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Suisse

Fenaco a moissonné à tout va en 2021

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La coopérative agricole Fenaco, qui détient notamment les supermarchés Volg, a enregistré une solide croissance l'année dernière malgré des chaînes d'approvisionnement perturbées. (archives) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La coopérative agricole Fenaco affiche sur l'exercice 2021 une croissance de 5,7% pour un chiffre d'affaires de 7,38 milliards de francs.

L'évolution a été portée par chacune des quatre unités d'entreprise: Agro, Industrie alimentaire, Commerce de détail et Energie, souligne le rapport d'activité publié mardi.

Hors effets d'acquisition et de changes, la croissance organique a atteint 2,5%. La flambée des prix des combustibles et carburants fossiles a alimenté un effet tarifaire devisé à 3,0%. Les rachats ont marginalement contribué à hauteur de 0,2%.

La rentabilité opérationnelle a progressé dans une mesure moindre que les revenus, l'excédent d'exploitation avant charges d'intérêt et impôts (Ebit) s'étant enrobé de 1,6% à 169,0 millions. Le bénéfice net s'est même étiolé de 5% à 128,0 millions, sous l'effet de l'amoindrissement des gains non récurrents.

Chaînes logistiques perturbées

Les magasins Landi et les agriculteurs affiliés ont perçu un intéressement de 33,0 millions, en petite hausse sur un an. La coopérative bernoise se félicite en outre de la création de 307 emplois en cours d'exercice, portant les effectifs à 11'300 collaborateurs.

Nonobstant de nombreux défis à relever, Fenaco escompte franchir à nouveau la barre des sept milliards de francs de recettes sur l'exercice en cours. La rentabilité par contre risque de reculer sensiblement. Les récoltes médiocres de l'an dernier ont pénalisé les réserves de céréales, légumes, fruits et patates, tandis que le commerce de détail s'achemine vers une normalisation après une période faste pendant la pandémie.

Les chaînes d'approvisionnement restent perturbées et l'offensive russe contre l'Ukraine génère des incertitudes additionnelles, en plus de contribuer à l'inflation des prix de l'énergie et des matières premières.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Culture

La jazzwoman Sylvie Courvoisier, Grand Prix suisse de musique 2025

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La musicienne et compositrice romande Sylvie Courvoisier "est une voix déterminante du jazz depuis des décennies, réputée pour son jeu transcendant", salue l'OFC (archives). (© Véronique Hoegger)

La pianiste de jazz lausannoise Sylvie Courvoisier reçoit le Grand Prix suisse de musique 2025, doté de 100'000 francs. Sept autres musiciens sont récompensés, dont la harpiste genevoise Julie Campiche.

Sylvie Courvoisier, 57 ans, "est une voix déterminante du jazz depuis des décennies, réputée pour son jeu transcendant", indique jeudi l'Office fédéral de la culture (OFC) dans un communiqué. Cette année, elle a publié plusieurs albums et est en tournée aux Etats-Unis et en Europe.

Originaire de Lausanne, "la musicienne avec un pouvoir de connexion sans limites" vit à New York dans le quartier de Brooklyn depuis 1998.

Parmi les sept lauréats des Prix suisses de musique, dotés de 40'000 francs chacun, figurent la harpiste genevoise Julie Campiche, le violoncelliste et compositeur bernois Thomas Demenga, le chef d'orchestre zurichois Titus Engel, le compositeur bâlois Jannik Giger, la musicienne expérimentale zurichoise, compositrice et plasticienne Charlotte Hug Raschèr et le musicien, aussi de Zurich, Stereo Luchs.

Le Tessin n'a pas été oublié avec Vox Blenii et Vent Negru, les voix du patrimoine musical tessinois.

Trois acteurs culturels reçoivent des prix spéciaux pour la musique, dont l'"Insub Meta Orchestra", un orchestre expérimental genevois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

La jazzwoman Sylvie Courvoisier, Grand Prix suisse de musique 2025

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La musicienne et compositrice romande Sylvie Courvoisier "est une voix déterminante du jazz depuis des décennies, réputée pour son jeu transcendant", salue l'OFC (archives). (© Véronique Hoegger)

La pianiste de jazz lausannoise Sylvie Courvoisier reçoit le Grand Prix suisse de musique 2025, doté de 100'000 francs. Sept autres musiciens sont récompensés, dont la harpiste genevoise Julie Campiche.

Sylvie Courvoisier, 57 ans, "est une voix déterminante du jazz depuis des décennies, réputée pour son jeu transcendant", indique jeudi l'Office fédéral de la culture (OFC) dans un communiqué. Cette année, elle a publié plusieurs albums et est en tournée aux Etats-Unis et en Europe.

Originaire de Lausanne, "la musicienne avec un pouvoir de connexion sans limites" vit à New York dans le quartier de Brooklyn depuis 1998.

Parmi les sept lauréats des Prix suisses de musique, dotés de 40'000 francs chacun, figurent la harpiste genevoise Julie Campiche, le violoncelliste et compositeur bernois Thomas Demenga, le chef d'orchestre zurichois Titus Engel, le compositeur bâlois Jannik Giger, la musicienne expérimentale zurichoise, compositrice et plasticienne Charlotte Hug Raschèr et le musicien, aussi de Zurich, Stereo Luchs.

Le Tessin n'a pas été oublié avec Vox Blenii et Vent Negru, les voix du patrimoine musical tessinois.

Trois acteurs culturels reçoivent des prix spéciaux pour la musique, dont l'"Insub Meta Orchestra", un orchestre expérimental genevois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Droit de recours des organisations: les sénateurs ne lâchent rien

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Le Conseil des Etats tient à exclure tout recours des organisations environnementales pour les seize grands projets de centrales hydroélectriques que le peuple a légitimés dans les urnes l'été dernier (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le projet gouvernemental visant à simplifier et accélérer les procédures d'autorisation pour les énergies renouvelables est dans l'impasse. Jeudi, le Conseil des Etats n'a pas lâché de lest concernant le droit de recours des organisations environnementales.

Dans son projet, le Conseil fédéral prévoit notamment que les possibilités d'opposition soient limitées. Le Conseil des Etats s'est montré plus dur, excluant tout recours des organisations environnementales pour les seize grands projets de centrales hydroélectriques que le peuple a validés dans les urnes l'été dernier.

La Chambre du peuple a ensuite proposé un compromis: les recours ne doivent être possibles que s'ils sont déposés conjointement par trois organisations. Par 25 voix contre 18, la Chambre des cantons a maintenu sa position.

D'autres divergences subsistent encore, concernant les mesures de remplacement et de compensation ou la rétribution versée par le gestionnaire de réseau pour la reprise d'électricité issue d'énergies renouvelables.

Le dossier repart au National.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Le National devrait avaliser le budget pour l'armée sans surprise

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Martin Pfister a défendu pour la première fois le budget de l'armée. (© KEYSTONE/TIL BUERGY)

Le budget de l'armée devrait être approuvé par le Conseil national jeudi. Après un âpre débat, les conseillers nationaux sont entrés en matière par 166 voix contre 23. La gauche a vainement tenté de faire échouer le dossier.

Le Conseil fédéral demande des crédits d'engagement de 1,69 milliard de francs pour 2025, dont 1,5 milliard pour le programme d'armement, notamment pour des nouveaux blindés. Ces dépenses se fondent sur l'objectif du Parlement d'allouer à l'armée 1% du PIB d'ici 2032.

"Il y a urgence à investir dans l'armement en raison de la situation géopolitique et des délais d'achat", a expliqué Jacques Nicolet (UDC/) au nom de la commission des finances. "L’objectif est d’augmenter notre capacité à durer", a avancé Jacqueline de Quattro (PLR/GE) pour la commission de la politique de sécurité.

Le nouveau chef du Département fédéral de la défense, Martin Pfister, a rappelé que, même si le risque d'une attaque traditionnelle directe sur la Suisse est faible, l'armée doit avoir les capacités de défendre le pays. Mais la phase d'achat est longue. Il faut donc renforcer la capacité de défense rapidement.

Pas de guerre en Suisse

La gauche est clairement opposée aux crédits. "La guerre contre Poutine a lieu sur le sol ukrainien, et pas en Suisse. La probabilité que des chars russes se retrouvent au bord du Rhin est faible. Mais il existe d'autres menaces réelles", a argumenté Balthasar Glättli (Vert-e-s/ZH).

Et de mentionner les cyberattaques, la radicalisation, l'abus des médias sociaux et la déstabilisation de notre démocratie. Pour se défendre contre les cyberattaques, il faut une cyberdéfense, a ajouté Fabian Molina (PS/ZH). Il faut une meilleure protection de la population contre les dangers naturels, une meilleure coopération internationale et un service de renseignement fort.

Et d'appeler à renforcer la coopération internationale et une politique active pour la paix. "C'est la meilleure défense", a argué M. Molina.

Clarence Chollet (Vert-e-s/NE) a critiqué une "liste au Père Noël" sans vision d'ensemble et déconnectée de la réalité. Sarah Wyss (PS/BS) a également rappelé que l'armée n'arrive déjà pas à régler ses problèmes. Des centaines de millions de francs ont été engloutis dans des projets informatiques qui sont bloqués, les drones ne sont toujours pas livrés. Et il manque encore un contre-financement pour l'augmentation du budget de l'armée.

Trop timide

Pour l'UDC, le programme du Conseil fédéral est encore trop timide. "C'est le strict minimum", a argué Jean-Luc Addor (UDC/VS). Et de mentionner notamment la modernisation des chars Leopard. "Les moyens sont insuffisants pour garantir l'équipement des troupes". Le PLR a aussi rappelé que la situation avait "dramatiquement changé".

Les deux partis soutiennent également le milliard supplémentaire pour l'achat de munitions. "Cela n'a aucun sens d'acquérir des systèmes de défense sol-air ou d'artillerie sans les munitions", a estimé M. Addor.

Fin des Tigers?

Le National devrait aussi accepter de mettre au rebut les F-5 Tiger. Ces avions sont trop chers à maintenir, a expliqué la rapporteuse de commission. Par ailleurs, ils ne contribuent guère au renforcement de notre capacité de défense.

Pour l'UDC, c'est un mauvais moment pour réduire les capacités de l'armée. Si les Tiger sont mis hors service, la Suisse aura une lacune de sécurité dès 2030, a avancé Markus Schnyder (UDC/GL). "Il n'y aura plus de jets de combat dans le ciel."

Pour Heinz Theiler (PLR/SZ), cette mise hors service fait mal. Mais elle permet d'investir 44 millions de francs par année dans d'autres domaines de l'armée.

Le débat se poursuit.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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