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Suisse

ABB relève son objectif de croissance et de rentabilité

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ABB veut poursuivre les acquisitions, à un rythme de cinq à dix petits rachats par année (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

ABB a passé en revue ses objectifs à l'occasion de sa journée des investisseurs organisée sur son site de Frosinone, en Italie. Le géant zurichois de l'automation et de l'électrotechnique s'attend désormais à une marge opérationnelle Ebita entre 16 et 19%.

Jusqu'ici,, la direction s'attendait à une marge Ebita à 15% d'ici 2023. ABB table désormais sur une progression des recettes à long terme et sur une base comparable entre 5 et 7%, à comparer à la cible de 3-5% visée précédemment, précise un communiqué diffusé jeudi.

La croissance externe devrait se situer entre 1 et 2%. ABB veut poursuivre les acquisitions, à un rythme de cinq à dix petits rachats par année.

L'objectif de rendement des capitaux investis (RoCE) est fixé à au moins 18%, alors qu'ABB tablait auparavant sur une fourchette entre 15 et 20%. Le bénéfice par action devrait croître à un rythme soutenu, proche de 10% sans toutefois atteindre ce seuil, selon la multinationale.

Le groupe veut continuer à verser un dividende en hausse et "durable", précise le communiqué. Les liquidités excédentaires seront destinées à d'éventuels programmes de rachat d'actions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Vaud

L'Etat de Vaud va réinjecter 17 millions pour aider les vignerons

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La conseillère d'Etat vaudoise en charge de la viticulture Valérie Dittli a présenté jeudi sa vision de l'avenir de la viticulture vaudoise (archives). (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Face à la crise du secteur viticole, le Conseil d'Etat vaudois vient à la rescousse des vignerons. La ministre en charge du dossier Valérie Dittli a présenté jeudi à Villeneuve un plan pour la période 2025-2028, intitulé "Avenir de la viticulture vaudoise". D'un montant de 17,2 millions, il s'articule autour de trois axes: marchés, production et relève.

L'Etat avait déjà donné un coup de pouce à la filière en 2022 pour un montant de 5,8 millions de francs. Cette nouvelle enveloppe vise à désamorcer les difficultés actuelles qui s'expliquent par la concurrence des vins étrangers, la consommation de vin suisse en baisse, notamment chez les jeunes, et les aléas climatiques.

"Avec ce nouveau plan d'action, la viticulture vaudoise va disposer d'outils financiers et réglementaires solides pour se développer, valoriser ses terroirs et renforcer sa présence sur le marché suisse et international", a déclaré devant les médias la cheffe du Département de l'agriculture, de la durabilité et du climat et du numérique (DADN) Valérie Dittli.

Entre 2023 et 2024, la consommation de vin en Suisse a diminué de 16% (10% dans le canton de Vaud), tandis que deux tiers du vin consommé sont importés. Par ailleurs, les récoltes 2024 ont été réduites d'environ 30% en raison du mildiou et du gel printanier, rappelle le Canton.

"Le Canton agit plus vite"

Les actions et mesures prises par la Confédération, notamment sur le contingentement de l'importation des vins étrangers, prennent du temps et ne vont pas assez vite, a relevé François Montet, président de la Fédération vigneronne vaudoise (FVV). "La Canton agit plus vite. C'est le fruit d'un travail collectif. Nous sommes contents. C'est un bon début", a-t-il commenté.

Pour rappel, la Confédération poursuit aussi son appui à la viticulture suisse. Le conseiller fédéral Guy Parmelin a annoncé une série de mesures visant à étudier le renforcement de la protection aux frontières, saluées d'ailleurs par le Canton de Vaud et soutenues par le Grand Conseil, via une résolution PLR et UDC.

Au niveau cantonal, les services de Mme Dittli ont en effet collaboré avec les acteurs vitivinicoles, soit la Communauté interprofessionnelle du vin vaudois (CIVV), la FVV et l'Office des vins vaudois (OVV), pour mettre en oeuvre ce plan "Avenir de la viticulture vaudoise" pour les quatre ans à venir. Il repose sur trois axes.

Reséduire la Suisse alémanique

S'agissant des marchés, le plan vise à renforcer la présence des vins vaudois sur les marchés nationaux et internationaux grâce à une stratégie élaborée par la CIVV et mise en oeuvre par l'OVV. Très attendu par la branche, il prévoit la mise en place d'indicateurs économiques pour assurer un suivi régulier des prix du vin en vrac et du raisin. Parmi les mesures envisagées figure une promotion ciblée dans les régions de Berne, Soleure, Lucerne et Bâle, a expliqué Michel Rochat, président de l'OVV.

"Nous allons concentrer nos efforts sur le ciblage de nouveaux consommateurs, particulièrement les personnes de moins de 44 ans, développer les activités de dégustation et nous battre pour augmenter le nombre de référence dans la grande distribution", a-t-il résumé.

Moratoire et redimension

Le deuxième axe est le plus doté avec une enveloppe de 12,5 millions de francs. Un moratoire de trois ans (2026–2028) sur les nouvelles plantations hors du cadastre viticole actuel est préconisé pour contribuer à la stabilisation du marché.

Des mesures structurelles élaborées par la branche visent aussi à adapter le vignoble. Près de 4 millions sont prévus pour accompagner la reconversion de surfaces viticoles vers d'autres cultures ou vers des jachères fleuries, sur une base volontaire.

Le vignoble vaudois représente actuellement 3850 hectares. La redimension de ses surfaces pourrait concerner des centaines d'hectares, ont estimé les responsables de la CIVV et de la FVV. Président de la CIVV, Olivier Mark a préféré parler "d'optimisation des terrains plutôt que de redimensionnement du vignoble".

"Nous sommes en train d'identifier et de cartographier les parcelles qui pourraient obtenir cette aide à la reconversion. Nous devrions avoir fini au printemps prochain. C'est la mesure la plus rapide à mettre en oeuvre", a expliqué François Montet.

Enfin, le plan consacre 1,2 million de francs à la relève viticole. Il prévoit notamment des aides financières pour faciliter la reprise de domaines, que ce soit dans ou hors du cadre familial ainsi qu'un soutien à la formation et à la promotion des métiers de la vigne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Les sports urbains en vedette avec le projet Spark à Morges

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Le breakdance figure notamment au programme de Spark à Morges (photo d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN MERZ)

Comme d'autres villes vaudoises avant elle, Morges accueille le projet Spark. Ouvert depuis fin octobre et jusqu'au 24 janvier 2026, ce lieu permet aux jeunes de 10 à 25 ans de pratiquer différents sports urbains, comme le basket 3x3, le parkour ou le breakdance.

Des animations de boxe, freesbee, skateboard, escalade ou encore de corde à sauter sont aussi proposées gratuitement. Le programme comprend également des activités culturelles, comme des ateliers d'écriture de rap ou d'art urbain.

"L'objectif de ce projet est de contribuer à une meilleure santé physique et mentale des adolescents et des jeunes adultes et de combattre le sentiment d'isolement d'une partie de cette population", indiquent les organisateurs dans un communiqué de presse.

Le projet Spark (étincelle en français) a déjà vécu plusieurs éditions dans d'autres localités vaudoises, à Renens, Yverdon, Moudon, Aigle, Vevey et la Vallée de Joux. A Morges, c'est la première fois qu'un espace intérieur est mis à disposition dans l'ancienne halle Iveco.

L'événement est géré par l'association vaudoise SPARK/Innov-Action. Le programme a été élaboré en partenariat avec les Offices des sports, de la culture et de la cohésion sociale de la Ville de Morges.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Surendettement: "Ils n'auraient jamais dû accepter mon crédit"

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Un jeune de 18-25 ans sur deux rencontre des difficultés à payer ses factures mensuelles. (©LFM)

Le surendettement touche toujours plus de personnes en Suisse. Parmi elles, des jeunes de 18-25 ans qui tentent de joindre les deux bouts en contractant des crédits à la consommation auprès de banques en ligne. Enquête.

De plus en plus de jeunes adultes peinent à boucler leur fin de mois en Suisse.  Pour payer leurs factures et s’en sortir, certains se tournent vers des banques numériques pour obtenir des prêts, au risque de tomber dans l’engrenage du surendettement. Sous quelles conditions ces banques octroient-elles des crédits et qui se chargent de leur surveillance ? Sophie Vassutine a mené l'enquête.

Enquête sur le surendettement chez les jeunes adultes Sophie Vassutine

Le programme de prévention du surendettement du Canton de Vaud "Parlons Cash" propose une ligne gratuite à disposition des jeunes au 0840 43 21 00.

 

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Suisse Romande

Non à un cours de premiers secours dans les écoles

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Savoir effectuer un massage cardiaque ne sera pas une prérogative des élèves valaisans, à l'avenir (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le postulat de l'UDC du Haut-Valais demandant l'introduction d'un cours de premiers secours dans les écoles n'a pas trouvé grâce auprès de la majorité du Grand Conseil jeudi. Ces formations visaient à enseigner des gestes fondamentaux de premiers secours, notamment la réanimation cardiopulmonaire

"L'introduction de cours de premiers secours annuels dans le cursus scolaire valaisan constitue une étape importante pour améliorer les soins d'urgence. Cela peut sauver des vies", avaient résumé les postulants. "En cas d'arrêt cardio-respiratoire, le taux de survie est essentiellement fonction de la rapidité et de l'efficacité des premiers secours."

En Suisse, ce taux se monte à environ 70% pour les patients qui survivent jusqu'à ce qu'ils quittent l'hôpital. Dans les pays scandinaves, où les élèves suivent régulièrement des formations de premiers secours, le taux de survie est plus élevé et atteint parfois jusqu’à 90%.

Des cours annuels

En Norvège, par exemple, un cours de deux heures, qui comprend de la théorie et des exercices pratiques de réanimation cardiopulmonaire (RCP), est dispensé chaque année dans les écoles. Ces formations sont répétées annuellement pour rafraîchir et approfondir les connaissances et les compétences.

La présente motion avait pour but d'introduire des cours de premiers secours annuels dans le cursus scolaire valaisan. Ces formations visaient à enseigner des gestes fondamentaux de premiers secours, notamment la réanimation cardiopulmonaire (RCP). En outre, elles doivent amener à prendre davantage conscience de l'importance d'une assistance rapide et enseigner aux élèves à réagir correctement en cas d'urgence et à alerter au plus vite les secours.

Une question de compétence

"Il s’agit d’une mesure simple et efficace permettant de rendre les jeunes plus responsables", a plaidé la députée de l’UDC du Haut-Valais, Daniela Pollinger.

Pour la députée PLR Evelyne Delavy-Schnydrig, "il n’est pas de compétence du Grand Conseil d’étoffer le plan d’études des écoles valaisannes bien que la finalité de la demande soit reconnue et appréciée."

L'UDC divisée

"Ce n’est pas le rôle d’un cursus scolaire", lui a emboité le pas, son collègue de l’UDC du Valais romand, Bruno Perroud. Patrick Coquoz (Le Centre du Valais romand) a également milité contre le texte.

Au vote, le postulat a été refusé par 71 voix contre 52 et 2 abstentions.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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