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Williams ne s'est "pas entraînée pour des matches de 3 heures"

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Serena Williams est motivée à l'idée de disputer l'US Open (© KEYSTONE/AP/John Walton)

Serena Williams regrette de ne pas s'être "entraînée pour des matches de 3 heures".

Battue 7-5 1-6 7-6 (10/7) en 3h11' par la Française Harmony Tan mardi soir au 1er tour à Wimbledon après avoir passé un an loin du circuit, l'Américaine de 40 ans se dit aussi motivée à l'idée de disputer l'US Open.

- Qu'est-ce qui vous a semblé le plus dur pour votre retour après un an d'absence du circuit ?

"Physiquement, je ne m'en suis pas mal sortie. C'est vrai que les deux derniers points, j'ai souffert (sourires). Je me déplace bien, je renvoie beaucoup de balles qu'il faut aller chercher. Mais je ne me suis pas entraînée pour des matches de trois heures... c'est, je pense, là que j'ai fait une erreur. Sur les points-clés du match, il faut toujours être prête mentalement à les gagner. Je l'ai pas mal fait sur peut-être un ou deux de ces points, mais ce n'était clairement pas suffisant."

- Pensez-vous que ces carences proviennent de votre longue absence ?

"Absolument ! En jouant une semaine sur deux, sur trois ou même sur quatre, on gagne toujours un peu d'efficacité. Cela étant dit, je pense avoir pas mal joué certains des points importants. Pas tous, mais certains oui. Il y en a où j'aurais certainement pu mieux faire. Il faut se dire que si j'avais joué des matches, je n'aurais pas manqué certains de ces points ni perdu le match."

- Pouvez-vous vous satisfaire de ce match comme dernier souvenir de Wimbledon ?

"Evidemment que non ! Certainement pas ! Mais aujourd'hui, j'ai tout donné. Peut être que si j'avais joué demain j'en aurais donné plus, peut-être que la semaine dernière j'en aurais donné plus... Mais aujourd'hui je ne pouvais pas donner plus. Il vient un moment où il faut savoir s'en satisfaire. Et c'est tout ce que je peux faire. Je ne pouvais pas faire plus aujourd'hui."

- Serez-vous de la partie à l'US Open (dès le 29 août)?

"L'US Open, c'est là que j'ai gagné mon premier titre du Grand Chelem (en 1999), c'est super spécial. Je suis sans aucun doute très motivée pour m'améliorer et jouer à la maison."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Ukraine: Zelensky promulgue la loi controversée sur la mobilisation militaire

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L'Ukraine, confrontée à une pénurie de soldats volontaires, travaillait à cette loi depuis de longs mois, émaillés de controverses après plus de deux ans de guerre contre l'envahisseur russe qui a fait des dizaines de milliers de morts. (© KEYSTONE/AP/Alex Babenko)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a promulgué mardi la loi pour mobiliser plus d'hommes face aux assauts de la Russie. Le texte est controversé car il ne prévoit pas de délai de démobilisation pour les soldats.

Selon une notice publiée sur le site de la Rada, le Parlement ukrainien, le texte a été soumis mardi au président qui l'a ensuite signé.

L'Ukraine, confrontée à une pénurie de soldats volontaires, travaillait à ce texte depuis de longs mois, émaillés de controverses après plus de deux ans de guerre contre l'envahisseur russe qui a fait des dizaines de milliers de morts.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les nouveaux utilisateurs devront payer pour publier sur X

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La mesure ne concernera que les nouveaux utilisateurs du réseau social. (archive) (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les nouveaux utilisateurs de X (ex-Twitter) devront payer de "petits frais" pour publier leurs messages sur la plateforme pendant une durée de trois mois, a suggéré lundi soir le patron du réseau social, Elon Musk.

"Malheureusement, de petits frais pour que les nouveaux utilisateurs aient le droit d'écrire sont la seule façon de lutter contre l'assaut incessant des comptes automatisés, a écrit le milliardaire.

"Les intelligences artificielles actuelles (et les fermes à trolls) arrivent à passer facilement les tests Êtes-vous un robot?, a-t-il poursuivi.

La mesure ne concernera que les nouveaux utilisateurs du réseau social et "ils pourront écrire gratuitement après trois mois", a-t-il précisé dans un autre message.

Elon Musk, qui a acquis Twitter en 2022, n'a pas précisé le montant de ces frais, la date de leur déploiement ou les pays concernés.

La plateforme X a déjà mis en place en octobre une mesure similaire en Nouvelle-Zélande et aux Philippines, où les nouveaux usagers doivent payer respectivement 0,75 dollar (0,68 franc) et 0,85 dollar (0,77 franc) pour des services de base comme la publication de messages.

Ceux qui refusent de débourser ces sommes n'ont accès qu'à la seule fonction "lecture" de la plateforme, c'est-à-dire regarder des vidéos ou suivre des comptes.

Cette politique visait déjà à réduire les spams (messages non sollicités) ainsi que la "manipulation de la plateforme et l'activité des bots", avait indiqué le réseau.

Les "bots", de faux comptes diffusant de la désinformation et de fausses rumeurs, pullulent sur la plateforme depuis sa reprise en main par Elon Musk et la forte diminution de la modération des contenus.

Beaucoup d'annonceurs ont déserté X. Sa valeur a été divisée par deux, passant de 44 milliards de dollars à 20 milliards, et les recettes publicitaires ont chuté de moitié, a déploré Elon Musk dans un document interne consulté par plusieurs médias américains et révélé fin mars.

Pour contrer ce phénomène et générer des revenus, X a lancé depuis 2023 des formules payantes, d'abord pour obtenir des badges de certification, puis pour masquer les publicités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Israël promet une "riposte" à l'Iran, nouvelles menaces iraniennes

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"Parallèlement à la réponse militaire aux tirs de missiles et de drones", le ministre israélien des affaires étrangères Israël Katz a lancé "une offensive diplomatique contre l'Iran" (archives). (© KEYSTONE/AP/BEBETO MATTHEWS)

Israël a promis "une riposte" à l'attaque lancée ce week-end par l'Iran, malgré les appels venus du monde entier, y compris des Etats-Unis, à éviter une escalade au Moyen-Orient. De son côté, Téhéran a promis de répondre à toute opération de l'Etat hébreu.

"Nous déclarons fermement que la moindre action contre les intérêts de l'Iran entraînera certainement une réponse sévère, étendue et douloureuse contre tous ses auteurs", a déclaré le président iranien Ebrahim Raïssi.

L'Iran a pour la première fois lancé une attaque directe contre Israël dans la nuit de samedi à dimanche, en représailles à une frappe contre le consulat iranien à Damas le 1er avril, attribuée à Israël, qui a tué sept membres des Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de la République islamique.

Israël va "riposter au lancement de ces si nombreux missiles de croisière et drones sur le territoire de l'Etat d'Israël", a déclaré lundi soir le chef d'état-major de l'armée israélienne, le général Herzi Halevi, en visitant la base de Nevatim, dans le sud du pays, touchée par une frappe.

"Au moment que nous choisirons"

"Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour protéger l'Etat d'Israël, et nous le ferons à l'occasion et au moment que nous choisirons", a affirmé le porte-parole de l'armée, Daniel Hagari, lui aussi présent sur la base.

"Parallèlement à la réponse militaire aux tirs de missiles et de drones", le ministre israélien des affaires étrangères Israël Katz a lancé "une offensive diplomatique contre l'Iran". Ce proche du Premier ministre Benjamin Netanyahu, considéré comme un des faucons du gouvernement, souhaite imposer des sanctions contre Téhéran, et faire reconnaître le corps des Gardiens de la Révolution islamique comme organisation terroriste, pour "affaiblir et freiner" l'Iran.

A cet effet, M. Katz a dit avoir envoyé une lettre "à 32 pays" et s'être entretenu avec "des dizaines de ministres des Affaires étrangères et de personnalités du monde entier".

Eviter un embrasement

Depuis dimanche, les appels se multiplient pour empêcher une riposte massive qui risquerait d'embraser davantage la région, déjà "au bord du précipice", selon le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.

Israël a annoncé avoir intercepté, avec l'aide des Etats-Unis et d'autres pays alliés dont la France et le Royaume-Uni, mais aussi la Jordanie et l'Arabie saoudite, la quasi-totalité des 350 drones et missiles lancés par l'Iran contre son territoire. L'opération défensive a été baptisée "Bouclier de fer".

Benjamin Netanyahu a appelé lundi la communauté internationale à "rester unie" face à "l'agression iranienne, qui menace la paix mondiale".

Mais après avoir fait front avec leurs alliés contre l'attaque iranienne, les Etats-Unis ont dit ne pas vouloir "d'une guerre étendue avec l'Iran" et prévenu qu'ils ne participeraient pas à une opération de représailles, tout en affichant leur soutien "inébranlable" à Israël. Le Royaume-Uni et la France ont eux aussi pris leurs distances.

"Ensemble, avec nos partenaires, nous avons vaincu cette attaque" iranienne, a déclaré lundi le président américain Joe Biden. Il a appelé Israël à éviter une escalade régionale et à oeuvrer à un "cessez-le-feu" associé à une libération des otages retenus dans la bande de Gaza, où l'armée israélienne mène depuis plus de six mois une offensive meurtrière contre le Hamas.

"Volonté de retenue"

Depuis le début de la guerre le 7 octobre dans le territoire palestinien, les tensions n'ont cessé de s'aggraver au Moyen-Orient, impliquant Israël et l'Iran et leurs alliés respectifs.

La République islamique s'était gardée jusqu'à présent de l'attaquer frontalement. Les deux pays avaient l'habitude de s'affronter par tiers interposés, comme le Hezbollah libanais et les rebelles yéménites houthis, alliés de l'Iran.

Dans ce contexte, le ministre des Affaires étrangères chinois Wang Yi s'est entretenu au téléphone avec son homologue iranien, Hossein Amir-Abdollahian, a rapporté mardi l'agence officielle Chine nouvelle, précisant que Téhéran avait exprimé sa "volonté de retenue".

Pas de répit à Gaza

Pendant ce temps, la guerre ne connaît aucun répit dans la bande de Gaza, bombardée pendant la nuit de lundi à mardi. L'armée israélienne avait affirmé que l'attaque iranienne ne la ferait pas dévier de ses objectifs face au Hamas, allié de l'Iran.

Le mouvement islamiste continue à réclamer un cessez-le-feu définitif, tandis que Benjamin Netanyahu maintient son projet d'offensive terrestre contre la ville Rafah, dans le sud du territoire, qu'il présente comme le dernier grand bastion du Hamas et où, selon l'armée, des otages sont détenus.

L'armée israélienne a annoncé mardi avoir poursuivi ses opérations dans le centre de la bande de Gaza et avoir tué avec des tirs de chars "des terroristes qui s'avançaient vers eux". Des avions de combat ont détruit un lanceur de missiles ainsi que des dizaines "de tunnels et de bases militaires où se trouvaient des terroristes du Hamas", selon l'armée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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JO 2024: la flamme olympique brûl

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Thomas Bach: les JO sont une lueur d'espoir (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La flamme olympique pour les JO de Paris a été allumée sur le site antique d'Olympie en Grèce. Cet acte symbolique s'est déroulé à quelque 100 jours de la cérémonie d'ouverture le 26 juillet.

En raison d'un ciel nuageux sur le site des premiers Jeux olympiques de l'Antiquité, l'allumage n'a pas pu se faire avec les rayons du soleil comme le veut la tradition antique. Il a été réalisé avec une flamme de réserve conservée lors de la répétition générale de lundi.

Après un périple de 11 jours à travers la Grèce, la flamme sera acheminée vers la France pour la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques à Paris le 26 juillet. L'allumage de la flamme pour les Jeux qui se tiendront jusqu'au 11 août s'est déroulé devant les ruines vieilles de 2600 ans du temple d'Héra, dans le berceau de l'olympisme, en présence notamment du président du Comité international olympique (CIO), Thomas Bach.

Flamme de l'espoir

"En ces temps difficiles, où les guerres et les conflits se multiplient, les gens en ont assez de la haine", a-t-il lancé dans une courte intervention à Olympie. "Dans notre coeur à tous, nous aspirons à quelque chose qui nous rassemble à nouveau, à quelque chose qui nous unifie, à quelque chose qui nous donne de l'espoir", a-t-il ajouté. "La flamme olympique que nous allumons aujourd'hui symbolise cet espoir", a également assuré l'Allemand.

En Grèce, six cents relayeurs se passeront la flamme qui va parcourir 5000 km à travers sept îles grecques, dix sites archéologiques et le Rocher de l'Acropole où elle passera une nuit à côté du Parthénon. Dans le port grec du Pirée, la flamme embarquera le 26 avril à bord du trois-mâts Belem qui rejoindra Marseille, dans le sud-est de la France, le 8 mai. Le symbole des JO traversera ensuite toute la France, passant par les Antilles et la Polynésie française.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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