International
Steve Kerr, LeBron James en colère après la tuerie au Texas
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L'entraîneur de Golden State, Steve Kerr, a fait un vibrant plaidoyer pour la régulation des armes à feu en réaction à la fusillade dans une école texane qui a fait 18 morts mardi.
"Je ne vais pas parler de basket", a déclaré Kerr aux journalistes lors d'une conférence de presse, juste avant le 4e match de la finale de conférence Ouest, entre les Warriors et les Mavericks, à Dallas.
"Depuis que nous avons quitté la séance d'entraînement, 14 enfants ont été tués à 600 km d'ici, et un enseignant. Au cours des dix derniers jours, des personnes âgées noires ont été tuées dans un supermarché à Buffalo, des fidèles asiatiques ont été tués en Californie du Sud, et maintenant des enfants ont été tués à l'école", a énuméré Kerr, la gorge serrée et les yeux embués.
Cauchemar
Un adolescent de 18 ans a ouvert le feu plus tôt mardi dans une école primaire de la municipalité d'Uvalde, tuant 18 jeunes élèves et au moins un enseignant. Un drame qui a replongé l'Amérique dans un cauchemar chronique et a immédiatement relancé le débat sur les armes à feu aux Etats-Unis.
"Quand allons-nous faire quelque chose? Je suis fatigué. Fatigué de me présenter devant vous pour présenter mes condoléances aux familles anéanties. J'en ai assez. Nous allons jouer ce soir. Mais je veux que chaque personne qui écoute pense à son propre enfant ou son petit-enfant, sa mère ou son père, sa soeur ou son frère. Comment vous sentiriez-vous si cela vous arrivait aujourd'hui?", a demandé Kerr, dont le père a été assassiné par des terroristes islamistes, à Beyrouth en 1984.
"Il faut que ça change!"
Frappant la table de la main, il s'en est pris aux sénateurs américains qui refusent de légiférer malgré la litanie des massacres.
"Vous rendez-vous compte que 90% des Américains, quelle que soit leur orientation politique, veulent une vérification des antécédents judiciaires ou psychologiques des acheteurs d'armes individuelles? Nous sommes pris en otage par 50 sénateurs à Washington qui refusent même de soumettre cette mesure à un vote, malgré ce que nous, le peuple américain, voulons", a-t-il fustigé.
La star des Los Angeles Lakers, LeBron James, a également exprimé son indignation et appelé au changement. "Ca suffit!!! Ce sont des enfants et nous continuons à les mettre en danger à l'école. Sérieusement! À L'ÉCOLE, là où c'est censé être le plus sûr! Il faut tout simplement que ça change. IL FAUT QUE ÇA CHANGE !", a-t-il tweeté.
Des stars de la NFL, la ligue professionnelle de football américain, ont également réagi dans ce sens, tel que le quarterback Patrick Mahomes, vainqueur du Super Bowl avec les Kansas City Chiefs et qui a grandi au Texas, ou encore DeMarcus Lawrence, défenseur des Dallas Cowboys, qui s'est adressé directement au gouverneur de cet Etat, Greg Abbott.
"Qui va s'y mettre et EXIGER que nous ayons une meilleure sécurité dans toutes ces écoles qui n'en ont pas les moyens????". Comment se fait-il que l'argent de nos impôts ne va pas à ceux qui ont le plus besoin de protection? !!! NOS ENFANTS! TROP C'EST TROP!".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
A la COP30, le gouverneur de Californie s'en prend à Donald Trump
En l'absence du président américain Donald Trump à la COP30 au Brésil, le gouverneur démocrate de Californie Gavin Newsom en a profité mardi à Belém pour décocher des flèches contre le républicain climatosceptique. "Donald Trump redouble d'imbécillité", a-t-il lancé.
Gavin Newsom faisait allusion à la décision du président américain de quitter l'accord de Paris sur le climat lors de son retour à la Maison-Blanche en janvier.
"Trump est temporaire", a ajouté le gouverneur de Californie dans la ville d'Amazonie brésilienne qui accueille la conférence de l'ONU sur le climat, sans aucune délégation fédérale américaine pour la première fois de l'histoire des COP.
Toute la journée, le virulent opposant à Donald Trump, considéré comme l'un des candidats les plus sérieux à la présidentielle de 2028, a répété que ses reculs étaient une "abomination".
Il a multiplié les réunions et les événements de haut niveau, avec le gouverneur de l'Etat brésilien du Para, avec un ministre allemand, avec le président brésilien de la COP30...
Interrogé par l'AFP lors d'une visite dans la ville, il a affirmé qu'un président démocrate réintégrerait les États-Unis dans l'accord de Paris "sans hésitation". "C'est un engagement moral, c'est un impératif économique", a-t-il poursuivi.
Villes et régions présentes
A chaque étape, Gavin Newsom a vanté comme un modèle sa Californie, qui indépendante serait la 4e économie mondiale et dont l'électricité a été "100% propre" (sans fossiles) neuf jours sur dix cette année.
Les villes, les provinces, les régions de nombreux pays sont très présentes à cette COP pour démontrer que l'action climatique au niveau régional ou local complétait celle des Etats.
Egalement présente, la gouverneure démocrate du Nouveau-Mexique, Michelle Lujan Grisham, a affirmé que "lorsque le gouvernement fédéral s'engage, nous en faisons plus, et quand il se désengage, nous en faisons plus".
L'absence de représentant du gouvernement américain est en tout cas un soulagement pour ceux qui craignaient que les Etats-Unis ne viennent torpiller les négociations, comme en octobre à l'Organisation maritime internationale (OMI), où un accord sur une taxe carbone a été coulé après des menaces américaines sur certains pays.
"C'est une bonne chose", a dit Christiana Figueres, ancienne cheffe de l'ONU Climat au moment de l'accord de Paris, mardi à Belém. "Ils ne peuvent pas prendre la parole".
Le retrait de l'accord de Paris décidé par le président américain sera effectif en janvier 2026, mais les Etats-Unis restent membres de la CNUCC et garderont leurs sièges aux COP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Trump revendique une "grande victoire" avec la fin du "shutdown"
Donald Trump a estimé mardi que la fin à venir de la paralysie budgétaire aux Etats-Unis représentait une "très grande victoire" pour les républicains. En face la colère monte chez les démocrates face aux sénateurs dissidents de leur camp.
Lors d'un discours au cimetière national d'Arlington, à l'occasion de la journée des anciens combattants, le président américain a salué le travail des chefs républicains au Congrès, Mike Johnson et John Thune.
"Félicitations à vous et à John et à tout le monde pour une très grande victoire", a déclaré Donald Trump à l'adresse du "speaker" de la Chambre, Mike Johnson, présent dans l'assistance. "Nous rouvrons notre pays, il n'aurait jamais dû être fermé", a-t-il ajouté.
Après plus de 40 jours de blocage, le Congrès américain s'apprête à voter un nouveau texte budgétaire qui permettrait de lever le "shutdown".
Le Sénat a adopté une proposition de loi qui prolonge le budget actuel jusqu'à fin janvier, et la Chambre doit en débattre à partir de mercredi, avec un vote attendu potentiellement dans la soirée. Il ne resterait alors que la signature de Donald Trump.
En raison des règles en vigueur au Sénat, plusieurs voix démocrates étaient nécessaires pour adopter un budget même si les républicains y sont majoritaires. Finalement, huit sénateurs de l'opposition ont voté pour, après des négociations en coulisses.
"Capitulation"
Ces élus centristes se sont attirés les foudres de nombreux membres de leur propre camp, qui dénoncent de maigres concessions et des promesses en l'air des républicains. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, s'est lamenté dimanche sur X d'une "capitulation" et d'une "trahison" envers l'Amérique qui travaille.
Le chef de la minorité démocrate à la Chambre, Hakeem Jeffries, a lui exhorté les républicains à tenir leur engagement d'organiser bientôt un vote au Congrès pour prolonger certaines subventions pour "Obamacare", principal programme public d'assurance santé pour les Américains à bas revenus. "Maintenant il va falloir voir des actes, ou si c'étaient seulement des paroles", a déclaré Hakeem Jeffries sur CNN.
La question de ces subventions est au coeur du différend entre républicains et démocrates qui a mené au "shutdown". Depuis le 1er octobre, plus d'un million de fonctionnaires ne sont pas payés, le versement de certaines aides est fortement perturbé, tout comme le trafic aérien, avec à présent des centaines d'annulations de vols chaque jour.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Soudan: l'ONU salue des "discussions constructives"
Le chef des opérations humanitaires de l'ONU, Tom Fletcher, a salué des "discussions constructives" avec le chef de l'armée soudanaise, le général Abdel Fattah al-Burhane, mardi à Port-Soudan, capitale provisoire du pays déchiré par plus de deux ans de guerre.
"Je me réjouis des discussions constructives" avec le général Burhane "cet après-midi, visant à garantir que nous puissions continuer à opérer partout au Soudan, de manière neutre, indépendante et impartiale, pour tous ceux qui ont un besoin urgent de soutien international", a-t-il déclaré dans une vidéo publiée par le Conseil de souveraineté présidé par le chef de l'armée.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Accusée d'espionnage, l'extrême droite allemande est embarrassée
La dirigeante du parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne (AfD), Alice Weidel, a critiqué mardi un voyage prévu par des élus en Russie. Elle est sortie du bois au moment où sa formation est soupçonnée d'espionnage au profit de Moscou.
Ces derniers jours, des médias allemands ont ébruité les préparatifs de ce voyage d'élus, dont deux députés, en marge d'une conférence des pays des Brics en fin de semaine à Sotchi, ville de la mer Noire.
"Pour être tout à fait claire, je ne comprends pas ce qu'on est censé faire là-bas", a déclaré lors d'un point-presse au Bundestag Alice Weidel, fustigeant une décision du "groupe de travail sur les affaires étrangères" de son propre groupe parlementaire. Des deux députés initialement prévus, "un seul", Steffen Kotré, "se rendra à Sotchi", a-t-elle annoncé.
"Personnellement, je ne me rendrais pas là-bas. Je ne le recommande à personne non plus, car je ne sais pas quel sera le résultat final. C'est pourquoi il n'y a plus qu'une seule personne qui y va", a-t-elle encore dit.
Procédures à réexaminer
Interrogée sur l'interdiction faite aux représentants de l'AfD de rencontrer l'ancien président russe Dmitri Medvedev - actuel vice-président du Conseil de sécurité de son pays -, Mme Weidel s'est dite "heureuse" que le même groupe de travail ait "réexaminé la question". M. Medevedev tient des discours particulièrement agressifs et virulents à l'égard de l'Ukraine et de l'Occident.
L'AfD devrait prochainement réexaminer ses procédures d'autorisation des voyages de ses représentants à l'étranger, a affirmé Mme Weidel: "nous ne pouvons pas continuer ainsi".
Cet polémique intervient alors que, ces dernières semaines, les parlementaires d'autres partis avaient accusé l'AfD de se servir de son droit de questions parlementaires, au niveau régional et national, pour récolter des informations sensibles afin de les transmettre à Moscou, des allégations que le parti rejette.
Après une deuxième place historique décrochée aux législatives de février, l'AfD est au coude-à-coude dans des sondages avec les conservateurs du chancelier Friedrich Merz, voire les devance.
La Russie est accusée, malgré ses dénégations, d'une vaste campagne d'espionnage, de désinformation et de sabotage en Allemagne, premier soutien militaire de l'Ukraine en Europe, comme ailleurs sur le continent.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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