Suisse
Blanchiment aggravé, ex-gérant de la banque Pictet condamné

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La banque Pictet a été condamnée à 2 millions de francs d'amende pour des défauts dans son organisation, qui ont permis à l'un de ses anciens gérants de fortune de commettre des actes de blanchiment d'argent aggravé. Ce dernier écope de six mois de prison avec sursis.
L'ancien gérant a été condamné par ordonnance pénale, dans le cadre de procédures ouvertes en lien avec l’affaire de corruption internationale connue sous le nom de "Lava Jato", dont l’épicentre se situe au Brésil et impliquant la société pétrolière Petrobras, a annoncé mardi le Ministère public de la Confédération (MPC).
L’instruction a permis d’établir qu’entre juin 2010 et mai 2013, des fonds totalisant plus de 4,1 millions de dollars provenant de paiements corruptifs avaient été transférés depuis le compte d’un agent public brésilien auprès de la banque genevoise Pictet, afin de dissimuler leur origine criminelle.
L'ex-gérant, qui travaillait dans la division Wealth Management, était responsable depuis 2013 du marché brésilien de la banque. Sa peine privative de liberté est assortie du sursis complet avec un délai d’épreuve de deux ans.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
VD: action de "Droit de rester" devant les bureaux d'Isabelle Moret
Le collectif vaudois "Droit de rester" a mené vendredi à la mi-journée une courte action pacifique devant les bureaux à Lausanne de la conseillère d'Etat Isabelle Moret, en charge de l'asile, a constaté Keystone-ATS. Une petite dizaine de personnes ont dénoncé la violence et la fréquence des renvois forcés des migrants, notamment des enfants.
Les membres du collectif critiquent la manière dont la ministre PLR en charge de l'Etablissement vaudois d'accueil des migrants (EVAM) et du Service de la population (SPOP) gère les renvois renforcés décidés par la Confédération. Ils dénoncent un "durcissement de la politique migratoire du canton" et "la mise en place, par idéologie ou pour des basses raisons financières, un véritable système xénophobe", écrivent-ils dans un manifeste publié le même jour.
"Coups, enfants menottés et détentions administratives arbitraires: le niveau extrême de violence qu'exerce le canton causant de graves traumatismes à une population déjà très vulnérable. Il ne s'agit malheureusement que du dramatique aboutissement d'une maltraitance administrative délibérée déployée à tous les niveaux", affirment-ils.
"Droit de rester" exige notamment un moratoire sur l'exécution des renvois jusqu'au traitement de sa pétition par le Grand Conseil vaudois. Il demande aussi par exemple "la mise en place d'un espace sécurisé permettant aux exilés de signaler les violences, notamment sexistes et sexuelles, ainsi que les abus de pouvoir commis par des fonctionnaires de l'EVAM et du SPOP".
Interrogés par Keystone-ATS, les services de Mme Moret n'ont pas souhaité ni réagir ni commenter cette action et les demandes du collectif. "Nous n'avons pas reçu à ce jour de demande formelle d'échanges ou de dialogue", répond le Département de l'économie, de l'innovation, de l'emploi et du patrimoine (DEIEP).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Un label pour mettre en valeur le pain vaudois
L'opération "Boulangeries Vertes" a été déployée dans le canton. Elle vise à encourager la production et la consommation du pain vaudois.
Dans le canton de Vaud, une campagne veut mettre en valeur la production et la consommation locales du pain. Vaud Promotion a lancé l’initiative “Boulangeries Vertes” pour soutenir les boulangeries du canton et valoriser les pains issus des circuits courts, avec le label VAUD CERTIFIÉ D’ICI. Celui-ci doit permettre aux consommateurs d'avoir accès à une large gamme de produits de proximité.
La Maison Buet fait partie des boulangeries vaudoises qui proposent ces pains labellisés. Pains blancs, aux céréales ou encore viennoiseries, le commerce insiste sur la nécessité de favoriser les produits locaux.
Pour obtenir ce label, les boulangeries doivent proposer des produits non-composés qui proviennent à 100% du canton. Pour les produits composés, 80% de leurs ingrédients doivent être issus du canton et 20% de Suisse. Une façon de mettre en avant le savoir-faire des boulangers tout en promouvant l'agriculture vaudoise.
Aujourd’hui, 15 boulangeries vaudoises ont obtenu le label VAUD CERTIFIÉ D’ICI. L'association Vaud Promotion veut élever ce chiffre à 50 d’ici fin 2025 dans le canton.
Suisse
La délégation des finances exige la transparence sur les F-35
Tous les yeux sont braqués sur le F-35. Après la commission de gestion du National, c'est au tour de la Délégation des finances de scanner le programme Air2030. Elle exige de faire la lumière sur le "malentendu" entourant le prix fixe des avions de combat.
Les projets du programme Air2030 sont complexes et interdépendants. Le volume financier engagé est considérable. En conséquence, ces projets comportent des risques substantiels pour les finances fédérales, soulignent vendredi les services du Parlement.
Alors que le Conseil fédéral a déjà engagé des mesures dans ce cadre, la Délégation des finances estime qu'il faut aller plus loin.
Elle demande de faire la lumière sur les circonstances qui ont mené au malentendu sur le prix fixe du nouvel avion de combat, mais aussi pour limiter les surcoûts prévisibles de plusieurs millions de francs pour les autres projets du programme.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Droit de préemption: Lausanne veut revendre sept immeubles
La Ville de Lausanne souhaite revendre les droits de superficie de sept immeubles qu'elle a acquis par voie de préemption. Les acquéreurs sont des coopératives et une société immobilière propriété de la Ville (Bâtir ABC).
La vente de ces immeubles doit rapporter plus de 50 millions de francs, indique vendredi la Ville de Lausanne. La moitié servira à réalimenter le fonds d'acquisition, l'autre moitié sera réservée à l'assainissement énergétique du patrimoine communal.
L'achat via le droit de préemption puis la revente de ces immeubles permet notamment à la Ville de "pérenniser la dimension d'utilité publique des logements, garantir le maintien des locataires en place et assurer l'assainissement énergétique des bâtiments", rappelle-t-elle dans son communiqué.
Pour mener à bien cette opération, la Municipalité demande au Conseil communal l'autorisation de constituer des droits distincts et permanents (DDP) de superficie sur les parcelles concernées et de procéder à la vente des immeubles.
Depuis l'introduction du droit de préemption en 2020, la Ville de Lausanne a exercé son droit à quinze reprises, permettant d'acquérir 327 logements. "C'est ainsi plusieurs centaines de logements qui ont été soustraits à la spéculation financière avec la garantie de conserver les baux existants", affirme-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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