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Suisse

Augmentation du nombre de fécondations in vitro

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En 2021, plus de 6900 femmes ont eu recours à une assistance médicale pour tenter de concevoir un enfant (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Près de 2500 enfants sont nés en Suisse en 2021 suite à une fécondation in vitro (FIV). C'est 13% de plus que l'année précédente, indique jeudi l'Office fédéral de la statistique (OFS). Près de 3% des naissances, soit un enfant sur 30, sont issus d'une telle méthode.

Au total, plus de 6900 femmes ont eu recours à une assistance médicale pour tenter de concevoir un enfant, ce qui correspond à une hausse de 11% par rapport à 2020.

La proportion de naissances multiples consécutives à une FIV a nettement reculé. Elle est passée de 4,3% à 4%, indique l'OFS. En 2017, elle était encore de 15%. Le nombre de naissances prématurées a lui aussi baissé. En 2021, on en dénombrait 286, soit 11,9% du total des naissances consécutives à des FIV, contre 307 (14,5%) un an plus tôt.

Cent onze couples ont eu recours à un traitement de FIV avec don de sperme, donnant naissance à 60 enfants nés vivants.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Manifestation spectaculaire contre la géothermie à Haute-Sorne

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Les opposants ne désarment pas contre la géothermie dans le Jura. (© KEYSTONE/LAURENT MERLET)

Une centaine de personnes se sont rassemblées vendredi pour protester contre le site de forage pour la géothermie profonde à Haute-Sorne (JU), qui a commencé ses travaux mardi. Un militant a escaladé une barrière de protection du chantier, avant d'être intercepté.

La mobilisation était moindre par rapport aux précédentes manifestations qui avaient réuni jusqu'à un millier de personnes, mais la détermination restait palpable, a constaté Keystone-ATS.

Après deux discours de résistance via mégaphone, les militants se sont rendus contre la barrière entourant le site très sécurisé, certains tentant d'y pénétrer tout en étant empêchés par le service d'ordre.

Un opposant est cependant parvenu à aller hisser une banderole sur laquelle était écrit "Pas de GPP (géothermie pétrothermale profonde) ni ici ni ailleurs", avant d'être intercepté puis relâché par la police. Dans le même temps, du purin a été déversé devant l'entrée à l'aide d'un tracteur et d'une lance. La mobilisation est restée pacifique et s'est déroulée sans heurts.

"Risqué"

Le projet développé par la société par Geo-Energie avec l'aval du canton suscite de vives oppositions dans le Jura. Il lui est notamment reproché de perturber l'environnement, d'entraîner un risque sismique et d'être très gourmand en eau.

La phase exploratoire, qui déterminera au terme de forages à 4000 m de profondeur si le site est apte pour une exploitation, doit se terminer en septembre. Les militants déplorent que la population n'ait pas eu à s'exprimer sur le projet et se méfient des évaluations officielles.

De son côté, Geo-Energie donnera de nouvelles informations mercredi prochain. La société prévoit aussi de dresser ultérieurement sur le site des stands d'informations pour le public, qui pourra ainsi visiter les lieux. Si tout se passe comme prévu, l'exploitation pourra démarrer vers 2028-29 et permettra de fournir de l'énergie renouvelable à 6000 ménages.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Après Migros, Emmi aussi va abandonner le Nutri-Score

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Emmi affiche le Nutri-Score sur ses Caffè Latte. (archive) (© KEYSTONE/PHOTOPRESS/STEFAN WEBER)

L'étiquetage alimentaire Nutri-Score est à la peine en Suisse. Après Migros, qui pointe des surcoûts, c'est au tour d'Emmi de laisser tomber cette information supplémentaire aux consommateurs.

Alors que l'entreprise lucernoise affiche ce dispositif sur ses Caffè Latte, "d'autres fournisseurs de boissons lactées au café n'ont pas introduit le Nutri-Score sur leurs emballages, si bien qu'aucune comparaison n'est possible", a souligné une porte-parole d'Emmi, dans la foulée d'un article paru dans les journaux de Tamedia. De plus, aucune harmonisation n'est faite à l'échelle européenne et il n'y a donc pas de plus-value pour les consommateurs, selon elle.

Emmi ne l'affichera plus sur ses nouveaux produits. "Pour les produits existants, nous maintenons pour l'instant le Nutri-Score", a-t-elle précisé.

Cet affichage est "apposé volontairement par les producteurs, afin de renseigner les consommateurs sur la composition d'un produit au moyen d'une échelle de couleurs allant de A à E", selon les termes de l'Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires. Il doit aider les consommateurs "à comparer rapidement des aliments et à faire des choix éclairés".

Trop coûteux our Migros

Mais le Nutri-Score a déjà perdu un adepte cette semaine, le géant de la distribution Migros, qui a pointé les coûts élevés qu'il implique. "Trois ans après son introduction, le Nutri-Score reste encore trop peu connu et suscite souvent beaucoup d'interrogations. En revanche, intégrer ou adapter le Nutri-Score demande beaucoup d'effort de packaging", a justifié une porte-parole de Migros sans donner plus de précision sur les coûts exacts.

Le distributeur et fabricant de produits alimentaires avait introduit le Nutri-Score pour toutes ses marques propres en 2021. Pour sa part, Emmi n'a pas évoqué les coûts, mais seulement une décision prise "après des réflexions internes". Les débats politiques n'ont pas pesé non plus, selon la société lucernoise.

En mars dernier, le Conseil national a transmis une motion du Conseil des Etats demandant au Conseil fédéral d'adopter les bases légales nécessaires pour mieux tenir compte de la transformation des produits ou de leur durabilité. Un exemple avait été cité: le jus de pomme contenant des sucres naturels des fruits est classé orange donc moyen, quand le Coca-Cola Zéro, avec des édulcorants, est en vert clair, donc bon, selon le Nutri-Score.

Nestlé y tient encore

Le géant de l'alimentation veveysan Nestlé, qui a introduit ce dispositif en 2019, maintient de son côté le label aux cinq couleurs. "Notre objectif est d'aider les consommateurs à choisir une alimentation équilibrée, en améliorant la valeur nutritionnelle de nos produits et en proposant un étiquetage clair sur nos emballages", a affirmé une porte-parole. L'entreprise se dit ouverte à "un développement" de l'étiquetage. A Tamedia, Nestlé a assuré vouloir "que le Nutri-Score soit encore plus présents dans les rayons".

Selon le pointage à fin mars de l'Office fédéral de la sécurité alimentaire, Nestlé appose notamment ce label sur ses barres chocolatées KitKat et Nuts, ses friandises Smarties mais aussi sur ses eaux en bouteille Perrier, Vittel, San Pellegrino, Aqua Panna et Henniez. Son concurrent français Danone l'utilise sur ses produits laitiers Actimel, Danette ou Gervais.

Les chaînes allemandes Aldi et Lidl utilisent aussi cet étiquetage. En revanche, l'autre géant de la distribution helvétique Coop a seulement procédé à une phase de test. D'après les autorités, le Nutri-Score est affiché seulement sur ses substituts à la viande Délicorn.

Au 31 mars, 97 producteurs et détaillants s'étaient engagés à introduire cet étiquetage en Suisse, soit 229 marques et plus de 9800 produits.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Hockey

Un tournoi pour promouvoir le hockey féminin

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Chaque équipe sera définie par une couleur.

La Victoria Cup aura lieu samedi, à la Vaudoise Aréna, sur la patinoire Cooly. Il s'agira de hockey 5 contre 5, sur toute la glace. Une première pour les filles de cet âge. La compétition rassemblera les 100 meilleures joueuses de Suisse. Elles ont été sélectionnées dans tout le pays après un appel à candidature. Et ça a été un véritable succès, comme l'explique John Fust, directeur sportif du LHC et parrain de la Victoria Cup. 

 

Ce ne sont donc pas des équipes entières qui font le déplacement à Lausanne. Les joueuses ont été mélangées pour constituer 6 équipes. Et samedi, elles n'auront que quelques heures pour rencontrer leurs coéquipières, faire connaissance et se préparer aux matchs. Tout un coaching staff sera mis à leur disposition pour les aider au mieux.

 

18 matchs seront joués au total pendant le tournoi.

"Il n'y a pas d'égalité"

Avec ce tournoi, John Fust espère mettre un coup de projecteur sur le hockey féminin. "Dans l'élite du sport, ces jeunes filles n'ont pas les mêmes clés de développement que les garçons, explique-t-il. On veut aussi montrer ce qu'on peut faire pour les aider."

Si leur niveau le permet, les filles jusqu'à 15 ans peuvent jouer avec les garçons. Après cela, elles sont contraintes de rejoindre des équipes féminines et là, elles n'ont pas accès à la même formation. Et même au sein des équipes mixtes, il y a des disparités. Les filles n'ont par exemple pas accès aux mêmes types d'équipes dans tous les cantons. La Victoria Cup vient en effet pallier un réel manque dans le paysage du hockey féminin suisse.

 

John Fust estime que la situation est assez critique. "On dirait que dans l'infrastructure, dans le développement, dans le coaching, on est très loin derrière les autres pays", déplore le directeur sportif. C'est une question d'argent, d'infrastructure, mais aussi de mentalités à changer. Le nom de la compétition n'a donc pas été choisi au hasard. La déesse Victoria représente en effet la victoire, le pouvoir, comment surmonter les obstacles. 

 

La Victoria Cup aura donc lieu samedi sur la patinoire Cooly de la Vaudoise Aréna. L'entrée est libre. Premier match à 8h.

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Suisse

Albert Rösti préoccupé par la situation des médias

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Le gouvernement examine la nécessité de règles en matière d'intelligence artificielle (IA), spécifiquement pour le secteur des médias, a indiqué vendredi au Swiss Media Forum le conseiller fédéral Albert Rösti. (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Invité du Swiss Media Forum, le conseiller fédéral Albert Rösti s'est montré préoccupé de la situation des médias, qui sont sous pression. Il a assuré que le gouvernement s'employait à créer de bonnes conditions cadres, sachant qu'il n'y a pas de solutions miracles.

Le ministre en charge des médias a cité la baisse de plus de 20% du nombre de titres dans le pays depuis 2009, la réduction de moitié des tirages ces quinze dernières années et les milliards de francs de recettes publicitaires siphonnées par les géants de l'internet comme google ou Facebook.

Il a rappelé le projet du Conseil fédéral d'édicter des règles pour les grandes plateformes, afin de créer plus de transparence et protéger les droits des utilisateurs. Le gouvernement examine aussi la nécessité de règles en matière d'intelligence artificielle (IA), spécifiquement pour le secteur des médias.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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