Suisse
Davantage de mineurs jugés en 2021, moins à cause des drogues
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Les jugements de mineurs pour une infraction au Code pénal ont augmenté l'an dernier. Les infractions à la loi sur la circulation routière sont également à la hausse. En revanche, les jugements pour consommation de stupéfiants ont nettement diminué.
Au total, 20'902 jugements ont été prononcés l'an dernier en application du droit pénal des mineurs, indique mardi l'Office fédéral de la statistique (OFS) dans un communiqué. Cela représente une hausse de 7,5% par rapport à 2020.
L'an dernier, 8579 mineurs ont été jugés pour une infraction au Code pénal, soit une hausse de 6,4% sur un an. La tendance est à la hausse depuis 2018, relève l'OFS. Depuis cette date, les jugements en la matière n'ont pas cessé d'augmenter, même si le nombre de condamnations n'a plus jamais atteint le pic de 2010.
Hausse des violences
La tendance est la même pour les seules infractions de violence, avec une hausse de 37,2% des jugements prononcés entre 2018 et 2021 (+2,4% par rapport à 2020). Augmentent également les infractions contre le patrimoine (+23,1% depuis 2018), ainsi que celles contre les autorités publiques (+66,5%).
Les infractions contre l'intégrité sexuelle ont doublé en trois ans, passant de 419 en 2018 à 837 l'an dernier. Les faux dans les certificats (-47,7%) représentent l'une des rares catégories à afficher une tendance à la baisse ces trois dernières années.
Avec 4458 jugements l'an dernier, les infractions à la loi sur la circulation routière sont en hausse de 15,4%. Les cas simples ont augmenté de 27,7%, alors que les violations graves ont bondi de 51,1%. Il s'agit majoritairement d'excès de vitesse.
A l'inverse, le nombre de jugements en rapport avec la loi sur les stupéfiants a chuté de 22,6% en 2021, pour passer à 3541. Une baisse graduelle (-39,2%) est observée depuis 2017, remarque l'OFS, principalement due au recul des jugements pour consommation.
Par ailleurs, 8726 jugements ont été prononcés pour différentes lois fédérales annexes. La plupart concernent la loi sur les armes, la loi sur les étrangers et la loi sur le transport de voyageurs. Cette dernière, en hausse de 30% sur un an, totalise 51% des cas. Il s'agit dans la plupart des cas de voyages sans titre de transport valable.
Une majorité de réprimandes
Parmi les jugements prononcés, 7332 contiennent des réprimandes, soit 35% du total. La prestation personnelle (devoir participer à un cours ou effectuer un travail d'intérêt général) est la sanction prononcée dans 30,8% des cas.
Les amendes et les privations de liberté, qui ne peuvent être infligées qu'à partir de 15 ans, ont été prononcées dans respectivement 27,5% et 4,4% des cas. Le reste des jugements concerne les mesures seules et les exemptions de peine (2,3%).
Au cours de l'année 2021, 1038 mineurs ont été placés hors de leur famille. La durée moyenne d'un tel placement a été de 162 jours. Avec 225 jours, les placements ouverts après jugement représentent la durée moyenne la plus longue.
Par ailleurs, 402 jeunes ont été touchés par une ou plusieurs mesures de protection ordonnées à titre provisionnel. Parmi eux, 109 ont été placés en observation stationnaire, 270 en placement ouvert et 132 en placement fermé.
Parmi les 271 mineurs concernés par des mesures prononcées à l'issue d'un jugement, 221 ont été placés en institutions ouvertes, 58 en institution fermée et 32 en placement pour des motifs disciplinaires. Au total, 248 délinquants juvéniles ont accompli une peine privative de liberté.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les commissions prélevées par Visa revues à la baisse
Après Mastercard, c'est au tour de Visa de réduire le montant des commissions. Suite à un accord avec la Comco, le taux moyen sera au maximum de 0,15% pour les paiements effectués avec des cartes de débit suisses dans un point de vente physique en Suisse.
Lors d'un paiement par carte dans un commerce, des frais de commission sont prélevés par l'émetteur de carte de débit, variable selon la catégorie de commerçants. Désormais, le taux de base maximal de 0,2% ou le taux réduit de 0,12% pour les biens de consommation courante, plafonné à 36 centimes pour les montants supérieurs à 300 francs, s'applique, écrit la Commission de la concurrence (Comco). Cette dernière précise que la règle est valable également pour les paiements effectués avec une carte enregistrée sur un appareil mobile tel qu'un smartphone ou une smartwatch.
Pour les paiements en ligne nationaux effectués par carte de débit, le taux actuellement autorisé passera de 0,31% à 0,25% à compter du 1er novembre 2025.
Paiements transfrontaliers également
La Comco a également obtenu "pour la première fois dans sa pratique", une réduction des commissions d'interchange transfrontalières tant pour les cartes de débit que pour les cartes de crédit. Lorsqu'une carte Visa émise au sein de l'Espace Économique Européen (EEE) est utilisée chez un commerçant suisse, la commission interbancaire baissera à 0,2% pour les cartes de débit, contre 1% actuellement et à 0,44% pour les cartes de crédit, contre 1,15% jusqu'ici.
Pour le commerce suisse, la Comco estime que cela représente une économie de plus de 10 millions de francs par an.
Il y a environ un an, une solution similaire avait été conclue avec Mastercard, le taux moyen de commission étant depuis plafonné à 0,12%. Le taux de 0,15% convenu avec Visa est supérieur, mais contrairement à l'accord conclu avec son concurrent, il s'applique également aux paiements effectués à l'aide d'appareils mobiles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Vaud
Rances (VD): suspension d'une municipale réclamée
La Municipalité et le Conseil de général du village de Rances demandent au Conseil d'Etat vaudois de suspendre la municipale Catherine Gysler. Divers dysfonctionnements lui sont reprochés.
Le Conseil d'Etat a été sollicité en juin et la procédure est en cours, indique le syndic de Rances Rémy Cand, confirmant à Keystone-ATS une information du journal local "L'Omnibus", développée jeudi par 24 heures.
Le syndic du petit village du Nord vaudois (530 habitants) évoque plusieurs "problèmes" avec l'élue, notamment des prises de décision "non concertées" et un comportement "inadéquat". Sa récente condamnation en justice, en lien avec le centre animalier qu'elle gère, a aussi pesé dans la décision.
La suspension de la municipale a aussi été réclamée par le Conseil général, dont la commission de gestion déplore certaines dépenses "extrabudgétaires" que l'élue semble avoir décidées "de manière unilatérale".
Disponible sur le site internet de la commune, le rapport de la commission de gestion parle d'une "perte de confiance totale" et appelle l'intéressée à "démissionner volontairement afin de mettre un terme à une situation qui ne profite à personne et qui ne fait rayonner notre village que par ses tribulations politiques".
Dicastères retirés
A noter que Mme Gysler s'est déjà fait retirer ses dicastères par ses quatre collègues de la Municipalité. Elle continue toutefois d'assister aux séances municipales, comme auditrice, précise 24 heures.
Interrogée par le quotidien vaudois, l'élue mise en cause répond qu'elle ne souhaite pas commenter ce dossier "tant que la procédure est en cours et qu'aucune décision formelle du Conseil d'Etat n'a été rendue."
Catherine Gysler avait été élue tacitement lors d'une complémentaire en 2023, faute de candidats, rappelle encore 24 heures.
Rances n'est pas la première commune vaudoise à se retrouver dans une telle situation. Dernièrement à Prilly, la Municipalité a aussi demandé, puis obtenu du Conseil d'Etat, la suspension d'un membre de l'exécutif. Ces dernières années, des suspensions de municipaux à Nyon ou Vevey avaient aussi défrayé la chronique.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Kühne+Nagel essuie un repli du bénéfice net au deuxième partiel
Le logisticien Kühne+Nagel a essuyé un repli de 15% du bénéfice net au deuxième trimestre, à 252 millions de francs. Ajusté des effets de change, la baisse n'est plus que de 10%, indique jeudi le groupe schwytzois.
Entre avril et juin, le chiffre d'affaires a pourtant progressé, augmentant de 2% à 6,15 milliards de francs. A taux de change constant (tcc), la progression atteint même 8%, précise l'entreprise dans un communiqué. Les volumes se sont inscrits en hausse, en particulier dans le fret aérien.
Au niveau de la rentabilité opérationnelle, le résultat d'exploitation (Ebitda) a diminué de 7%, ou de 1% ajusté des effets de change, à 566 millions, tandis que l'Ebit a perdu 15% (-9% tcc) à 342 millions.
A l'exception de l'Ebit, les résultats manquent quelque peu le coche des prévisions moyennes des analystes consultés par AWP.
Fort de cette performance, le groupe confirme ses prévisions de bénéfice pour l'ensemble de l'année, mais abaisse celles pour l'Ebit en raison des effets de change. En effet, l'Ebit récurrent est désormais attendu entre 1,45 et 1,65 milliard, après une fourchette entre 1,50 et 1,75 milliard de francs. En 2024, il avait atteint 1,67 milliard.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Calida impacté par la politique commerciale américaine sur six mois
Au premier semestre 2025, le fabricant de lingerie Calida a vu ses ventes et sa rentabilité reculer. L'incertitude créée par la politique commerciale américaine a pesé sur les trois marques de l'entreprise lucernoise.
Sur les six premiers de l'année, le chiffre d'affaires de Calida, corrigé des effets de change, s'est inscrit à 101,7 millions de francs, en recul sur un an de 7,1%, indique jeudi dans un communiqué l'entreprise de Sursee. De fortes incertitudes sur les marchés et un climat de consommation morose expliquent ce résultat.
Le résultat d'exploitation (Ebit) ajusté a diminué de 1,3% pour glisser dans le rouge, à -1,3 million de francs. Le bénéfice net s'est fixé à 1,5 million, ce qui représente une progression de 0,3%.
Toutes les marques du groupe, à savoir Calida, Aubade et Cosabella, ont été à la peine, avec des ventes en recul.
Les résultats présentés ratent le coche du consensus établi par les analystes consultés par l'agence AWP. Ces derniers tablaient sur un chiffre d'affaires de 108,8 millions de francs et un Ebit ajusté de 2,1 millions. Seul le bénéfice net, estimé à 1,5 million, est conforme aux attentes.
Malgré un marché difficile, la direction table sur un résultat d'exploitation solide pour l'ensemble de 2025, au même niveau que l'année précédente, et une accélération de la croissance.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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