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Économie

Adecco engrange 110 millions de bénéfice net au 3e partiel

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Les prix élevés de l'énergie, les taux d'inflation parfois à deux chiffres et la hausse des taux d'intérêt ont entraîné une détérioration notable des perspectives économiques sur les principaux marchés du groupe. (KEYSTONE/Eddy Risch) (© KEYSTONE/EDDY RISCH)

Le spécialiste du placement de personnel Adecco a enregistré un bénéfice net consolidé en baisse de 18% à 110 millions d'euros entre juillet et septembre, dépassant toutefois les prévisions du consensus AWP.

La croissance organique ajustée a enflé de 6%, accélérant par rapport au deuxième trimestre et dépassant les attentes. Le chiffre d'affaires a de son côté bondi de 16% à 6,04 milliards au troisième trimestre, précise l'entreprise jeudi dans un communiqué.

Le résultat d'exploitation (Ebita) ajusté, soit hors effets non récurrents, a atteint 215 millions, en baisse de 14% sur un an. La marge afférente a reculé à 3,6%, après 4,8% au troisième trimestre 2021.

La baisse est à mettre sur le compte du plan d'investissement pour la plateforme intégrée LHH, marque sous laquelle ses deux divisions Badenoch + Clark et Spring Professional ont été regroupées fin septembre.

Le bénéfice net attribuable aux actionnaires est ressorti à 108 millions, en baisse de 19% sur un an.

Si le chiffre d'affaires est en ligne avec les expectatives, la croissance organique et les indicateurs de rentabilité sont légèrement supérieurs aux prévisions du consensus AWP.

De manière organique, les recettes de la division LHH sont restées stables sur un an tandis que les segments Akkodis et Adecco ont crû de respectivement 8% et 6%.

La plupart des régions ont contribué à la hausse des recettes, la France, la région Allemagne, Autriche et Suisse (Dach) ainsi qu'Asie-Pacifique (Apac) livrant les croissances organiques les plus élevées, à respectivement 7%, 12% et 9%. L'Europe du Nord (3%) et du Sud (4%) ainsi que les Amériques (2%) ont connu des hausses plus modérées.

Intégration en cours pour Akka

L'intégration d'Akka se poursuit. Elle a entraîné des coûts uniques de 23 millions au troisième trimestre. Les synergies sont attendues à plus de 40 millions en 2023.

L'entreprise est décidée à poursuivre dans la voie d'accélération de la croissance, alors que le potentiel de faire passer la marge Ebita à 6% est présent. La direction vise des économies de 150 millions d'ici mi-2024.

Une conférence à destination des analystes aura lieu à 9h30. Seront notamment évoqués les objectifs d'amélioration de la performance financière, les efforts de simplification de l'organisation et la priorité mise sur les gains de parts de marché.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Exercice de F/A-18 suisses et de F-35 italiens à Istrana (I)

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Un avion F/A-18 de l'Armee Suisse, à gauche, et un Eurofighter de l'Armee italienne en arrière-plan. Il y avait aussi lors de cet exercice en Italie des F-35 de l'armée de la Péninsule, futurs avions des Forces aériennes helvétiques. (© KEYSTONE/LAURENT MERLET)

Les forces aériennes suisses et italiennes s'entraînent ces jours à Istrana (I), en Vénétie. Les exercices mettent aux prises des F/A-18 suisses ainsi que des Eurofighter et des F-35 de l'armée italienne. Des F-16 de l'US Air Force en Europe y participent aussi.

Les exercices ont commencé le 26 mai et sont prévus jusqu'au 13 juin, avait indiqué l'armée suisse au début de cet engagement. Les jeunes pilotes ont notamment l'occasion de se former au combat aérien à basse altitude au-dessus de la mer, tant à portée visuelle qu'au-delà.

"On peut faire des exercices ici qu'on ne peut pas faire en Suisse, avec plus d'avions en l'air et des espaces aériens plus grands", a déclaré à Keystone-ATS l'un des jeunes pilotes suisses prenant part à l'entraînement. "Deux ou trois semaines en Italie, c'est l'équivalent de presque une année d'expérience en Suisse", a-t-il ajouté.

"En Suisse, ces exercices d'une grande complexité ne sont pas faisables en raison des nombreuses restrictions", explique le commandant des Forces aériennes suisses Peter Merz.

L’entraînement porte en outre sur la planification et l’exécution d’opérations aériennes combinées ainsi que sur des questions tactiques.

F-35

Pour la Suisse, la collaboration avec les forces armées italiennes est non seulement précieuse pour le service transfrontalier de police aérienne. Mais elle permet aussi d'échanger sur l'avion de combat F-35A, étant donné que la Suisse a décidé d'acheter 36 appareils de ce type.

"C'est intéressant de voir les Italiens utiliser les F-35, mais ce n'est pas le focus de l'entraînement. Le principal est vraiment d'approfondir les connaissances de nos jeunes pilotes", précise Peter Merz.

Le but de l'exercice est également de renforcer les partenariats avec l'Italie. "On a une très bonne coopération avec l'Italie et on aimerait continuer ça", déclare le commandant des Forces aériennes suisses.

La Suisse et l'Italie ont un accord depuis 2004 pour réaliser ces exercices communs. La Suisse en profite pleinement puisque les Forces aériennes n'ont pas la possibilité de réaliser des entraînements complets selon les standards internationaux en raison de l'exiguïté du territoire et d'autres restrictions.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

USA: déficit commercial réduit de plus de moitié en avril

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Après un mois de mars record, le déficit commercial des Etats-Unis a été divisé par plus de deux au mois d'avril. Ici, Donald Trump à la Maison Blanche. (© KEYSTONE/EPA/CHRIS KLEPONIS/ POOL)

Après un mois de mars record, le déficit commercial des Etats-Unis a été divisé par plus de deux au mois d'avril, sous l'effet d'un fort ralentissement des importations alors que les droits de douane voulus par Donald Trump entraient en vigueur.

Sur le quatrième mois de l'année, la balance commerciale des biens et services américains a enregistré un déficit de 61,6 milliards de dollars, contre 138,3 milliards de dollars en mars, dont les données ont été révisées en légère baisse.

Un mois durant lequel les entreprises américaines avaient massivement importé pour constituer des stocks avant de subir les effets des droits de douane.

Le déficit commercial en avril est cependant bien en-deçà des prévisions des analystes, qui tablaient sur un reflux plus modeste, à 117,2 milliards de dollars, selon le consensus publié par briefing.com. Il s'agit du plus faible déficit enregistré depuis mars 2023.

Le déficit de la balance commerciale américaine avait connu une hausse très sensible après les élections de novembre et la victoire de Donald Trump, qui avait promis durant la campagne présidentielle une hausse des droits de douane, notamment pour financer en partie la baisse d'impôts actuellement en discussion au Congrès.

Le déficit commercial est alors passé de 73,7 milliards de dollars au mois de décembre, à donc 138,3 milliards en mars.

Dans le détail, c'est avant tout le fort recul des importations, ramenée à 351 milliards de dollars (-16,3% sur un mois) qui explique la chute du déficit.

Dans le même temps, les exportations ont progressé plus modestement de 3%, à 289,4 milliards de dollars.

Cumulé sur un an, le déficit commercial s'est cependant creusé de 179,3 milliards de dollars, soit une hausse de 65,7% par rapport à la même période en 2024.

La baisse des importations s'est principalement concentrée sur certains secteurs, tels que les pièces de métal et les véhicules particuliers, alors que l'acier et l'aluminium et l'automobile sont concernés par 25% de droits de douane depuis mi-mars, mais aussi des préparations pharmaceutiques, un secteur qui pourrait être à son tour prochainement visé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

La BCE abaisse son principal taux directeur

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La Banque centrale européenne (BCE), présidée par Christine Lagarde, espère relancer la croissance économique de la zone euro (archives). (© KEYSTONE/EPA/RONALD WITTEK)

La Banque centrale européenne (BCE) a abaissé jeudi, comme attendu, son principal taux directeur de 0,25 point à 2,0%. Il s'agit de la huitième baisse du loyer de l'argent depuis juin 2024, et de la septième consécutive.

L'objectif est de revigorer la croissance économique dans la zone euro, menacée par la guerre commerciale américaine, alors que l'inflation dans cette zone s'oriente vers l'objectif de 2,0%.

Cette huitième baisse de taux depuis un an fait passer à 2,0% le taux de dépôt, qui fait référence pour les conditions de crédit dans l'économie.

L'inflation dans la zone euro "se situe actuellement autour" de l'objectif de 2,0% de la BCE, mais les perspectives de croissance sont "plus faibles pour le reste de l'année", notamment à cause du conflit douanier avec Washington, indique la BCE dans un communiqué.

Les inquiétudes se sont déplacées vers la faiblesse persistante de l'activité dans les vingt pays de la zone euro, où l'atonie de la demande pourrait avoir des effets déflationnistes.

L'Europe est en outre dans le viseur du président américain, qui ne cesse de s'emporter contre l'important excédent commercial affiché avec les États-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

La BCE abaisse son principal taux directeur

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Alerte Info (© )

La Banque centrale européenne (BCE) a abaissé jeudi, comme attendu, son principal taux directeur de 0,25 point à 2,0%. Il s'agit de la huitième baisse du loyer de l'argent depuis juin 2024, et de la septième consécutive.

L'objectif est de revigorer la croissance économique dans la zone euro, menacée par la guerre commerciale américaine, alors que l'inflation dans cette zone s'oriente vers l'objectif de 2,0%.

Cette huitième baisse de taux depuis un an fait passer à 2,0% le taux de dépôt, qui fait référence pour les conditions de crédit dans l'économie.

L'inflation dans la zone euro "se situe actuellement autour" de l'objectif de 2,0% de la BCE, mais les perspectives de croissance sont "plus faibles pour le reste de l'année", notamment à cause du conflit douanier avec Washington, indique la BCE dans un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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