Économie
Allianz Suisse a vu son bénéfice net bondir d'un tiers en 2021
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Allianz Suisse a enregistré un solide bénéfice net en 2021, grâce au produit de la vente d'une propriété immobilière. Il a en effet bondi de plus d'un tiers, à 406 millions de francs, a indiqué jeudi la filiale helvétique du géant allemand de l'assurance Allianz.
Le bénéfice opérationnel s'est inscrit à 359,2 millions, un chiffre inférieur de 2,0% à la valeur de l'année précédente. Cela s'explique par l'abandon d'activités dans le segment vie.
Le volume des primes a enflé de 1% à 3,73 milliards de francs, porté par une croissance de 1,7% à 1,70 milliard dans l'activité vie. Les offres dans le nouveau segment d'affaires, "vie individuelle" ont suscité l'intérêt des clients. "Il semble que la nécessité de solutions de prévoyance privée entre dans l'esprit des gens en raison des problèmes non résolus dans le premier et le deuxième pilier", relève l'assureur. Allianz a lancé un produit de placement spécifique offrant "une flexibilité maximale", précise le communiqué.
Les activités vie collective ont connu une évolution stable. "La demande de sécurité et de garanties d'une solution d'assurance complète est inchangée de la part des petites et moyennes entreprises qui ne peuvent ou ne veulent pas supporter les risques eux-mêmes", note l'assureur.
En raison de l'abandon de certaines activités dans le cadre d'une solution de réassurance, le bénéfice opérationnel de ce segment a toutefois chuté de 9,4% à 104,6 millions de francs, le bénéfice net reculant de son côté de 11,3% à 89,5 millions.
Les activités non-vie ont modestement crû, avec des primes brutes en hausse de 0,4% à 2,03 milliards de francs. Dans ce dernier segment, les affaires d'assurance des entreprises et des personnes ont particulièrement soutenu la performance. Le bénéfice opérationnel a progressé de 1,4% à 254,7 millions dans cette division, tandis que celui net a profité de la vente d'une propriété, bondissant dans la foulée de 55,6% à 316,5 millions.
Malgré des "dommages records en raison des intempéries", le ratio combiné a reculé de 0,6 point à 90,5%. Les intempéries de l'été dernier ont causé des dégâts évalués à 165 millions, mais une part notable de ce montant est couvert par des solutions de réassurance.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
L'économie suisse entre ralentissement et recul au 2e trimestre
L'évolution qu'aura connue l'économie helvétique au deuxième trimestre fait l'objet de projections pour les moins divergentes de la part des économistes consultés par l'agence AWP.
Seul point de convergence, la vive progression du produit intérieur brut (PIB) observée sur les trois premiers mois de l'année aura fait long feu.
Les prévisions pour la période d'avril à fin juin s'échelonnent entre une contraction de 0,3% et une progression de même ampleur, tandis que l'économie suisse s'était enrobée de 0,8% entre janvier et fin mars.
Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. Des menaces depuis grandement matérialisées, avec des droits de douane indiscriminés de 10% dès le mois d'avril, relevés pour les produits helvétiques spécifiquement à 39% début août.
Espoirs de stabilisation
Il reste à voir dans ce contexte si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages, espéré par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) mi-juin encore.
Les économistes fédéraux prévoyaient par contre déjà que le poids du conflit commercial se ferait sentir sur les exportations tout au long de 2025 et prévenaient qu'une relance de la croissance mondiale - synonyme d'appel d'air pour les exportations helvétiques - n'était pas attendue avant 2026.
Depuis, le centre d'études conjoncturelles KOF a devisé l'impact sur l'économie helvétique du taux de 39% appliqué par l'administration Trump entre 0,3% à 0,6% en 2025. Cela "coûterait à chaque Suisse en moyenne 300 francs", calculaient les économistes académiques zurichois. Dans le pire des scénarios, le PIB pourrait même reculer de 1% et une récession ne serait pas à exclure.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
L'économie suisse entre ralentissement et recul au 2e trimestre
L'évolution de l'économie helvétique au deuxième trimestre fait l'objet de projections divergentes de la part des économistes consultés par l'agence AWP. Seul point de convergence, la progression du PIB sur les trois premiers mois de l'année aura fait long feu.
Les prévisions pour la période d'avril à fin juin s'échelonnent entre une contraction de 0,3% et une progression de même ampleur, tandis que l'économie suisse s'était enrobée de 0,8% entre janvier et fin mars.
Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. Des menaces depuis grandement matérialisées, avec des droits de douane indiscriminés de 10% dès le mois d'avril, relevés pour les produits helvétiques spécifiquement à 39% début août.
Il reste à voir dans ce contexte si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages, espéré par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) mi-juin encore.
Les économistes fédéraux prévoyaient par contre déjà que le poids du conflit commercial se ferait sentir sur les exportations tout au long de 2025 et prévenaient qu'une relance de la croissance mondiale - synonyme d'appel d'air pour les exportations helvétiques - n'était pas attendue avant 2026.
Depuis, le centre d'études conjoncturelles KOF a devisé l'impact sur l'économie helvétique du taux de 39% appliqué par l'administration Trump entre 0,3% à 0,6% en 2025. Cela "coûterait à chaque Suisse en moyenne 300 francs", calculaient les économistes académiques zurichois. Dans le pire des scénarios, le PIB pourrait même reculer de 1% et une récession ne serait pas à exclure.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Service universel de la Poste garanti mais plus flexible en Suisse
La Poste devra continuer à l'avenir à garantir un service universel suffisant et à des prix abordables. Cependant, une certaine flexibilité devra permettre de s'adapter aux besoins futurs. Le Conseil fédéral a posé les jalons de la révision de la loi sur la poste.
Au vu de la transition numérique, le géant jaune doit pouvoir adapter son offre, relève mercredi le gouvernement dans un communiqué. A l'entrée en vigueur de la réforme, vers 2030, le service universel comprendra l'offre actuelle ainsi que des mesures qui devraient être prises au niveau de l'ordonnance en 2026.
Le gouvernement veut toutefois ancrer dans la loi un mécanisme d’adaptation en fonction de la demande. Si certains seuils sont atteints, la Poste pourra demander une adaptation du service universel, à condition qu'elle respecte un catalogue minimal, qui sera défini. Elle devra offrir ce catalogue en toutes circonstances et indépendamment de l'évolution future de la demande.
Le Conseil fédéral veut encore garantir la sécurité juridique de l'activité commerciale de la Poste en dehors du service universel. Il convient notamment de préciser le but de l'entreprise.
Le Département fédéral de la communication (DETEC) doit élaborer un projet de consultation d'ici fin juin 2026. Les objectifs stratégiques 2025-2028 en matière d'acquisitions de la Poste doivent également être revus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La BNS dévoile ses propositions de nouveaux billets de banque
La Banque nationale suisse (BNS) a publié mercredi les maquettes des nouveaux billets de banque. Un sondage public a été lancé pour départager les modèles divers et variés. Le choix final sera annoncé début 2026.
Douze propositions de séries ont été présentées en ligne pour un sondage d'opinion, effectué par un institut spécialisé, du 13 août au 7 septembre, rapporte un communiqué.
Les six meilleures, choisies par la population et par un jury de spécialistes externes, passeront une seconde phase de sélection portant notamment sur des aspects commerciaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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