Rejoignez-nous

Suisse

Christian Levrat candidat au Conseil d'Etat

Publié

,

le

Le conseiller aux Etats socialiste Christian Levrat a annoncé lundi être candidat au Conseil d'Etat fribourgeois lors des élections en 2021. Le Fribourgeois siège depuis maintenant 17 ans sous la Coupole fédérale. (Image d'archive - ©KEYSTONE/Marcel Bieri)

Christian Levrat se porte candidat aux élections pour le Conseil d'Etat fribourgeois en 2021. L'actuel conseiller aux Etats socialiste explique qu'il souhaite se mettre une "nouvelle fois, dans un nouveau rôle, au service des Fribourgeoises et des Fribourgeois".

"J'ai informé la direction de mon parti que j'étais à disposition pour les prochaines élections au Conseil d'Etat", écrit Christian Levrat dans une lettre publiée par le Parti socialiste fribourgeois (PSF) lundi. Le socialiste siège depuis 17 ans sous la Coupole fédérale, d'abord au Conseil national puis au Conseil des Etats.

L'élu fribourgeois, qui va prochainement quitter la présidence du Parti socialiste suisse (PSS), estime que c'est le moment de tracer une route pour le futur. Cet amoureux de la politique relève qu'il a acquis à Berne une expérience et des réseaux qu'il peut mettre au service de son canton, avec d'autres.

Le quinquagénaire espère ainsi donner plus de poids au canton de Fribourg. "J'espère que nous parviendrons à présenter une liste qui puisse incarner une gauche plurielle, respectueuse des équilibres politiques, régionaux et de genre", a ajouté le conseiller aux Etats dans sa missive datée du 21 septembre.

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Suisse Romande

VS: Bénévoles à l'oeuvre pour la finale de la race d'Hérens

Publié

le

Le dimanche 12 mai, jour de la fête des mères, quelque 150 vaches devraient se mesurer à Aproz, en Valais, pour obtenir le titre de reine nationale 2024 (archives). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Les vaches croiseront les cornes à Aproz (VS) les 11 et 12 mai à l'occasion de la finale nationale de la race d'Hérens 2024. L'événement est organisé cette année par cinq syndicats d'éleveurs du Val d'Anniviers et des centaines de bénévoles.

Le dimanche 12 mai, jour de la fête des mères, quelque 150 vaches devraient se mesurer dans l'arène, indique mardi en conférence de presse le comité d'organisation. Celui-ci ne souhaite pas encore articuler de chiffre final pour les deux jours, des inscriptions leur parvenant encore régulièrement.

La reine nationale de l'an passé, Mélodie, propriété de la famille Bängi et Joey Kalbermatter de Saint Nicolas, sera toutefois de la partie pour remettra son titre en jeu. D'autres bêtes primées dans d'autres catégories en 2023 seront également présentes. Et une dizaine de vaches en provenance de l'extérieur du canton sont attendues.

"Au taquet"

"Nous sommes au taquet pour débuter dès cette fin de semaine la construction des infrastructures sur le site de Pra Bardy à Aproz", poursuit Jean-Michel Melly, président du comité d'organisation. Loué à l'armée et vierge de tout équipement, le site doit être doté d'une arène, de gradins, de cantines, d'installations électriques ou encore de toilettes, pour un montant d'environ 250'000 francs.

Sans compter les "quelque six mille heures" investies par les nombreux bénévoles, glisse Jean-Michel Melly qui ne cache pas l'importance du travail qu'ils devront effectuer. "Il serait temps de trouver un lieu pérenne", ajoute-t-il. Un constat que partage Race d'Hérens Tour qui centralise l'organisation (des combats qualificatifs et de la grande finale) depuis trois ans.

"Le Val d'Aoste a réussi à construire une magnifique arène, le Valais devrait aussi pouvoir le faire", estime Mélanie Montani-Rey de Race d'Hérens Tour. Pour l'heure, aucun projet n'est toutefois abouti, et aucun délai ne peut être articulé, regrette celle qui souligne que "chaque année, c'est de plus en plus dur de trouver des syndicats organisateurs" au vu de la tâche à réaliser.

Levier de promotion

Chaque année, Race d'Hérens Tour organise en moyenne 8 combats qualificatifs et une grande finale, attirant un total de 40'000 personnes, dont pour la finale nationale plus de 50% qui viennent hors canton. "Au vu du cet engouement, la race d'Hérens a un rôle de levier conséquent pour promouvoir l'agritourisme en Valais", complète Mélanie Montani-Rey.

Et tous les organisateurs d'appeler, en ce sens, les pouvoirs publics à soutenir davantage les événements qui y sont liés que ce soit par la création d'une arène ou par des aides financières.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Suisse

Initiatives populaires sur la santé: un danger, dit un comité

Publié

le

Un comité de droite a plaidé mardi contre les initiatives du PS et du Centre sur la santé. Les textes sont de "mauvais remèdes", selon les opposants. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les initiatives du PS et du Centre sur la santé répondent à des préoccupations réelles. Mais elles proposent de mauvais remèdes, a affirmé mardi un comité de droite en vue de la votation du 9 juin.

Des membres de l'UDC, du PLR et du PVL ont dénoncé face à la presse des expérimentations "dangereuses", avec des effets secondaires pour les patients et la classe moyenne.

L'initiative du Centre vise à maîtriser la croissance des coûts de la santé via un mécanisme de frein aux coûts. "Ce sont les bureaucrates qui décideront des traitements. Ceux qui ne peuvent se permettre de souscrire une assurance complémentaire privée devront attendre en cas de maladie", assure le camp bourgeois.

L'initiative du PS sur les primes demande elle que les primes maladie ne dépassent pas 10% du revenu. La droite dénonce un projet purement redistributif qui coûtera 12 milliards de francs par an dès 2030. La classe moyenne et les PME passeront à la caisse, avec une hausse d'impôts inévitable.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Économie

PIB: modérée en 2024, la croissance pourrait s'accélérer en 2025

Publié

le

Les entreprises vaudoises ont continué de créer des emplois à un rythme soutenu en 2023. Un bon signe pour l'économie du canton (photo symbolique). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Les nouvelles sont plutôt "assez bonnes" pour l'économie vaudoise, son produit intérieur brut (PIB) et sa croissance. Encore modérée en 2024, cette dernière pourrait s'accélérer en 2025. Surtout, les entreprises continuent de créer des emplois à un rythme soutenu.

"Dans une conjoncture mondiale morose, l'économie vaudoise continue de se montrer robuste", ont affirmé mardi de concert à Lausanne les partenaires de Conjoncture vaudoise, la Banque cantonale vaudoise (BCV), la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie (CVCI) et l'Etat de Vaud représenté par le Service de la promotion de l'économie et de l'innovation (SPEI) et Statistique Vaud.

Le PIB du canton s'était inscrit à 1,2% en 2023, soit en dessous de la moyenne des dix dernières années (1,9%). En l'absence d'un rebond de l'économie mondiale, la croissance restera modérée cette année, avec une hausse du PIB attendue à 1,1%, selon les dernières prévisions publiées par la Commission Conjoncture vaudoise.

"En revanche, elle pourrait accélérer à 1,8% l'an prochain avec le rééquilibrage attendu de la conjoncture mondiale. Les facteurs de risque restent toutefois nombreux, avec notamment une situation géopolitique tendue", indique-t-elle.

L'atout vaudois

"C'est une croissance molle attendue pour 2024 avec une amélioration prévue pour 2025. La situation actuelle est globalement assez bonne. Pas excellente ni très bonne, mais pas du tout mauvaise non plus. Le taux de chômage est bas et la création d'emplois est très positive", a résumé Jean-Pascal Baechler, conseiller économique à la BCV.

Au dernier trimestre 2023, la création d'emplois a grimpé de 2,4% pour Vaud contre 1,7% pour la Suisse.

La formule magique qui sourit au canton de Vaud est toujours la même: une robustesse de l'économie domestique qui s'explique par la diversité et l'hétérogénéité des entreprises sur sol vaudois, dont le tissu économique s'est adapté, dynamisé et constamment régénéré depuis la crise des années 90. A cela s'ajoute une dynamique démographique positive avec toujours plus de consommateurs qui consomment.

Concrètement, il y a à la fois des petites PME et des multinationales, beaucoup d'innovation, des secteurs très variés allant des nouvelles technologies, et notamment le "med-tech", à l'industrie agro-alimentaire en passant par la chimie-pharmaceutique ou encore l'horlogerie. "Ce qui permet au canton de Vaud d'être moins euro-dépendant que la Suisse par exemple", a expliqué Claudio Bologna, chef de projet à Statistique Vaud.

Exportations en baisse

Autre constat à mettre en évidence: une baisse de 5,1% des exportations vaudoises en 2023. "Elle est liée à la forte inflation et donc une baisse de la demande extérieure, notamment dans la zone euro", a fait remarquer M. Bologna.

Au niveau des branches, la chimie-pharma devrait afficher une forte croissance (plus de 2%) cette année et l'an prochain. Dans le commerce, une forte croissance en 2024 pourrait laisser la place à une croissance modérée (de 0,5% à 2%) en 2025.

Les services aux entreprises et les activités immobilières pourraient connaître une stagnation (évolution entre -0,5% et +0,5%) cette année, puis une croissance forte l'an prochain. Egalement attendus en stagnation en 2024, les services publics et parapublics ainsi que les services financiers pourraient afficher une croissance modérée en 2025.

Dans l’hôtellerie-restauration, après une croissance modérée cette année, une stagnation est possible l'an prochain. L'industrie des machines et l'horlogerie pourraient connaître un repli modéré (entre -0,5% et -2%) en 2024 et en 2025.

Dans les transports et les communications, ainsi que dans la construction, un fort repli de l'activité (au-delà de -2%) cette année pourrait être suivi par un repli modéré l'an prochain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Économie

Pression sur les finances publiques ces prochaines décennies

Publié

le

Selon la ministre des finances Karin Keller-Sutter, il est indispensable de voir bien au-delà de la législature pour disposer d'une politique budgétaire durable (archives). (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Le vieillissement de la population et le changement climatique sont les principaux défis des prochaines décennies en matière de politique budgétaire. La pression sur les comptes des administrations publiques augmentera jusqu'en 2060, selon des projections de l'AFF.

Actuellement, les défis budgétaires à relever sont déjà considérables, en particulier au niveau fédéral. A l'avenir, les administrations publiques vont devoir assumer des charges supplémentaires du fait de l'évolution démographique, indique mardi l'Administration fédérale des finances (AFF) dans un rapport.

Les projections montrent que les dépenses sensibles à l’évolution démographique passeront de 17,2 à 19,8% du PIB en 2060. Sans réformes, les dettes des administrations publiques s'élèveraient ainsi à 48% du PIB en 2060, contre 27% actuellement.

La protection du climat va également grever les finances publiques. En 2060, le taux d'endettement des administrations publiques serait supérieur de 8 à 11 points de pourcentage à ce qu'il serait sans mesures de protection du climat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Gémeaux

Actuellement, vous vous montrez peu préoccupé par les opinions des autres, rien ne semble entraver votre volonté de transformer ce qui doit l’être.

Les Sujets à la Une

X