Suisse
Journée mondiale du diabète: agir à temps grâce au dépistage
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Un tiers des diabétiques ne savent pas qu’ils le sont. En Suisse, 525'000 de personnes sont touchées par cette maladie. À l'occasion de la journée mondiale du diabète ce jeudi 14 novembre 2024, l’association diabètevaud rappelle l’importance du dépistage précoce car les premiers signes du diabète peuvent parfois passer inaperçus ou être attribués à d’autres causes.
En Suisse, plus d’un demi-million de personnes sont touchées par cette maladie. Pour la journée mondiale du diabète, l’association diabètevaud rappelle l’importance du dépistage précoce car les premiers signes du diabète peuvent parfois passer inaperçus ou être attribués à d’autres causes. Soif permanente, perte de poids inexpliquée, cicatrisation difficile ou mictions fréquentes font partis des symptômes "invisibles" du diabète. L'association rappelle les comportements à adopter pour prévenir la maladie.
Mais peut-on éviter la maladie grâce à une bonne hygiène de vie ?
Cinq mille nouveaux cas de diabète sont recensés chaque année dans le canton de Vaud. Face à ces chiffres en augmentation, la directrice de diabètevaud recommande le dépistage précoce pour éviter les complications liées à la maladie.
Diabètevaud organise pour cette journée des contrôles et des dépistages gratuits pour deux symptômes typiques mais qui ne sont pas souvent pas reconnus comme tels : les troubles des pieds et des yeux. Des contrôles effectués par un podologue sont organisés sur rendez-vous le jeudi 14 novembre 2024. Des examens ophtalmologiques sont aussi proposés en collaboration avec Swiss Visio Network, sans rendez-vous durant tout le mois. Toutes les informations et activités recensées sont à retrouver sur diabetevaud.ch.
Vaud
Surendettement: "Ils n'auraient jamais dû accepter mon crédit"
Le surendettement touche toujours plus de personnes en Suisse. Parmi elles, des jeunes de 18-25 ans qui tentent de joindre les deux bouts en contractant des crédits à la consommation auprès de banques en ligne. Enquête.
De plus en plus de jeunes adultes peinent à boucler leur fin de mois en Suisse. Pour payer leurs factures et s’en sortir, certains se tournent vers des banques numériques pour obtenir des prêts, au risque de tomber dans l’engrenage du surendettement. Sous quelles conditions ces banques octroient-elles des crédits et qui se chargent de leur surveillance ? Sophie Vassutine a mené l'enquête.
Le programme de prévention du surendettement du Canton de Vaud "Parlons Cash" propose une ligne gratuite à disposition des jeunes au 0840 43 21 00.
Suisse Romande
Non à un cours de premiers secours dans les écoles
Le postulat de l'UDC du Haut-Valais demandant l'introduction d'un cours de premiers secours dans les écoles n'a pas trouvé grâce auprès de la majorité du Grand Conseil jeudi. Ces formations visaient à enseigner des gestes fondamentaux de premiers secours, notamment la réanimation cardiopulmonaire
"L'introduction de cours de premiers secours annuels dans le cursus scolaire valaisan constitue une étape importante pour améliorer les soins d'urgence. Cela peut sauver des vies", avaient résumé les postulants. "En cas d'arrêt cardio-respiratoire, le taux de survie est essentiellement fonction de la rapidité et de l'efficacité des premiers secours."
En Suisse, ce taux se monte à environ 70% pour les patients qui survivent jusqu'à ce qu'ils quittent l'hôpital. Dans les pays scandinaves, où les élèves suivent régulièrement des formations de premiers secours, le taux de survie est plus élevé et atteint parfois jusqu’à 90%.
Des cours annuels
En Norvège, par exemple, un cours de deux heures, qui comprend de la théorie et des exercices pratiques de réanimation cardiopulmonaire (RCP), est dispensé chaque année dans les écoles. Ces formations sont répétées annuellement pour rafraîchir et approfondir les connaissances et les compétences.
La présente motion avait pour but d'introduire des cours de premiers secours annuels dans le cursus scolaire valaisan. Ces formations visaient à enseigner des gestes fondamentaux de premiers secours, notamment la réanimation cardiopulmonaire (RCP). En outre, elles doivent amener à prendre davantage conscience de l'importance d'une assistance rapide et enseigner aux élèves à réagir correctement en cas d'urgence et à alerter au plus vite les secours.
Une question de compétence
"Il s’agit d’une mesure simple et efficace permettant de rendre les jeunes plus responsables", a plaidé la députée de l’UDC du Haut-Valais, Daniela Pollinger.
Pour la députée PLR Evelyne Delavy-Schnydrig, "il n’est pas de compétence du Grand Conseil d’étoffer le plan d’études des écoles valaisannes bien que la finalité de la demande soit reconnue et appréciée."
L'UDC divisée
"Ce n’est pas le rôle d’un cursus scolaire", lui a emboité le pas, son collègue de l’UDC du Valais romand, Bruno Perroud. Patrick Coquoz (Le Centre du Valais romand) a également milité contre le texte.
Au vote, le postulat a été refusé par 71 voix contre 52 et 2 abstentions.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Le Parlement valaisan valide un soutien massif à son hôpital
Le Grand Conseil valaisan a accepté, jeudi après-midi en première lecture, un cautionnement-cadre supplémentaire de 294 millions de francs, prévu pour l'hôpital du Valais (HVS). Le projet prévoit également la création d'un fonds immobilier cantonal santé.
Le Parlement a refusé deux amendements au projet du Conseil d'Etat. L'un proposait d'examiner l'opportunité et la rentabilité des dépenses prévues, par le détail pour l'hôpital du Valais. L'autre que l'HVS soit chargé de présenter au Grand Conseil les mesures qui sont prises afin de financer de manière autonome les investissements ainsi que les coûts d'entretien et de rénovation. Par deux fois, le plénum n'a pas suivi l'UDC du Haut-Valais.
Le projet de cautionnement-cadre supplémentaire a ainsi été validé par 116 voix et 9 abstentions issues de l'UDC du Haut-Valais.
Des fonds pour la psychiatrie
Concrètement, 78 millions de francs serviront au financement du renchérissement et des coûts supplémentaires liés à l'agrandissement des hôpitaux de Brigue et de Sion. Soixante millions sont prévus pour la rénovation et de nouvelles constructions prévues sur le site psychiatrique de Malévoz à Monthey.
Le financement de la mise aux normes parasismiques des bâtiments existants de l'HVS sera, lui, pris sur le budget ordinaire du Service de la santé publique. Son montant global n'est pas connu.
Pour un fonds immobilier santé
Le Conseil d'Etat prévoit également un subventionnement de 70 millions de francs sur cinq ans sous forme de prestations d'intérêt général. Ce montant sera pris dans la réserve de politique budgétaire du Canton.
Dans ce dossier, le Conseil d'Etat veut également créer un fonds immobilier cantonal santé. Le Canton s’occuperait de construire les nouvelles infrastructures nécessaires au HVS, afin de les mettre à sa disposition contre un loyer raisonnable et supportable.
Concrètement, la priorisation, l’ampleur des travaux et le calendrier des nouveaux investissements hospitaliers serait à l’avenir décidé par le Conseil d’Etat et le Grand Conseil. L'objectif est d’intégrer, pour 2031, l’ensemble des 89 bâtiments hospitaliers existants dans ce fonds immobilier.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Le gouvernement vaudois réexamine la question de ses déplacements
Critiqué pour des déplacements professionnels onéreux en limousine, le Conseil d'Etat vaudois n'est pas opposé à réexaminer la situation. Il a chargé la chancellerie d'analyser les différentes variantes possibles.
En janvier dernier, deux conseillères d'Etat, Christelle Luisier et Isabelle Moret, se sont rendues au Forum économique de Davos, chacune dans une limousine d'une société privée. L'affaire, révélée par 24 Heures, a suscité des réactions en cette période d'économies budgétaires, dont une interpellation au Grand Conseil de la députée verte Valérie Zonca.
Dans sa réponse, publiée jeudi, le gouvernement rappelle que d'une manière générale, dans la mesure du possible, les membres du Conseil d'Etat privilégient les déplacements professionnels par leurs propres moyens. Ou en s'appuyant sur les huissiers départementaux.
Parfois nécessaire
Mais le transport dans un véhicule privé avec chauffeur demeure une nécessité "dans certaines circonstances", surtout pour les trajets longs hors du canton. C'est notamment le cas en raison de l'emploi du temps des membres du gouvernement, de la flexibilité horaire et géographique attendue des élus et de la confidentialité nécessaire au traitement de nombreux dossiers.
En raison de la fin des activités de son ancien prestataire, le gouvernement a confié cette tâche l'hiver dernier à une nouvelle entreprise, First Class Limousines SA, sise sur sol vaudois. Celle-ci a remporté l'adjudication en raison de son offre "la plus avantageuse", compte tenu des critères définis, dont la mise à disposition d'une flotte de véhicules électriques et hybrides.
Budget stable
Le budget 2025 prévu pour les transports du Conseil d'Etat s'élève à 160'000 francs, comme en 2024. Les comptes 2024 font état d'une dépense de 140'475 francs dévolue aux membres du Conseil d'Etat pour les prestations avec chauffeur. A cela s'ajoute environ 19'000 francs de frais en lien avec les véhicules propriété de l'Etat.
Pour l'année 2025, un montant de 146'000 francs a déjà été dépensé jusqu'au 30 septembre, annonce le gouvernement. Un graphique détaillé montre qu'Isabelle Moret, Valérie Dittli et Christelle Luisier ont eu le plus recours à ce type de prestation.
Sur le fond, le gouvernement explique qu'il n'est pas opposé à réexaminer sa pratique du prestataire externe, même si cela lui paraissait être un choix adéquat "compte tenu que l'internalisation de la prestation a également un certain coût". Il est prêt à analyser les différentes variantes possibles "dans un but d'économicité des deniers publics", a-t-il ajouté.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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