Économie
La BNS signe un premier semestre avec une forte hausse du bénéfice
La Banque nationale suisse (BNS) est parvenue à fortement accroître son bénéfice sur les six premiers mois de l'année, tirant son épingle du jeu dans ses positions en francs et en devises étrangères, selon un communiqué paru vendredi.
A 43,5 milliards de francs, le bénéfice de la BNS s'est envolé de 55,6% sur un an. L'institut d'émission a dégagé un bénéfice de 0,6 milliard sur ses positions en francs et a également réussi à empocher un gain de 44,5 milliards sur ses positions en monnaies étrangères. En revanche, il a perdu 1,4 milliard sur son stock d'or.
Une analyse plus détaillée montre que le produit des intérêts et celui des dividendes se sont établis à 3,8 milliards et 2 milliards respectivement.
La BNS signale qu'une perte de cours de 11,8 milliards de francs a résulté des titres porteurs d'intérêt et des instruments sur taux d'intérêt, tandis qu'un gain de cours de 23,2 milliards de francs a lui découlé des titres de participation et des instruments de participation. Quant aux gains sur les changes, ils ont atteint 27,3 milliards.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Nouveau bâtiment de recherche "hors bruit" prévu dès 2026 à l'EPFL
La recherche fondamentale s'appuie aujourd'hui sur des instruments si sensibles qu'ils doivent être comme coupés du monde. Ce défi a été au centre de la conception de l'Advanced Science Building, qui sera érigé sur le campus de l'EPFL à Ecublens dès 2026.
Les bureaux Kaan Architecten et Celnikier & Grabli Architectes (Rotterdam et Paris) ont remporté le mandat d'études lancé en 2022. Le bâtiment offrira des bureaux et des laboratoires de pointe sur sept niveaux, dont deux souterrains, a indiqué lundi l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) dans un communiqué.
Que l'on parle de physique quantique, de nanotechnologies, de biologie, de chimie ou de matériaux, la recherche fondamentale atteint aujourd'hui de tels degrés de finesse qu'il devient extrêmement complexe d'isoler les outils de mesure des bruits extérieurs.
"Si nous voulons que l'EPFL puisse rester à la pointe de la recherche, il est indispensable de construire un bâtiment offrant les conditions requises par ces expériences, voire davantage", explique Anna Fontcuberta i Morral, future présidente de l'EPFL, citée dans le communiqué. L'Advanced Science Building (ASB) remplira précisément ce rôle.
Un silo central sur ressorts
Dire "bruit" dans ce contexte dépasse largement le son. Perturbations électromagnétiques, vibrations physiques, variations d'humidité ou de température sont autant d'externalités dont il faut s'affranchir pour ne pas fausser des expériences dont l'échelle est parfois celle de l'atome.
Combiner ces contraintes avec l'élaboration d'un immeuble capable d'accueillir des plateformes technologiques ouvertes à la communauté scientifique et vingt-six groupes de recherche - soit jusqu'à 600 personnes - a été un exercice hors normes pour les bureaux ayant participé au mandat d'études parallèles lancé en 2022.
Parmi les solutions retenues figure un silo central, monté sur ressorts et dissocié du reste du bâtiment, qui regroupe toute la technique, fatalement génératrice de diverses formes de perturbations. Les espaces de circulation, de préparation et d'expérimentation s'organisent autour du silo, par couches successives.
Un bâtiment à vivre
Les espaces de bureaux, qui font la part belle au bois, sont modulables et ouverts sur le campus, le lac et les montagnes. Ils sont complétés par des espaces de rencontre placés près des zones de circulation, autant d'éléments qui feront de l'ASB un bâtiment accueillant et agréable, dont le parvis sera largement arborisé.
"Il existe moins de dix lieux proposant de telles capacités", souligne Ambrogio Fasoli, vice-président associé pour la recherche: "Tous ont été visités durant l'élaboration de notre projet, ce qui nous a permis de retenir à chaque fois leurs meilleurs atouts et d'éviter un certain nombre d'écueils".
D'un coût avoisinant les 200 millions de francs, l'Advanced Science Building sera mis à l'enquête en 2025, avant une phase de construction qui s'étendra de 2026 à 2029.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le tourisme vaudois se paye une étude
1,6 milliard de francs : ce sont les retombées économiques du tourisme dans le canton de Vaud en 2023. Un chiffre tiré d’une étude présentée ce lundi, menée par BAK Economics à la demande de Vaud Promotion et de l’Association romande des hôteliers.
Le tourisme démontre son importance dans le canton de Vaud. Vaud Promotion et l’Association romande des Hôteliers viennent de dévoiler les résultats d’une étude sur le secteur. Son but : situer la place économique du tourisme dans le canton et établir un référentiel post-covid. Le tout afin notamment de mieux penser l’évolution de l’offre. En chiffres, l’étude menée par BAK Economics, montre que le secteur a généré 1,6 milliards de francs de retombées économiques et qu’il représente 4,3% d’emplois dans le canton. Pour VaudPromotion, cette étude est un bien plus que précieux. Précisions de Michel Rochat, président de Vaud Promotion.
Selon Michel Rochat, cela faisait une dizaine d'années que le secteur n'avait plus de chiffres. Et ils ne serviront pas seulement la cause des acteurs du tourisme. Cette étude sera aussi un précieux outil de travail pour le Conseil d'Etat vaudois, comme nous l'explique Isabelle Moret, ministre de l'économie.
La restauration comme locomotive
Les résultats de l’étude ont-ils été une surprise pour GastroVaud ? Réponse de son président, Gilles Meystre.
Les acteurs du tourisme ont aussi esquissé des pistes d’amélioration, notamment un renforcement de la promotion. Gilles Meystre, président de GastroVaud, nous donne d'autres exemples.
Selon l’étude, pour chaque franc généré par le tourisme un peu plus d’un franc de valeur supplémentaire est créé dans des entreprises régionales d’autres secteurs.
Économie
Les prix des logements en propriété poursuivent leur hausse
Les prix des logements en propriété ont augmenté au 3e trimestre. Entre juillet et fin septembre, ils ont crû de 0,5%, l'inflation concernant aussi bien les appartements en propriété que les maisons individuelles, indique lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS)
L'indice suisse des prix de l'immobilier résidentiel (IMPI) s'est ainsi fixé à 118,2 points (100 points au 4e trimestre 2019), précisent les statisticiens de la Confédération. Par rapport au même trimestre de l'année précédente, le renchérissement a atteint 1,7%.
Par rapport au trimestre précédent, les prix ont augmenté tant pour les maisons individuelles (+0,3%) que pour les appartements en propriété (PPE) (+0,7%).
Au niveau géographique, les maisons individuelles ont le plus renchéri dans les communes urbaines d'une grande agglomération et dans les communes urbaines d'une agglomération de taille moyenne (+0,7%). Ils ont diminué uniquement dans les communes dites intermédiaires (-0,1%).
Dans le cas des appartements en propriété, les prix ont aussi particulièrement augmenté dans les communes urbaines d'une agglomération de taille moyenne (+2,0%). Seules les communes rurales ont affiché des tarifs en baisse pour ces objets (-1,9%).
Publié par l'OFS à un rythme trimestriel depuis le 3e trimestre 2020, l'IMPI est calculé sur la base d'environ 7000 transactions en moyenne, réalisées dans les différentes régions de Suisse. Les données sont collectées auprès des 28 plus grands instituts hypothécaires suisses.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Fribourg accueille les Journées suisses du logement 2024
Fribourg est la ville hôte cette année des Journées suisses du logement, de mercredi prochain jusqu'au 24 novembre. L’occasion aussi pour les autorités communales de discuter de thématiques en lien avec le développement de l'habitat et du logement sur leur territoire.
L'événement comprend une journée de séminaire à l'intention des professionnels proposée par l'Office fédéral du logement (OFL), avec pour thème "Concevoir l'habitat pour toutes les générations". Il s'appuie sur une programmation publique ouverte à tous les intéressés et organisée par la Ville de Fribourg.
"Le logement est un sujet qui touche toute la population", rappellent les organisateurs dans leur communiqué. C'est pourquoi l'OFL organise chaque année les Journées suisses du logement. La ville hôte changeant à chaque édition, c'est Fribourg qui aura donc l'honneur de les accueillir cette année.
Programme annexe
La majorité des événements auront lieu à L'Atelier. A travers des conférences, discussions ou encore tables rondes et exposition, la Ville et ses partenaires, aborderont les modèles de coopératives d’habitation, l’habitat intergénérationnel ou encore la revalorisation du logement existant par l'assainissement.
Au-delà, Fribourg a concocté un programme annexe. Celui-ci est l'occasion pour la Ville d'aborder des thématiques en lien avec les constats posés sur son parc du logement, d'ouvrir l'horizon sur de nouveaux modèles d'habitat et de lancer les discussions entre population, spécialistes, autorités et acteurs de l'immobilier.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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