International
Les Hawks impuissants face à Curry
Clint Capela et les Hawks ont assisté impuissants à un festival de Stephen Curry lundi en NBA.
L'arrière des Warriors a inscrit 50 points dans un match gagné 127-113 par Golden State, qui cueille ainsi son 9e succès de la saison en 10 matches.
Triple champion NBA et double MVP avec la franchise californienne, Stephen Curry est le premier joueur à atteindre la barre des 50 points en un match cette saison. Il a rentré 14 de ses 28 tirs, avec un 9 sur 19 à 3 points, pour marquer au moins 50 points pour la dixième fois de sa carrière.
Auteur des 13 premiers points de son équipe et des 8 premiers de la rencontre, Curry a également réalisé 10 passes décisives et 7 rebonds, en seulement 35 minutes passées sur le parquet. A 33 ans, il est le joueur le plus âgé de l'histoire à réussir un match à au moins 50 points et 10 passes décisives.
Capela discret
Battus pour la quatrième fois consécutive, la sixième dans leurs sept dernières sorties et la septième en onze parties jouées cette saison, les Hawks ont lâché prise dans un troisième quart-temps remporté 41-20 par les Warriors. Ils accusaient ainsi 17 longueurs de retard à l'entame de l'ultime quart (102-87).
Clint Capela s'est fait discret sur le parquet californien, où il a été aligné durant 23' seulement. L'intérieur genevois d'Atlanta a réussi 2 points - son plus faible total de la saison - et 6 rebonds, signant également 2 assists et 1 contre. Le meilleur marqueur des Hawks fut Trae Young, avec 28 points.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Six morts, neuf blessés dans une frappe russe sur Zaporijjia
Six personnes ont été tuées et neuf autres blessées dans une frappe russe mardi matin sur la ville de Zaporijjia dans le sud de l'Ukraine, a indiqué le gouverneur régional.
L'attaque meurtrière a touché un "site d'infrastructure", a dit le gouverneur Ivan Fedorov sur Telegram, ajoutant qu'"un incendie s'est déclaré" sur les lieux.
Peu avant la frappe, l'alerte aérienne due au risque d'attaque aux missiles balistiques avait été déclenchée dans cette région où se trouve la plus grande centrale nucléaire d'Europe, occupée par la Russie depuis le début de son invasion de l'Ukraine début 2022.
Le chef de l'administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak a réagi sur Telegram en appelant les Occidentaux à plus en faire pour aider l'Ukraine.
"Zaporijjia. Une nouvelle attaque russe, il y a des morts, des blessés. La violence doit être stoppée par des actions fermes. Les alliés doivent agir de manière plus ferme", a-t-il martelé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Michelin ferme deux usines en France, 1250 employés concernés
Michelin a annoncé mardi la fermeture avant 2026 de ses usines de Cholet et Vannes, dans l'ouest de la France, à cause de "l'effondrement" des ventes des pneus pour camions et camionnettes.
La direction du groupe a annoncé cette fermeture mardi matin aux 1254 salariés des sites concernés.
"C'est l'effondrement de l'activité qui a provoqué cette situation, et je veux dire à tous ces salariés que nous ne laisserons personne au bord du chemin", a déclaré le patron de Michelin, Florent Menegaux, dans un entretien à l'AFP.
La fermeture est devenue "inéluctable" en raison de la concurrence asiatique sur les pneus de camionnettes et poids lourds, les secteurs des deux usines, mais aussi de la "dégradation de la compétitivité de l'Europe", a indiqué la direction du groupe français dans un communiqué.
Dans un contexte de crise pour les équipementiers automobiles, le groupe s'engage à "accompagner chacun des salariés concernés avec des solutions sur mesure", avec des offres d'emplois dans d'autres entreprises ou dans le groupe, ou bien en préretraite.
L'intersyndicale du groupe, inquiète pour l'avenir de ces sites, avait rompu les discussions avec la direction.
La grande usine de Cholet (Maine-et-Loire) emploie 955 salariés qui fabriquent principalement des petits pneus pour camionnettes (17 pouces et moins).
Baisse continue des volumes
Ce segment du marché "a connu une baisse significative" en Europe au cours des dernières années, "avec une réduction drastique des volumes de production (...) sans perspective de redressement", justifie Michelin.
Le site de Vannes (Morbihan) compte 299 salariés qui produisent principalement des câbles métalliques pour des pneus fabriqués ensuite en Espagne et en Italie notamment.
L'usine bretonne a connu une baisse continue de ses volumes de production "en raison notamment de l'évolution du niveau de la demande des usines poids lourd du groupe en Europe (...) sans perspective de redressement", souligne Michelin.
Le site de Tours (Indre-et-Loire), dont le sort inquiète aussi les syndicats, a été épargné.
Le groupe "accompagnera également les deux territoires impactés en participant à la création d'au moins autant d'emplois que ceux supprimés", a-t-il promis.
Dans l'immédiat, Michelin va arrêter la production sur les deux sites jusqu'au 13 novembre pour "permettre à la direction et aux organisations syndicales de proposer des échanges collectifs et individuels aux employés".
Le groupe traverse une année difficile avec le ralentissement du marché des véhicules neufs. Michelin avait déjà fermé son site de La-Roche-sur-Yon (Vendée) en 2020, et prépare la fermeture d'ici 2025 de deux usines en Allemagne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Harris ou Trump: les Américains votent mardi
Ce sera forcément un résultat historique: l'Amérique décide mardi qui de Kamala Harris ou de Donald Trump entrera à la Maison Blanche. Indécise jusqu'à la dernière minute, la campagne a été émaillée de tensions inouïes.
Les bureaux de vote ouvrent à 06h00 locales sur la côte est des Etats-Unis (12h00 en Suisse). Des millions de personnes vont ajouter leurs voix aux plus de 80 millions de bulletins déjà déposés de manière anticipée ou envoyés par voie postale.
Il est impossible de savoir s'il faudra des heures ou des jours de dépouillement pour départager la vice-présidente démocrate de 60 ans et l'ancien dirigeant républicain de 78 ans, dont les personnalités et les visions ne pourraient être plus différentes.
A leurs meetings, ce sont deux Amérique apparemment irréconciliables qui ont afflué ces dernières semaines, chaque camp étant convaincu que l'autre va mener le pays au désastre.
Kamala Harris a qualifié son rival de "fasciste". Donald Trump a martelé qu'elle était "bête comme ses pieds" et qu'elle allait "détruire" le pays.
Coude-à-coude
Mardi à minuit, Dixville Notch, hameau perdu dans les forêts du New Hampshire à la frontière nord-est des Etats-Unis avec le Canada, a comme de tradition lancé le vote. A l'image des sondages, ses six électeurs n'ont pas réussi à départager les deux candidats: trois voix chacun.
Le verdict des urnes sera de toute façon historique. Soit l'Amérique enverra pour la première fois une femme à la Maison Blanche. Soit elle y renverra le tribun populiste, condamné au pénal et visé par de nombreuses poursuites, dont le premier mandat (2017-2021) avait entraîné le pays et le monde entier dans une suite ininterrompue de convulsions.
Les derniers sondages donnent les deux adversaires quasiment à égalité dans les sept Etats cruciaux, ceux qui, dans ce scrutin au suffrage indirect, donneront à la démocrate ou au républicain le nombre suffisant de grands électeurs pour atteindre le seuil de 270 sur 538, synonyme de victoire.
Pour essayer de convaincre en seulement trois mois de campagne, Kamala Harris a misé sur un message de protection de la démocratie et du droit à l'avortement, destiné aux femmes comme aux républicains modérés.
La démocrate, née d'un père jamaïcain et d'une mère indienne, organise sa soirée électorale dans son ancienne université, l'institution historiquement noire Howard, à Washington.
Donald Trump sera à Palm Beach, en Floride, son Etat de résidence. Le milliardaire a rejoué dans cette campagne la même partition qu'en 2016 et 2020, se présentant comme un candidat antisystème et proche du peuple, seul capable de sauver un pays ravagé selon lui par les migrants et une inflation galopante.
Drones et tireurs d'élite
Cette journée de mardi conclut une course stupéfiante, marquée par l'entrée en lice abrupte de la vice-présidente en juillet, en remplacement du président vieillissant Joe Biden, et par deux tentatives d'assassinat contre l'ancien président républicain, quatre fois inculpé au pénal. La suite reste une grande inconnue.
Les deux camps ont d'ores et déjà engagé des dizaines d'actions en justice, tandis que deux Américains sur trois redoutent une éruption de violence après le scrutin.
Certains bureaux de vote se sont mués en forteresses, surveillés par drones et avec des tireurs d'élite sur les toits. Des fonctionnaires électoraux ont aussi suivi des formations pour apprendre à se barricader dans une pièce ou à utiliser une lance à incendie pour repousser d'éventuels intrus.
Dans la capitale fédérale Washington, des barrières métalliques entourent la Maison Blanche, le Capitole et d'autres sites sensibles. Une quantité impressionnante de magasins du centre-ville ont couvert leurs vitrines de planches de bois. Les images du 6 janvier 2021, quand des trumpistes avaient attaqué le siège du Congrès américain, restent dans tous les esprits.
Rien ne dit que le pays va être secoué par des violences similaires. Donald Trump a toutefois déjà posé les premières pierres d'une nouvelle contestation, accusant meeting après meeting les démocrates de "tricher comme des diables". Et le camp démocrate a dit "s'attendre" à ce que le républicain se déclare vainqueur de façon prématurée, comme il l'avait fait en 2020.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les ouvriers de Boeing acceptent un nouvel accord
Les ouvriers grévistes de Boeing ont accepté lundi soir un nouveau projet d'accord social. Il met fin à un débrayage de plus de sept semaines de quelque 33'000 employés aux Etats-Unis. Coût estimé: plus de dix milliards de dollars à l'entreprise et ses fournisseurs.
Après avoir rejeté deux offres, l'IAM-District 751, branche du syndicat des machinistes (IAM), a indiqué avoir approuvé à 59% l'accord prévoyant une hausse salariale très proche de ses revendications, mais pas le rétablissement de l'ancien dispositif de retraite.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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