International
Le CC Genève s'offre un succès de prestige pour terminer
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Le CC Genève a conclu son tournoi olympique sur une note positive. Eliminée de la course aux demi-finales, la Team de Cruz a battu la Suède 10-8 dans le dernier tour du Round Robin jeudi.
Ce succès, plus inutile que prestigieux face aux favoris du tournoi, s'est dessiné dans les trois derniers ends. Peter de Cruz et ses coéquipiers ont réussi un coup de deux dans la huitième manche puis un coup de trois dans la dixième, alors qu'ils étaient menés 7-5 après sept ends par la formation du skip Niklas Edin.
A noter que le CC Genève a aligné son remplaçant Pablo Lachat pour la deuxième moitié de cette partie sans enjeu, la Suède ayant pour sa part déjà son ticket pour les demi-finales en poche. Lachat a pris la place de Sven Michel pour la fin du match.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le premier ministre japonais prévoit de démissionner
Le premier ministre japonais Shigeru Ishiba prévoit d'annoncer sa démission prochainement, ont rapporté mercredi des médias locaux. La débâcle électorale de dimanche a privé sa coalition gouvernementale de la majorité à la chambre haute.
Dans la foulée de l'annonce mercredi d'un accord commercial entre les Etats-Unis et le Japon, M. Ishiba a fait part de son intention à ses proches de quitter ses fonctions d'ici la fin août, d'après le quotidien Mainichi.
Le journal Yomiuri affirme, quant à lui, qu'il annoncera sa démission d'ici la fin juillet, sans toutefois préciser la date exacte de son départ.
Lors d'élections sénatoriales dimanche, la coalition gouvernementale emmenée par le Parti libéral-démocrate (PLD, droite conservatrice) de M. Ishiba a essuyé une cuisante débâcle, perdant sa majorité à la chambre haute.
Electeurs en colère
En colère face aux scandales minant le PLD, à l'inflation persistante et à l'envolée des prix du riz, des électeurs se sont tournés vers d'autres partis, notamment le parti anti-immigration Sanseito, fondé il y a cinq ans avec pour mot d'ordre "le Japon d'abord".
La presse japonaise indique que les appels à la démission de Shigeru Ishiba se sont intensifiés au sein du PLD depuis les résultats de l'élection à la chambre haute.
Le Premier ministre de 68 ans aurait toutefois attendu pour communiquer sa décision la conclusion d'un accord commercial avec Washington, juste à temps avant la date limite du 1er août pour l'imposition d'une lourde surtaxe douanière américaine.
M. Ishiba avait pris la direction du parti en septembre, à sa cinquième tentative. Mais sa coalition avait ensuite perdu sa majorité à la chambre basse du Parlement en octobre lors de législatives anticipées, enregistrant le pire résultat du PLD depuis 15 ans.
Depuis, la coalition au pouvoir, composé du PLD et de son petit allié centriste Komeito, est contrainte de négocier avec les partis d'opposition pour faire adopter les lois.
"J'espère vraiment que les choses vont s'améliorer au Japon, mais la population diminue et je pense que la vie ici va devenir de plus en plus difficile", déclare Naomi Omura, une habitante d'Hiroshima de 80 ans, interrogée mercredi à Tokyo par l'AFP.
Tetsuo Momiyama, un Tokyoïte de 81 ans, estime de son côté que le Premier ministre "est déjà fini". "C'est le bon moment pour qu'il parte", ajoute-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Une "famine de masse" se propage à Gaza, selon des ONG
Une "famine de masse" se propage dans la bande de Gaza, ont alerté mercredi plus d'une centaine d'organisations humanitaires. Elles appellent à une trêve immédiate, à l'ouverture de tous les points de passage et à la libre circulation de l'aide humanitaire.
"Alors qu'une famine de masse se propage dans la bande de Gaza, nos collègues et les personnes que nous aidons dépérissent", indiquent dans un communiqué les ONG, dont Médecins sans frontières, plusieurs branches de Médecins du monde et Caritas, Amnesty international, ou encore Oxfam international.
Le haut-commissariat aux droits de l'homme de l'ONU a accusé l'armée israélienne d'avoir tué à Gaza depuis la fin mai plus de 1000 personnes qui cherchaient à obtenir de l'aide humanitaire, dont la grande majorité près de centres de la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une organisation soutenue par les Etats-Unis et Israël au financement opaque.
Israël accuse de son côté le mouvement islamiste Hamas d'exploiter la souffrance des civils, notamment en volant la nourriture distribuée pour la revendre à des prix exorbitants ou en tirant sur les personnes qui attendent l'aide.
La GHF fait, elle aussi, porter la responsabilité de la situation humanitaire sur le Hamas, dont l'attaque sur le sol israélien, le 7 octobre 2023, a déclenché la guerre.
Les autorités israéliennes affirment régulièrement laisser passer des quantités importantes d'aide, mais les ONG dénoncent de nombreuses restrictions.
Des tonnes de nourriture
"Juste à l'extérieur de Gaza, dans des entrepôts, et même à l'intérieur, des tonnes de nourriture, d'eau potable, de fournitures médicales, de matériel d'hébergement et de carburant restent inutilisées, les organisations humanitaires étant empêchées d'y accéder ou de les livrer", indiquent les organisations humanitaires.
Un hôpital de Gaza a affirmé mardi que 21 enfants étaient morts de malnutrition ou de faim en 72 heures.
L'attaque du 7 octobre a entraîné côté israélien la mort de 1219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l'armée.
L'offensive de représailles israélienne à Gaza a coûté la vie à 59'106 personnes, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la santé à Gaza, jugées fiables par l'ONU.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Droits de douane: Trump annonce un accord commercial avec le Japon
Le président américain Donald Trump a annoncé la conclusion d'un accord commercial avec le Japon, avec un allègement significatif pour les automobiles nippones. Aucun compromis n'a encore été trouvé avec la Suisse, l'UE ou le Canada. La date-butoir est le 1er août.
"Nous venons juste de conclure un énorme accord commercial avec le Japon", a indiqué mardi Donald Trump sur son réseau social Truth Social, le qualifiant de "sans précédent". "Le Japon paiera des droits de douane réciproques de 15% aux Etats-Unis", a-t-il indiqué, bien en deçà de la surtaxe de 25% dont l'archipel était menacé au 1er août.
Le Japon, bien qu'allié-clé des Etats-Unis, est actuellement soumis aux mêmes droits de douane américains de base de 10% que la plupart des nations, ainsi qu'à des surtaxes de 25% sur les voitures et de 50% sur l'acier et l'aluminium.
Cet accord avec Tokyo va entraîner la création de "centaines de milliers d'emplois", a assuré M. Trump, mentionnant des investissements japonais à hauteur de "550 milliards de dollars" sur le sol américain, sans détail si ce n'est que "90% des bénéfices seraient perçus par les Etats-Unis".
"Mission accomplie"
"Nous pensons que c'est une grande réussite d'avoir pu obtenir la plus grande réduction [des surtaxes] parmi les pays ayant un excédent commercial avec les États-Unis", s'est félicité le premier ministre japonais Shigeru Ishiba.
L'annonce intervient alors que le négociateur Ryosei Akazawa effectuait son huitième voyage à Washington. "Mission accomplie", s'est-il réjoui sur le réseau social X.
Selon M. Trump, le Japon a accepté de s'ouvrir "au commerce des voitures et des pick-ups, du riz et d'un certain nombre d'autres produits agricoles" venant des Etats-Unis.
Sur l'automobile, l'enjeu était de taille: l'automobile représentait l'an dernier presque 30% des exportations du Japon vers les Etats-Unis. Dans l'archipel, l'industrie automobile représente 8% des emplois. Or, suite aux surtaxes de 25% imposées depuis avril sur l'automobile, les exportations de voitures japonaises vers les Etats-Unis ont dégringolé d'un quart sur un an en mai et en juin.
Envolée de la bourse
Selon M. Ishiba, l'accord conclu prévoit que ces surtaxes soient divisées par deux et s'ajoutent aux droits de douane préexistants de 2,5% pour parvenir à une taxation finale de 15%.
Suite à ces informations, l'action Toyota s'envolait de plus de 14% à la bourse de Tokyo vers 05h30 (heure en Suisse). "Je me félicite vivement que cette étape majeure ait été franchie et dissipe l'incertitude qui préoccupait les entreprises privées", a réagi Tatsuo Yasunaga, président du conseil du commerce extérieur réunissant les firmes exportatrices nippones.
Mais "sur la base des informations disponibles, il est difficile d'évaluer clairement l'impact [...] Nous souhaitons que le tableau général soit clarifié au plus vite", a-t-il prévenu.
Gonfler les importations de riz était ces derniers mois un tabou pour Tokyo, qui assurait défendre les intérêts des agriculteurs locaux. "Nous avons poursuivi les négociations pour parvenir à un accord répondant à l'intérêt national du Japon et des États-Unis" et "rien n'impose des sacrifices à nos agriculteurs", a affirmé mercredi M. Ishiba.
Le Japon importe actuellement jusqu'à 770'000 tonnes de riz exemptés de droits de douane et pourrait importer davantage de céréales américaines dans cette limite - au détriment d'autres origines -, a-t-il expliqué.
Acier et aluminium toujours taxés
En revanche, les surtaxes américaines de 50% sur l'acier et l'aluminium ne sont pas concernées par l'accord, pas davantage que les dépenses de défense du Japon dont M. Trump réclame le renforcement, a précisé Ryosei Akazawa.
Washington entend imposer à partir du 1er août de massives surtaxes dites "réciproques", initialement prévues au 1er avril puis suspendues, à nombre de ses partenaires commerciaux, à moins que ces derniers ne concluent d'ici là des accords avec les Etats-Unis.
Le gouvernement américain compte pour l'heure quatre de ces accords à son actif: outre le Japon, le président américain a annoncé mardi en avoir conclu un avec les Philippines. Les Etats-Unis se sont par ailleurs déjà entendus avec le Royaume-Uni et le Vietnam.
Et M. Trump a détaillé mardi les conditions d'un accord-cadre conclu avec Jakarta, ouvrant la voie à un accord final encore à construire.
"L'Europe viendra demain et, le jour suivant, nous en avons d'autres qui viennent", a même assuré Donald Trump mardi devant des sénateurs républicains.
M. Trump a décrété des droits de douane de 30% sur toutes les importations venant de l'UE et du Mexique à compter du 1er août. Le Canada encourt 35% de surtaxe et le Brésil 50%.
Les Etats-Unis se sont par ailleurs entendus sur une désescalade avec la Chine, après une montée des tensions commerciales entre les deux premières puissances économiques mondiales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ukraine: l'indépendance des instances anticorruption supprimée
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a promulgué mardi une loi controversée qui supprime l'indépendance des agences anticorruption. Cette décision a provoqué quelques manifestations et l'inquiétude des alliés de Kiev.
Plusieurs centaines de manifestants sont descendus dans les rues de la capitale ukrainienne, selon un reporter de l'AFP sur place, pour exprimer leur colère. "Le projet de loi a été adopté à la hâte", a critiqué parmi eux Anastasia, une conceptrice de jeux vidéo de 26 ans qui dénonce une "action ciblée".
L'initiative a été qualifiée de "sérieux recul" par l'UE, qui s'est dit "profondément préoccupée".
"Revenu avec la signature du président ukrainien", a indiqué le site du Parlement ukrainien dans la soirée. Le message a brièvement disparu après sa publication, avant de réapparaître. Un haut responsable ukrainien a confirmé à l'AFP que le président Zelensky avait signé le projet de loi.
L'adoption de la loi par les députés ukrainiens, au lendemain de l'arrestation contestée d'un responsable travaillant dans l'une de ces structures, a suscité les critiques de militants et ONG en Ukraine qui s'inquiètent d'un recul démocratique dans le pays, en pleine guerre contre la Russie depuis l'invasion lancée par Moscou en février 2022.
"Un sérieux recul"
La Commission européenne, par la voix de la commissaire chargée de l'élargissement de l'Union européenne, Marta Kos, s'est dit "profondément préoccupée" par le vote de mardi, estimant qu'il s'agissait d'un "sérieux recul" de l'Ukraine en matière de lutte contre la corruption. Le respect de "l'Etat de droit reste au coeur des négociations d'adhésion" de l'Ukraine à l'UE, a-t-elle ajouté.
La corruption est un mal endémique en Ukraine depuis de nombreuses années, mais le pays avait fait des progrès en créant notamment, respectivement en 2014 et en 2015, une instance d'enquête, le Nabu, et un parquet dédié, le SAP, spécialisé dans ces affaires.
Mardi, le Parlement a voté à 263 voix pour, 13 contre et 13 abstentions, pour subordonner les activités de ces deux structures au procureur général, lui-même subordonné au président. Cette mesure supprime de fait leur indépendance.
Instances "essentielles" selon l'UE
"Aujourd'hui, avec les votes de 263 députés, l'infrastructure anticorruption a été détruite", a regretté le directeur du Nabu, Semion Kryvonos, avertissant que la loi permettra qu'existent "des personnes intouchables" en Ukraine.
Le texte "détruit effectivement l'indépendance de ces deux institutions vis-à-vis de toute influence politique et pression sur nos enquêtes", a abondé dans le même sens le chef du SAP, Oleksandre Klymenko.
Selon le député Roman Lozinsky, ce texte accorde au procureur général le pouvoir de gérer le SAP, de donner des "instructions écrites obligatoires" au Nabu et d'avoir accès aux détails de n'importe quelle affaire et de les déléguer au procureur de son choix ou à d'autres agences.
Quelques heures avant le vote, un porte-parole de l'UE, Guillaume Mercier, avait souligné que ces deux instances étaient "essentielles au programme de réforme" que l'Ukraine s'est engagée à mener pour pouvoir adhérer à l'Union européenne.
Depuis Kiev, après le vote, un diplomate européen, s'exprimant sous couvert d'anonymat, a qualifié cette décision de "regrettable". "Est-ce un revers? Oui. Est-ce un point de non-retour? Non", a ensuite nuancé ce responsable, s'exprimant auprès d'un petit groupe de journalistes, dont de l'AFP.
Responsable anti-corruption arrêté
Lundi, les services de sécurité ukrainiens (SBU) avaient annoncé l'arrestation d'un responsable du Nabu soupçonné d'espionnage au profit de Moscou. Ils ont perquisitionné les locaux de l'organisation, qui rejette ces accusations.
Cette arrestation a notamment été dénoncée par la branche ukrainienne de l'ONG anticorruption Transparency International, selon laquelle ces perquisitions sont illégales et "visent à obtenir de force des informations et à influencer les enquêtes menées sur des hauts responsables".
Selon des médias ukrainiens, ces mesures interviennent alors que le Nabu et le SAP s'apprêtaient à inculper l'ex-ministre de l'unité nationale Oleksiï Tchernychov et alors que les deux instances enquêtaient sur l'ex-ministre de la justice Olga Stefanichina.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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