Suisse
84% des Suisses contre la rémunération de la récolte de signatures
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Pas moins de 84% des Suisses et Suissesses sont pour interdire l'achat de récoltes de signatures, révèle un sondage de la société de recherche Leewas. La collecte de signatures par voie numérique est en revanche plébiscitée.
Ce sondage réalisé entre le 19 et le 22 septembre auprès de 19'552 personnes de tout le pays l'a été à la suite des récentes révélations sur des fraudes qui auraient été commises lors de collectes de signatures (pour des initiatives ou des référendums) confiée à des entreprises spécialisées.
Dans le détail, les sympathisants de tous les partis se déclarent à plus de 80% "favorables" ou "plutôt favorables" à l'interdiction des collectes rémunérées, indique l'étude publiée mercredi.
Globalement, neuf sondés sur dix souhaitent que les comités d'initiative soient tenus de publier les noms des sociétés qu'ils ont chargées d'une récolte de signatures, et pour quel prix.
Par ailleurs, l'e-collecting (récolte par voie électronique), qui devrait permettre une collecte plus sûre, est appelé de leurs voeux par environ deux tiers des personnes interrogées. La question ne précisait pas si cette méthode pouvait être rémunérée ou pas.
Les soupçons de fraude ont poussé récemment six partis à déposer des motions communes. Elles exigent qu'un premier essai de récolte numérique au niveau fédéral soit mis sur pied.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Des chatons sylvestres recueillis par erreur ont été relâchés
En mai, trois chatons ont été recueillis par erreur dans une forêt genevoise, pris pour des chats domestiques. Une fois identifiés comme des chats sauvages, ils ont été pris en charge par le Centre de réadaptation des rapaces et de la faune sauvage (CRR) avant d'être relâchés dans la nature avec succès.
En mai, des promeneurs ont recueilli ces trois chatons dans les bois au-dessus du barrage de Verbois. Ils les ont apportés à la SPA, "qui a eu immédiatement le bon réflexe" en les signalant aux gardes de l'environnement, souligne le Département du territoire dans un communiqué lundi.
Ces petites boules de poils grises étaient en réalité des chats sylvestres, une espèce de chat sauvage de la région très semblable aux chats domestiques. Une fois identifiés, le CRR a ainsi pu réaliser une opération de sauvetage pour maximiser leurs chances de retourner à la nature.
Jeunesse protégée
Lors de cette réadaptation, les chatons ont grandi dans une volière végétalisée comprenant des cachettes naturelles, où ils ont pu apprendre à chasser. Déjà assez grands pour éviter le biberon, ils ont été nourris avec des rongeurs pour imiter le régime alimentaire que leur aurait fourni leur mère à l'état sauvage.
Le CRR a aussi veillé à les tenir à distance des humains et des chats domestiques, éventuels vecteurs de maladies. Ils ont notamment été surveillés par des caméras détectrices de mouvement, qui ont aussi pu enregistrer de rares images de l'intimité cette espèce.
A l'automne, "toutes les conditions étaient réunies" pour relâcher les trois félins, à la période où ils se seraient naturellement émancipés de leur mère. Ils ont été lâchés en petit comité dans un site naturel "parfaitement adapté, déjà fréquenté par cette espèce et non loin de leur point de trouvaille", sur la rive droite. Une première à Genève, selon le communiqué.
"Aujourd'hui, tout indique que cette opération est un succès", se félicite le canton. Les trois chats ont retrouvé "une vie libre dans la nature et pourront ainsi durablement renformer les effectifs d'une espèce sauvage locale très menacée."
Espèce menacée
Autrefois victime de la perte de son habitat et persécuté pour sa fourrure, le chat sylvestre n'avait survécu que localement, dans les reliefs du Jura. Depuis le début du siècle, cet "auxiliaire zélé de l'agriculture" recolonise les plaines genevoises en chassant mulots et campagnols. Mais cette espèce protégée risque toujours de disparaître par croisement avec des chats domestiques, indique le communiqué.
Pour empêcher cela, le canton préconise de stériliser son chat "autant que possible" lorsqu'on vit à la campagne et de limiter ses sorties à proximité des forêts. Il rappelle de ne jamais l'abandonner et "encore moins" dans la nature. Sans autre solution, il peut être amené à la SPA.
Enfin, en cas de rencontre impromptue avec des chatons gris-beige et tigrés dans la forêt, le canton conseille de les laisser sur place et d'éviter de les toucher, à moins qu'ils ne courent un éventuel danger. Il pourrait bien s'agir de jeunes chats sylvestres.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Le Valais veut se doter d'une université prioritairement à distance
Le Conseil d'Etat valaisan veut doter le canton d'une université, prioritairement à distance. Afin d'avancer dans le processus, le gouvernement a adopté un projet de loi. Au niveau du Parlement, seule l'UDC du Valais romand n'en veut pas.
L’objectif du Conseil d'Etat, et plus particulièrement du Département de l'économie et de la formation dirigé par Christophe Darbellay, est de faire d’UniDistance Suisse une université cantonale sous le nom d’Uni Valais-Wallis. Cette nouvelle entité restera axée sur la formation à distance et à temps partiel.
Bien que l’enseignement soit dispensé à distance, les activités de recherche se dérouleront en présentiel. Les locaux actuels sont suffisants pour accueillir ces activités.
Une spécificité valaisanne
L’Université du Valais sera la seule université suisse à proposer une formation universitaire entièrement à distance et à temps partiel. Par son modèle pédagogique, elle se positionne de manière complémentaire aux universités traditionnelles essentiellement présentielles, répondant ainsi à une diversité croissante des besoins en matière de formation supérieure.
L’université sera autonome dans sa gestion académique, financière et administrative et aura la responsabilité de rendre des comptes à l’Etat. Le canton exercera un rôle de régulation stratégique et d’accompagnement de l’université. Le Grand Conseil validera le crédit-cadre quadriennal et aura la tâche de veiller, via les mandats de prestation, de la bonne utilisation des ressources financières du canton.
A l'horizon 2028
Le projet de loi proposé doit permettre de lister les missions de formation, de recherche et de prestations une université valaisanne, tout en garantissant son autonomie.
L’entrée en vigueur de la LUVa est prévue à l’horizon 2028, sous réserve d’une décision positive du Conseil suisse d’accréditation, au printemps 2027.
Lister les missions
Les activités de formation et de recherche en cours au sein d’UniDistance Suisse, le personnel engagé par la Fondation actuelle ainsi qu’une part significative des actifs de la Fondation seront transférées à l’Uni Valais-Wallis.
Le projet de loi proposé doit permettre de lister les missions de formation, de recherche et de prestations une université valaisanne, tout en garantissant son autonomie.
Cinq facultés
UniDistance Suisse compte 2600 étudiants, dont 140 Valaisans, 500 collaborateurs et 25 professeurs. Cinq facultés sont actuellement proposées, soit la psychologie, l'économie, le droit, l'histoire et les mathématiques-informatique. Il en ira de même avec l'Uni Valais-Wallis. "D'ici 2030, nous pourrions compter 3500 étudiants", avait estimé Yves Rey, le chef valaisan du Service des hautes écoles, lors d'une conférence de presse, le 1er septembre dernier.
Durant le débat d'entrée en matière, lundi matin, plusieurs députés ont défendu une université cantonale, tel Frédéric Rey-Bellet (Le Centre du Valais romand). "Notre groupe espère que le Canton aura le courage de continuer à investir dans le savoir, moteur durable de notre prospérité", a résumé l'élu.
"Ce projet est une grande chance pour le Valais. Une évolution logique et cohérente du paysage académique cantonal", a ajouté Géraldine Gianadda (PLR). En faveur de la loi, les Vert-e-s souhaitent davantage de représentativité des étudiants concernant le fonctionnement des facultés.
L'opposition de l'UDC du Valais romand
"Ce projet ne crée pas une université. Il transfère au Canton du Valais la responsabilité financière et institutionnelle d'une université existante, afin d'éviter qu'elle ne disparaisse", a tancé Claudia Bonvin (UDC du Valais romand). "Le risque financier est concentré sur l'Etat du Valais et attendez-vous à ce que, dans les années à venir, cela augmente encore davantage."
Au vote, l'entrée en matière a été validée, lundi matin, par 107 voix contre 15 et 1 abstention. Seul l'UDC du Valais romand a voté contre.
Le débat de première lecture aura lieu jeudi après-midi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Un train des CFF passe sur une dalle en béton à Aarau
Trois jeunes ont posé une dalle de béton sur une voie CFF dimanche soir à Aarau. Un train est passé à grande vitesse sur la dalle sans que cela ne porte à conséquence, mais si cette dernière avait été renforcée par des fers d'armature, le train aurait pu dérailler.
Un conducteur de train a signalé à 21h00 qu'il avait roulé à 140 km/h sur une dalle de béton dans la région de Wöschnau, a annoncé lundi la police cantonale argovienne. Ce n'est que grâce à beaucoup de chance qu'un accident ferroviaire n'a pas eu lieu.
La police a interpellé trois adolescents âgés de 13 à 15 ans près d'un passage souterrain, deux garçons et une jeune fille originaires de la région. Le tribunal des mineurs a ordonné l'ouverture d'une enquête. Il a provisoirement placé en détention le principal responsable présumé du groupe, a ajouté la police.
Avant que les trois adolescents ne soient retrouvés, une tierce personne avait signalé qu'une pierre avait été lancée sur sa voiture pendant qu'elle roulait. Les deux incidents ont causé des dégâts matériels, mais personne n'a été blessé.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Neuchâtel: le gouvernement face à de nombreux défis financiers
Le Conseil d'Etat neuchâtelois a présenté dix objectifs et 30 mesures stratégiques dans le cadre de son programme de législature 2026-2029. Le gouvernement doit trouver au moins 200 millions de francs. Un programme d'optimisation des charges sera mis en place.
"Nous n'avons pas listé des économies. Nous allons commencer dès à présent en travaillant avec les services et les partenaires pour trouver des mesures d'efficience", a déclaré lundi Crystel Graf, présidente du Conseil d'Etat.
Pour éviter de se trouver dans la même situation que les cantons de Vaud, Genève ou Fribourg lors de l'élaboration du budget, "nous voulons anticiper", a ajouté Crystel Graf. Les dossiers en cours et initiatives pendantes pourraient coûter 273 millions de francs au canton. Ils s'ajouteraient aux 200 millions de manques de financement.
Le gouvernement a fixé trois axes "vivre, développer et innover" dans son programme. Il entend offrir à chacune et chacun des conditions de vie de qualité, dans un cadre sûr, prospère, solidaire et solidaire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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