Suisse
Aimé Pouly veut rajeunir son image
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Le groupe de boulangeries Aimé Pouly a donné mardi le coup d'envoi de son opération de rajeunissement avec l'inauguration de son enseigne historique du quartier des Eaux-Vives à Genève. L'entreprise qui fait partie de la holding Swiss Food Group entend se concentrer sur l'activité de son réseau déjà en place et la Suisse romande.
"Notre priorité est de développer l'activité de nos boulangeries avec espace de restauration déjà existantes grâce aux travaux de rénovation", a expliqué à AWP Nicolas Boucault, directeur général de Swiss Food Group et d'Aimé Pouly, principale société de la holding.
Pour le seul site des Eaux-Vives, ouvert à la fin des années 1970 et dirigé alors par Madame Aimé Pouly, épouse du fondateur, le groupe vise une hausse du chiffre d'affaires de 20%.
"Il s'agit d'un ballon d'essai, nous procédons à des travaux plus légers dans notre boulangerie de Champel et nous comparerons les résultats en termes de fréquentation", a indiqué M. Boucault, qui reconnaît que l'enseigne souffrait d'une image quelque peu vétuste.
Aimé Pouly exploite trente boulangeries, exclusivement en Suisse romande. "Nous n'envisageons pas de franchir la Sarine pour le moment, car d'une part les habitudes culturelles y sont différentes, mais nous ferions également concurrence aux artisans qui distribuent notre produit Pain Paillasse", a expliqué le directeur général.
Prix relevés de 5%
Inflation oblige, le groupe a dû relever ses prix de 5%. "Tous les coûts ont augmenté, la farine, le beurre, l'électricité et les salaires", a énuméré M. Boucault, qui souligne cependant que les marges sont restées identiques. Quant au chiffre d'affaires, c'est un secret bien gardé. "En proportions, nous réalisons 95% du chiffre d'affaires du groupe et 90% de celui d'Aimé Pouly en Suisse", a-t-il précisé.
Pain Paillasse constitue un autre pilier de l'activité de Swiss Food Group, avec une centaine de points de vente en Suisse romande et environ 400 pour la Suisse alémanique et le Tessin. "Le principe est toujours le même, nous fournissons à l'artisan boulanger le mélange de farine et la méthode de fabrication", rappelle M. Boucault.
En Suisse, le mélange de farines est fourni par Groupe Minoteries, partenaire historique d'Aimé Pouly et historiquement investisseur de l'entreprise. Celui-ci s'est retiré financièrement mais reste un partenaire important, souligne le directeur général.
Le produit Pain Paillasse, emblématique du groupe, est désormais distribué dans 24 pays, dont plusieurs hors d'Europe: Etats-Unis, Egypte, Chili, Liban et Ouzbékistan. "Les Etats-Unis représentent environ 5% du chiffre d'affaires de Pain Paillasse, nous distribuons principalement dans la grande distribution haut de gamme", a expliqué M. Boucault, qui souligne que le potentiel y est considérable.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Vaud
Orbe - Chavornay: les adieux à une ligne historique
Les habitants d'Orbe et de Chavornay (VD) ont dit au revoir samedi à la ligne historique reliant les deux localités, avant la refonte complète du parcours. Un dernier aller-retour symbolique a été organisé sur ce qui a longtemps été la plus petite ligne à voie normale électrifiée de Suisse.
L'Orbe - Chavornay (OC), ou l'Ottawa-Chicago selon son surnom, reliait les deux localités du Nord vaudois sur 3,965 kilomètres. Elle avait été inaugurée en 1894 et était, à l'époque, la première ligne électrifiée du pays.
Cette ligne, qui obligeait les voyageurs d'Orbe à changer à Chavornay pour rejoindre le réseau CFF, va être complètement modernisée. Avec donc comme objectif principal d'intégrer la cité urbigène et ses 8000 habitants au RER vaudois.
Début 2027
Le chantier a déjà démarré depuis plusieurs semaines et comprend divers aspects, relatifs à la future ligne, aux haltes, mais aussi à la construction d'un pont routier pour assurer le croisement entre le ferroviaire et la route cantonale. L'ensemble du projet est estimé à 100 millions de francs, dont environ 96% sont financés par la Confédération, le solde étant notamment à charge des communes et du Canton.
Durant la durée des travaux, le trafic des voyageurs s'effectuera désormais avec des bus. A la réouverture de la ligne, prévue début 2027, l'exploitation ferroviaire sera assurée par les CFF, et non plus par la société de transports régionaux Travys.
"Nouvelle ambition"
Samedi à Orbe, la population a été invitée à participer aux adieux des rames OC, lesquelles finiront à la casse. "Ce dernier voyage marque la fin d'une époque, mais surtout le début d'une nouvelle ambition: offrir à la région une liaison directe et performante avec le réseau RER Vaud, jusqu'à Renens, sans changement à Chavornay", a relevé le directeur de Travys, David Robert, cité dans un communiqué.
Diverses animations ont été proposées durant la journée. La rame OC a notamment été décorée par plus de 70 dessins d'élèves d'Orbe et Chavornay.
En 2023, près de 320'000 voyageurs ont emprunté la ligne Orbe - Chavornay. A terme, l'objectif consiste à atteindre entre 400'000 et 500'000 personnes. Le trafic marchandises en profitera aussi, à commencer par Nestlé qui dispose d'un important site à Orbe.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Centaines de manifestants à Berne contre les économies fédérales
Des centaines de personnes ont manifesté samedi après-midi sur la Place fédérale à Berne contre la politique d'austérité de la Confédération et contre le réarmement. Organisée à l'appel des Jeunes communistes, elle avait été autorisée.
Au centre des critiques, le train de mesures avec lesquelles la Confédération entend économiser jusqu'à trois milliards de francs par an au cours des prochaines années. Les manifestants ont critiqué ces "coupes sombres".
Ces économies affaiblissent des domaines tels que les affaires sociales, la culture, l'éducation, les transports publics et l'environnement. Dans les universités, par exemple, les frais d'inscription augmenteraient considérablement, a souligné un orateur. Ce qui affaiblirait le principe de l'égalité des chances.
Dans le même temps, la Suisse souhaite investir des milliards dans l'armée et se lancer, comme d'autres pays, dans le réarmement. Les coûts de "la militarisation et du maintien de l'ordre capitaliste" seraient une fois de plus répercutés sur la population. Ce sont les plus faibles qui paieraient la note, ont dénoncé les manifestants.
Ces derniers ont également réclamé la suppression du frein à l'endettement, des garanties pour des transports publics gratuits ou au moins abordables et une plus grande participation du peuple aux décisions concernant les dépenses publiques.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Fuite de chlore à la piscine d'Etoy: 3 ados hospitalisés
Une fuite de chlore survenue vendredi en début de soirée à la piscine du Centre sportif d'Etoy a nécessité l'évacuation d'une cinquantaine de personnes. Intoxiqués, trois adolescents ont dû être hospitalisés, mais leur vie n'est pas en danger, indique la police cantonale samedi.
Les trois adolescents âgés de 15 ans sont toujours en observation à l'hôpital, précise la police dans son communiqué, mais leur pronostic vital n'est pas engagé. La police ignore pour l'heure les raisons de la fuite de chlore, survenue vers 18h45. Le Ministère public a ouvert une enquête.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
L'inscription du yodel à l'Unesco fêtée en grande pompe à Schwyz
L'inscription par l'Unesco du yodel sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité a été célébrée en grande pompe samedi à Schwyz, à l'occasion de la "journée du yodel". La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider était de la partie.
L'événement était organisé par le canton de Schwyz, la haute école de musique de Lucerne - qui propose depuis 2018 un master dans cette discipline -, l'association suisse de yodel et diverses institutions spécialisées. Il s'est tenu deux jours après la décision du comité intergouvernemental de l'Unesco.
C'est avant tout le patrimoine culturel suisse qui a été célébré, mais pas seulement. Nadja Räss, professeure de musique folklorique et de yodel à la Haute école de Lucerne, a toujours qualifié le yodel de "cinquième langue nationale" de la Suisse, mais elle a relativisé cette affirmation auprès de Keystone-ATS.
"On pratique également le yodel en Autriche et surtout dans le sud de l'Allemagne. Et qui sait, peut-être qu'à l'avenir, le yodel sera inscrit sur la liste de l'Unesco de manière multinationale", dit-elle.
La Suisse est déjà associée à plusieurs inscriptions multinationales de traditions au patrimoine culturel immatériel de l'humanité: l'art de la construction en pierres sèches, l'alpinisme, les ateliers de cathédrales et l'irrigation traditionnelle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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