Suisse
Les sirènes vont retentir
Les 5000 sirènes fixes et les 2200 installations mobiles que compte la Suisse sont testées ce mercredi. Pour la première fois, l'alarme via l’application "Alertswiss" sera également vérifiée, indique l'Office fédéral de la protection de la population (OFPP).
Le signal de l'alarme générale sera émis à 13h30. Il s'agit d'un son oscillant, régulier, d'une durée d'une minute. Au besoin, le test pourrait être poursuivi jusqu'à 14h00. A 14h15, c'est le signal de l'alarme eau qui sera testé dans les zones situées en aval de barrages, ceci jusqu'à 15h00 au plus tard: douze sons bas continus de 20 secondes, séparés par des intervalles de 10 secondes.
Il n'y a pas lieu de prendre des mesures de protection. Si l'alarme générale retentit en dehors des tests, cela signifie que la population peut être en danger, souligne l'OFPP.
"Dans ce cas, il faut écouter la radio ou s’informer sur les canaux d’Alertswiss, suivre les consignes des autorités et mettre ses voisins au courant". Et si l'alarme eau est activée, la population doit quitter immédiatement la zone menacée.
Notifications sur smartphone
Ce test accueille son lot de nouveautés. Les alarmes seront pour la première fois notifiées via l’application pour smartphones "Alertswiss" et publiées sur internet. Parallèlement au déclenchement de l’alarme générale, tous les cantons diffuseront une alarme test sur les canaux d’"Alertswiss".
La plateforme "Alertswiss" permet également à la population de mieux se préparer en cas de catastrophe. L’application est disponible gratuitement pour les systèmes d’exploitation Android et IOS.
(KEYSTONE-ATS)
Économie
Atupri et Visana se réunissent sous la nouvelle appellation Atusana
Les deux caisses-maladie Atupri et Visana vont fusionner leurs activités au 1er janvier 2024 pour former la nouvelle entité Atusana, comprenant plus d'un million de clients, a annoncé Visana mercredi.
Même si les deux entreprises vont fusionner, elles vont rester indépendantes d'un point de vue opérationnel sous leurs marques respectives, selon un communiqué. "Cette association se fait par le biais d'une fusion par combinaison et d'égal à égal", a souligné le président de Visana, Lorenz Hess.
Le mariage des deux caisses-maladie bernoises n'aura pas d'impact sur les emplois, ni sur leur présence géographique, ont-elles assuré.
Atupri et Visana vont se regrouper au sein de la fondation commune Atusana, qui sera présidée par Lorenz Hess. La nouvelle entité sera dirigée par Angelo Eggli, le directeur général de Visana, et son adjoint Christof Zürcher, le patron d'Atupri. Stephan Wilms est nommé directeur financier du nouvel ensemble.
Combinaison des compétences
"Visana dispose d'une force de vente dans toute la Suisse et est leader du marché régional dans le canton de Berne. Atupri se concentre sur une orientation numérique au fil du parcours client", a énuméré Sandra Thoma Hauser, présidente d'Atupri.
En combinant les compétences des deux sociétés "en matière de prestations et en misant sur les avantages liés à la taille commune, les deux assureurs profiteront de synergies pour investir et acquérir", ont-elles ajouté.
Visana, qui emploie 1450 personnes, revendique quelque 848'000 clients privés, dont 644'000 pour l'assurance obligatoire et 16'500 clients institutionnels. Atupri compte pour sa part 180'000 assurés et 250 salariés.
En 2021, Atupri a enregistré des primes de 829,5 millions de francs et Visana un produit de l'activité d'assurance de 3,58 milliards.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Merck inaugure son centre de Biotech à Corsier-sur-Vevey
Le laboratoire allemand Merck a inauguré mercredi son centre de développement Biotech à Corsier-sur-Vevey (VD). Présentant une surface de 15'700 m2, combinant recherche et production de médicaments biotechnologiques, ce nouveau site va compter quelque 250 employés.
La société pharmaceutique a investi plus de 250 millions de francs pour ce "Biotech Development Center". Il est consacré au développement et à la production de principes actifs pour les études cliniques, indique Merck, déjà présent à Corsier-sur-Vevey. Il sera pleinement opérationnel d'ici la fin de l'année.
Proche en effet du centre de production existant, ce nouveau bâtiment fait de la commune de la Riviera un véritable pôle biotech, selon Merck. La cérémonie d'inauguration s'est déroulée mercredi matin, en présence notamment de la présidente du conseil d'administration et CEO de Merck, Belén Garijo, et de la présidente du Grand Conseil vaudois Séverine Evéquoz.
Dans le canton depuis près de 40 ans
"Le centre est équipé des solutions numériques les plus avancées et des standards technologiques les plus élevés, notamment en matière de procédés de production en continu, de robotisation et d'automatisation", écrit le groupe. Il est par ailleurs recouvert de 500 m2 de panneaux solaires.
Au cours des douze dernières années, le groupe leader dans le domaine des sciences et de la technologie a investi plus d'un milliard de francs en Suisse, où il est implanté depuis 1929. Il compte environ 2400 collaborateurs sur plusieurs sites.
Egalement présent à Aubonne, Merck est installé dans le canton de Vaud depuis près de 40 ans. Il y emploie plus de 1600 personnes. En mars 2019, le laboratoire avait annoncé le renforcement de son site aubonnois, avec un investissement de 165 millions de francs jusqu'en 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Après Genève, le Festival d'Avignon déprogramme Krystian Lupa
Le Festival d'Avignon (5-25 juillet) a annoncé mercredi avoir déprogrammé pour raisons "logistiques" la création de Krystian Lupa, "Les Émigrants", emboitant le pas à la Comédie de Genève après des "incidents" et une "réaction violente" du metteur en scène avec ses équipes.
L'institution suisse avait évoqué des "divergences sur la philosophie de travail entre la direction artistique du projet d'un côté et la direction générale et les équipes permanentes et temporaires de l'autre".
Krystian Lupa a reconnu dans le journal Libération lundi "deux incidents" et une "réaction très violente à l'interruption inattendue de la traduction par la traductrice Agnieszka Zgieb - en privé une amie et une collaboratrice de longue date".
"Je tiens à présenter officiellement mes excuses, cette fois-ci auprès de toutes les personnes en présence desquelles cela s'est produit", poursuivait-il dans le quotidien français.
Le Festival d'Avignon déprogramme à son tour sa création, après avoir "dialogué avec les théâtres partenaires de cette production, l'équipe artistique et technique du spectacle et le metteur en scène Krystian Lupa", indiquent les responsables de la manifestation dans un communiqué adressé à l'afp.
Grande figure du théâtre contemporain européen, habitué du Festival d'Avignon, Krystian Lupa est un des précurseurs de l'adaptation romanesque à la scène, utilisant la lenteur du récit pour sonder l'âme humaine.
"Les Émigrants, est coproduite par la Comédie de Genève, le Festival d'Avignon, l'Odéon-Théâtre de l'Europe à Paris, Le Triennale di Milano, Le PCM/Cité du théâtre à Montpellier et le Maillon Théâtre de Strasbourg.
Né en Silésie en 1943, influencé par le peintre, réalisateur et homme de théâtre Tadeusz Kantor et par le cinéaste russe Andreï Tarkovski, Krystian Lupa s'est formé aux arts graphiques à l'Académie des Beaux-Arts de Cracovie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Genève
Le CICR discute d'une rallonge avec la Suisse et d'autres donateurs
Le CICR, qui fait face à d'importantes difficultés financières, discute avec la Suisse et les principaux autres donateurs pour obtenir une rallonge. L'attitude suisse à l'égard de l'organisation influence celle d'autres pays, souligne la présidente de l'organisation.
"La discussion est encore en cours", a affirmé mercredi à la presse à Avully (GE) Mirjana Spoljaric, en marge de la présentation d'un drone du Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Ces dernières semaines, l'institution a mené un dialogue similaire avec les autres principaux donateurs, les Etats-Unis, l'Allemagne, l'UE et les autorités britanniques.
La Suisse donne un peu plus de 160 millions de francs par an au CICR. En plus, elle lui avait attribué un prêt de 200 millions face aux effets de la pandémie. La question est notamment de savoir si celui-ci doit être remboursé.
L'exemple suisse
Mais le CICR, qui ne saura qu'en fin d'année quelle a été la réponse à son appel, a réduit son budget de 440 millions pour cette année. Comme d'autres, il subit l'inflation et une diminution de la générosité des donateurs avec la pandémie et la guerre en Ukraine. "Ce que nous demandons, ce sont des contributions supplémentaires" et surtout flexibles, a insisté Mme Spoljaric. "La Suisse sait quel est notre manque de financement", dit-elle.
L'organisation souhaite élargir l'assiette des donateurs, "mais cela ne se fait pas du jour au lendemain". "Evidemment, la Suisse est importante pour le CICR" et son soutien significatif incite d'autres pays à aider l'institution, ajoute encore Mme Spoljaric.
L'organisation a annoncé récemment qu'il sera contraint de licencier 1800 collaborateurs, sur plus de 20'000, parmi 3000 suppressions de postes environ. Plusieurs délégations seront fermées. Mais l'organisation doit pouvoir continuer à "oeuvrer dans les territoires de conflits" pour aider les civils, insiste la présidente.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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