Suisse
La Suisse soutient la création d'un tribunal spécial sur l'Ukraine
La Suisse soutient l'idée d'un tribunal spécial pour le crime d'agression contre l'Ukraine, a annoncé mardi à New York le conseiller fédéral Ignazio Cassis. Il a participé à un échange sur la Cour pénale internationale (CPI), en marge de l'assemblée générale de l'ONU.
La CPI a émis un mandat d'arrêt contre le président russe Vladimir Poutine pour la "déportation illégale" de milliers d'enfants ukrainiens depuis l'invasion de l'Ukraine en février 2022, mais elle n'a aucune compétence pour enquêter sur le crime d'agression en Ukraine. C'est pourquoi l'idée circule parmi les diplomates de mettre sur pied un tribunal spécial de l'ONU.
M. Cassis a précisé qu'un tel tribunal spécial devrait être instauré dans le cadre multilatéral et avec un soutien international équilibré.
Le président de la Confédération Alain Berset avait peu auparavant critiqué la Russie dans son discours prononcé devant l'assemblée générale de l'ONU. "En lançant une guerre d'agression contre l'Ukraine, la Fédération de Russie n'a pas seulement attaqué un pays pacifique, mais aussi le droit international et le multilatéralisme", a-t-il déclaré.
Conseil de sécurité avec Zelensky
Le chef du Département fédéral de l'intérieur (DFI) a regretté que cette agression ait été le fait d'un membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, un organe qui est pourtant, selon la charte des Nations unies, "le principal responsable pour le maintien de la paix mondiale et de la sécurité internationale".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky doit s'adresser mercredi au Conseil de sécurité de l'ONU pour la première fois depuis le début de la guerre. La réunion se déroule au plus haut niveau et de nombreux dirigeants doivent s'y exprimer.
La Russie sera elle représentée par son ministre des affaires étrangères Sergueï Lavrov, arrivé mardi soir à New York. Il n'est pas clair s'il assistera en personne à l'intervention du président Zelensky ou se fera représenter pendant son discours, comme cela a déjà été le cas lors d'une réunion du conseil au niveau des chefs de la diplomatie.
Membre du Conseil de sécurité jusqu'à la fin 2024, la Suisse, représentée par MM. Berset et Cassis, sera également présente.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Coronavirus
Alain Berset admet des contacts avec le directeur de Ringier
Le ministre de la santé Alain Berset admet avoir eu connaissance des contacts avec le directeur du groupe Ringier pendant la pandémie. Mais rien de confidentiel n'a été échangé, affirme-t-il mercredi soir dans la presse.
Le conseiller fédéral tire à boulets rouges sur le rapport des commissions de gestion (CdG) rendu public il y a deux semaines. "J'aurais attendu une enquête ouverte", dit-il dans les titres alémaniques du groupe Tamedia.
Le document ressemble, aux yeux du Fribourgeois, à une tentative de prouver que toutes les indiscrétions proviennent du Département fédéral de l'intérieur. "Je tiens à préciser d'emblée que je ne tolère aucune violation du secret de fonction au sein de mon département", précise-t-il.
"Bien entendu, je savais qu'il y avait des contacts avec le directeur de Ringier", affirme Alain Berset, admettant avoir été parfois présent lors de ces échanges. L'administration a toujours des contacts avec les milieux concernés par les décisions, dit-il.
"Je ne savais pas"
Le ministre de la santé affirme en outre que pas un seul élément du rapport des CdG montre que des informations auraient été utilisées pour influencer les décisions du gouvernement via les médias. Les contacts avec le directeur de Ringier étaient d'une toute autre nature qu'un contact avec un professionnel des médias, dit-il.
Alain Berset affirme en outre avoir pris connaissance des informations confidentielles partagées par son chef de la communication pendant l'enquête. "Je ne le savais pas, dit-il. Il va de soi que je ne lis ni ne contrôle les emails de mes collaborateurs".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Un nouveau gain millionnaire au tirage du Swiss Loto
Une personne est devenue millionnaire mercredi grâce au Swiss Loto. Elle a deviné les six bons numéros et empoche 1 million de francs.
Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 3, 20, 21, 35, 37 et 38. Le numéro chance était le 2, le rePLAY le 5 et le Joker le 060459.
Lors du prochain tirage samedi, 21,7 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.
https://jeux.loro.ch/games/swissloto/
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
"Remettre l'ouvrage sur le métier" (Frédéric Favre)
Le conseiller d'Etat valaisan Frédéric Favre faisait contre mauvaise fortune bon coeur après la préférence donnée par le CIO à la France pour l'organisation des JO d'hiver 2030. Il faut "remettre l'ouvrage sur le métier", a-t-il dit mercredi au 19:30 de la RTS.
"Quand on est compétiteur, on a envie de gagner tout de suite", a déclaré le "ministre" valaisan en charge des sports, un des promoteurs de la candidature suisse. "Malheureusement, cela n'a pas été le cas (l'instance olympique a choisi les Alpes françaises pour l'édition 2030, ndlr).
Mais c'est la première fois que le CIO s'engage à dialoguer avec un seul pays (en l'occurrence la Suisse) pour une édition des JO, celle de 2038, et ce jusqu'en 2027", a observé M. Favre.
"Aujourd'hui, la déception l'emporte. Ensuite, nous remettrons l'ouvrage sur le métier" (en prévision de 2038), a ajouté le conseiller d'Etat. Au contraire de Stockholm, le troisième candidat, une nouvelle fois recalé, la Suisse peut donc encore espérer (sachant que l'édition 2034 est promise à Salt Lake City).
Le projet suisse se voulait novateur, avec des compétitions dans tout le pays sur des sites déjà existants, organisées de façon décentralisée, pour des Jeux "à taille humaine". En creux, M. Favre a reconnu que ces qualités ont aussi été un handicap pour 2030.
"Le CIO a reconnu la valeur de notre projet mais il faut encore du temps pour l'affiner. Les délais politiques en Suisse sont tout autres qu'en France", a conclu Frédéric Favre, en référence aux scrutins populaires qui peuvent retarder ou empêcher les projets en Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Les footballeuses suisses accueillies par Viola Amherd au Palais
La ministre des sports Viola Amherd a reçu l'équipe de Suisse féminine de football mercredi au Palais fédéral à Berne C'était l'occasion de la féliciter pour sa qualification pour les 8es de finale de la Coupe du monde l'été dernier en Nouvelle-Zélande.
La cheffe du Département fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) a notamment eu l'occasion de serrer la main d'Alisha Lehmann, la très populaire joueuse de milieu de terrain de la sélection helvétique qui porte les couleurs d'Aston Villa.
A la Coupe du monde organisée en Australie et en Nouvelle-Zélande, la Suisse avait franchi la phase de groupes de manière assez convaincante avant d'échouer en 8es de finale (1-5) contre l'Espagne, future championne du monde, à l'Eden Park d'Auckland.
Pour rappel, l'Euro féminin 2025 se déroulera en Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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