International
Stan Wawrinka enchaîne un 5e succès à Metz
Stan Wawrinka (ATP 284) a signifié qu'il était bien en vie le soir des adieux de Roger Federer. Le Vaudois s'est hissé dans le dernier carré du tournoi ATP 250 de Metz.
Loin du lustre de la Laver Cup, Stan Wawrinka poursuit donc sa route en Lorraine. Issu des qualifications, il a cueilli une cinquième victoire pour signer, bien sûr, sa plus belle performance depuis son retour aux affaires à la fin mars.
L'ex-no 3 mondial s'est imposé 6-4 4-6 7-6 (7/5) après 2h50' de match devant le Suédois Mikael Ymer (ATP 100) grâce à un merveilleux passing en coup droit le long de la ligne sur la balle de match. Il est donc parvenu à enchaîner au lendemain de son succès sur le no 4 mondial Daniil Medvedev.
Malgré un passage à vide à la fin du deuxième set, ce succès ne souffre aucune discussion. Le triple vainqueur en Grand Chelem a su trouver les ressources nécessaires pour rétablir une situation bien compromise à l'entame de la dernière manche. Mikael Ylmer a, en effet, mené 1-0 0/40 sans pouvoir signer le break qui lui aurait permis de prendre la main sur cette rencontre.
Quel chemin parcouru
Ce samedi aux alentours de 16h00, Stan Wawrinka disputera sa première demi-finale depuis près de trois ans. Il affrontera le Kazakhe Alexander Bublik (ATP 44), qui l'avait battu en trois sets ce printemps à Monte-Carlo où le Vaudois disputait son deuxième tournoi depuis son retour aux affaires.
S'il a récupéré des efforts consentis depuis le début de la semaine, Stan Wawrinka a largement les moyens de cueillir une victoire de plus à Metz. Il peut en tout cas mesurer avec fierté le chemin parcouru depuis son premier match de l'année, une défaite le 29 mars contre l'autre frère Ymer, Elias en l'occurrence.
178 jours après ce premier tour du Challenger de Marbella, Stan Wawrinka peut se dire qu'il est redevenu un sacré joueur de tennis.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Des eurodéputés d'extrême droite célèbrent la victoire de Trump
Musique et casquettes "Make America Great Again": plusieurs eurodéputés d'extrême droite ont célébré la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle américaine, mercredi au Parlement européen à Bruxelles.
Dans une vidéo sur l'air de YMCA, des députés du groupe des Patriotes pour l'Europe se sont mis en scène dans les couloirs du Parlement, saluant un moment "historique" qui montre "la force d'un mouvement patriote".
"Maintenant, il est temps pour nous en Europe d'emboîter le pas" aux Etats-Unis, ajoutent ces parlementaires du parti Vox en Espagne, de Fidesz en Hongrie ou du FPÖ autrichien, dont plusieurs arborent des casquettes trumpistes Make America Great Again.
Côté français, aucun élu du Rassemblement national, membre des Patriotes, ne figure sur cette vidéo. Une source interne évoque un manque de disponibilité pendant ce "montage de dernière minute", alors que se tiennent les auditions des nouveaux commissaires européens en quête d'une confirmation à leurs postes.
Jour "heureux"
Durant l'une de ces auditions, l'eurodéputé allemand Siegbert Frank Droese, membre de l'AFD, a profité d'une prise de parole pour souhaiter "le meilleur" à Donald Trump en ce jour "heureux".
C'est "formidable" qu'il soit élu, un "bel exemple pour nos nations", a-t-il estimé, avec une casquette trumpiste rouge posée sur son pupitre.
"Affirmer l'Europe comme puissance"
La tonalité était bien différente au centre et à gauche. Après cette élection, "nous devons plus que jamais affirmer l'Europe (comme) puissance", a lancé le centriste français Pascal Canfin (Renew), appelant à ne rien céder "face au trumpisme et à ses clones qui veulent détruire l'Europe de l'intérieur".
"L'élection de Trump place chaque dirigeant européen face à ses responsabilités", a jugé son compatriote de gauche Raphaël Glucksmann (Place Publique, PS). Il a appelé à un "sursaut individuel et collectif", pour soutenir l'Ukraine notamment.
A la tête du PPE (droite), première force du Parlement, l'Allemand Manfred Weber a félicité Donald Trump. Selon lui, l'Europe doit "protéger ses intérêts de manière souveraine et indépendante sans négliger une coopération transatlantique forte".
"L'accent est désormais mis sur la construction d'une Union européenne de la Défense et d'un pilier européen solide de l'Otan", a plaidé M. Weber, alors que les dirigeants des institutions européennes redoutent un désengagement des Etats-Unis en Ukraine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'Allemagne en crise politique, vers des élections anticipées
Le chancelier allemand Olaf Scholz a limogé mercredi soir son ministre des Finances. Il va demander aux députés de se prononcer sur la tenue d'élections anticipées, tirant les conséquences de querelles qui paralysaient sa coalition.
Cette décision, aboutissement de mois de querelles entre les trois partis du gouvernement, plonge la première économie européenne dans une crise politique inédite à un moment crucial pour l'Europe, déjà sous le choc de la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis.
"Nous avons besoin d'un gouvernement capable d'agir et qui ait la force de prendre les décisions nécessaires pour notre pays", a plaidé le chancelier social-démocrate lors d'une allocution solennelle.
Pas le choix
Face aux "ultimatums" de son ministre des Finances, chef du camp libéral, Olaf Scholz a jugé qu'il n'avait pas le choix : il a d'abord décidé de limoger Christian Lindner, grand argentier du gouvernement et président du parti libéral FDP, puis annoncé qu'il posera la question de confiance aux députés.
Les élus du Bundestag décideront le 15 janvier s'ils veulent que des législatives anticipées se tiennent avant la date prévue en septembre 2025. Cela pourrait être le cas en mars.
"Confiance souvent trahie"
Christian Lindner, chef de file du camp libéral, a "trop souvent trahi ma confiance", a déploré le dirigeant allemand, dénonçant son comportement "égoïste".
Le divorce a été acté après une journée de pourparlers de crise organisés à la chancellerie pour tenter de sauver l'exécutif dirigé par Olaf Scholz depuis fin 2021.
Les ruptures de coalition sont très rares en Allemagne et Olaf Scholz voulait mener la sienne jusqu'aux prochaines législatives prévues pour le 28 septembre 2025.
Equipe minée depuis des mois
Mais l'équipe gouvernementale est minée depuis des mois par les dissensions politiques, sur l'économie et l'immigration, et les querelles de personnes.
Les désaccords se concentrent sur les solutions pour relancer la première économie européenne menacée de récession pour la deuxième année consécutive.
Les sociaux-démocrates d'Olaf Scholz veulent préserver leurs priorités sociales ; les Verts de Robert Habeck font pression pour lutter contre le changement climatique malgré les coûts de la transition tandis que les libéraux sont arc-boutés sur le respect des limites constitutionnelles drastiques de l'Allemagne en matière de déficits budgétaires et de dette.
L'ombre de Trump
Olaf Scholz pensait que l'élection à la présidence des Etats-Unis annoncée le matin même du républicain Donald Trump, adepte du protectionnisme et des confrontations diplomatiques, forcerait sa fragile coalition à serrer les rangs.
C'est le contraire qui s'est produit. Selon le quotidien Bild, le ministre des Finances a argumenté lors de la réunion de crise que cette élection et l'impact à en attendre rendaient encore plus urgent un changement de cap économique en Allemagne.
Le vice-chancelier écologiste et ministre de l'Economie Robert Habeck avait exhorté chacun à revenir à la raison, soulignant qu'avec le retour de Trump au pouvoir, "le gouvernement doit être en capacité totale d'agir". "C'est le pire moment pour que le gouvernement échoue", avait-il averti en début de semaine.
Conservateurs en tête dans les sondages
Autre argument majeur contre l'éclatement de la coalition, et donc des élections anticipées: les conservateurs sont largement en tête dans les sondages et leur chef, Friedrich Merz, fait figure de favori pour devenir chancelier.
Quant au parti d'extrême droite AfD, en forte progression dans les derniers scrutins, il se tient en embuscade en deuxième position.
Fossé trop grand
Mais le fossé entre les partis de la coalition était devenu trop grand ces derniers jours, les désaccords se concentrant sur les solutions pour relancer la première économie européenne qui risque d'être en récession pour la deuxième année consécutive.
La fuite d'un document de Christian Lindner en vue d'un "tournant économique" libéral, à l'encontre de la ligne centriste jusqu'à présent suivie par le gouvernement, a finalement été la goutte de trop.
Le ministre, chantre de l'austérité budgétaire, avait lui-même menacé à plusieurs reprises de quitter la coalition avant la fin de l'année s'il n'obtenait pas gain de cause.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Biden félicite Trump et l'invite à la Maison Blanche
Le président Joe Biden a "félicité" Donald Trump et l'a "invité" à la Maison Blanche, a indiqué l'exécutif américain mercredi. Le dirigeant démocrate de 81 ans "s'adressera à la nation" jeudi pour évoquer les résultats de l'élection et la période de transition.
Kamala Harris a elle aussi appelé Donald Trump mercredi pour le féliciter de sa victoire à l'élection présidentielle, a indiqué un conseiller de la candidate démocrate. Tous deux ont "convenu de la nécessité d'unifier le pays" lors de leur appel mercredi, a affirmé le porte-parole du républicain.
"Le président Trump a remercié la vice-présidente Harris pour sa détermination, son professionnalisme et sa persévérance tout au long de la campagne, et les deux dirigeants ont convenu de la nécessité d'unifier le pays", a indiqué Steven Cheung dans un communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Ligue des champions: YB n'y arrive toujours pas
La Ligue des champions ne sourit toujours pas aux Young Boys cet automne. A Gelsenkirchen, les Bernois ont subi un quatrième revers consécutif en s'inclinant 2-1 contre Shakhtar Donetsk.
Alors certes, si on veut trouver un petit point positif, YB a enfin marqué son premier but dans cette phase de Ligue. Imeri a en effet ouvert le score à la 27e, profitant d'une erreur de Bondarenko à la relance. L'avantage bernois a toutefois été de très courte durée.
Alors qu'ils étaient à dix en raison de soins donnés à Benito, les hommes de Joël Magnin ont concédé l'égalisation de Zubkov à la 31e. Auteur de la passe décisive, le talentueux Sudakov s'est ensuite mué en buteur grâce à une belle frappe croisée (41e).
Quelques occasions
Longtemps dominés et proches d'encaisser un troisième but, les visiteurs ont un peu relevé la tête dans les vingt dernières minutes. A leur tour, ils se sont montrés plusieurs fois dangereux, grâce à la puissance de Monteiro notamment, mais ils n'ont pas pu éviter une nouvelle défaite.
Une fois encore, YB a payé un lourd tribut aux blessures. Benito et Lauper -qui formaient la charnière centrale au coup d'envoi - ont tous deux dû sortir en cours de rencontre, décimant encore davantage le secteur défensif des champions de Suisse. Le jeune latéral gauche Rhodri Smith (18 ans) a ainsi effectué ses grands débuts en première équipe.
Il ne faut pas être un grand devin pour affirmer que les espoirs des Young Boys d'accrocher une place parmi les 24 premiers de la Ligue semblent désormais extrêmement minces. Lors de la prochaine journée le 26 novembre, les Bernois recevront l'Atalanta.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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