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Jeux olympiques - Beijing 2022

Patrizia Kummer peut s'entraîner malgré sa quarantaine

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Patrizia Kummer peut s'entraîner malgré son isolement à Pékin. (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Patrizia Kummer bénéficie désormais d'une quarantaine allégée aux JO de Pékin. La championne olympique 2014 de snowboard a le droit de quitter sa chambre pour aller s'entraîner sur la neige.

Seule athlète à avoir accepté les trois semaines d'isolement imposées aux non-vaccinés, la Valaisanne semble se porter comme un charme, à entendre le ton enjoué de son interview transmise lundi par Swiss Ski et Swiss Olympic.

Elle a pu quitter son hôtel pékinois où elle avait été placée en quarantaine le 13 janvier pour rejoindre le Village olympique de Zhangjiakou. Elle y jouit de mesures allégées.

Ainsi, elle peut désormais quitter sa chambre par un transport spécial pour se rendre sur les pistes.

"Je bénéficie des mêmes conditions que les athlètes testés positifs", confie encore celle qui disputera le géant parallèle, le 8 février. Elle a précisé ne pas encore savoir précisément quand sa quarantaine se terminera.

A son hôtel à Pékin, la Haut-Valaisanne s'est sentie "comme à la maison". Le personnel de l'hôtel s'est montré"extrêmement aimable" et lui a offert de petits cadeaux.

Patrizia Kummer dit avoir "tellement de choses à faire" qu'elle n'a pas le temps de s'ennuyer.

Patrizia Kummer avait pris la vie du bon côté dès le début en déclarant il y a dix jours en visioconférence, face aux nombreux journalistes intéressés par son cas particulier, qu'"au moins elle n'aurait pas à souffrir du jet-lag", vu le temps écoulé entre son arrivée en Chine et sa compétition.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

Vente d'alcool interdite dans les stades, sauf pour les VIP

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L'alcool sera interdit dans les stades pendant les JO 2024 (© KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)

La vente d'alcool sera interdite dans les stades pendant les JO 2024 de Paris, conformément à la loi Evin. Celle-ci permet en revanche une consommation au sein des espaces VIP.

"En application de la loi Evin, l'alcool sera interdit à la vente grand public dans les stades pendant les Jeux de Paris-2024", a indiqué mardi le comité d'organisation Paris-2024.

La décision des organisateurs des JO de Paris découle de l'application de la loi Evin qui interdit depuis plus de 32 ans la consommation d'alcool dans les stades et enceintes sportives, mais qui comporte également des exceptions.

La législation permet notamment aux organisateurs de demander jusqu'à dix dérogations par an et par commune. Mais Paris-2024 n'est pas éligible à une telle dérogation, car "plus de 700 sessions de compétition sur 15 jours de compétition" vont être organisées, précise le comité d'organisation.

Autre exception à la loi française: la consommation d'alcool est permise au sein des espaces hospitalités VIP, dès qu'une offre de restauration est proposée. Une distinction qui a créé depuis des années un système de deux poids, deux mesures appliqué à chaque évènement sportif organisé en France en capacité d'offrir des espaces VIP.

Application stricte

"C'est l'application stricte de la loi française qui autorise les prestations de restauration incluant le service d'alcool dans les espaces d'hospitalités régis par la loi sur la restauration", rappelle le comité d'organisation. "Il ne revient pas à Paris-2024 de commenter cette différence de régime mais au législateur en dernier ressort de définir le cadre pertinent pour les organisateurs d'évènements", ajoute le comité d'organisation.

S'il ne sera pas possible de boire de la bière en tribunes lors des JO 2024, ce n'était pas le cas à Londres en 2012 et à Rio en 2016. A Tokyo, en 2021, les restrictions liées au Covid avaient conduit les organisateurs à s'en passer.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Une perquisition en cours au comité d'organisation

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Une perquisition s'est déroulée mardi au siège du Comité organisateur de Paris 2024 (© KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)

Une perquisition est en cours au siège du comité d'organisation (Cojo) des Jeux 2024, à Saint-Denis près de Paris. Le Cojo l'a indiqué mardi à l'AFP, sans préciser ce sur quoi portait l'enquête.

Une difficulté de plus pour l'olympisme français: à 400 jours des Jeux de Paris, le comité d'organisation (Cojo) et d'autres sites ont fait l'objet de perquisitions mardi dans le cadre d'enquêtes menées par le Parquet financier (PNF).

Le ministère public a confirmé l'information de France TV selon laquelle il avait ordonné des perquisitions au Cojo dans le cadre de deux enquêtes préliminaires.

Prise illégale d'intérêts

La première, ouverte en 2017 et confiée à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), concerne une série de marchés attribués "par plusieurs pouvoirs adjudicateurs successifs liés aux JO, notamment le Cojo et le GIP 2024", le comité de candidature qui précédait le Cojo, a précisé le PNF.

L'enquête porte sur des soupçons de "prise illégale d'intérêts, détournement de fonds publics, favoritisme et recel de favoritisme", d'après le ministère public. Contacté, le ministère des Sports et des JO n'a pas souhaité réagir à ce stade.

La grande façade moderne et marron du Cojo, à Saint-Denis, n'est pas la seule à avoir vu défiler mardi matin les enquêteurs: la perquisition concerne aussi la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo), dans le centre-ouest de Paris et d'autres sites, d'après le PNF.

Selon le PNF, ces perquisitions sont en effet aussi réalisées dans le cadre d'une seconde procédure, ouverte en 2022 et confiée à la BRDE, la brigade financière de la police judiciaire parisienne, pour des soupçons de prise illégale d'intérêts, favoritisme et recel de favoritisme.

"Risques d'atteinte à la probité"

Elle porte, d'après le PNF, sur plusieurs marchés passés par le Cojo et la Solideo, à la suite d'un contrôle de l'Agence française anticorruption (AFA). D'après une source proche du dossier, cela concerne des "contrats de conseil" sur "différents sujets".

D'après une autre source proche du dossier, l'une de ces deux procédures s'intéresse à de potentiels conflits d'intérêts liés à Edouard Donnelly, directeur exécutif des opérations du Cojo qui auparavant avait été prestataire des JO via sa société RNK.

Sollicité par l'AFP, le Cojo et la Solideo ont séparément confirmé les perquisitions et indiqué qu'ils "collaborent pleinement avec les enquêteurs".

Le Cojo est constitué sous forme d'une association loi 1901. La Cour des comptes suit de près son activité et doit publier un rapport très prochainement.

En avril 2021, deux rapports de l'AFA sur l'organisation des JO, dont l'AFP a pris connaissance, pointaient des "risques d'atteintes à la probité" et de "conflits d'intérêts", égratignant l'image des JO "exemplaires" voulus par le patron du comité d'organisation, Tony Estanguet.

Les inspecteurs de l'AFA avaient estimé que la procédure générale relative aux achats était "imprécise et incomplète", et soulignaient qu'il existait "parfois des situations de potentiels conflits d'intérêts non maîtrisés".

Dans leurs rapports les inspecteurs de l'AFA rappelaient les poursuites pénales ayant frappé les présidents des comités olympiques brésilien et japonais liées aux deux derniers Jeux d'été (Rio et Tokyo), et observaient également que "les risques d'atteinte à la probité sont fréquents dans le cadre des grands événements sportifs".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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"Le basket se jouera à Lille en 2024", assure Estanguet

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Le Stade Pierre Mauroy à Lille peut se transformer suivant les événements. (© KEYSTONE/EPA FILE/JULIEN WARNAND)

"Le basket et le hand se joueront à Lille en 2024", a affirmé jeudi le président du comité d'organisation des Jeux olympiques de Paris-2024, Tony Estanguet.

Il se trouvait aux côtés de la fédération internationale de basketball (Fiba) qui s'est dite "confiante".

"On a encore un certain nombre de travaux à mener ensemble avec les fédérations internationales, avec les acteurs locaux, pour faire de ces deux grands moments de grands succès", a ajouté Tony Estanguet devant la presse lors d'une visite du stade Pierre-Mauroy, situé à Villeneuve-d'Ascq (Nord), l'arène du club de football de Lille.

"Tout n'est pas encore résolu mais on est très confiants dans notre capacité à répondre à toutes les questions dans les prochains mois", a-t-il complété, aux côtés du secrétaire général de la Fiba, Andreas Zagklis.

"Nous voulons venir ici à condition que ces sujets soient résolus", a pour sa part déclaré Andreas Zagklis, qui s'est dit "confiant". "Paris-2024 a fait beaucoup de progrès ces derniers mois et nous pouvons voir la lumière au bout du tunnel", a-t-il ajouté.

Plusieurs sujets, liés notamment à la climatisation du stade en configuration basketball, avaient suscité des discussions au sein de la Fiba, laquelle a donné en décembre "sous réserves" son feu vert à l'organisation des phases de groupes à Lille.

Les phases de groupes des tournois masculin et féminin de basketball des JO 2024 doivent avoir lieu à Pierre-Mauroy, avant des phases à élimination directe à Bercy.

Initialement, les premières phases devaient se tenir dans un des halls du Parc des Expos de la Porte de Versailles à Paris mais le site a été abandonné car l'endroit mécontentait plusieurs basketteurs français, conduisant le Cojo à se replier au Stade Pierre-Mauroy, à Lille.

Sur les billets figurent Lille

Interrogé sur la différence sémantique entre sa "confiance" et les certitudes affichées par Tony Estanguet, le président de la Fiba a assuré: "Je ne pense pas que nous disions des choses différentes, nous sommes exactement sur la même ligne".

Sur la billetterie des JO 2024 ainsi que sur le site officiel des Jeux, il est stipulé que les phases de groupes auront lieu à Lille.

Les phases à élimination directe des tournois de handball doivent également avoir lieu dans cette enceinte, après des phases de groupe au parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. Un sujet qui ne soulève pas les mêmes questionnements que dans le basketball.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La flamme olympique entamera son parcours en France à Marseille

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La flamme olympique entamera son parcours français à Marseille (© KEYSTONE/AP Pool Reuters/HANNAH MCKAY)

Le parcours de la flamme olympique en France, avant les Jeux de Paris (26 juillet au 11 août 2024), débutera au printemps 2024 à Marseille, première étape de son périple à travers le pays.

"C'était un choix assez naturel et évident", a déclaré à l'AFP le président du comité d'organisation des JO de Paris (Cojo) Tony Estanguet, saluant une ville "passionnée de sport, chaleureuse, populaire et multiculturelle", et évoquant aussi le lien de Marseille avec la Grèce, la colonie Massalia ayant été fondée par des Grecs vers 600 avant J.C.

Pendant les Jeux, Marseille accueillera les épreuves de voile ainsi que dix rencontres des tournois féminin et masculin de football, au Stade vélodrome.

Le parcours complet de la flamme jusqu'à Paris, après son arrivée à Marseille, devrait être annoncé fin mai, à un peu plus d'un an des Jeux, a précisé Tony Estanguet.

La flamme arrivera au printemps 2024 à Marseille à bord du Bélem, un des plus anciens trois-mâts d'Europe à toujours naviguer, après une traversée d'une dizaine de jours depuis la Grèce, où, comme lors de chaque édition des Jeux, elle aura auparavant été allumée lors d'une cérémonie à Olympie.

"Après avoir été accueilli sur les côtes françaises par une armada de bateaux, le Bélem amarrera, donnant le coup d'envoi d'une grande fête populaire sur les quais de la ville", ont encore annoncé les organisateurs dans un communiqué.

"En sport, pour réussir, on dit souvent qu'il faut prendre un bon départ, c'est pour cela qu'il est important pour nous que ce soit une belle fête populaire", a ajouté Tony Estanguet.

"Marseille a été fondée par des Grecs venus de Phocée il y a 2.600 ans: en demandant d'accueillir la flamme sur nos rives, nous voulions renouer avec cette grande histoire de partage, de fraternité, de diversité et de solidarité", a salué le maire DVG de Marseille Benoît Payan, cité dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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