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Suisse

Les voyageurs de retour doivent patienter au sud du Gothard

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Dans un embouteillage près de Quinto (TI) en direction du nord sur l'A2, devant le tunnel du Gothard. (photo thématique) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

La vague continue des retours du sud a de nouveau provoqué des kilomètres de bouchons samedi devant le portail sud du tunnel du Gothard. Durant tout l'après-midi, la colonne de voitures atteignait huit kilomètres, selon le TCS. Le temps d'attente était de 1h45.

La colonne s'est résorbée en fin d'après-midi. A 19h00, elle n'était plus que de deux kilomètres, soit une demi-heure d'attente, précisait le TCS. La patience était également de mise dans le sens inverse. Les bouchons sont montés jusqu'à quatre kilomètres devant le portail nord à Göschenen (UR).

Le trafic était aussi surchargé sur l'autoroute A13 du San Bernardino, ainsi que sur la route principale entre Erstfeld (UR) et Göschenen.

Depuis le week-end de Pâques, des bouchons se sont formés pratiquement tous les jours sur l'A2 au Tessin entre Faido et Airolo. Mais la charge de trafic s'est toujours mieux répartie en direction du nord que lors de la ruée de Pâques vers le sud.

Le Vendredi saint, une colonne de 22 kilomètres s'est formée devant le portail nord du Gothard, avec un temps d'attente de quatre heures. Seul Pâques 1998 a été pire, avec un bouchon de 25 kilomètres en raison d'un retour de l'hiver.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Nurissa propose un label santé et écoresponsable pour ses snacks

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Les snacks vendus par Nurissa dans les distributeurs en entreprise sont désormais labellisés. (© KEYSTONE/EPA/LAWRENCE LOOI (STF))

Des labels de qualité pour les snacks et les boissons des distributeurs: à la demande des entreprises clientes, la société biennoise Nurissa propose un système d'étiquetage incitant le consommateur à se restaurer de façon "plus responsable".

L'initiative émane des clients, soucieux de répondre à leur cahier des charges en matière de durabilité et de santé, a expliqué mardi devant les médias à Bienne Joël Pauli, le directeur de Nurissa, société qui fournit snacks et boissons dans quelque 5000 entreprises de tout le pays.

Le concurrent de Selecta a mandaté la Haute école des sciences agronomiques, forestières et alimentaires (HAFL) bernoise pour élaborer un concept d'évaluation des snacks et boissons froides pour 130 produits. Résultat: 42% obtiennent le label santé "Nuri health" et 52% la caution environnement "Nuri planet".

Parmi les critères de ce qui s'apparente à un Nutriscore figurent la teneur en sucre et en sel, celle en huiles végétales "saines" ou en protéines, l'impact sur la déforestation (mauvais points pour les snacks chocolatés), la valeur ajoutée locale, l'origine des ingrédients... L'ensemble débouche sur des bonus et des malus dont la différence, au final, décide de l'octroi de deux labels, d'un seul ou d'aucun.

"Souvent, les produits qui marchent le mieux sont aussi les moins sains ou les moins 'durables'", reconnaît Joël Pauli. L'idée n'est pas de les remplacer mais d'inciter progressivement les consommateurs - puisque tel est le voeu des entreprises où sont installés les distributeurs - à faire davantage attention à la qualité de leurs en-cas.

A noter que les scores déterminant les labels ne sont pas des valeurs absolues mais résultent d'une comparaison avec un assortiment témoin.

Coup dur pour le chocolat

Un coup de pouce des entreprises clientes est envisagé, qui sont appelées à subventionner, à hauteur par exemple de 50 centimes, les produits labellisés, souvent plus chers à la base.

Concrètement, les produits qui n'obtiennent pas grâce aux yeux de la HAFL sont les boissons sucrées style Coca-Cola classique ou Fanta ainsi que toutes les barres ou snacks chocolatés (zéro label). En revanche, les petits paquets de pommes séchées, le thé froid bio ou même les chips (certes très salées mais sans impact environnemental) sont labellisés et clairement identifiées comme telles sur les distributeurs. "Notre assortiment est évolutif", a encore souligné Joël Pauli.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Migros abandonne le Nutri-Score

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Le Nutri-Score sera progressivement retiré des produits Migros. (archive) (© KEYSTONE/DPA/CHRISTOPHE GATEAU)

Le Nutri-Score sera progressivement retiré des produits Migros. Son utilité est trop faible au regard des coûts élevés qu'il implique, explique mardi le géant orange de la distribution dans un communiqué.

L'annonce a été faite dans le cadre de la restructuration au sein de Migros Supermarché. "Trois ans après son introduction, le Nutri-Score reste encore trop peu connu et suscite souvent beaucoup d'interrogations. En revanche, intégrer ou adapter le Nutri-Score demande beaucoup d'effort de packaging", justifie une porte-parole de Migros sans donner plus de précision sur les coûts exacts.

Des informations complètes sur les valeurs nutritives des produits continueront toutefois à figurer sur les emballages de tous les articles Migros. "Les valeurs nutritives par portion sont indiquées sur tous les produits en ligne et dans la mesure du possible également sur l'emballage, y compris des informations sur les valeurs indicatives pour l'apport quotidien utilisées, dites quantités de référence", précise la porte-parole.

Migros avait introduit le Nutri-Score pour toutes ses marques propres en 2021. Cette signalétique, basée sur une échelle de couleurs allant de A à E, permet d'évaluer d'un coup d'oeil la qualité nutritionnelle d'un produit, dans le but de simplifier la décision d'achat au quotidien. Un A vert indique que le produit présente des valeurs nutritionnelles particulièrement avantageuses. Par contre, un E rouge est synonyme de valeurs nutritionnelles de moins bonne qualité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Lausanne

Lausanne Région lance une campagne faite par et pour les jeunes

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Lausanne Région veut valoriser l’engagement des jeunes et soutenir ses communes membres dans le renouvellement des sociétés locales et instances politiques (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Lausanne Région a lancé la campagne "Influence ton quotidien" avec la participation des jeunes de la région. Cette démarche en ligne et hors ligne veut valoriser l’engagement des jeunes et soutenir ses communes membres dans le renouvellement des sociétés locales et instances politiques.

La campagne comprend des capsules vidéo avec les témoignages de trois jeunes entre 16 et 20 ans qui participent à la vie de leur commune et sont motivés à en parler, écrit Lausanne Région dans un communiqué mardi. Quelque 800 affiches seront déposées dans les communes membres de l'association.

Dans le contexte de la Semaine de la citoyenneté de mardi à jeudi, 3000 flyers d'information seront distribués dans les écoles du secondaire (13-16 ans). Enfin, le site internet www.influencetonquotidien.ch propose une liste des associations dans lesquelles les jeunes peuvent s’engager sur les 27 communes de Lausanne Région.

L'objectif est de donner envie aux jeunes de s’investir en montrant à la fois le pouvoir d’influence que ce type d’engagement offre et les bénéfices en terme de compétences et d’expérience utiles à leur futur. La campagne est également une façon de faire un trait d’union entre la nouvelle génération et les institutions où chacun a beaucoup à gagner, et en premier lieu un engagement citoyen fort.

Lausanne Région a réuni dès 2023 un groupe de 12 jeunes de différents horizons pour concevoir ce projet. Elle les a accompagnés pendant une année dans un processus permettant de réfléchir aux enjeux de la participation.

www.influencetonquotidien.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Thérapies géniques: Limula lève 6 millions

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Résidente du Biopôle d'Epalinges, Limula a récolté 6,2 millions de francs avec sa ronde inaugurale de financement (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

La jeune pousse vaudoise Limula a récolté 6,2 millions de francs avec sa ronde inaugurale de financement. La résidente du Biopôle d'Epalinges (VD) compte utiliser les fonds pour poursuivre le développement d'une plateforme de production automatisée de thérapies géniques et de traitements cellulaires.

L'opération a été emmenée par le fonds de capital-risque Lifex Ventures, avec la participation des fondateurs de l'entreprise Luc Henry (CEO), Yann Pierson (CTO) et Thomas Eaton (COO), ainsi que de Verve Ventures, Zühlke Ventures, Oxford Seed Fund, Lichtsteiner Foundation, W.A. de Vigier Foundation et une ribambelle d'investisseurs privés, égraine un communiqué diffusé mardi.

Le dispositif de Limula combine les fonctionnalités d'un bioréacteur et d'une centrifugeuse au sein d'un seul et même outil, avec pour objectif de faciliter et sécuriser les étapes de production de ces nouvelles génération de traitement et - au final - d'en abaisser le coût.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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