Rejoignez-nous

Économie

Le baromètre du KOF chute sur fond de 4ème vague pandémique

Publié

,

le

La crainte d'une quatrième vague de Covid-19 fait craindre une reprise de l'activité économique quelque peu chahutée dans un avenir proche. (archives) (© KEYSTONE/EPA/BIANCA DE MARCHI)

Le baromètre conjoncturel du KOF a dévissé de 17,4 points en août à 113,5 points. À l'exception de l'industrie, tous les indicateurs sont à la baisse.

La crainte d'une quatrième vague de Covid-19 se précise, explique le communiqué paru lundi et fait craindre une reprise de l'activité économique quelque peu chahutée dans un avenir proche.

Pour la troisième fois consécutive depuis le pic atteint en mai (129,8 points), l'indice établi par l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) s'est rétracté. Il demeure néanmoins supérieur à sa moyenne sur le long terme, signe que la reprise se fera non sans entraves.

Dans l'industrie manufacturière et la construction, le carnet de commandes est évalué de manière moins positive, tout comme les perspectives d'emploi et la production.

Recul quasi généralisé

Seules les perspectives d'exportation demeurent un peu plus favorables. A l'exception de l'industrie chimique et de celle du bois, toutes les industries affichent des reculs, particulièrement dans la métallurgie, le papier et l'industrie électrique, précise le communiqué.

L'indice du KOF est ressorti en dessous des attentes des analystes interrogés par AWP qui prévoyaient entre 120 et 128,5 points.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Économie

Léger rebond des prix à la production et à l'importation en avril

Publié

le

Les prix des produits importés sont restés stables dans l'ensemble en avril. (archive) (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Les prix à la production et à l'importation (PPI) ont poursuivi leur ascension en avril enregistrant une hausse de 0,1% par rapport au mois dernier. En glissement annuel, le niveau des prix a ralenti de 0,5%.

L'indice PPI calculé par l'Office fédéral de la statistique (OFS) s'établit désormais à 106,9 points, soit 6,9 points au-dessus de son niveau de référence de décembre 2020. Ce renchérissement est dû essentiellement à la production autochtone (+0,2%), tiré par les prix des machines(+1,1%). Des hausses ont aussi été constatées dans les produits pétroliers (+3,2%), les équipements électriques (+0,4%) et la viande et produits carnés (+1,2%).

Les prix des produits importés sont, eux, restés stables, les baisses de prix dans les hydrocarbures (-6,2%), le kérosène (-5,9%), l'aluminium brut (-6,8%), les ordinateurs portables (-4,6%) et le café vert (-3,3%) ayant compensé le renchérissement des machines (+1,3%), de l'essence (+6,0%), des instruments et fournitures à usage médical et dentaire (+2,0%) ainsi que les meubles (+1,2%).

Sur un an, les prix à l'importation ont reculé de 1,8%, tandis que ceux à la production n'ont pas bougé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Économie

La croissance accélère en Suisse début 2025

Publié

le

Alerte Info (© )

La croissance économique a accéléré en Suisse au premier trimestre 2025, le produit intérieur brut (PIB) augmentant de 0,7% par rapport au trimestre précédent, après +0,5% au dernier partiel 2024, a annoncé jeudi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats

Continuer la lecture

Économie

Royaume-Uni: le PIB progresse de 0,7% au premier trimestre

Publié

le

L'économie britannique a connu une croissance insoupçonnée sur les premiers mois de l'année. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ADAM VAUGHAN)

Le produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a progressé de 0,7% au premier trimestre, a annoncé jeudi l'Office national des statistiques (ONS).

La croissance, enregistrée juste avant des hausses d'impôts sur les entreprises et l'entrée en vigueur des droits de douane de Donald Trump, s'est révélée supérieure aux attentes.

La progression du PIB s'explique "en grande partie grâce aux services, bien que la production ait également progressé de manière significative, après une période de ralentissement", a commenté la directrice des statistiques économiques de l'ONS, Liz McKeown. Le consensus des analystes interrogés par l'agence Bloomberg tablait sur une croissance plus modeste de 0,6%.

Cette hausse est une bonne nouvelle pour le gouvernement travailliste, arrivé au pouvoir en juillet dernier et qui a fait de la croissance économique sa priorité, mais s'est heurté pendant des mois à une économie en stagnation. "Au cours des trois premiers mois de l'année, l'économie britannique a connu une croissance plus rapide que celle des États-Unis, du Canada, de la France, de l'Italie et de l'Allemagne", s'est félicitée la ministre britannique des Finances Rachel Reeves dans un communiqué.

"Dans un contexte d'incertitude mondiale, nous faisons aujourd'hui les bons choix dans l'intérêt national", a-t-elle affirmé, évoquant notamment l'arrangement commercial signé avec les Etats-Unis pour échapper partiellement aux droits de douane de Donald Trump ou l'accord de libre-change tout juste conclu avec l'Inde.

L'embellie économique du Royaume-Uni devrait cependant n'être que limitée: les entreprises sont déjà confrontées, sur le deuxième trimestre, aux fortes hausses de cotisations patronales décidées par le gouvernement, mais aussi à l'entrée en vigueur des droits de douane de Donald Trump sur les produits du monde entier.

"Malgré l'accord commercial conclu la semaine dernière avec les États-Unis", les taxes américaines sur les produits britanniques "restent nettement plus élevées qu'avant le mois d'avril", relève Yael Selfin, analyste chez KPMG. La dynamique économique devrait selon lui "ralentir de manière significative au cours des prochains trimestres, augmentant la probabilité que le gouvernement n'atteigne pas ses objectifs budgétaires" et soit contraint d'annoncer de nouvelles coupes.

Estimant que les surtaxes douanières américaines étaient susceptibles de faire ralentir l'inflation britannique et de freiner l'activité économique dans le pays, la Banque d'Angleterre a d'ores et déjà abaissé la semaine passée son principal taux directeur d'un quart de point de pourcentage, à 4,25%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

Économie

Bond des investissements étrangers en Suisse l'année dernière

Publié

le

Les investissements directs étrangers en Suisse ont considérablement augmenté en 2024, passant de 89 à 111 en un an, précise un communiqué diffusé jeudi. Cette progression semble s'inscrire dans une tendance, puisque les projets étaient au nombre de 58 en 2022. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Alors que l'Europe peine à convaincre, la Suisse séduit de plus en plus les investisseurs étrangers. Les projets ont ainsi augmenté de près d'un quart (24,7%) sur un an en 2024, selon une étude publiée jeudi par le géant de l'audit et du conseil EY.

Les investissements directs étrangers en Suisse ont considérablement augmenté en 2024, passant de 89 à 111 en un an, précise un communiqué diffusé jeudi. Cette progression semble s'inscrire dans une tendance, puisque les projets étaient au nombre de 58 en 2022.

Les Etats-Unis ont fortement contribué à la progression enregistrée l'année dernière, en témoignent les 27 projets recensés, ce qui représente une envolée de 69% et la création de 131 emplois. Le pays de l'Oncle Sam est désormais le plus grand investisseur sur territoire helvétique, derrière la France et l'Italie. Les entreprises allemandes ont pris le chemin inverse, réduisant drastiquement (-41%) les projets à 14, pour 123 emplois crées.

Les sociétés suisses ne sont pas en reste et accentuent leur présence sur le Vieux Continent. En 2024, les investissements helvétiques en Europe se sont enrobés de 4,7% à 247, ce qui a permis d'y créer 11'872 emplois, selon le décompte de l'European Attractiveness Survey. La France (57 projets pour 1149 emplois), l'Allemagne (47 projets, 4426 emplois) et le Royaume-Uni (22 projets, 611 emplois) figurent dans le trio de tête.

La Suisse est ainsi le sixième investisseur en Europe, un classement dominé par les Etats-Unis (942 projets et 58'144 emplois).

Malgré cela, les investissements étrangers en Europe se sont tassés l'année dernière de 5% à 5388 projets.

Pour établir son étude, EY ne prend en considération que les investissements créateurs d'emplois et exclue ainsi les opérations de fusions-acquisitions et les placements en portefeuille.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Cancer

Rien ne change, la routine s’est installée et a tendance à vous engloutir ; il est temps de sortir, rencontrer du monde et varier les plaisirs.

Les Sujets à la Une