Rejoignez-nous

International

Marlen Reusser championne d'Europe du contre-la-montre

Publié

,

le

Marlen Reusser a conservé son titre de championne d'Europe du contre-la-montre (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Marlen Reusser a conservé son titre de championne d'Europe du contre-la-montre à Munich. La Bernoise de 30 ans s'est imposée en 30'59''90 devant deux Néerlandaises.

Sur les 24 kilomètres à Fürstenfeldbruck près de Munich, elle a devancé de cinq secondes la co-favorite néerlandaise Ellen van Dijk et de 27 secondes Riejanne Markus. La deuxième meilleure Suissesse est la triathlète Elena Hartmann, 9e.

Reusser a réussi à défendre son titre au terme de semaines difficiles. Après avoir été retardée par une blessure à la main et par le covid, elle avait fêté fin juillet une très belle victoire d'étape en solo sur le Tour de France. Deux jours plus tard, la deuxième des Jeux olympiques et des championnats du monde avait été victime d'une commotion cérébrale sur une chute et avait dû se retirer de la course.

Elle triomphe donc aujourd'hui dans sa première course après ce nouvel cruel abandon.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Violences sexuelles dans une secte de yoga: gourou écroué en France

Publié

le

Gregorian Bivolaru, poursuivi dans son pays à plusieurs reprises, a fui et obtenu l'asile politique en Suède début 2006 ainsi qu'un nouveau nom. Condamné par défaut en Roumanie en 2013, il avait disparu à plusieurs reprises avant d'être retrouvé mardi en France (archives). (© KEYSTONE/AP/Marian Ilie)

Le gourou d'un mouvement international de yoga a été mis en examen vendredi soir à Paris, en France, et écroué, dans une vaste affaire de violences sexuelles. D'autres membres de la secte ont également été inculpés.

Outre le gourou de 71 ans, Gregorian Bivolaru, de nationalités roumaine et suédoise, quatorze personnes ont été ou doivent être présentées à un juge d'instruction en vue de leur mise en examen dans ce dossier tentaculaire, qui a nécessité l'intervention de 175 policiers pour réaliser une quarantaine d'interpellations mardi.

Gregorian Bivolaru, très connu en Roumanie et qui a fondé en 1970 la première école de yoga dans le pays alors communiste, est la figure fondatrice du mouvement pour l'intégration spirituelle vers l'absolu (MISA). Ce groupe ancien, rebaptisé Atman lors de son expansion hors de Roumanie, se présente comme axé sur la pratique du yoga tantrique.

Il a été interpellé mardi à son domicile, alors qu'il s'y trouvait avec deux jeunes femmes roumaines et un autre homme. Lors de sa garde à vue, il a nié son rôle de chef, mais a bien affirmé être "doté de dons extraordinaires" et la "victime d'un complot politique", a relaté une source policière à l'AFP.

"Conditionnement"

Il s'est présenté comme "un maître spirituel". Après une étape dite de la "consécration", des femmes "l'aimaient" à son domicile, selon la source policière qui rapportait ses propos.

Il s'agit d'un "conditionnement des victimes à accepter des relations sexuelles via des techniques de manipulation mentale visant à supprimer toute notion de consentement", a analysé une source judiciaire. Le mouvement aurait aussi incité des femmes à "s'adonner à des pratiques pornographiques tarifées en France et à l'étranger", selon une source proche de l'enquête.

Parmi les personnes mises en cause figurent aussi des femmes. L'une d'elles, "qui se comportait comme une cheffe" selon la source policière, a été interpellée au sein d'un "pavillon de femmes" à Villiers-sur-Marne, au sud de Paris. Lors de sa garde à vue, elle désignait six autres "coordinatrices" d'"ashrams" en région parisienne.

Six des vingt femmes installées dans ce pavillon ont raconté aux enquêteurs être arrivées entre septembre et novembre en France pour "un stage de yoga" ou "un cours sur le féminisme". Deux ont précisé avoir été photographiées nues à leur arrivée. Elles n'ont pas porté plainte pour l'instant. A ce stade, les enquêteurs ont identifié 56 femmes potentiellement victimes.

Une femme se présentant comme victime a raconté à l'AFP, sous couvert d'anonymat, avoir subi "à plusieurs reprises" un trafic sexuel "du Royaume-Uni à Paris". "Beaucoup de gens considèrent cette organisation comme une école de yoga [...] sans savoir qu'il s'agit d'une secte dangereuse", a-t-elle souligné, estimant le nombre de victimes à "des milliers de femmes".

Son fondateur, poursuivi dans son pays à plusieurs reprises et condamné à six ans d'emprisonnement, a fui et obtenu l'asile politique en Suède au début 2006 ainsi qu'un nouveau nom: Magnus Aurolsson.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Poutine ordonne d'augmenter de 15% le nombre de soldats

Publié

le

Vladimir Poutine a expliqué la hausse du besoin de soldats par "l'augmentation des menaces" liées au conflit en Ukraine. (© KEYSTONE/AP/Mikhail Klimentyev)

Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi un décret ordonnant d'augmenter de 15% le nombre de soldats que compte l'armée russe. Il a expliqué cette hausse par "l'augmentation des menaces" liées au conflit en Ukraine.

L'armée devra compter 2,2 millions de membres, dont 1,32 million de soldats, selon ce décret publié par le gouvernement. Le précédent décret, datant d'août 2022, fixait le nombre de membres prévus à 2 millions, dont 1,15 millions de militaires.

Concrètement, sans compter le personnel civil, cela représente une augmentation de 169'372 militaires, soit quasiment 15% de la force de combat fixée actuellement.

Ukraine et Otan

Le ministère russe de la Défense, dès l'annonce de ce décret, a publié un communiqué expliquant cette hausse.

"L'augmentation des effectifs des forces armées est due à une augmentation des menaces visant notre pays et liées à la conduite de l'opération militaire spéciale (en Ukraine) et la poursuite de l'élargissement de l'Otan", a-t-il indiqué.

"Un renforcement des forces armées combinées de l'Alliance près des frontières de la Russie et le déploiement de moyens supplémentaires de défense aérienne et d'armes de frappe sont en cours", a-t-il assuré.

"Engagements volontaires"

Le ministère a toutefois déclaré que cette augmentation de ses effectifs se fera "par étape", sur la base d'engagements volontaires, et qu'aucune "mobilisation (militaire) n'est prévue".

En septembre 2022, face à des graves difficultés sur le front, la Russie avait ordonné une mobilisation militaire, poussant des centaines de milliers de jeunes hommes à fuir le pays pour éviter un enrôlement de force et suscitant des mécontentements.

Depuis, le front s'est stabilisé et les autorités russes privilégient des recrutements sur la base du volontariat, en promettant d'importants salaires et des avantages sociaux à ceux décidant de s'engager.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Trump peut être tenu responsable au civil pour l'assaut du Capitole

Publié

le

Le 6 janvier 2021 dans la capitale américaine, Donald Trump, battu à l'élection de novembre 2020 par le démocrate Joe Biden, avait tenu un discours enflammé devant ses partisans, les appelant à se "battre comme des diables" contre les résultats que les élus du Congrès devaient certifier ce jour-là. (© KEYSTONE/AP/Bryon Houlgrave)

L'ancien président américain Donald Trump peut être tenu responsable, au civil, pour l'assaut mené par ses partisans contre le Capitole à Washington le 6 janvier 2021. C'est ce qu'a décidé la justice fédérale.

Cette décision d'une cour d'appel à Washington a été rendue publique vendredi - confirmant une information du Washington Post - suite aux plaintes au civil en 2021 de deux policiers du Capitole, siège du Congrès, et d'une dizaine de parlementaires du Parti démocrate. Ce long arrêt de la justice fédérale est lui-même susceptible d'appel.

Le 6 janvier 2021 dans la capitale américaine, Donald Trump, battu à l'élection de novembre 2020 par le démocrate Joe Biden, avait tenu un discours enflammé devant ses partisans, les appelant à se "battre comme des diables" contre les résultats que les élus du Congrès devaient certifier ce jour-là.

Deux semaines avant l'investiture du président élu Biden, le 20 janvier 2021, des milliers de soutiens du président républicain avaient semé le chaos et la violence dans le Capitole.

Plus de 350 inculpations

Plus de 1000 personnes ont depuis été arrêtées et quelque 350 d'entre elles ont été inculpées d'agression contre des agents de police ou refus d'obtempérer lors de leur arrestation. Certains membres de milices d'extrême droite ont même été condamnés pour sédition.

Les plaignants au civil contre Donald Trump s'appuient selon le Washington Post sur une loi vieille de 150 ans qui interdit le recours à la force, aux menaces et aux intimidations pour empêcher un élu ou un fonctionnaire de remplir sa charge.

Droit de demander des réparations

Les plaignants sont en droit de demander au milliardaire républicain des réparations pour les dommages causés le 6 janvier 2021, selon la cour d'appel du district de Columbia de Washington.

L'ancien locataire de la Maison Blanche, qui rêve d'y retourner en janvier 2025 mais qui fait face à plusieurs procédures judiciaires, assure depuis deux ans que l'élection de Joe Biden a été "pipée et volée", dénonce une "chasse aux sorcières" et une "utilisation politique" de la justice contre lui.

Donald Trump, qui était encore président des Etats-Unis le 6 janvier 2021, met en avant son "immunité" présidentielle de l'époque. La cour "rejette" et "répond non, au moins à ce stade de la procédure".

"Lorsqu'un président en fonction opte pour un second mandat, sa campagne pour être réélu n'est pas un geste présidentiel officiel", selon la justice. En juillet, M. Trump avait affirmé que le procureur spécial de la justice fédérale Jack Smith le visait personnellement dans son enquête au pénal sur le 6 janvier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

Kyrgios remercie Murray de son aide psychologique

Publié

le

Nick Kyrgios s'est retrouvé vraiment dans une période difficile. (© KEYSTONE/DPA/TOM WELLER)

Nick Kyrgios a exprimé sa gratitude envers Andy Murray pour avoir repéré les signes d'autodestruction dont il souffrait dans une période "sombre" de sa vie de star du tennis.

Une période marquée par une "dépendance à la douleur", a-t-il dit dans une interview diffusée vendredi.

"Andy a toujours été d'un grand soutien pour moi", a déclaré l'ex-13e joueur mondial dans l'émission TalkTV animée par l'animateur britannique Piers Morgan.

"Dès que je suis arrivé sur le circuit, il a vu mon potentiel et m'a pris sous son aile. Plus tard dans ma carrière, il s'est rendu compte que je pensais ne pas être +entraînable+ ou que j'étais isolé, mais il a toujours été là pour veiller sur moi", a expliqué l'Australien aujourd'hui âgé de 28 ans.

Kyrgios, qui n'a disputé qu'un seul match en 2023, s'est déjà confié sur les problèmes de santé mentale dont il a souffert ces dernières années et a révélé dans un documentaire diffusé sur Netflix qu'il avait séjourné dans un hôpital psychiatrique après une défaite à Wimbledon en 2019.

A Piers Morgan, il a raconté que Murray avait repéré ses scarifications. "Il les a vues et m'a dit: +Qu'est-ce que tu as sur le bras ?+ C'était assez grave à ce moment-là. Je me retrouvais dans les vestiaires et les gens pouvaient voir mes automutilations (...) Ils devaient se dire +Wow, ce gars est en pleine tempête mentale et il essaie quand même de jouer+".

"Andy essayait manifestement de me donner des conseils. Mais j'étais tellement coincé dans mes habitudes à l'époque que je n'ai pas écouté. Je lui suis évidemment très reconnaissant, je le remercie beaucoup", a ajouté Kyrgios.

"Assez glauque"

L'année dernière, la mère du joueur australien avait déclaré que Murray avait repéré les signes d'automutilation de son fils avant elle.

Au cours de l'interview, Kyrgios, qui n'est plus classé à l'ATP, est revenu sur l'ampleur des automutilations qu'il s'infligeait, même lorsqu'il remportait des succès sur le circuit ATP.

"J'ai passé un an et demi ou deux à me faire du mal. C'était assez glauque... J'ai gagné des tournois sur le circuit professionnel en buvant tous les soirs, en m'automutilant, en me brûlant le bras, en me coupant pour le plaisir. C'était devenu une addiction à la douleur. Je me détestais. Je détestais me réveiller et être Nick Kyrgios", s'est-il souvenu.

Depuis qu'il a révélé publiquement ses problèmes de santé mentale, l'Australien a été contacté par des personnes souffrant de pathologies similaires sur les réseaux sociaux. Leur venir en aide, a-t-il dit, est la "chose la plus puissante" qu'il ait faite au cours de sa carrière.

"Cela fait une vraie différence et j'en suis vraiment très fier", a déclaré le finaliste de Wimbledon en 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Verseau

Dès ce matin, il faudra suivre le mouvement pour ne pas vous sentir largué. Préparez-vous à bousculer quelques-unes de vos habitudes.

Les Sujets à la Une

X