Économie
HSBC (Suisse) a enfreint les règles sur le blanchiment (Finma)
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HSBC Private Bank (Suisse) est accusée d'avoir enfreint les règles en matière de blanchiment d'argent. L'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) a ordonné des mesures.
La filiale helvétique du groupe bancaire britannique a manqué à ses obligations en matière de prévention du blanchiment d'argent concernant deux personnes politiquement exposées, écrit la Finma mardi dans un communiqué. Par conséquent, le gendarme financier a ordonné des mesures à l'encontre du gestionnaire de fortune, lui interdisant notamment d'ouvrir de nouvelles relations d'affaires avec ce type de clients à risque.
Cette décision fait suite à une procédure "d'enforcement" ouverte en décembre 2021, au cours de laquelle la banque a coopéré, indique la Finma.
HSBC Private Bank (Suisse) a entretenu deux relations d'affaires comportant des risques accrus pour lesquelles elle n'a pas suffisamment vérifié l'origine des valeurs patrimoniales ainsi que leur but et leur arrière-plan économique, est-il ressorti de l'enquête.
De nombreuses transactions considérées comme étant à risque n'ont par ailleurs pas été suffisamment clarifiées et documentées. Effectuées entre 2002 et 2015, ces opérations représentent un montant cumulé de 300 millions de dollars. Les avoirs, provenant d'une institution étatique, étaient transférés du Liban vers la Suisse avant d'être une nouvelle fois transférés peu de temps après sur d'autres comptes au Liban.
La banque n'a à aucun moment clarifié les raisons pour lesquelles un compte de passage détenu auprès d'elle avait été utilisé pour ces transactions, écrit la Finma. Elle n'a pas non plus identifié que les virements mentionnés présentaient des indices de blanchiment. Et même lorsque les risques l'ont conduite à résilier en 2016 ces relations d'affaires, elle n'en a pas informé Bureau de communication en matière de blanchiment d'argent.
Evoquant une "violation grave" des lois régissant les marchés financiers, la Finma a ordonné à la banque de passer en revue toutes ses relations d'affaires actuelles à risques accrus et avec des personnes politiquement exposées. L'établissement devra en outre contrôler la conformité de la catégorisation du risque de ses autres clients.
Un chargé d'audit a été désigné pour surveiller la mise en oeuvre de ces mesures. Dans l'intervalle, la banque ne pourra pas ouvrir de nouvelles relations d'affaires avec des personnes politiquement exposées.
HSBC Private Bank (Suisse) devra aussi remettre à la Finma une liste avec une déclaration exhaustive des responsabilités au sein de son conseil d'administration et de sa direction.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Banque Migros nomme un responsable dédié à la clientèle entreprise
Banque Migros a renouvelé un poste au sein de sa direction générale en recrutant Stephan Hässig avec le titre de responsable du segment Clientèle Entreprises.
Il prendra ses fonctions le 1er septembre et succédera à Olivier Häner, qui occupe cette fonction à titre intérimaire depuis février dernier. Stephan Hässig arrive en provenance de la grande banque UBS, où il a travaillé depuis 2005 dans le conseil de la clientèle entreprises, des clients institutionnels et des clients privés fortunés, précise vendredi l'établissement zurichois, propriété du géant de la grande distribution Migros.
Dernièrement, il était en charge de l'unité Personal Banking de la région Zurich et responsable de la clientèle Entreprises de la région Argovie et Soleure.
Spécialiste des financements structurés, Olivier Häner a assuré l'intérim quelques mois, après l'annonce en janvier de la démission de Bernd Geisenberger. Ce dernier a émis le voeu de se réorienter professionnellement après avoir dirigé pendant sept années le segment Clientèle Entreprises. M. Geisenberger quittera Banque Migros à la fin du mois.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Une personne a survécu au crash du 787 d'Air India (autorités)
Une personne a survécu au crash du 787 d'Air India à destination de Londres qui s'est écrasé jeudi avec 242 passagers et membres d'équipage après son décollage de l'aéroport d'Ahmedabad, en Inde, a indiqué à l'AFP un représentant des autorités sanitaires.
"Oui, nous confirmons qu'il y a un survivant", a déclaré Dhananjay Dwivedi, secrétaire principal du département de la santé de l'Etat du Gujarat, dans le nord-ouest de l'Inde. Il est "actuellement soigné" à l'hôpital, a-t-il ajouté.
L'appareil, un long courrier de type Boeing 787, a décollé à 13h39 locales (10h09 suisses) et s'est écrasé juste après son envol "hors du périmètre de l'aéroport" après avoir émis un appel d'urgence, a précisé la direction dans une déclaration. Il est tombé sur un quartier résidentiel, comprenant des bureaux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
PostFinance recrute un ancien dirigeant de Credit Suisse comme CFO
PostFinance a trouvé un remplaçant pour son chef financier (CFO) Kurt Fuchs, qui a démissionné fin février. Ancien dirigeant de feu Credit Suisse, Claudio Gaugler prendra ses fonctions le 1er septembre.
Agé de 40 ans, M. Gaugler intégrera ainsi le comité directeur du bras financier de La Poste. Il jouit d'une expérience professionnelle de plus de 15 ans dans le domaine des finances et a occupé depuis 2010 des postes à responsabilités chez Credit Suisse et UBS, en Suisse et à l'étranger, précise PostFinance dans un communiqué publié jeudi.
Il était depuis 2023 le directeur financier de Credit Suisse Asset Management, l'unité de gestion d'actifs, et a "entre autres supervisé l'intégration financière dans UBS" après la reprise de l'ex-numéro deux bancaire helvétique par son concurrent en mars 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Le Conseil national rejette l'initiative SSR
La redevance radio-TV, actuellement fixée à 335 francs par an, ne doit pas être abaissée à 200 francs. Le National a rejeté jeudi, par 116 voix contre 74, l'initiative populaire "200 francs, ça suffit" (initiative SSR). Il a également refusé tout contre-projet.
L'initiative de l'UDC, de l'Union suisse des arts et métiers (usam) et des Jeunes PLR veut faire passer la redevance de 335 à 200 francs par an. Elle demande aussi d'exonérer toutes les entreprises. "Enfin", il sera possible de restituer du pouvoir d'achat à la population et aux entreprises, a lancé Roger Golay (MCG/GE).
Manfred Bühler (UDC/BE) a comparé la SSR à "un trop grand arbre". Plusieurs de ses branches n'ont "plus rien à voir avec le service public", a-t-il déclaré, citant les droits de retransmission sportifs ou le divertissement. Les médias privés peuvent prendre le relais dans ces domaines, selon lui.
Cohésion du pays
En dehors de l'UDC et d'une partie du PLR, les oratrices et orateurs ont qualifié l'initiative tour à tour de périlleuse, dangereuse, irréaliste, irresponsable ou encore arriériste. "Il ne s'agit pas d'une réforme, mais d'un démantèlement de la cohésion nationale, de ce qui unit les deux côtés de la Sarine et les deux côtés du Gothard", a déclaré Delphine Klopfenstein Broggini (Vert-e-s/GE) pour la commission.
Les opposants à l'initiative ont défendu une information accessible, indépendante, pluraliste et dans toutes les langues du pays. Ils ont plaidé pour conserver la diversité médiatique en Suisse.
Les partisans au texte ont également dit défendre cette diversité médiatique. Ils tenaient au moins à un contre-projet indirect visant à rendre plus efficace le service public dans le domaine de la radio et de la télévision. Benjamin Fischer (UDC/ZH) a demandé "enfin un réel débat de fond" sur le mandat de la SSR.
La proposition de l'UDC n'a pas passé la rampe, bien qu'elle ait reçu des voix PLR. Damien Cottier (PLR/NE) a demandé d'éviter d'avoir "un géant SSR qui impose ses règles aux médias privés", qui ne se battent pas à armes égales alors qu'ils font aussi du bon travail.
De son côté, le PS voulait aussi un contre-projet, direct cette fois, afin de financer la radio et la télévision via un fonds indépendant alimenté par la TVA. Il n'a reçu le soutien que des Vert-e-s.
300 francs d'ici 2029
Le Conseil fédéral était aussi opposé à l'initiative. Il propose toutefois un contre-projet au niveau de l'ordonnance. La redevance doit passer à 312 francs en 2027, puis à 300 en 2029 pour les ménages privés. Pour les ménages collectifs comme les homes, la taxe passera de 670 francs à 624 en 2027, puis à 600 francs en 2029.
Le chiffre d'affaires permettant une exonération pour les entreprises est aussi revu à la hausse, de 500'000 francs à 1,2 million. Ainsi, dès 2027, environ 80% des entreprises soumises à la TVA ne paieront plus la redevance.
Le dossier passe au Conseil des Etats.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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