Suisse
Straumann a poursuivi sa croissance au 1er trimestre
Straumann a entamé 2022 sur de solides bases. Poursuivant sur la lancée de l'an passé, l'équipementier bâlois de l'industrie chirurgico-dentaire a vu ses ventes bondir au 1er trimestre de plus d'un quart (25,4%) en un an à 588,9 millions de francs, une valeur record.
La croissance organique, soit à périmètre de consolidation et taux de change constants, s'est inscrite à 27,1%. En monnaies locales uniquement, les ventes ont crû de 27,9%, les effets de change ayant quelque peu pesé sur l'évolution des revenus en francs, indique jeudi Straumann.
La performance a largement dépassé les attentes des analystes. Sondés par AWP, ces derniers avaient anticipé des revenus moyens de 535,6 millions de francs et une croissance organique de 14,8%.
L'afflux de patients dans les cliniques dentaires est resté globalement élevé dans la plupart des pays, à l'exception de la Chine, conséquence des mesures de confinement mises en oeuvre dans plusieurs grandes villes de l'Empire du Milieu afin de lutter contre la propagation du variant Omicron du Covid-19, indique l'entreprise établie à Bâle. Toutes les régions ont réalisé une performance de choix, la palme revenant à l'Amérique latine à la faveur d'une croissance organique des ventes de 48,8% à 39 millions de francs.
Prévisions toujours prudentes
En Europe, principal débouché de Straumann avec une part de plus de 45% au total, les revenus ont bondi de 24,7% à 267,2 millions de francs. La croissance organique s'est elle inscrite à 33%. En Amérique du Nord, cette dernière s'est affichée à 20,7%, le chiffre d'affaires s'étoffant de 23,2% en francs à 170,1 millions.
En dépit des vents contraires en Chine, les revenus dégagés en Asie ont bondi de 21,7% à 112,3 millions de francs. La croissance organique a plafonné à 18,4%.
Straumann note en outre que l'évolution favorable des ventes a aussi été soutenue par la commercialisation de nouveaux implants pour la restauration immédiate.
Evoquant la suite de l'exercice, l'entreprise se veut confiante et confirme ses prévisions pour l'ensemble de l'année, malgré les incertitudes géopolitiques et les potentielles répercussions de la pandémie Covid-19. La société rhénane vise une croissance organique à deux chiffres dans le bas de la fourchette et une marge d'environ 26%. L'entreprise est cependant connue pour ses objectifs conservateurs. D'ici à 2030, Straumann anticipe un chiffre d'affaires de 5 milliards de francs par an.
Prise de participation
En parallèle à sa performance trimestrielle, Straumann a fait part de l'acquisition, pour un montant non dévoilé, d'une participation minoritaire dans la société Carestack, laquelle développe un logiciel de gestion de cabinet dentaire. La prise de participation, dont la hauteur précise n'est pas indiquée, doit permettre de simplifier la planification des traitements, la numérisation de la gestion et le traitement automatique des factures.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse Romande
Port-Valais (VS): Benjamin Le Maguet quitte le restaurant familial
Le 30 juin prochain, Benjamin Le Maguet quittera la Maison le Maguet, l'une des tables les mieux notées au Gault & Millau dans le Bas-Valais. Le chef a choisi de réorienter sa carrière professionnelle. Il l'a annoncé lundi soir sur ses réseaux sociaux.
Depuis 2022, l'établissement gastronomique des Evouettes (VS), situé sur la commune de Port-Valais, bénéficie de la note de 14/20 attribuée par le célèbre guide.
"J'ai passé cinq ans ici, en travaillant d'abord avec mon père, puis seul en cuisine. Aujourd'hui, mes parents et moi, nous n'avons plus la même vision quant à l'avenir. Nous avons donc décidé de mettre fin à notre collaboration", résume le chef interrogé par Keystone-ATS, décidé à vivre, à 35 ans, une nouvelle expérience professionnelle.
Finaliste du Bocuse d'or en 2021 (3e), Benjamin Le Maguet a obtenu, en 2023, une étoile verte au guide Michelin. Cette distinction est remise aux restaurants "pour leurs pratiques durables et qui affirme la responsabilité de la gastronomie envers la planète", selon le guide français.
Adepte d'une cuisine "100% sauvage et responsable", selon ses dires, l'ancien multiple champion de Suisse de natation dit "étudier plusieurs opportunités concernant son avenir", désireux de poursuivre sa carrière en Suisse romande (Vaud, Valais).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La pollution lumineuse rend les mésanges insomniaques
Les mésanges charbonnières sont sensibles à la pollution lumineuse. Elles passent des nuits plus agitées et couvent leurs ½ufs pendant moins longtemps si elles vivent dans des zones éclairées. En conséquence, moins de petites mésanges éclosent.
Une récente étude à laquelle la Station ornithologique suisse a contribué a comparé le taux d'éclosion chez des mésanges charbonnières nichant dans la forêt et en ville. La différence est "marquée", indique la Station de Sempach (LU) mardi dans un communiqué.
Beaucoup moins d'oeufs éclosent en milieu urbain, ce qui s'explique vraisemblablement par la pollution lumineuse, ajoute-t-elle: les mésanges des villes étaient plus agitées la nuit quand leurs nichoirs se trouvaient dans une zone éclairée et elles réchauffaient leurs oeufs de manière erratique.
"Ces résultats laissent songeur", alors que les mésanges charbonnières sont des oiseaux habitués à l'être humain. Pour des animaux moins bien adaptés à nos sociétés ou qui ont un mode de vie nocturne, il est "crucial" de disposer de lieux qui restent sombres la nuit, selon l'étude, publiée dans la revue Zoological Science.
Minimiser la lumière
La pollution lumineuse peut aussi perturber les oiseaux migrateurs. Leur orientation basée sur les étoiles peut être entravée par une nuit qui n'est pas complètement claire, en cas de brouillard ou de nuages combinés à de la pollution lumineuse, explique la Station ornithologique suisse.
Pour réduire la pollution lumineuse, elle estime que la lumière artificielle ne devrait être déployée que là où elle est vraiment utile. Et même dans un tel cas, il est possible d'en réduire l'intensité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Paiements: la carte de débit prend le pas sur l'argent liquide
Les consommateurs sont désormais de plus en plus nombreux à payer leurs achats avec leur carte de débit, selon un sondage de la Banque nationale Suisse (BNS). La monnaie plastique et son utilisation via des apps mobiles prend ainsi l'ascendant sur l'argent liquide.
Pour les paiements sur place, la tendance à privilégier les moyens de paiement scripturaux se poursuit, la carte de débit étant désormais l'instrument le plus fréquemment utilisé, écrit mardi l'institut d'émission au terme d'un sondage effectué l'automne dernier auprès de 2000 personnes domiciliées en Suisse. Les applications de paiement sont de plus en plus prisées, et interviennent désormais dans quasiment une transaction sur cinq.
Il n'en reste pas moins que 95% des sondés souhaitent que le numéraire reste disponible en tant que moyen de paiement. Seul un très petit nombre des personnes interrogées s'exprime en faveur d'une suppression des espèces.
La BNS relève en outre qu'un nombre croissant de participants à l'enquête constate qu'il est de plus en plus difficile de se procurer des espèces, ceux-ci déplorant la diminution des lieux de retrait d'argent liquide. Cela suscite le mécontentement face à l'accès plus limité à l'argent liquide, poursuit le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Une initiative populaire s'attaque au lobbying sous la Coupole
Le lobbying sous la Coupole fédérale se trouve dans le viseur d'une nouvelle initiative populaire. Les parlementaires ne devraient plus pouvoir intervenir dans les débats abordant des domaines dans lesquels ils ont des liens d'intérêts.
L'initiative populaire "Pour une politique au service du peuple (non au lobbying)" a été publiée mardi dans la Feuille fédérale. Elle est lancée par une dizaine de personnes domiciliées dans le canton de Lucerne, qui ont jusqu'au 25 septembre 2026 pour récolter les 100'000 signatures nécessaires à son aboutissement.
Alors qu'actuellement, les membres de l'Assemblée fédérale sont constitutionnellement tenus de voter sans instructions et de rendre publics les liens qu'ils ont avec des groupes d'intérêts, le comité d'initiative veut aller plus loin. Les élus "ayant des liens économiques ou politiques avérés avec des groupes d'intérêts" ne doivent plus pouvoir siéger dans des commissions dont le domaine de compétences a un rapport avec ces intérêts.
Lors des débats en commission ou en séance plénière, ils doivent aussi se récuser si les thèmes ont un rapport avec les intérêts concernés. Le texte demande encore la tenue d'un registre, qui publie non seulement les liens d'intérêts des parlementaires mais aussi leurs honoraires ou autres prestations pécuniaires.
Enfin, les projets législatifs doivent être élaborés par l'administration et sans le concours de tiers. Si l'initiative devait être acceptée par le peuple et les cantons, les dispositions légales pour sa mise en ½uvre devraient être édictées un an plus tard au maximum.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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