchevel la semaine prochaine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Gaza: 26 Palestiniens auraient été tués par des tirs israéliens

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Les quelque deux millions de Palestiniens assiégés par Israël à Gaza sont au bord de la famine après plus de 21 mois de conflit (archives). (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

La Défense civile de la bande de Gaza a affirmé que 26 Palestiniens avaient été tués et plus de 100 blessés samedi par des "tirs israéliens" près de deux centres d'aide humanitaire dans le sud du territoire palestinien ravagé par la guerre.

Les quelque deux millions de Palestiniens assiégés par Israël à Gaza sont au bord de la famine après plus de 21 mois de conflit, déclenché par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien le 7 octobre 2023.

Le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a déclaré à l'AFP que 22 personnes avaient été tuées et plus de 100 blessées près d'un centre au sud de Khan Younès (sud) et quatre près d'un autre au nord de Rafah, attribuant les attaques à des "tirs israéliens".

Les tirs ont eu lieu à proximité de centres de distribution d'aide humanitaire gérés par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par les Etats-Unis et Israël, selon la même source.

Un témoin a raconté à l'AFP s'être rendu avant l'aube avec cinq membres de sa famille pour chercher de la nourriture dans l'un de ces centres, lorsque selon lui des soldats israéliens ont commencé à tirer.

"Que des balles"

"Nous n'avons rien pu avoir", a déclaré Abdelaziz Abed, 37 ans. "Chaque jour, je m'y rends et tout ce que nous ne recevons que des balles". Trois autres témoins ont également accusé les soldats d'avoir ouvert le feu. "Des chars et des jeeps sont arrivés, des soldats en sont descendus et ont commencé à tirer", a déclaré Tamer Abou Akar, 24 ans.

Interrogée par l'AFP, l'armée israélienne a indiqué "examiner" ces allégations.

La GHF avait commencé ses opérations fin mai, après un blocus humanitaire total de plus de deux mois imposé par Israël en dépit des avertissements de l'ONU sur un risque imminent de famine à Gaza.

L'ONU et des ONG humanitaires refusent de travailler avec cette organisation au financement opaque en raison de préoccupations concernant ses procédés et sa neutralité.

La Fondation, principal distributeur d'aide dans le territoire, a elle accusé le Hamas de fomenter des troubles et de tirer sur des civils.

Après plusieurs semaines marquées par des scènes de chaos et des informations quasi quotidiennes faisant état de Palestiniens tués en attendant de l'aide, la GHF a reconnu la mort mercredi de 20 personnes dans une bousculade sur l'un de ses sites.

En début de semaine, l'ONU a indiqué avoir recensé 875 personnes tuées en tentant de se procurer de la nourriture depuis fin mai, dont 674 "à proximité des sites de la GHF".

Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël, qui assiège Gaza, et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties.

"Malnutrition aiguë"

"Nous alertons sur le fait que des centaines de personnes, dont le corps est complètement décharné, sont désormais en danger de mort imminente", a déclaré vendredi le médecin Sohaib al-Hums, directeur de l'hôpital de campagne koweïtien situé dans la zone d'Al-Mawassi, à Khan Younès.

Il a ajouté que son établissement recevait "des patients souffrant d'épuisement extrême, de fatigue généralisée, ainsi que de cachexie et de malnutrition aiguë dues à une privation prolongée de nourriture".

Lors d'une conversation téléphonique avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu vendredi, le pape Léon XIV a exprimé "sa préoccupation face à la situation humanitaire dramatique" à Gaza et appelé à "redynamiser les négociations" en vue d'un cessez-le-feu.

Les négociations indirectes entre le Hamas et Israël en vue d'une trêve sont dans l'impasse, la branche armée du Hamas accusant vendredi Israël de les bloquer.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La RDC et le M23 signent un accord de cessez-le-feu

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La RDC et le M23 signent un accord de cessez-le-feu au Qatar (archives). (© KEYSTONE/AP/Moses Sawasawa)

Le groupe armé M23, soutenu par le Rwanda, et le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) ont signé samedi un accord de cessez-le-feu au Qatar.

"Les parties s'engagent à respecter leur engagement en faveur d'un cessez-le-feu permanent", indique une déclaration de principe signée par les parties au conflit après trois mois de discussions.

Le M23, qui s'est emparé de vastes zones riches en minerais dans l'est de la RDC lors d'une offensive éclair en janvier et février, avait insisté pour négocier son propre accord de cessez-le-feu avec Kinshasa, après que son allié rwandais a signé un accord de paix à Washington le mois dernier.

La déclaration énonce l'engagement d'entamer prochainement des négociations formelles en vue d'un accord de paix global. Elle prévoit également une feuille de route pour le rétablissement de l'autorité de l'Etat dans l'est de la RDC une fois un accord de paix signé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Les forces de sécurité commencent à se déployer à Soueida

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Les violences dans le sud de la Syrie ont fait depuis dimanche dernier 718 morts (archives). (© KEYSTONE/AP/Ghaith Alsayed)

Les forces de sécurité syriennes ont commencé samedi à se déployer dans la province à majorité druze de Soueida, ont annoncé les autorités. Les violences intercommunautaires ont fait plus de 700 morts en une semaine.

"Les forces de la sécurité intérieure ont commencé à se déployer dans la province de Soueida (...) dans le but de protéger les civils et de mettre un terme au chaos", a indiqué le porte-parole du ministère de l'Intérieur Noureddine al-Baba dans un communiqué sur Telegram.

Les violences dans le sud de la Syrie ont fait depuis dimanche dernier 718 morts, selon un nouveau bilan fourni samedi par l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). D'après l'ONG, 391 druzes figurent parmi les morts, dont 146 combattants et 245 civils y compris 165 "exécutés sommairement".

Parmi les morts figurent également 287 membres des forces du gouvernement et 21 combattants bédouins sunnites dont trois civils "exécutés sommairement par des combattants druzes", selon l'OSDH.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le Salvador renvoie "tous" les Vénézuéliens détenus dans sa prison

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Les migrants libérés par le Salvador à leur arrivée au Venezuela, à l'aéroport de Maiquetia. (© KEYSTONE/AP/Ariana Cubillos)

Des dizaines de migrants vénézuéliens libérés d'une prison salvadorienne de haute sécurité, où ils avaient été envoyés par les Etats-Unis, sont rentrés chez eux vendredi, mettant fin à une détention décriée par les défenseurs des droits de l'Homme.

Deux avions transportant ces hommes ont atterri dans la soirée à l'aéroport desservant Caracas.

"Libres, enfin libres !", s'est réjoui le président vénézuélien Nicolas Maduro lors d'un événement public, après des mois d'incertitude sur le sort des 252 Vénézuéliens expulsés des États-Unis en mars pour être incarcérés au Centre de confinement du terrorisme (Cecot) au Salvador, une prison de haute sécurité prévue pour les membres de gangs.

Le Venezuela n'a pas indiqué combien de ses ressortissants étaient rentrés, mais le président salvadorien Nayib Bukele a déclaré plus tôt sur X avoir remis à Caracas "tous les citoyens vénézuéliens détenus dans notre pays, accusés d'appartenir à l'organisation criminelle Tren de Aragua".

Invoquant une loi de 1798 sur les ennemis de l'étranger rarement utilisée, les États-Unis avaient expulsé vers le Salvador ces migrants accusés, sans preuves ni procès, d'appartenir au gang vénézuélien, des accusations rejetées par leurs proches, restés sans nouvelles depuis.

Le président Maduro a remercié vendredi son homologue américain Donald Trump pour le retour chez eux de ces migrants, saluant "la décision de rectifier cette situation totalement irrégulière".

"Je ne peux pas contenir ma joie", a réagi Mercedes Yamarte, mère de Mervin Yamarte, un Vénézuélien détenu au Cecot, avant l'atterrissage des deux avions.

"Prix élevé"

Cette libération est liée à un échange de prisonniers entre Caracas et Washington.

L'administration Trump a indiqué dans la journée que les migrants vénézuéliens avaient été libérés en échange de dix Américains détenus au Venezuela et d'un nombre inconnu de "prisonniers politiques" vénézuéliens.

Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a remercié le président Bukele "d'avoir aidé à obtenir un accord pour la libération de tous nos détenus américains".

L'ambassade des États-Unis au Venezuela a publié une photo de ces hommes dans un avion, souriants et brandissant des drapeaux américains.

Selon Global Reach, une ONG qui vient en aide aux Américains détenus à tort à l'étranger, parmi les personnes libérées figure Lucas Hunter, un Franco-Américain de 37 ans, arrêté en janvier par les gardes-frontières vénézuéliens pendant des vacances en Colombie.

"Nous avons hâte de le voir en personne et de l'aider à se remettre de cette épreuve", a dit sa soeur, Sophie Hunter, citée dans un communiqué de l'ONG.

L'Uruguay a annoncé qu'un de ses citoyens, résident aux États-Unis, Fabian Buglio, faisait partie des personnes libérées.

Dans un communiqué, Caracas a estimé avoir payé un "prix élevé" pour assurer le retour de ses concitoyens. "Des terroristes contre des innocents", a déclaré le président Maduro.

En plus de la libération des Américains, le Venezuela a accordé des "mesures alternatives" à l'emprisonnement à des Vénézuéliens détenus pour "leur implication dans des crimes communs et des infractions contre l'ordre constitutionnel".

Enfants "sauvés"

Plus tôt dans la journée, un autre avion est arrivé à l'aéroport de Maiquetia en provenance de Houston, avec à son bord 244 Vénézuéliens expulsés des États-Unis et sept enfants que le ministre vénézuélien de l'Intérieur Diosdado Cabello a dit "sauvés de l'enlèvement dont ils étaient victimes".

Ces enfants font partie des 30 qui, selon Caracas, ont été séparés de leur famille et son restés aux États-Unis après l'expulsion de leurs parents vénézuéliens.

La lutte contre les migrants sans-papiers est une priorité de la nouvelle administration américaine, qui a multiplié les descentes de police et les expulsions.

Washington et Caracas se sont mis d'accord pour renvoyer les Vénézuéliens sans papiers dans leur pays, et des vols arrivent presque quotidiennement des Etats-Unis ou du Mexique.

Selon les chiffres officiels, depuis février plus de 8200 personnes ont été rapatriées au Venezuela depuis ces deux pays, dont environ 1000 enfants.

Sans nouvelles

Au Cecot, les Vénézuéliens détenus n'avaient pas le droit de passer des appels ni de recevoir des visites, et leurs proches ont demandé en vain des preuves de vie.

La dernière fois qu'ils ont été aperçus remonte à mars, lorsqu'ils sont apparus entravés, crâne rasé, à genoux dans la méga-prison salvadorienne.

Nayib Bukele a fait construire le Cecot dans le cadre de sa guerre contre les gangs mais avait accepté des millions de dollars des États-Unis pour y détenir les Vénézuéliens.

Amnesty International, Human Rights Watch et d'autres groupes de défense des droits ont dénoncé à plusieurs reprises ces détentions comme violant les droits humains.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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