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Climat

L'armée s'est fortement mobilisée au Tessin et en Valais

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L'armée a effectué au total 3439 jours de service pour réparer les dégâts causés par les intempéries au Tessin et en Valais. (© KEYSTONE/TI-PRESS/Alessandro Crinari)

Envoyée au Tessin et en Valais suite aux intempéries, l'armée estime avoir rempli sa mission. Fortement mobilisée, les militaires ont effectué 3439 jours de services et 87 heures de vol pour réparer les dégâts.

En Valais, 2675 jours de service et 11 heures de vol ont été réalisés entre le 30 juin et le 10 juillet, indique l'armée jeudi dans un communiqué.

Au Tessin, le bilan s'élève à 764 jours de service et 76 heures de vol entre le 30 juin et le 28 juillet. L'aide militaire a été prolongée par deux fois dans cette région, fortement touchée par les intempéries.

Les Forces aériennes y ont transporté 695 passagers et 63,2 tonnes de matériel. D'autres travaux ont débuté le 5 août dans le Val Maggia (TI). Ils se poursuivront jusqu'au 17 septembre.

De violentes intempéries ont frappé les Alpes au début de l'été. Au moins dix personnes ont perdu la vie.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

Tempête à Los Angeles, qui redoute des glissements de terrain

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Tempête à Los Angeles, où l'observatoire public du Griffith Park est noyé dans le brouillard. (© KEYSTONE/AP/Damian Dovarganes)

La Californie subit jeudi sa plus forte tempête de l'hiver, ce qui fait craindre des inondations et des glissements de terrain dans les zones incendiées en janvier autour de Los Angeles.

Des trombes d'eau ont commencé à s'abattre sur la mégapole américaine. Les services météorologiques américains (NWS) attendent jusqu'à 15 cm de précipitations en l'espace de 48 heures dans certains endroits de la région.

De quoi inquiéter les autorités de Los Angeles, qui pansent encore les plaies des feux ayant tué près d'une trentaine de personnes le mois dernier. "Il y a un risque élevé d'inondations, en particulier à l'intérieur et autour des routes et des zones urbaines, ainsi qu'un risque significatif de coulées de débris", a averti Ryan Kittell, un météorologue du NWS.

Les autorités recommandent aux Californiens vivant près des zones incendiées de se tenir prêts à évacuer. Car les sols fragilisés par le feu et où la végétation a disparu font ruisseler l'eau plus rapidement, ce qui crée des coulées de boue pouvant parfois dégénérer en glissements de terrain.

Sacs de sable et barrières

Les employés de la ville ont installé des milliers de sacs de sable et de barrières en béton ces dernières semaines pour tenter de limiter l'érosion des sols.

Les feux qui ont ravagé la ville et ses abords ont notamment touché le quartier de Pacific Palisades, une zone huppée située dans les collines surplombant la ville, où les terrains en pente constituent une menace lors de fortes pluies. La ville d'Altadena, autre zone très touchée en banlieue de Los Angeles, est également adossée à des montagnes.

Comme souvent en Californie, cette tempête est due à une "rivière atmosphérique", un gigantesque couloir de pluie qui transporte la vapeur d'eau emmagasinée dans les tropiques autour d'Hawaï. Les précipitations qu'elle amène sont très attendues: avant début février, le sud de la Californie n'avait pas enregistré de pluies significatives depuis huit mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Californie: une tempête fait craindre des glissements de terrain

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Après les incendies, Los Angeles et le sud de la Californie se préparent à une forte tempête entre mercredi et vendredi. (© KEYSTONE/EPA/ALLISON DINNER)

La Californie se prépare à subir sa tempête la plus forte de l'hiver, ce qui fait craindre des inondations et des glissements de terrain dans les zones incendiées en janvier autour de Los Angeles.

Entre mercredi et vendredi, le sud de l'Etat va recevoir jusqu'à 15 cm de précipitations par endroits, selon les services météorologiques américains (NWS).

De quoi inquiéter les autorités de la mégapole américaine, qui pansent encore les plaies des feux ayant tué près d'une trentaine de personnes le mois dernier.

"Il s'agit d'une forte tempête, certainement la plus forte de cette saison hivernale", a prévenu Ryan Kittell, un météorologue du NWS, lors d'un point presse mardi. "Il y a un risque élevé d'inondations, en particulier à l'intérieur et autour des routes et des zones urbaines, ainsi qu'un risque significatif de coulées de débris."

Les autorités recommandent aux Californiens vivant près des zones incendiées de se tenir prêts à évacuer. Car les sols fragilisés par le feu font ruisseler l'eau plus rapidement, ce qui crée des coulées de boue pouvant parfois dégénérer en glissements de terrain. "Nos services municipaux sont en état d'alerte", a insisté la maire de Los Angeles, Karen Bass.

Les employés de la ville ont installé des milliers de sacs de sable et de barrières en béton ces dernières semaines pour tenter de limiter l'érosion des sols, a-t-elle rappelé mardi.

Les feux qui ont ravagé la ville et ses abords ont notamment touché le quartier de Pacific Palisades, une zone huppée située dans les collines surplombant la ville, où les terrains en pente constituent une menace lors de fortes pluies. La ville d'Altadena, autre zone très touchée en banlieue de Los Angeles, est également adossée à des montagnes.

Le plus fort de la tempête est attendu jeudi, selon le NWS. "Il est recommandé à tout le monde de rester à l'écart des routes autant que possible jeudi et dans la nuit de jeudi à vendredi", a expliqué M. Kittell, le météorologue.

"Nous sommes bien sûr préoccupés par (Pacific) Palisades et les zones brûlées, mais c'est l'ensemble de Los Angeles qui doit se préoccuper de la pluie et de ses conséquences", a insisté Mme Bass.

Comme souvent en Californie, cette tempête est due à une "rivière atmosphérique", un gigantesque couloir de pluie qui transporte la vapeur d'eau emmagasinée dans les tropiques autour d'Hawaï.

Les précipitations qu'elle amène sont très attendues: avant début février, le sud de la Californie n'avait pas enregistré de pluies significatives depuis huit mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Un séisme de magnitude 7,6 frappe les Caraïbes

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Une dizaine de pays des Caraïbes sont concernés par l'alerte au tsunami (cliché symbolique/Keystone archives). (© KEYSTONE/AP/DAMIAN DOVARGANES)

Un séisme de magnitude 7,6 s'est produit samedi dans la mer des Caraïbes, provoquant une alerte au tsunami pour Cuba, le Honduras et les îles Caïmans. Cette dernière a été levée un peu plus tard sans que des dégâts n'aient été rapportés.

Le tremblement de terre s'est produit en plein coeur de la mer des Caraïbes, a annoncé l'institut géologique américain (USGS). Le centre d'alerte des tsunamis dans le Pacifique avait prévenu que les vagues pourraient atteindre jusqu'à 3 mètres à Cuba et 1 mètre au Honduras et aux îles Caïmans.

A la mi-novembre, deux puissants séismes s'étaient produits au large de la côte sud de Cuba, mais sans faire de victime ni provoquer d'alerte au tsunami.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Le mois de janvier 2025 le plus chaud jamais mesuré dans le monde

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Janvier 2025 a dépassé de 1,75 degré le niveau préindustriel (archives). (© KEYSTONE/DPA/MARTIN GERTEN)

Janvier 2025 a été le mois de janvier le plus chaud jamais mesuré dans le monde, a annoncé jeudi l'observatoire européen Copernicus. Il a battu le record établi en 2024, malgré la fin du phénomène El Niño qui a accentué le réchauffement climatique en 2023 et 2024.

"Janvier 2025 est un autre mois surprenant, poursuivant les températures records observées au cours des deux dernières années, malgré le développement des conditions La Niña dans le Pacifique tropical et leur effet de refroidissement temporaire sur les températures mondiales" à l'inverse d'El Niño, a déclaré Samantha Burgess, directrice adjointe du service changement climatique (C3S) de Copernicus.

Avec une température moyenne de 13,23 degrés Celsius selon Copernicus, "janvier 2025 a dépassé de 1,75 degré le niveau préindustriel", avant que les humains ne modifient le climat avec l'utilisation massive du charbon, du pétrole et du gaz fossile.

Les scientifiques s'attendaient à ce que la série de records des années 2023 et 2024, les deux plus chaudes jamais mesurées, s'interrompe avec la fin du phénomène naturel réchauffant El Niño et l'arrivée de son opposé, La Niña.

"Surprenant"

"C'est ce qui est un peu surprenant... on ne voit pas cet effet de refroidissement ou du moins de frein temporaire sur la température mondiale que l'on s'attendait à voir", a déclaré à l'AFP Julien Nicolas, un climatologue de Copernicus.

Copernicus relève même des signes "d'un ralentissement ou d'un arrêt de l'évolution vers des conditions La Niña", qui pourrait disparaître complètement d'ici à mars, selon le climatologue. Les températures mondiales, dont la hausse a alimenté sécheresses, canicules ou inondations dévastatrices, sont fortement dépendantes de celles des mers.

Or les températures à la surface des océans, régulateurs primordiaux du climat qui couvrent plus de 70% du globe, se maintiennent à des niveaux jamais vus avant avril 2023. Pour la surface des océans, janvier 2025 se classe toutefois deuxième mois le plus chaud derrière le record absolu de janvier 2024.

Emissions toujours en hausse

En Arctique, où l'hiver est très anormalement chaud, la banquise a atteint sa plus faible étendue pour un mois de janvier, pratiquement égale à 2018, selon Copernicus.

Avec ce record de température, janvier 2025 devient "le dix-huitième des dix-neuf derniers mois pour lequel la température moyenne de l'air à la surface du globe a dépassé de plus de 1,5 le niveau préindustriel", note encore l'observatoire européen, soit davantage que la barre symbolique des +1,5 degré, correspondant à la limite la plus ambitieuse de l'accord de Paris de 2015.

Cet accord fait toutefois référence à des tendances de long terme: une telle moyenne de réchauffement devra être observée sur au moins 20 ans pour considérer la limite franchie.

En prenant ce critère, le climat est actuellement réchauffé d'environ 1,3 degré. Le GIEC, le groupe d'experts sur le climat de l'ONU, estime que la barre de 1,5 degré sera probablement atteinte entre 2030 et 2035. Et ce, quelle que soit l'évolution des émissions de gaz à effet de serre de l'humanité, aujourd'hui proches du pic mais pas encore en déclin.

Un réchauffement plus rapide

Si la plupart des climatologues estiment que ces records successifs n'invalident pas les projections, tout en se situant dans la fourchette haute de leurs estimations, certains scientifiques à la marge formulent l'hypothèse que le climat se réchauffe plus vite sous l'effet des émissions de gaz à effet de serre d'origine humaine.

"Est-ce qu'on arrive à discerner une réponse du climat plus forte? Pour l'instant, il y a quelques éléments, mais pas encore, je dirais de constat, de démonstration, d'une réponse plus forte que celle attendue", résume Valérie Masson-Delmotte, éminente climatologue.

Les études sont en cours pour se prononcer, mais quoi qu'il en soit, "dans un climat où on continue à ajouter des gaz à effet de serre, il ne faut pas être surpris qu'on batte des records de chaud", rappelle-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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