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Économie

La BNS confirme sa lourde perte de 2022

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La BNS a confirmé avoir subi une perte de 132,5 milliards de francs en 2022. La Confédération et les cantons ne recevront pas de contribution. (archives) (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La BNS a confirmé lundi avoir subi une perte de 132,5 milliards de francs en 2022, après un bénéfice de 26,3 milliards un an plus tôt. Les actionnaires devront se passer d'un dividende quand la Confédération et les cantons ne recevront pas de contribution.

Une perte de 131,5 milliards de francs a découlé des positions en monnaies étrangères, selon le communiqué de la Banque nationale suisse (BNS). Les positions en francs ont, elles, accusé une perte de 1 milliard de francs. Le stock d'or a, quant à lui, dégagé un bénéfice de 0,4 milliard de francs. Les charges d'exploitation se sont élevées à 400 millions.

La BNS a fixé à 9,6 milliards de francs le montant à attribuer à la provision pour réserves monétaires au titre de l'exercice 2022. Après prise en compte de la réserve pour distributions futures de 102,5 milliards, la perte portée au bilan s'établit à 39,5 milliards de francs.

"Cette perte rend impossible toute distribution au titre de l'exercice 2022, qu'il s'agisse du versement d'un dividende aux actionnaires ou de la distribution de bénéfice à la Confédération et aux cantons", en vertu des dispositions de la loi sur la Banque nationale et de la convention concernant la distribution du bénéfice de la BNS passée entre le Département fédéral des finances et le gardien de la politique monétaire.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Helsana devra se chercher un nouveau président

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Thomas Szucs aura passé 15 ans à la présidence de Helsana (archives). (© KEYSTONE/STEFFEN SCHMIDT)

Le président du groupe Helsana, Thomas Szucs, quittera ses fonctions à la tête du conseil d'administration l'an prochain. Les actionnaires ont appris la nouvelle lors de l'assemblée générale qui s'est tenue vendredi.

Cette décision intervient un an avant la fin statutaire de son mandat, précise l'assureur zurichois dans un communiqué. Thomas Szucs, qui aura passé 15 ans à la présidence du groupe, continuera d'assumer ses fonctions jusqu'en mai 2025, date de la prochaine assemblée. Sa succession sera annoncée en temps voulu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Assura: primes en baisse et nouvelles pertes en 2023

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Les entrées sont demeurées insuffisantes pour couvrir des charges de prestation (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Assura a encaissé l'an dernier pour 3,6 milliards de francs de primes, dont 3,3 milliards dans l'assurance obligatoire des soins. Les recettes de primes ont ainsi reculé d'une centaine de millions sur un an dans les deux cas.

Les entrées sont demeurées insuffisantes pour couvrir des charges de prestation en progression là aussi d'une centaine de millions, à 2,8 milliards, auxquelles est venu se greffer un débours pour compensation des risques de 737 millions.

L'assureur pulliéran a ainsi accusé une nouvelle perte nette, de 110,7 millions, après un déficit de 143,6 millions en 2022, indique un compte-rendu diffusé vendredi.

La firme vaudoise insiste sur l'amélioration observée dans le domaine des assurances complémentaires, dont le bénéfice a été multiplié par cinq à 62 millions. Les placements ont en outre redressé la barre, avec une performance de +2,6% à comparer avec un rendement négatif de 2,1% en 2022.

La proportion des charges administratives sur le volume de primes est demeurée stable à 5,4%.

L'assemblée générale qui se tenait jeudi a par ailleurs élu Bruno Pfister à la présidence du conseil d'administration, en remplacement de Jean-Luc Chenaux qui ne se représentait pas. Jusqu'ici vice-président, Eric Bernheim, ne briguait pas non plus de nouveau mandat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

"Il faut peu d'inflation pour en voir les effets" (Thomas Jordan)

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Le président de la BNS Thomas Jordan se montre prudent sur le projet d'introduire une version numérique du franc. (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Même une hausse modérée de l'inflation peut rapidement impacter le niveau de vie de la population, en particulier les bas salaires. Cela montre l'importance du mandat de la BNS qui est d'assurer la stabilité des prix, selon son président Thomas Jordan.

"Il faut peu d'inflation pour en voir rapidement les effets négatifs, surtout pour les petits salaires", a déclaré le président du directoire de la Banque nationale suisse (BNS) Thomas Jordan, interrogé vendredi lors du Swiss Media Forum à Lucerne.

Il est donc "énormément important" que la BNS remplisse son mandat, qui est "juste", a ajouté le responsable. Il réagissait à des propos du président de l'Union syndicale suisse (USS) Pierre-Yves Maillard, qui avait affirmé le 1er mai que les chiffres de l'inflation étaient "complètement faux en Suisse", les primes maladies en étant exclues.

Quant à l'absence de versements de bénéfices aux cantons au titre de l'exercice 2022, Thomas Jordan a rappelé que la BNS s'est toujours opposée à l'utilisation de ses réserves. La contribution principale de l'institut au bien-être du pays est la stabilité. "Les versements (aux cantons) ne sont qu'un sous-produit", a souligné Thomas Jordan, ajoutant que cela avait été bien expliqué aux cantons.

Prudence sur le franc numérique

Interrogé sur le projet d'introduire une version numérique du franc, Thomas Jordan a jugé qu'une telle solution pouvait avoir du sens pour le système financier. La BNS se montre en revanche réservée sur une introduction pour l'ensemble du public. Cela changerait le système actuel de manière fondamentale. La BNS n'en voit pas la nécessité, les possibilités numériques actuelles étant suffisantes (Twint, cartes).

Le Biennois n'a enfin pas dévoilé ses projets après son départ de la BNS à fin septembre. "Je ne sais pas ce que je ferai après. Je resterai pleinement engagé jusqu'au bout et déciderai après".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Moins de postes vacants annoncés en 2023 avec le recul du chômage

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Outre l'industrie et la construction, la branche de la restauration a fait l'objet du plus grand nombre d'annonces de postes vacants en 2023 (illustration). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Le nombre de postes vacants annoncés en 2023 a nettement baissé par rapport à l'année précédente. En cause: le recul du chômage en 2022 a entraîné une réduction des genres de professions soumis à l'obligation d'annonce en 2023.

Alors qu'en 2022, 476'597 postes vacants ont été annoncés, ce chiffre était de 287'671 l'an dernier, indique le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) dans son cinquième rapport de monitorage publié vendredi.

Comme les années précédentes, les trois branches qui ont fait l'objet du plus grand nombre d'annonces étaient l'industrie, la construction et la restauration. Les offices régionaux de placement ont procédé à des propositions de placement pour environ la moitié des annonces.

La part de postes soumis à l'obligation d'annonce parmi l'ensemble des postes à pourvoir s'élevait à 8,2% en 2023, contre 19,8% un an auparavant. Ce taux chute à 3,2% en 2024. Le Seco s'attend donc à ce que le nombre d'annonces de postes vacants baisse encore pour cette année.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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