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Économie

CarPostal en bonne voie pour passer aux véhicules électriques

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CarPostal gère l'ensemble de la flotte de la Poste, dont un tiers est déjà équipé d'un moteur électrique (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

La hausse des prix du diesel ne se répercute pas encore sur les tarifs de CarPostal. L'entreprise est couverte pour l'année en cours et la prochaine, mais la question d'une éventuelle hausse des tarifs en 2023 reste ouverte, selon son directeur.

Si le prix du diesel est toujours aussi élevé dans un an, CarPostal devra discuter d'une augmentation des prix, explique Christian Plüss, dans un entretien aux journaux du groupe CH-Media. Les cantons devront alors se demander s'ils veulent prendre en charge les coûts supplémentaires. Les prix de l'énergie jouent un rôle important.

L'entreprise, qui gère l'ensemble de la flotte de la Poste, est en bonne voie pour passer aux véhicules électriques. Un tiers de toute la flotte est déjà équipée d'un moteur électrique. Les tricycles de la Poste sont déjà électrifiés à 100%. Pour la distribution des colis, la Poste veut être prête d'ici 2030 - et même avant dans les grandes villes.

Conversion complexe

La situation est plus complexe pour les cars postaux; l'entreprise n'en est qu'à ses débuts: "Nous voulons encore acquérir le dernier bus diesel avant 2030", déclare M. Plüss. Il s'agit de processus complexes avec les commanditaires, surtout les cantons. CarPostal a sous-estimé la complexité de convertir tout un système.

Les coûts d'acquisition des bus électriques sont presque deux fois plus élevés que ceux des véhicules diesel. Les coûts d'exploitation sont toutefois plus bas. Au final, les bus électriques reviennent encore un peu plus chers, mais dans quelques années, les prix seront comparables. La seule incertitude est l'évolution des prix du diesel et de l'électricité.

Après la levée des mesures de lutte contre le coronavirus, CarPostal a rattrapé son retard en matière de passagers. En mars 2022, le recul n'était plus que de 5% par rapport à 2019, selon le directeur.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

La BNS abaisse son taux directeur à 0%

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La Banque nationale suisse (BNS) est revenue à un taux directeur nul (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

La Banque nationale suisse (BNS) abaisse derechef et sans surprise de 25 points de base son taux directeur jeudi pour le ramener à 0,00%, à l'issue de son examen trimestriel de la situation économique et monétaire du pays.

Il s'agit de la sixième baisse consécutive. L'institut d'émission reste disposé à intervenir au besoin sur le marché des changes.

L'abaissement du taux directeur vise à redynamiser quelque peu l'essoufflement de la pression inflationniste, passée au mois de mai en territoire négatif, de -0,1%. La fourchette de renchérissement établie pour qualifier la stabilité des prix s'étend entre 0,0% et 2,0%.

Les banquiers fédéraux remanient au passage leur prévision d'inflation conditionnelle pour l'ensemble de l'année en cours, à 0,2% contre 0,4% au dernier pointage. Les estimations à plus long terme restent valables, à 0,5% pour 2026 et 0,7% pour 2027. Ces projections reposent sur l'hypothèse d'un taux directeur nul sur l'ensemble de la période couverte.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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La BNS abaisse son taux directeur à 0%

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La Banque nationale suisse (BNS) a opté jeudi pour un abaissement de son taux directeur de 25 points de base pour faire passer celui-ci à 0,00%. Les économistes misaient dans l'ensemble sur un taux nul.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats

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Économie

Les exportations suisses encore plombées par les taxes douanières

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Les produits chimiques et pharmaceutiques ont affiché en mai une baisse des envois à l'étranger de 18,5% à 11,07 milliards de francs (archives). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le commerce extérieur de la Suisse continue de subir de plein fouet les effets des droits de douane décrétés par Washington sur les marchandises helvétiques. Les exportations ont une nouvelle fois lourdement chuté en mai, en particulier dans la chimie et la pharma.

Malgré l'évolution contrastée des importations et des exportations, la balance commerciale a bouclé le mois sous revue sur excédent de 1,98 milliard de francs, un montant toutefois en net repli au regard des 5,43 milliards affichés en avril et au plus bas depuis décembre 2023, ressort-il des chiffres dévoilés jeudi par l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF). Les exportations ont chuté de 13,6% en termes nominaux (-10,2% en termes réels) au regard du mois précédent à 21 milliards, alors que les importations ont progressé de 0,8% (+0,5%) à 19,02 milliards.

En avril, les livraisons vers l'étranger avaient déjà plongé de 9,2%. Le repli observé en mai a touché une large palette de produits, neuf groupes de marchandises sur onze subissant des reculs. A l'image du mois d'avril, les produits chimiques et pharmaceutiques ont représenté le principal instigateur de la baisse.

Après un 1er trimestre dynamique, leurs envois ont dégringolé de près de deux cinquièmes (-18,5%) à 11,07 milliards. Les exportations de l'industrie horlogère ont aussi essuyé un lourd revers (-21,1%) à 2 milliards, tout comme celles du secteur des instruments de précision (-10,5%) à 1,35 milliard.

Deuxième branche exportatrice de la Suisse derrière la pharmacie et chimie, l'industrie des machines et de l'électronique a quant à elle vu ses envois continuer de stagner à 2,69 milliards de francs. Ceux de la bijouterie et de la joaillerie ont en revanche décollé de 16,9% à 1,14 milliard.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

UBS demeure vulnérable, malgré des fonds propres suffisants

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La BNS soutient les mesures proposées par le Conseil fédéral dans le cadre de la réglementation too big to fail, qui touche UBS (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Plus de deux ans après la reprise en urgence de Credit Suisse, UBS remplit les exigences en matière de fonds propres pour les banques systémiques, mais demeure cependant vulnérable à d'éventuelles dépréciations sur ses participations, avertit jeudi la BNS.

Dans le cadre réglementaire actuel, les ratios de fonds propres de la maison mère UBS surévaluent la résilience réelle de cette dernière, met en garde la Banque nationale suisse (BNS) dans son rapport de stabilité financière.

Il s'agit d'une lacune, affirme l'institut d'émission, qu'il est "important de combler" en mettant en oeuvre les mesures supplémentaires présentées la semaine dernière par le Conseil fédéral.

Le potentiel de pertes d'UBS demeure "substantiel" d'après les différents scénarios de crise échafaudés par la BNS.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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