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Perret/Rios éliminés

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Jenny Perret et Martin Rios ne disputeront pas les demi-finales à Pékin (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Vice-champions olympiques en 2018, Jenny Perret et Martin Rios ne disputeront pas les demi-finales du double mixte aux Jeux de Pékin.

La Seelandaise et le Glaronnais ont subi la défaite de trop dans le 11e tour du Round Robin, s'inclinant 9-6 devant l'Australie dans un match qu'ils ne pensaient même pas devoir disputer.

Jenny Perret/Martin Rios pensaient en effet s'imposer par forfait après que plusieurs tests au Covid-19 effectués par Tahil Gill s'étaient avérés positifs. Mais la curleuse de 22 ans, placée à l'isolement dans un premier temps, a finalement été autorisée par le corps médical à disputer cette rencontre.

Jenny Perret et Martin Rios ont craqué dans le "money time", concédant six points sur les trois derniers ends. Ils avaient pourtant renversé une situation compromise: menés 3-0 par une paire qui avait perdu ses sept premiers matches, ils semblaient avoir le match en main à 6-3 en leur faveur après cinq ends...

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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A Marseille, le pape François célèbre la messe géante

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Dans le stade Vélodrome de Marseille, un gigantesque "tifo" a été déployé samedi par les supporters de l'OM à l'arrivée du souverain pontife. (© KEYSTONE/EPA/Sebastien Nogier / POOL)

"Bonjour Marseille, bonjour La France": c'est par ces mots, en français, que le pape François a ouvert la messe géante samedi au stade Vélodrome de Marseille, devant plusieurs dizaines de milliers de personnes, dont le chef de l'Etat Emmanuel Macron.

Le souverain pontife avait eu auparavant avec le président français un entretien d'une demi-heure consacré avant tout à la situation internationale, notamment l'Ukraine, l'Afrique, le Nagorny Karabakh ou encore les questions environnementales, selon l'Elysée.

Emmanuel Macron a évoqué les questions migratoires. Alors que le chef de l'Eglise catholique a dénoncé "l'indifférence" des responsables politiques européens à l'égard des migrants, "la France n'a pas à rougir, c'est un pays d'accueil et d'intégration", a déclaré la présidence française.

Gigantesque "tifo"

Le pape François est arrivé au stade Vélodrome, antre des footballeurs de l'Olympique de Marseille, après avoir remonté l'avenue du Prado en papamobile sous un soleil éclatant, salué par la foule agitant des drapeaux français, marseillais ou du Vatican, tandis que retentissaient quelques "vive le pape, bienvenue à Marseille!".

A son arrivée, un gigantesque "tifo" a été déployé par les supporters de l'OM, représentant le buste du souverain pontife à côté de la "Bonne Mère", la Basilique Notre-Dame-de-La-Garde. Derrière cette banderole, déroulée depuis le toit du virage sud, les milliers de spectateurs habillés de chasubles ont d'abord dessiné une croix bleue sur fond blanc, le drapeau de Marseille, avant d'y inscrire un immense "Merci" en lettres jaunes composées à partir de feuilles dorées.

Parmi les invités de marque figuraient la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde.

60'000 personnes

La présence d'Emmanuel Macron a été critiquée par des élus de gauche au nom du respect de la laïcité, tandis que certains élus d'extrême droite ont préféré boycotter cette messe en raison du discours du pape sur les migrants.

Pour cette messe géante, où près de 60'000 personnes ont envahi les tribunes, un dispositif de sécurité "hors norme" a été déployé, mobilisant 6000 membres des forces de l'ordre et un millier d'agents de sécurité privés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Nagorny Karabakh: les séparatistes rendent les armes

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Sous le regard de soldats de maintien de la paix russes, la population de Stepanakert (Haut Karabakh) vit dans l'angoisse. (© KEYSTONE/AP)

Les séparatistes du Nagorny Karabakh négocient samedi avec l'Azerbaïdjan qui vient de leur infliger une lourde défaite militaire le retour à la paix dans cette région. La population, en majorité arménienne, s'angoisse pour son avenir.

Après leur capitulation et le cessez-le-feu conclu mercredi à l'issue d'une offensive éclair déclenchée un jour auparavant par Bakou, ils doivent notamment évoquer le retrait de leurs troupes, tout en continuant de déposer leurs armes.

Cette enclave montagneuse, qui avait été rattachée en 1921 par le pouvoir soviétique au territoire azerbaïdjanais, avait été par le passé le théâtre de deux guerres entre les anciennes républiques soviétiques que sont l'Azerbaïdjan et l'Arménie : l'une de 1988 à 1994 (30'000 morts) et l'autre à l'automne 2020 (6.500 morts).

"Conformément aux accords de cessation des hostilités, les formations armées du Karabakh ont commencé à remettre" leurs armes "sous le contrôle des forces russes de maintien de la paix", a fait savoir vendredi le ministère russe de la Défense.

Six blindés, plus de 800 armes légères et environ 5000 munitions ont pour l'instant été rendues, a précisé le contingent de la paix russe.

Retrait des troupes

Les pourparlers des autorités du Nagorny Karabakh avec la partie azerbaïdjanaise entamés jeudi "sous les auspices des soldats de maintien de la paix russes" doivent permettre d'"organiser le processus de retrait des troupes et assurer le retour dans leurs foyers des citoyens déplacés par l'agression militaire", selon les séparatistes.

Les parties discutent également de "la procédure d'entrée et de sortie des citoyens" de cette région, ont-ils ajouté.

Le tout à un moment où des milliers de civils restent confrontés à une situation d'urgence humanitaire au Nagorny Karabakh, dont la "capitale" Stepanakert est, disent les autorités locales, encerclée par les soldats azerbaïdjanais.

"On attend des évacuations"

Originaire de cette ville, Yana Avanessian, une enseignante en droit âgée de 29 ans assure, comme bien d'autres Arméniens réussissant tant bien que mal à contacter leurs proches, que la situation sur place est "horrible".

"On espère des évacuations pour bientôt, notamment des gens dont les habitations ont été détruites", confie à l'AFP la jeune femme, au milieu d'un petit groupe de personnes comme elle rongées par l'inquiétude présentes au poste de contrôle arménien de Kornidzor tout proche du Nagorny Karabakh.

"Ça fait trois jours et trois nuits que j'attends. Je dors dans la voiture", raconte à cet égard Garik Zakarian, qui habitait jusqu'en décembre dernier dans le village d'Eghtsahog, presque à portée de main, de l'autre côté de la vallée, et où des amis, sa belle-mère et son beau-frère vivent toujours.

"Je n'ai pas d'espoir (de les voir rapidement évacués) mais je ne pouvais pas ne rien faire. Juste être là, voir la base russe à un kilomètre, je me sens mieux physiquement", déclare encore cet homme de 28 ans.

Et chacun s'écarte docilement quand passent des voitures remplies de soldats arméniens ou des convois de la force russe d'interposition, les seuls autorisés à poursuivre leur route.

Petite lueur d'espoir

Un correspondant de l'AFP a pour sa part constaté que Stepanakert était privée d'électricité et de carburant. Ses habitants, qui ne peuvent pas retrouver leurs proches disparus faute de listes des morts et des blessés, manquent par ailleurs de nourriture et de médicaments.

Les troupes azerbaïdjanaises "sont partout autour de Stepanakert, elles sont à la périphérie", a quant à elle affirmé à l'AFP une porte-parole des autorités locales, Armine Hayrapetian, disant que des gens se terraient "dans les caves".

Petite lueur d'espoir, d'après un conseiller du président azerbaïdjanais Ilham Aliev, l'Azerbaïdjan a promis au Comité international de la Croix-Rouge (CICR) d'envoyer de l'aide et de prendre en charge les soldats séparatistes blessés, avec des ambulances autorisées à se rendre à partir de l'Arménie au Nagorny Karabakh.

L'opération militaire azerbaïdjanaise, qui s'est achevée en 24 heures mercredi à la mi-journée, a fait au moins 200 morts et 400 blessés, d'après les séparatistes arméniens.

Et la victoire remportée par Bakou nourrit les craintes d'un départ de nombre des 120'000 habitants du Nagorny Karabakh, même si l'Arménie a promis qu'aucune évacuation de masse n'était prévue. Elle s'est néanmoins dit prête à accueillir "40'000 familles" de réfugiés.

Pachinian sous pression

Accusé de passivité face à l'Azerbaïdjan, le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a reconnu vendredi que "la situation" restait "tendue" au Nagorny Karabakh où "la crise humanitaire se poursuit".

Mais "il y a un espoir de dynamique positive", a ajouté le chef du gouvernement, pour qui le cessez-le-feu est "globalement" respecté.

Des personnes hostiles à M. Pachinian manifestent tous les jours à Erevan, la capitale de l'Arménie, pour protester contre la gestion de la crise par l'exécutif.

Plusieurs dirigeants de l'opposition ont de leur côté fait connaître leur intention d'ouvrir au Parlement une procédure de destitution à l'encontre du chef du gouvernement.

Selon la police arménienne, 98 manifestants ont été arrêtés vendredi, tandis que M. Pachinian appelle au calme et à emprunter "le chemin" de la paix, bien que ce soit "pas facile".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le pape appelle à "une responsabilité européenne" face aux migrants

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Le pape François s'est ému du sort des migrants samedi à Marseille. (© KEYSTONE/EPA/Sebastien Nogier / POOL)

Le pape François a appelé samedi à une "responsabilité européenne" face au phénomène migratoire au second jour de sa visite à Marseille. Il a martelé que les migrants qui "risquaient leur vie en mer" pour gagner l'Europe "n'envahissaient pas".

"Le phénomène migratoire n'est pas tant une urgence momentanée, toujours bonne à susciter une propagande alarmiste, mais un fait de notre temps", a-t-il affirmé en clôture des Rencontres méditerranéennes au Palais du Pharo, estimant que ce processus doit être géré "avec une responsabilité européenne capable de faire face aux difficultés objectives".

"Deux mots ont résonné, alimentant la peur des gens: 'invasion' et 'urgence'. Mais ceux qui risquent leur vie en mer n'envahissent pas, ils cherchent hospitalité" et ils "ne doivent pas être considérés comme un fardeau à porter", a ajouté le pape, regrettant que "plusieurs ports méditerranéens" se soient fermés.

Vendredi, déjà, le souverain pontife avait fustigé "l'indifférence" et la "peur" dans une Europe tentée par le repli face aux migrants.

Tombeau de la dignité

Le pape reprenait là une thématique qui lui est chère, alors même que la solidarité européenne est mise à l'épreuve après l'arrivée de milliers de migrants sur l'île de Lampedusa. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a ainsi assuré que la France "n'accueillera pas de migrants" venus de l'île italienne, tandis que la droite et l'extrême droite fustigeaient une "submersion migratoire".

Répétant sa crainte de voir se transformer "la Méditerranée, berceau de la civilisation, en tombeau de la dignité", le pape a de nouveau exhorté à ne pas "s'enfermer dans l'indifférence" tandis que le vice-président de la Commission européenne chargé des questions migratoires, Margaritis Schinas, était présent dans l'auditoire.

Fustigeant les "nationalismes archaïques et belliqueux", il a de nouveau appelé à "un sursaut de conscience" pour "prévenir un naufrage de civilisation" et averti que l'avenir "ne sera pas dans la fermeture qui est un retour au passé".

Dans son appel à la solidarité internationale, François a estimé que la solution était "d'assurer, selon les possibilités de chacun, un grand nombre d'entrées légales et régulières", qui soient "durables grâce à un accueil équitable de la part du continent européen, dans le cadre d'une collaboration avec les pays d'origine".

Il a aussi plaidé pour une "intégration" des migrants, qui est "difficile, mais clairvoyante", face à "l'assimilation, qui ne tient pas compte des différences" et "compromet l'avenir en augmentant les distances et en provoquant la ghettoïsation, provoquant hostilité et intolérance".

"Oui à la solidarité"

Mais le problème principal est la pauvreté, a insisté le souverain pontife, car "là où il y a précarité il y a criminalité", appelant à un "sursaut de conscience pour dire 'non' à l'illégalité et 'oui' à la solidarité".

Après une visite à des personnes en situation de précarité samedi matin, dans un quartier pauvre de Marseille, François a également assuré que "le véritable mal social n'est pas tant l'augmentation des problèmes que le déclin de la prise en charge".

Par ailleurs, le pape s'est invité dans le débat français sur la fin de vie: "Qui écoute les gémissements des personnes âgées isolées qui, au lieu d'être valorisées, sont parquées dans la perspective faussement digne d'une mort douce, en réalité plus salée que les eaux de la mer?", s'est-il interrogé alors qu'un projet de loi est attendu sous peu sur ce dossier.

Sur l'avortement, il a de même une nouvelle fois déploré le sort de ces "enfants à naître, rejetés au nom d'un faux droit au progrès, qui est au contraire une régression de l'individu".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les "chefs" de la prison vénézuélienne reprise par l'armée ont fui

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Plus de 11'000 membres des forces de sécurité, soutenus par des dizaines de blindés, ont investi mercredi la prison de Tocoron (archives). (© KEYSTONE/AP/Ariana Cubillos)

Les chefs du gang Tren de Aragua ont fui à l'étranger avant que les autorités ne reprennent mercredi le contrôle de la célèbre prison du Venezuela, Tocoron, selon une organisation de défense des prisonniers. Ils en avaient fait une sorte de quartier général.

Plus de 11'000 membres des forces de sécurité, soutenus par des dizaines de blindés, ont investi mercredi cette prison. L'opération a fait un mort, un militaire, selon les autorités, qui n'ont pas communiqué de bilan sur le nombre de blessés. Un important arsenal a été saisi, notamment des lance-roquettes et des grenades, appartenant au gang qui sévit au Venezuela mais également dans plusieurs pays d'Amérique latine.

"Les prisonniers les plus violents, les 'pranes' [chefs, prisonniers assassins], avaient déjà négocié [avec les autorités] leur sortie du complexe et avaient quitté le pays il y a une semaine", a affirmé vendredi dans un communiqué, l'ONG Observatoire vénézuélien des prisons (OVV).

L'OVV ne précise pas dans quels pays ils se sont rendus, mais accuse les autorités d'"opacité", alors que les autres détenus de la prison de Tocoron, vidée, ont été répartis dans d'autres pénitenciers.

Piscine, zoo et discothèque

"Trois jours après [l'intervention], il n'y a aucune trace d'Hector Rusthenford Guerrero Flores, alias 'Niño Guerrero', le principal dirigeant de la prison et du Tren de Aragua [...] ni d'aucun de ses lieutenants", souligne l'OVV.

La prison de Tocoron était entièrement gérée par le gang qui rackettait les détenus, mais avait aussi mis en place une piscine, un zoo, une discothèque, des magasins et des terrains de sport.

Le Tren de Aragua, qui compterait quelque 5000 criminels, est apparu en 2014, opérant dans des activités mafieuses "classiques": enlèvements, braquages, drogue, prostitution, extorsion. Il a étendu son emprise à d'autres activités, certaines légales, mais aussi à l'orpaillage et l'exploitation minière illégale.

Le ministre vénézuélien de l'intérieur a annoncé jeudi que des tunnels, ayant permis à des détenus de s'évader, avaient été découverts, sans préciser combien d'entre eux avaient réussi à s'enfuir. Il avait précisé que quatre fonctionnaires de la prison avaient été arrêtés, accusés de complicité avec les criminels.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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